Aux heures sans compter Rêver.. ..savoir se donner espace de temps.., liberté instant précieux, ..méditer.

Elle n'a pas toujours été facile, son existence. Pourtant, elle porte toujours sur elle un sourire, dans le coin de ses yeux, à la commissure de ses lèvres ou au creux de sa main. Mais elle n'est jamais aussi belle que quand ce sourire illumine ses yeux, envahit son visage et qu'elle porte sa main à sa bouche pour le cacher pudiquement.

Si un jour vous voyez, assise sur un banc, la belle gratouiller sa guitare sur son flanc.... Sachez donc, qu'elle compose....!

Une solitude enfouie, au coeur des décennies Cils et mirages brillent, fantômes et puis, débris... A l'espoir si fragile, vient s'écorcher l'envie Rêvant sa terre d'asile, et de fleurs sous la pluie Aux doux rayons d'idylles, arcs-en-ciel et magies Faisant du gris des villes, des cendres vers l'oubli Des torrents de couleurs, sur nos âmes qui s'effleurent A dessiner les chœurs, des battements de nos cœurs Qui nourrissent les heures, où s'étend... le Bonheur Comme un "souffle-douleur" déployant, sa douceur... Mais..., l'horloge cisaille, et picore Chaque... instant D'où ma raison déraille, prisonnière des tourments Je dois fuir cette faille, qu'élargit l'espace-temps M'en extraire, vaille que vaille, car... mon chemin m'attend

Ne jetez pas la pierre à celui qui baisse les bras… Des instants d’incertitudes, d’absence de lucidité ou l’on sombre en une encre épaisse et gluante ou l’on se sent piégé comme un misérable rat, le néant semble nous engloutir, nous broyer Tout sourire , humour et espoir déchantent… Dormir pour oublier les cauchemars de la réalité, se réveiller hagard, jambes chancelantes ne trouvant plus aucune compréhension, les yeux cernés, les mains tremblantes, l’esprit anéanti, desséché, liquéfié par les sanglots de l’âme en contusions…

Ne jetez pas la corde à celui qui veut se pendre… Pardonnez-lui ses faiblesses et sa fragilité, nul n’est doté d’une force invincible et ne puis se retrouver en les méandres, en les tortueux labyrinthes et sinuosités de ces pentes abruptes et incoercibles… Les voix de l’entendement restent bâillonnées, aveuglées par de cruelles meurtrissures ou pleure silencieusement le sang de la vie des chairs torturées, tuméfiées et déchirées épanchant d’obscures et confuses brulures ou l’élancement de la souffrance sévit…

Ne jetez pas le linceul à celui qui ne peut se relever… Tôt ou tard il se redressera avec confiance, vaincra avec courage son incontrôlable désespoir, il continuera sa route pour les êtres aimés leur portant aide et les guidant avec espérance afin de faire savoir que tout n’est pas si noir…

Ecrire pour réfléchir, pour grandir, pour mûrir, pour répondre à mes envies, mes besoins.

Ecrire pour avancer. Ecrire pour inciter mon esprit à mettre de l’ordre dans mes idées.

Ecrire pour me dévoiler à moi-même, pour me découvrir et mieux me connaître. Ecrire pour m’aider à prendre des décisions.

Ecrire pour laisser se répandre ce qu’il y a au fond de moi. Laisser la plume glisser librement sur la feuille sans entrave ni restriction.

Ecrire pour soulager ma peine, pour exorciser ma douleur.

Ecrire pour ne plus avoir peur, pour me consoler, pour me sentir plus forte.

Ecrire pour ne pas oublier, pour ne pas reproduire les erreurs du passé.

Ecrire pour faire face à l’adversité.

Ecrire pour laisser trace et pouvoir revenir sur cet écrit à loisir, le modifier, le compléter, l’enjoliver.

Ecrire pour communiquer, pour être capable de dire ce que ma voix ne se permet pas.

Ecrire pour libérer ma conscience.

Ecrire pour me vider l’esprit, pour soulager mon être, pour que mon âme s’éveille.

