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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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animaux poeme sur les loups

le loup

Publié à 22:15 par fandeloup Tags : coeur douceur tendresse
le loup

Pour moi tu es un océan de tendresse.J'aimerai Déverser sur toi avec délicatesse, Toute une cascade de caresses. Pour moi tu es un abîme de patience, toujours avec indulgence ,Et pardonnant sans cesse . Pour moi tu es mon havre de bonheur, D'ou tu effaces avec une infime douceur ,Toutes les petites peines de ♥. tu te tiens éloignées de moi avec ardeur

le loup

Publié à 17:02 par fandeloup Tags : photo fleurs mer danse oiseau
le loup

Tout en haut d'une colline, haut perchée sur un rocher Je regarde au loin,Cachés dans le vert panaché des arbres, des oiseaux chantent ... Sous mes pieds, toute la colline offerte pour me charmer. Quelques fleurs jaunes forment un bouquet, plus loin l'oiseau vient se poser ,Des abeillent gourmandes viennent butiner les fleurs bleues des romarins .. Le soleil tout là haut brille, mais je ne peux le regarder mes yeux ne savent plus ou aller, en bas dans la colline au loin ,en ce jour d'été ... Tout en haut d'une colline, haut perchée sur un rocher je me sent tellement petite dans cet univers si parfait ! Tout n'est que senteurs, couleurs, spectacle complet ... Les cigales accompagnent ce magnifique tableau dont le loup fais partie, le temps d'une photo ..........

le loup

Publié à 22:49 par fandeloup Tags : vie fond nature fleurs
le loup

Si je pouvais faire ce que j'ai envie, Je partirais loin de tout, Dans un coin de paradis, Ou il n'y aurais que des fleurs, et des arbres aussi .

Si je pouvais faire ce que j'ai envie, Je me choisirais une petite maison, au fond d'un bois, Ou il n'y aurait que toi est moi,et ou tu serais roi.

Si je pouvais faire ce que j'ai envie, ta vie s'écoulerait bercer par le temps ,Et ltun serait heureux ,loin des humains, Avec seulement la nature pour compagnie.

Si je pouvais faire ce que j'ai envie, Réalisée mon rêve dans un coin de paradis ,Qui est la nature avec tout ses trésors, Que les gens ignorent, mais que moi j'adore. ont seraient heureux seulement toi est moi

le loup

Publié à 20:31 par fandeloup Tags : poésie belle coeur homme enfants mort animaux chien danse poème vie
le loup

Les nuages couraient sur la lune enflammée Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée, Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon. Nous marchions, sans parler, dans l'humide gazon, Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes, Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes, Nous avons aperçu les grands ongles marqués Par les loups voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. -- Ni le bois ni la plaine Ne poussaient un soupir dans les airs; seulement La girouette en deuil criait au firmament; Car le vent, élevé bien au-dessus des terres, N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires, Et les chênes d'en bas, contre les rocs penchés, Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête A regardé le sable en s'y couchant; bientôt, Lui que jamais ici l'on ne vit en défaut, A déclaré tout bas que ces marques récentes Annonçaient la démarche et les griffes puissantes De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux. Nous avons tous alors préparé nos couteaux, Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches, Nous allions, pas à pas, en écartant les branches. Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient, J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient, Et je vois au delà quatre formes légères Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères, Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux, Quand le maître revient, les lévriers joyeux. Leur forme était semblable et semblable la danse, Mais les enfants du Loup se jouaient en silence, Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi, Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi. Le père était debout, et plus loin, contre un arbre, Sa Louve reposait comme celle de marbre Qu'adoraient les Romains, et dont les flancs velus Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus. Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées, Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées. Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris, Sa retraite coupée et tous ses chemins pris; Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante, Du chien le plus hardi la gorge pantelante, Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer, Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair, Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles, Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles, Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé, mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé. Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde. Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde, Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang; Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant. Il nous regarde encore, ensuite il se recouche, Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche, Et, sans daigner savoir comment il a péri, Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri. J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre, Me prenant à penser, et n'ai pu me résoudre A poursuivre sa Louve et ses fils, qui, tous trois, Avaient voulu l'attendre; et, comme je le crois, Sans ses deux Louveteaux, la belle et sombre veuve Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve; Mais son devoir était de les sauver, afin De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim, A ne jamais entrer dans le pacte des villes Que l'homme a fait avec les animaux serviles Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher, Les premiers possesseurs du bois et du rocher. Hélas! ai-je pensé, malgré ce grand nom d'Hommes, Que j'ai honte de nous, débiles que nous sommes! Comment on doit quitter la vie et tous ses maux, C'est vous qui le savez, sublimes animaux! A voir ce que l'on fut sur terre et ce qu'on laisse, Seul le silence est grand; tout le reste est faiblesse. Ah! je t'ai bien compris, sauvage voyageur, Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur! Il disait : " Si tu peux, fais que ton âme arrive, A force de rester studieuse et pensive, Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté. Gémir, pleurer, prier est également lâche. Fais énergiquement ta longue et lourde tâche Dans la voie où le sort a voulu t'appeler, Puis, après, comme moi, souffre et meurs sans parler. " Alfred de Vigny ( 1797-1863 ) Je publie de nouveau ce sublime poème écrit dans la douleur par Alfred de Vigny alors que sa mère est morte et qu'il laisse parler son coeur en transposant sa souffrance, y mêlant intimement des souvenirs d'enfance, souvenirs de chasse avec son père...

