Toi qui es le fil de mes pensées.. Toi qui traduis ma passion.. Avec ta forme élancée, tu écris toutes mes intentions. Ton sang a beau être noir.. Tes gestes décrivent souvent mon bonheur ..Et grâce à toi, j'écris des histoires où je peux vaincre toutes mes peurs. Ainsi, mes désirs se reflètent dans ton âme.. Car tu es le miroir de mon esprit.. Et tu représente la douce flamme ,qui me guide à travers les méandres de la vie. Ton corps dur me donne la force de vivre.. Mais le désespoir, la solitude, mes idéaux tracent le long chemin que je dois suivre en ta compagnie, toi qui es mon stylo.

Les fautes ne s'affacent pas par l'excuse, mais par le pardon tout comme les rides ne s'effacent du visage que par le sourire

C'est seulement lorsque vous boirez à la rivière du silence que vous chanterez vraiment. Et quand vous aurez atteint le sommet de la montagne, vous commencerez enfin à monter. Et lorsque la terre réclamera vos membres, alors vous danserez vraiment

Yeux coquins, sournois, maquillés, Perçants, froncés, crispés, serrés, Agacés, tristes, hagards, mouillés, Veloutés, sincères, rassurés, Yeux qu'on croise un jour par hasard. Déclenchant un feu d'étincelles .Alors que mille autres regards se noient dans le monde matériel !

Dès qu’une feuille tombe sous vos mains, vous ne pouvez pas vous empêcher de la gribouiller, notamment le côté droit de la page. La signification du gribouillage varie en fonction de son emplacement sur la page. Si vous gribouillez au centre de la page, vous êtes plutôt extraverti, sur la gauche de la page, vous avez peur de l’avenir, à droite, vous avez besoin de communiquer vos émotions, en bas, vous êtes plutôt de nature terre à terre.

Tous ces mots, ces phrases se mélangent et s'entrechoquent dans ma tête, mon esprit se mêle dans cette océan de mot....et je garde le silence au lieu de les dire, ces mots restent silencieux comme ces notes sans la moindre musique... Je reste assise la dans l'espoir d'entendre cette musique

Un constat qui ne change pas, j’ai beau essayé de m’adapter au monde d’aujourd’hui, je n’y arrive pas….je pense que je ne tourne pas dans le même sens que lui. Le mien de monde est tellement plus beau, plus innocent, plus respectueux, avec plus de valeurs humaines…quand je vois tous ces gens, je pense que je ne vais pas dans le même sens qu’eux. Des fois je me mets spectatrice du monde d’aujourd’hui, les scènes que je vois me donne un goût amère, il y a des fois je préfère me voiler les yeux que de voir ce que je peux voir. Rien y fera….je le sais, au plus profond de moi, je suis quelqu’un de tellement vrai, de nature généreuse, d’un regard d’enfant encore, avec un don que la vie m’a donné….la bonté de mon cœur, alors je sais que je suis incompatible à ce monde là… Un monde où le matériel prime, un monde où les gens ne pensent qu’à eux, ne voient rien d’autre que leurs propres personne, où ils vivent derrière une façade qui étincelle mais quand cette façade tombe, je ne vois plus qu’un mur en ruine. Un monde rempli de belles paroles, qui sont au bout du compte des paroles empoisonnées tellement que les gens ne sont pas sincères, tellement que l’hypocrisie prime… Un monde où chacun pense à soi, sans jamais penser que peut être demain, oui demain…un d’entre nous partira sans jamais revenir, puis il restera que les souvenirs des gens qu’on a appréciés car les gens pensent qu’ils ont la vie éternelle Un monde où les gens passe leurs vies à se plaindre, à se morfondre, à se comparer les uns aux autres, à critiquer, à regarder ce qu’il y a dans la maison de son voisin, à jalouser les uns et les autres….tout cela pour avoir un résultat fait que de souffrance au final Beaucoup de gens vous dirons comment vous devez vivre votre vie alors qu’ils ne savent pas eux-mêmes comment vivre la leurs enfin de compte….Vous diront comment faire alors que même pas une minute ils se sont mis dans votre rôle pour essayer de comprendre. Le monde d’aujourd’hui….la race humaine évolue très vite, mais elle évolue dans le mauvais chemin, en perdant toute valeur de la vie humaine, en perdant les valeurs fondamentales de la vie…et si nous revenons à notre naissance… Est-ce que nous sommes nés avec la haine, la colère, l’indifférence, l’égoïsme, avec un égo surdimensionné, avec la peur, la crainte, la jalousie, l’hypocrisie, le mensonge, etc… ? La réponse est non, nous sommes nés avec l’amour, valeur fondamentale de la vie…tant de gens égarés et qui ne retrouverons jamais le bon chemin, tant de gens qui ont évolué avec des valeurs erronés de la vie, tant de gens qui courent après l’argent, la réussite, le pouvoir alors qu’ils ont oublié ces valeurs de la vie…. Alors oui, je ne tourne pas avec eux dans le même sens, mais qu’il est dur de cohabiter avec tous ces gens, les années passent et je deviens de plus en plus allergiques au monde d’aujourd’hui qui évolue dans un chemin qui n’est pas le mien Alors oui, être spectatrice du monde d’aujourd’hui est loin d’être un film de paix et d’amour mais plutôt un film d’horreur où il y a des moments, cela pousse au film d’humour tellement que s’est ridicule et dérisoire. Alors quand je visionne le film  de la vie d’aujourd’hui, je préfère faire mon propre film de ma vie et devenir metteur en scène