Ecrire pour me réinventer.

Ecrire jusqu’au bout de la nuit.

Ecrire plusieurs fois dans une même journée pour me retrouver seule avec moi-même et permettre à mon âme de se recentrer.

Ecire pour le plaisir des mots et des sonorités.

Ecrire pour le plaisir tout court.

Ecrire pour l’acte lui-même, sentir ma main conduire mon geste alors que ma tête ou mon cœur s’épanche.

Ecrire pour moi, pour les autres ou sans but précis. Seulement laisser libre court aux mots, aux sentiments, aux émotions, dans un moment de paisible solitude ou d’intenses sensations.

Ecrire pour permettre à chacun de s’y reconnaître, de s’y plonger, de se l’approprier.

Ecrire pour laisser se faufiler un fragment de mon cœur jusqu’au bout de la plume, pour que les gouttes d’encre qui se répandent sur la feuille puissent dévoiler un petit bout de moi. 

J’avais peur, je dois le reconnaître, mais ça, c’était avant, avant de te connaître, J’avais peur comme on craint ce qu’on ne connaît pas, j’avais des préjugés, toi tu n’en avais pas. Je ne savais pas ce qu’il fallait te dire, si tu me comprenais, les gestes à proscrire, si tu étais, pour moi, un adulte, un enfant, mais j’ai compris très vite : tu es toi, simplement. Tu es venu vers moi, visage souriant, tu m’as pris par la main, d’un geste rassurant, moi, je voulais t’aider, c’est toi qui m’a guidée et notre « différence » s’est, très vite, effacée. Si tes yeux sont bridés, je le sais aujourd’hui, c’est d’offrir, tout le temps, ce visage ravi, si ton cœur est si gros, c’est pour mieux contenir tout cet amour immense que tu veux nous offrir. Veux-tu que je te dise où est la différence ? Toi, tu sais tout donner, sans pudeur , sans méfiance, moi , de mon côté, j’apprends à regarder derrière le handicap, ta belle humanité. La tolérance, vois-tu, c’est quand l’intelligence, pas celle de l’esprit, mais bien celle du cœur, réussit à gommer toutes les différences, a reconnaître, chez l’autre, sa véritable valeur.

La parenthèse enchantée Page aimée · 1 h · “ Autrefois, j’étais belle, j’attirais les regards, Sur mon glorieux passage, les hommes se retournaient, Le monde et ses égards, oui, tout m’appartenait, À présent, je suis vieille, j’ai perdu mon pouvoir. J’ai reçu bien des roses ; leurs épines m’ont blessée, Après les jours heureux suivaient les nuits glaciales, J’ai affronté déserts, tempêtes, et chacals, Et sans jamais plier, j’ai lutté, supporté. Mais tous ces coups du sort, reçus en pleine face, En laissant sur ma peau, d’indélébiles traces, Ont fortifié mon âme, comme un muscle qui travaille. Elle devenait plus belle, après chaque bataille. Et vous tous qui pensez, sa beauté s’est fanée, Emportée par le temps, eh bien vous vous trompez, Car de cette sombre pierre qu’était mon cœur, avant, Les intempéries de la vie en ont fait un diamant. Derrière mes yeux, délavés par tant de larmes versées, Et mes paupières ridées, usées par les tourments, Se cache mon âme ; regardez-la, et vous verrez, Comme je suis belle, bien plus belle… qu’à vingt ans ! “

En nous se trouve la Source de l'Amour Inépuisable

* Pour la majorité des humains, le bonheur c'est d'être aimé. Bien sûr, ils sont quand même d'accord pour aimer un peu eux aussi, mais ils croient que le plus important, c'est d'être aimé. La preuve: pourquoi souffrent-ils tellement lorsqu'ils découvrent que celui ou celle qu'ils aiment ne leur rend pas cet amour, ou ne le leur rend pas autant qu'ils le souhaiteraient?