le loup

Publié à 20:20 par fandeloup Tags : coeur nature fleur pensée oiseau amour homme
le loup

Arbres de la forêt, vous connaissez mon âme ! Vous me connaissez, vous ! Vous m'avez vu souvent, seul dans les profondeurs, regardant et rêvant. Vous le savez, la pierre où court un scarabée, une humble goutte d'eau de fleur en fleur tombée, un nuage, un oiseau, m'occupent tout un jour. La contemplation m'emplit le ♥ d'amour Vous m'avez vu cent fois, dans la vallée obscure, avec ces mots que dit l'esprit à la nature, questionner tout bas vos rameaux palpitants, et du même regard poursuivre en même temps, pensif, le front baissé, l'oeil dans l'herbe profonde.Arbres,vous m'avez vu fuir l'homme,vous savez que je suis plein d'oubli comme vous de silence ! La haine sur mon nom répand en vain son fiel; je suis calme et pur comme vous. J'ai chassé loin de moi toute pensée amère, Et mon ♥ est encore tel que le fît ma mère. Buissons que les oiseaux pillent, joyeux convives, quand je suis parmi vous, arbres de ces grands bois, dans tout ce qui m'entoure et me cache à la fois, dans votre solitude où je rentre en moi-même, je sens quelqu'un de grand qui m'écoute et qui m'aime ! C'est sous votre branchage  solitaire, que je veux abriter mon sépulcre ignoré, Et que je veux dormir quand je m'endormirai.

le loup

Publié à 20:16 par fandeloup Tags : bonne belle photos vie pensées
le loup

Toi qui ensoleilles ma vie, Toi que je porte dans mon cœur, Toi qui fais mon bonheur, Je te vois, et ma journée si néfaste Devient soudain si belle, Car je suis entièrement voué à toi. Toi si jolie, si belle, si…joyeuse. Toi qui me ravis du regard, Toi qui tous les jours es dans mes pensées, Toi qui me calmes, qui me rends heureux lorsque je suis malheureux. Toi qui vis si paisiblement avec ta famille, Toi que j’aime, toi qui de mon cœur ne sortiras jamais. Toi que je vois dès le matin grâce à toutes ces photos qui me mettent de bonne humeur… Ce visage si angélique… Toi que je ne pourrai oublier.

le loup

Publié à 19:50 par fandeloup Tags : homme dieu
le loup

Mon âme est un loup qui erre  les nuits...,

Nous n'avions pour eux aucune haine. Ils faisaient métier de loups comme nous faisions métier d'hommes.

Ils étaient créatures de dieu. Comme nous.

Ils étaient nés prédateurs. Comme l'homme.

Mais ils étaient restés prédateurs, alors que l'homme était devenu destructeur.

le loup

Publié à 19:30 par fandeloup

le loup

Publié à 19:18 par fandeloup Tags : mer bleu divers
le loup

Œil noir, Rappelle mes jours heureux et me redonne de l'espoir,

Œil vert, Plein de verdure dans laquelle coule la mer,

Œil marron, Plein de joie ce faisant envoler comme un ballon,

Œil bleu, Cœur ouvert aux heureux,

Parmi tous ces yeux divers, Ce sont les tiens que je préfère

le loup

Publié à 11:32 par fandeloup Tags : hiver image nuit
le loup

Fils de la Lune et du Vent ,Fait de brume et de sang, J'étais ce Loup blanc ... Fier et insouciant. Frissonnant sous les frimas de l'hiver, Ou brûlant d'été téméraire, Cette terre était mienne, Nourrissant mon âme indienne. De la forêt la plus sombre, Jusqu'aux plaines sans ombre, Mon territoire s'étendait, Vierge de tes méfaits. Face au vent, dressé, Pattes et museau levés, Cette odeur inconnue M'alerta de ta venue. D'une pluie de feu et d'éclairs, De loin, sous le couvert, Écœurante de lâcheté, Mon clan, tu as décimé. A l'aurore, froide, et perlante, De rosée sanguinolente, Je fus le seul A me lever, de ce blanc linceul. Depuis privé de meute et de louve, J'erre, fouillant les douves, Aux abords de la cité ... Et ton odeur, j'ai retrouvé. Ce soir, ma haine j'assouvis. Trouant la noirceur de la nuit, Ma Mère guide mes pas, Mon hurlement te glace d'effroi. J'arrive ... je suis là! Dernière image avant trépas Yeux d'or et crocs blancs Claquants ... de Loup blanc.