Quels que soient votre niveau, vos talents, votre expérience, l'essentiel est d'essayer de progresser, de ne pas vous contenter de ce que vous savez ou de ce que vous maîtriser déjà ... L'important c'est d'écouter son moi intérieur, au plus profond de soi même, écouter son corps et sa raison, un cocktail qui se fait instinctivement quand on trouve le moment de faire la paix avec soi même, lorsqu'on trouve la paix intérieure, le calme en soi, c'est à dire plus de colère profonde, même si les blessures persistent, cela est possible ... vous êtes votre propre guide, continuez à croire en vous, car vous êtes capable de faire encore plus pour vous, aimez vous, ayez confiance en vous.

On se posent tous la même question : "Comment sortir de ce labyrinthe de souffrance ?"

On as tous le droit d'être différents , de ne pas suivre le mouvement de la masse....

Je continuerai ... Je continuerai à croire même si le monde perd espoir, Je continuerai à aimer, même si les hommes distillent la haine, Je continuerai à construire, même si d’autres détruisent, Je continuerai à parler de paix, même au milieu de la guerre, Je continuerai à espérer, même au milieu du chaos, Je continuerai à semer, même si d’autres piétinent les récoltes, Et je continuerai à crier même si d’autres se taisent, Je dessinerai des sourires sur des visages en larmes, Je tendrai les bras à ceux qui souffrent ou se sentent épuisés. Car au milieu de la désolation, il y aura toujours un enfant qui nous regarde les yeux plein d´espoir... Et que le soleil finira par surgir de quelque part, qu’il y aura toujours un oiseau qui chantera pour nous, un enfant qui nous sourira, un papillon qui nous fera cadeau de sa beauté...

Parfois, s'il nous arrive de vivre des contrariétés ou des difficultés à cause d’un évènement qui se présente à nous, l’idée de savoir que quelqu’un d’autre en retirera du bien ou du profit peut alléger notre peine. Qu'en pensez-vous?

J'ai ramassé des morceaux de vie, les douleurs et les déceptions d'autres. J'ai séché des larmes dont je ne connaissais même pas les raisons, et j'ai changé d'avis sur les cœurs perdus et brisés.

J'ai donné le meilleur de moi-même à trop de gens en leur donnant la force pour recommencer.

J'ai entendu des histoires de vie et des problèmes même quand ils n'étaient pas plus importants que les miens, même quand ils étaient "stupides"... J'ai écouté. Parce que j'ai toujours pensé que quand quelque chose fait souffrir, ce n'est jamais stupide.

J'ai attrapé des trains hors des voies en les remettant sur les rails, en sécurité et vers les bons lieux. J'ai marché encore et encore... J'ai marché des années dans cette direction avec une mentalité de "bonté" dans un esprit prêt à perdre quelque chose de moi-même pour en donner aux autres, parce qu'ils pourraient retrouver confiance, la force de continuer et de recommencer - oui.

Aujourd'hui... Je ne regrette aucun choix, je ne me reproche rien et je n'ai pas honte du chemin que j'ai choisi. J'ai été moi-même, je l'ai été chaque fois que j'ai aimé parce qu'à chaque fois qu'un "je t' aime" sortait de ma bouche, il était entendu et souvent, ça m'a pris des mois et des années pour enterrer ce sentiment.

Je n'ai jamais menti sur mes sentiments, je n'ai jamais joué avec les gens et je n'ai jamais voulu être le jeu ou le "mensonge" de personne. J'ai été moi même même quand je me suis "énervée"! Je l'ai été peut-être encore plus que quand j'étais calme, parce que la douleur remue à l'intérieur, et être blessée fait sortir la ténacité. Parce que les coups de couteau font sortir le pire d'une personne, maintenant je me sens bien à ce point de ma vie de mettre un point... Je recommence !

Je recommence à partir de moi et des morceaux qu'il me reste. Je maintiens mes valeurs! Je recommence mon chemin, les mots de gens cette fois-ci glisseront sur moi, à la place des larmes glissant sur mon visage. Ce seront les silences cette fois-ci qui seront assourdissants, à la place des cris qui seront entendus. Ce sera ma volonté maintenant, ma priorité et mon temps à avoir un prix différent !

Ne commencez pas avec les banales "tu as changé"! Je n'ai pas changé, peut-être que seulement j'ai mûri. En choisissant le temps et les mesures pour chacun : il y aura ceux qui auront encore tout de moi, à tout moment quand ils en auront besoin.

Il y aura ceux qui auront peu, dans la mesure de ce qu'ils ont su donner, car les sentiments et l'affection ne sont pas des choses matérielles, mais quelque chose que vous portez dans le cœur... Et puis, il y aura ceux qui n'auront plus rien de moi parce que je pense que j'ai déjà pris trop de ce que j'étais .....

Lorsque je serai vieille, je veux de vieilles mains qui, comme sur les cartes en reliefs des écoles primaires osent montrer leurs montagnes, leurs rivières et leurs vallées. Des contrées lointaines où je pourrais vivre.

Des artères débordantes de vies, des doigts pleins d'histoires.

Des mains qui ont voyagé et se sont échouées vers des ailleurs, sur des épaules, autour d'un cœur, d'un visage ou serrant un mouchoir au fond d’une poche.

Des mains qui caressent ou se blessent aux épines, des mains qui pansent les plaies et essuient les larmes.

Des mains qui se lient à d’autres mains lorsque présent se conjugue au futur. Aux bastingages, faisant des signes, caressant les murs à s’en écorcher les paumes au moment des « aux revoir ».

Des mains qui se tordent avec le temps… Je veux des mains pleines d'histoires et de géographie; retrouver cette carte dans une classe d’enfant... Pour finir ma route une main sur ta joue

J'ai eu vingt ans et bientôt trente, les quarante ont suivi et aussi les cinquante, avec quelques unités pour perturber les comptes. J'ai lu des magazines qui parlaient de mes rides

Demain, dans un mois, dans un an, j'aurai les bras câlins de mes petits enfants à mon cou enroulés pour mieux me protéger. Mes enfants seront là et nous nous sourirons, heureux d'avoir su traverser sans sombrer les tempêtes, les naufrages et puis quelques orages. Il m'arrivera encore de chanter, de danser et de me régaler de gâteaux, de bonbons, de p'tits plats mijotés sans penser aux kilos ou bien à ma santé.

Je marcherai longtemps en goûtant le silence J'aimerai les odeurs de la mousse en automne et du foin en été . J'écouterai toujours le malheur qui se plaint. J'éprouverai encore les bouffées de colère face à la bêtise et la haine étalées. Jamais ni l'injustice ni l'infamie je n'accepterai et lèverai en l'air, mon poing avec rage.

Demain, dans un mois, dans un an... Et si la mort survient, car elle survient toujours, la garce, elle me trouvera debout, occupée et ridée.

Lorsque la vie te fait plonger dans une mer de larmes, Tu as le choix: Te noyer et te laisser couler doucement Ou apprendre à nager et avancer.

N'alourdie pas ta vie de tes contraintes , la seule barrière , c'est ton esprit qui la crée . Sois léger comme plume au vent.