Pour être heureux, ils attendent que l'amour leur vienne de l'extérieur. S'il ne vient pas ou s'il leur est retiré, ils se sentent privés; ils ne croient pas à leur propre pouvoir, à leur propre force d'aimer, ils ont besoin que l'amour leur soit donné par quelqu'un d'extérieur à eux.

En réalité, pour trouver la paix et la joie, il ne faut plus attendre que l'amour nous vienne des autres, mais nous décider à ne compter que sur notre amour à nous; car en nous se trouve la source de l'amour, et elle est inépuisable.

La meilleure vengeance est de s’aimer et de vivre pour soi..

La meilleure vengeance est de travailler sur vous-même. Ne cherchez pas à leur donner un avant-goût de leur propre médicament, ne cherchez pas à leur faire regretter le jour où ils vous ont blessé.

Laissez le karma s’en charger parce que je peux vous assurer qu’il le fera, concentrez-vous simplement sur le fait de devenir une meilleure version de vous-même.

Apprenez à pardonner aux gens qui ne sont pas désolés, apprenez à laisser toutes vos émotions négatives ou votre colère vous encourager à faire quelque chose de plus productif, à remplacer ce genre d’énergie par quelque chose qui sera réellement bon pour vous. Comme l’exercice, un projet créatif, ou simplement essayer quelque chose de nouveau pour que vous puissiez vous distraire.

La meilleure vengeance est de ne pas s’inquiéter de ce que les autres pensent, ne laissez pas leurs actions vous affecter, ne vous voyez pas à travers leurs yeux, n’essayez pas à tout prix de les impressionner et ce n’est pas parce qu’ils ont des choses que vous n’avez pas qu’ils sont supérieurs à vous.

Il n’y a que vous et cela devrait vous suffire ainsi ceux qui vous aiment vraiment.

Il n’y a que vous et c’est le projet auquel vous serez confronté pour le reste de votre vie. Vous serez toujours la seule personne qualifiée pour travailler sur ce projet.

Vous êtes votre propre chef-d’œuvre et tout le monde ne sera pas d’accord avec votre art ou peut-être que certains ne l’apprécieront pas et vous ne devriez vous attendre à rien de toute façon, mais cela ne devrait jamais vous empêcher de terminer et de perfectionner ce chef-d’œuvre.

La meilleure vengeance est d’apprendre à lâcher-prise plutôt que de s’accrocher. Lâcher-prise est vraiment libérateur et cela montre que vous avez foi en Dieu et dans l’univers. Parfois, lorsque nous ne nous sentons pas bien dans notre peau, nous nous accrochons à des choses qui pourraient saboter notre bonheur ou à des gens qui ne nous apprécient pas vraiment ou ne nous aiment pas. Mais quand vous apprenez à abandonner des situations ou des personnes qui rendent votre vie plus difficile qu’elle ne devrait l’être, cela signifie que vous avez atteint un niveau d’amour-propre sain parce que vous lâchez-prise même si vous n’avez aucun soutien, vous ne savez pas ce qui arrivera ensuite, mais vous n’avez pas peur.

Vous avez le sentiment que l’univers vous regarde, vous êtes confiant dans vos capacités à recommencer ou à trouver quelqu’un de mieux. Vous avez appris à être fort, courageux et ne pas avoir peur de l’inconnu. Vous savez que vous pouvez gérer tout ce qui vient à votre rencontre.

La meilleure vengeance est de vous aimer jusqu’à ce que vous deveniez la personne que vous voulez être. Aimez vos imperfections.

Apprenez de vos erreurs. Sachez que vous n’êtes pas défini par elles ou par votre passé. Aimez votre voyage avec ses hauts et ses bas.

Apprenez que tous ceux qui ne peuvent pas vous aimer mènent aussi leurs propres batailles et sont confus au sujet de leur propre voyage. Dites-vous que vous êtes exactement là où vous êtes censé être et concentrez-vous sur le fait de tirer le meilleur parti de la vie qui vous a été donnée au lieu de culpabiliser de ne pas vivre la vie que vous voulez vivre.

La meilleure vengeance est d’apprendre à être content et heureux, même si les chances sont contre vous.