Mon silence ne veut pas dire que j'ignore ce qui se passe autour de moi, mais plutôt que parfois ce qui se passe autour de moi ne mérite pas mes paroles.

Bercer par son va et vient tendrement, douce et attentive mer, fidèle et généreuse mère, de ses bras elle nous protège

Le cœur a parfois des méandres, ou il ne faut pas se prendre, et plus souvent encore, des raisons que la raison ignore, la vérité est à la croisée des chemins

Je voudrais tant célébrer la paix sur terre, quand partout se déclarent d’horribles guerres : Saurez-vous percer ce curieux mystère d’une Humanité au ♥ d’or et aux mains sanguinaires ?

Instant de quiétude au pied du grand chêne, propice à une méditation calme et sereine, dans la douceur d’un soleil éclairant la plaine, dont les forêts verdoyantes se font reines

 Sur le sentier tortueux de mes préoccupations, j’avance péniblement en faisant attention, car le moindre faux-pas occasionnerait une commotion. Je reve d’une existence tranquille au sein de la végétation, occupé à composer des poèmes en inspiration, dans le calme majestueux des paysages emplis d’émotions, où de jolies fleurs parfument notre exaltation.

L’Humanisme, noble et pacifique, permettra d’accéder à la Reconstruction, quand d’aucuns cherchent uniquement à semer le Chaos, le Vice et la Destruction.

Le souvenir est comme les traces que laissent les vagues sur le sable, des ondulations douces et profondes, un dessin abstrait évoquant ainsi une beauté séculaire, mystérieuse...

Personne n’est capable d’entendre l’ultime soupir d’une fleur qui se fane, pas plus qu’il n’est possible d’entendre le frisson de la descente d’un rideau de flocons sur une masse de neige déjà posée là, installée, structure éphémère. Il y a des bruits, des sons, que nous ne sommes pas en mesure d’entendre, et cependant ils existent. Il y a, de la même façon, des formes et des couleurs que nous ne sommes pas capables de voir, et cependant elles existent.

Californie.