Je l'attendais

On m'avait pourtant prévenu qu'elle viendrait. Puis, un bon matin, il y a bien quelques années, j'ai senti son souffle. Elle était là, dans mon dos, m'enlaçait tout doucement de ses grands bras tout en m'enveloppant dans son manteau moelleux. Seul, devant mon miroir, j'ai levé les yeux et je l'ai enfin aperçue. Ses petits yeux bleus, myopes, probablement charmeurs autrefois, étaient partiellement cachés par d'étranges lunettes grises. Autour d'eux cherchait à se camoufler tant bien que mal l'arnaque de sa vie, ses rides. Une cicatrice à la lèvre supérieure lui rappelait sans nul doute l'exubérance de sa jeunesse. Ses cheveux, blanchis par un quelconque processus biologique, qu'elle seule devait connaître, dégarnissaient de plus en plus sa tête. Sur son front et dans son cou, les plis se multipliaient, signes évidents d'une grande sagesse. Enfin, la peau striée de ses mains meurtries, devenues tremblantes, ne parvenaient plus à dissimuler le labeur de sa vie. Malgré tout, elle me fascinait. Son sourire moqueur et la naïveté de son regard enfantin l'embellissaient. Le temps ne semblait plus pressé. Sa joie de vivre se lisait sur ses traits comme si elle goûtait à chaque instant qui passait. Elle paraissait tellement heureuse... J'ai penché doucement la tête, baissé les yeux. La vieillesse, timidement, s'excusa de son intrusion dans mon existence et, par peur de me perdre, me pressa tout contre elle.

Comme un arbre, l'amitié grandit au fil des ans. Ses racines prennent de la vigueur et lui permettent de devenir grande et forte. C'est de cette façon que la nôtre s'est développée, et malgré nos hauts et nos bas, nous avons vu grandir ce partage de notre quotidien. Aujourd'hui, pour s'apercevoir que l'autre a besoin d'un peu d'attention ou simplement de notre présence, nul n'est besoin de se parler.

la vie passe et avance avec sont lot de tristesse comme de bonheur. la vie passe et les projets changent ,certaines idées refaite, certaine action modifier, certaine chose appris,e ils arrivent que certaine chose ,soi apprise part la douleur ,nous gardons la leçons mais oublions peut a peut la raison de cette leçon. d'autre souvenir reste présent, nous gardons le souvenir comme si cela était hier ou dans l'heure, la douleur et les larmes sont toujours la. la haine et la colère sont la et on remplace la peur et la souffrance. tout ce que nous vivons nous changent, en bien comme en mauvais, rien n'est jamais deux fois identique