C'est dur d'échouer, mais c'est pire de n'avoir jamais essayé de réussir. Dans cette vie, on n'obtient rien sans effort.

Rôdant, triste et solitaire dans la forêt du mystère, j’ai crié le ♥ très las :  « La vie est triste ici-bas ! »

L’Écho m’a répondu : « Bah ! » 

« Écho, la vie est méchante ! »

Et, d’une voix bien touchante, L’Écho m’a répondu : « Chante ! »

« Écho, Écho des grands bois, Lourde, trop lourde est ma croix ! »

L’Écho m’a répondu : « Crois ! »

« La haine en moi va germer, Dois-je rire ou blasphémer ? »

Et l’Écho m’a dit : « Aimer ! » Comme l’Écho des grands bois m’a conseillé de le faire : J’aime, je chante et je crois ! Et je suis heureux sur terre !

Quel que soit ce que l'on chérit, il faut le tenir dans le creux de sa main comme on retient l'eau

On apprend l'eau  par la soif. La terre  par les mers qu'on passe L'exaltation  par l'angoisse . La paix  en comptant ses batailles . L'amour  par une image qu'on garde ,et les oiseaux  par la neige

Des oiseaux qu’on ne se lasse pas de regarder. On imagine souvent le regard des rapaces durs, ce n’est pas le cas des Buses qui ont parfois un regard doux

On voudrait avoir ce courage des oiseaux en hiver..

Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux ! Un vent glacé frissonne et court par les allées ; Eux, n'ayant plus l'asile ombragé des berceaux, Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées. Dans les grands arbres nus que couvre le verglas. Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ; De leur oeil inquiet ils regardent la neige, attendant jusqu'au jour la nuit qui ne vient pas

La tendresse est la constance de l'amour au-delà de toutes épreuves rencontrées

Qui suis-je ? Saurez-vous me reconnaître ?

Au crépuscule de ma vie je veux encore rêver désirer et me sentir aimer, crier mes envies, aussi fort que je vis ! Un soir, un été je voudrais m'envoler déployer mes ailes, et très haut me mettre à planer dans mon monde à moi, avec des idées plein la tête, entre soleil et tempête, me poser un instant sur un bout de mes rêves