Nos mots qui inventent un futur .Qui honorent la vie, la nature .Nos mots qui traduisent le langage que parle le vent dans les feuillages

Je me souviens aujourd'hui de cette mélodie qui avait envahi mon ♥ et possédé mon âme. Le printemps avait éclot, et j'avais alors aimé .Voir le temps s'enfuir en me laissant derrière lui

Mieux que l’épopée d’Alice au pays des merveilles. Au fond des abysses. J’ai trouvé un univers sans pareil. Où il n’y avait pas de nuit. Le ciel était à cent lieues. Nul vent de tempête impétueux. Rien que le silence, aucun bruit. L’homme n’avait jamais foulé .Le sol de l’abîme .Et n’avait donc pu le détériorer .Comme les plus belles cimes. J’ai rêvé qu’à l’instar des poissons ,dans les flots bleus, je me mouvais. L’océan pour seul horizon. Dans la pureté se déplacer. Mais le rêve s’est interrompu ,dans un concert de Klaxons. Je me réveille franchement déçu .Le ciel brumeux pour tout horizon

Quand la lune s'en va ,que la rosée s'abat .Quand l'aurore se réveille, que les oiseaux s'éveillent ,c'est l'aube qui renaît appelant la journée .Et quand le coq chante ,que cesse enfin l'attente. Quand la brume se retire .Que le soleil s'étire, c'est le jour qui enfin daigne de se montrer

Je te dis ; Vois-tu, si tous deux nous pourrions, l'âme pleine de foie, le♥ plein de rayon, ivres de douce extase et de mélancolie, rompre de milliers de nœuds dont la vie nous lie; Si nous pourrions quitter se pays triste et fou ; Nous fuirons, nous irions n’ importe où ; Chercher, loin des vains bruits, loin des haines jalouses ; Un coin, ou nous aurions des arbres, des pelouses, une maison, petite avec des fleurs, un peu de solitude, un peu de silence, un ciel bleu, la chanson d'un OISEAU, qui sur le toit se pose, un chien,de l'ombre, et quel besoin aurons-nous d'autre chose !

L'automne s'installe ,me rend instable ,me rend triste .Les jours raccourcissent. Ils sont gris. Le soleil ne réchauffe plus mon ♥, je ressens une grande solitude .De toujours être seule. Pourtant j'en ai l'habitude. Je voudrais tout changer .Mais comment ? Comment trouver ce bonheur. De se retrouver avec lui .De parler pendant des heures .De partager nos soucis .Se blottir l'un contre l'autre .Poser ma tête sur son épaule. Existe-il une réponse à ma question ?

La nuit tombe et l'hospitalité des lumières qui se dégage de chaque fenêtre qui animent la ville, m'offre cette vue magnifique des hauteurs de ce balcon. Derrière chaque fenêtre j'imagine une famille heureuse. Des fenêtres qui brillent moins que d'autres, mais nettement visibles. Aussi quelques fenêtres sombres pour ne pas dire éteintes leur nombre est insignifiant, poser mon regard et ajouter leur peines à la mienne ne fait qu'accentuer mon chagrin. En ce moment,des hauteurs de ce balcon, éclairent ma pensée confuse.

Attraper de ses mains un rayon de soleil ..Naviguer sur le plus bel arc en ciel.. Décrocher ainsi la lune et les étoiles ..Sentir le sable chaud.. Hisser la grande voile, se diriger vers le firmament ..Voyager contre vents et marée ,à contre courant.. Surfer de vague en vague sur l'océan ,En admirant le magnifique soleil couchant

Il ne faut pas avoir peur des vagues qui agitent votre âme. C'est ça, la vie

c'est doux la nuit de regarder le ciel, toutes les étoiles sont fleuries