Les couleurs d'Automne se manifestent de plus en plus teintant ce jour pluvieux des couleurs du soleil....

Le cardinal rouge se mélange aux feuilles d’automne

Alors que beaucoup d’oiseaux affichent un plumage plus terne pendant la saison froide, le cardinal mâle se distingue, lui, par son incroyable costume rouge vif.

Un rouge écarlate qui domine sur son ventre, et sa tête affublée d’une huppe, contrastant avec le noir de ses yeux et de sa gorge.

Mais l’automne n’est pas la saison qui met l’oiseau le plus en valeur. Posé sur sa branche, le cardinal passerait presque inaperçu aux côtés des feuilles qui ont soudainement pris la couleur de son plumage.

Il faudra attendre l’hiver et les premiers flocons de neige pour voir l’oiseau rayonner dans les forêts d’Amérique de l’est. En cette période de l’année, on peut voir le voir en petits groupes ou en couple à un mangeoire.

Essentiellement granivore, il brise les graines de tournesol avec son fort bec pour en déguster l’amande. Les petits fruits de certains arbres et toute autre graine trouvée au sol se retrouvent également à son menu.

Le saviez-vous ? Le cardinal rouge son nom à la couleur rouge du plumage du mâle qui rappelle les vêtements rouges des cardinaux catholiques !

Sous une pluie de plume je ressens une grande paix comme un matin de brume s’infiltre à satiété...

La migration des hirondelles perturbée

Une lectrice de Lochwiller, Hélène de Jong, a eu une surprise en ouvrant ses volets hier matin. Sur la façade de ses voisins et sur son rebord de fenêtre, elle a observé un phénomène qu’elle n’avait jamais vu.

Un petit roupillon bien mérité ! Document remis « Il me semble que ces hirondelles étaient là pour se reposer, car il y en avait sur le rebord de ma fenêtre en train de dormir avec la tête sous l’aile. Probablement suite aux tempêtes rencontrées dans leur périple vers l’Afrique », imagine Hélène de Jong, qui les a vues repartir vers 10 h.

Les forts vents et la pluie Renseignements pris auprès du Gorna (groupe ornithologique du Nord Alsace) de Neuwiller-lès-Saverne, ce rassemblement d’hirondelles au repos est bien lié aux forts vents et à la pluie qui ont sévi mercredi dans la région.

Ces oiseaux sont actuellement en pleine migration vers les pays africains et ont du mal à voler lors de fortes intempéries. Elles ont donc choisi de faire une pause de quelques heures à Lochwiller où notre lectrice a pu les immortaliser par cette photo. 

Entre ombre et lumière, Une partie de cache cache, Fuis moi je te suis, Suis moi je te suis, Voilà ce qu'ils pensent, Ils ne peuvent comprendre, Corps distants, Esprits proches, Je ferme les yeux, pensées célestes, Une lumière, la tienne, Mon astre, toi, Mes rêves sont beaux, Mon amour... infini, Pour aujourd'hui, et demain, Demain il fera beau, Et l' ombre ne sera plus.

Le miracle de l'équilibre 

Bientôt nos forêts seront flamboyantes, elle resplendiront des couleurs du soleil, comme pour nous aider a se souvenirs de l'été ...

BONNE NUIT A TOUS 

Hirondelles : le début du grand rassemblement

L’automne semble vouloir prendre ses quartiers comme en témoignent ces hirondelles qui ont toutes, ou presque, quitté leurs nids douillets dans les granges et autres appentis pour se percher, en rangs d’oignon, sur les fils électriques.

Ce sont les plus jeunes qui ont initié le mouvement et qui, du haut de leurs perchoirs, observent les villes et villages qui les ont vu naître. Si certains individus, à l’instar de la petite nichée tardive qui vit ici, dans ma grange, continue à passer la nuit près du nid, la plupart des jeunes de l’année ont désormais investi des dortoirs situés dans des zones de roseaux ou au cœur de champs de maïs, les roselières étant de plus en plus rares.

Ce sont eux qui prendront les premiers le départ pour l’Afrique, bien avant leur parents, guidés par le champs magnétique, les étoiles, la lune mais surtout par un programme génétique qui les dispense d’apprentissage auprès d’adultes quant à la route à suivre.

Des flamants roses le nez au vent aux chouettes chasseresses, les photographes du monde entier ont capturé la beauté variée des plus beaux spécimens ornithologiques.

Ces images ont été sélectionnées à partir du palmarès du concours de photographies du "Photographe d'oiseaux de l'année", qui a récemment été annoncé.

L'image des flamants roses nourrissant leurs petits a remporté le premier prix toutes catégories et 5 000£ (5 433€).

« Le niveau photographique était très élevé et le jury a pu apprécier des clichés tout à fait exceptionnels, » explique Chris Packham, premier juré d'un panel d'experts, « mais le premier prix revient à Alejandro Prieto Rojas pour son sublime cliché de flamants roses, aux couleurs et à la composition irréprochables.»