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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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animaux sa majesté le loup

le loup

Publié à 14:13 par fandeloup Tags : cadre
le loup

Une victoire contre l’acharnement de l’État

Le Tribunal administratif de Grenoble vient, une nouvelle fois, à la demande de l’ASPAS, de suspendre aujourd'hui l’arrêté préfectoral du 13 mai 2011 pris illégalement par le Préfet de la Drôme, et qui autorisait l'abattage d'un loup. Le Juge a en effet estimé que l’arrêté ne respectait pas le protocole de mise en œuvre des tirs établi par le ministère de l’Écologie. Il sanctionne ainsi l’acharnement du préfet à céder aux pressions des éleveurs. L’ASPAS déplore l’attitude du préfet de la Drôme qui s’entête à choisir de mauvaises solutions pour gérer le problème de la cohabitation entre grands prédateurs et pastoralisme, et rappelle que depuis plusieurs années maintenant, la justice nous a systématiquement donné raison face à ces arrêtés. L’ASPAS demande que ce dossier soit géré dans la sérénité, dans l’intérêt du pastoralisme et de la biodiversité. Et non pas en choisissant l’un au détriment de l’autre. Contrairement aux déclarations du préfet de la Drôme en janvier dernier, l’ASPAS n’a jamais changé ses positions dans ce dossier qu’elle entend défendre dans le cadre de l’intérêt général et dans le respect de tous les acteurs des milieux ruraux et naturels. Combien de temps encore l’État se servira du loup comme bouc émissaire de la crise de la filière ovine ? Combien de temps pour qu’enfin les affirmations et propositions des spécialistes du loup soient reconnues et mises en place par les services de l’État ? L’ASPAS condamne fermement la politique anti-loup relayée par le gouvernement. Il est bien connu, et reconnu par tous les spécialistes de cette espèce, que tuer un ou des loups d’une meute ne peut que conduire à la désorganisation de cette dernière et augmenter par conséquent les dommages. Cela a été vérifié maintes fois ! Le loup ne saurait cacher l’inaction des pouvoirs publics face à la crise agricole. La destruction d’un loup, censée calmer pour quelque temps des éleveurs excédés par la crise, aura des effets contraires. L’ASPAS rappelle, s’il en est encore besoin, qu’il existe des mesures de protection de troupeaux, et qu’elles se montrent efficaces dans les autres pays. Qu’en est-il des belles promesses du Grenelle sur la biodiversité ? Combien de loups devront encore payer ce jeu de dupes ? Combien de temps les responsables de la filière ovine feront-ils semblant d’y croire ?

Pierre Athanaze, président de l’ASPAS Benoît Candon, avocat

le loup blanc

Publié à 13:55 par fandeloup Tags : teddy bonne mort animaux
le loup blanc

Structure sociale d’une meute de loups blancs

Le couple dominant de la meute de loups blancs du Parc animalier est mort au cours de la première semaine du mois d’avril 2006. Cet évènement ayant des répercutions notables sur l’organisation sociale du groupe, l’étude s’est attachée à définir la nouvelle hiérarchie s’établissant entre les individus ainsi que les affinités au sein du groupe. L’intérêt d’une telle étude éthologique est de permettre au parc animalier de mieux connaître les individus ainsi que l’organisation qui règne au sein de la meute. Ainsi, les soigneurs animaliers ont la possibilité d’assurer une meilleure gestion de la meute : ils sont, par exemple, mieux orientés pour faire leurs choix lors d’un transfert d’un individu dans un autre parc. Par ailleurs, une meilleure connaissance des individus et de la structure sociale permet d’améliorer les animations pédagogiques réalisées autour de cette espèce.

Présentation de la meuteL’étude concerne la meute de loups blancs du Parc animalier (Canis lupus tundrorum), installée dans un vaste enclos aménagé de 6440m2. Cette meute est composée de 8 loups, âgés de 1 à 4 ans, tous issus de l’ancien couple dominant. 5 MALES : Groblanc : 4 ans Gang : 4 ans Duc : 3 ans teddy : 3 ans Tiot : 2 ans 3 FEMELLES Andro : 4 ans Rox : 3 ans La Jeune : 1 an Les résultats obtenus Les observations, réalisées sur 28 jours, ont permis de mettre en évidence quelques tendances au sein de la meute : Figure 1 Sociogramme indiquant la hiérarchie au sein de la meute. Un individu reçoit des comportements de soumission de tous les individus situés en dessous de lui dans le tableau. Le groupe est harmonieux et les comportements agressifs sont quasi-inexistants. Cependant, la hiérarchie n’est pas encore totalement mise en place. En effet, elle a été déterminée uniquement par les comportements de soumission. Les dominants ainsi définis doivent encore s’affirmer en tant que tels vis-à-vis des autres par des comportements de dominance afin de confirmer cette hiérarchie. Pédagogiquement, la meute est intéressante pour des observations simples de comportements de soumission et de jeu. En revanche, elle n’a encore que peu d’intérêt pour l’observation d’une hiérarchie, son organisation sociale n’étant pas encore clairement définie. Figure 2 Sociogramme des affinités spatiales et de jeu entre les individus de la meute Afin d’assurer un gestion de la meute qui tient compte du bien être des animaux, il faut prendre en compte les sous-groupes d’affinités mis en évidence ainsi que le rang hiérarchique des différents individus. Ainsi, les observations ont révélé que Gang et Andro sont les deux individus les plus récepteurs de comportements de soumissions venant de l’ensemble du reste de la meute. Le transfert de ces deux individus clefs serait donc déconseillé, au risque de déstabiliser la meute. De même, Rox est trop liée à Andro pour en être séparée. Par contre, Tiot et la Jeune sont deux individus assez isolés et situés bas dans la hiérarchie. Ils paraissent dons de bons candidats au transfert. De plus, leur jeune âge faciliterait une adaptation à un nouvel environnement. De même, la dyade Teddy-Duc pourrait aussi être transférée vers une autre structure. En effet, elle est constituée de deux individus ayant une bonne affinité. De plus, Duc s’est révélé être un loup très sociable et teddy, en tant que mâle béta de la meute, pourrait devenir dominant en créant sa propre meute dans un nouveau parc. Cependant, avant d’effectuer tout transfert, il faudrait compléter cette étude par une étude de tempérament des individus (ex : test de réaction à la nouveauté) afin de déterminer leur adaptabilité face à de nouvelles situations et donc leur potentiel à être transférés sans trop être déstabilisés.

le loup

Publié à 13:51 par fandeloup Tags : moi chez vie
le loup

Mais pourquoi les Loups hurlent ils ?

Diverses interprétations ont été données à ces hurlements et il vrai qu’un son de cloche ou encore une imitation humaine est susceptible de provoquer une réponse chez le Loup. Finalement, on peut voir tout ce que l’on veut dans ces hurlements. On appréciera selon le lieu, selon notre état d’âme.

Mais si certains le disent lugubre et inquiétant voire sinistre. Moi je dis bien au contraire. Je le trouve ennivrant, plein de force et de vie.

Il reste certain que ce hurlement est un moyen de communication. Un Loup hurle, un autre lui répond. Ils finissent par se retrouver. Il complête leur odorat et leur vue. Ce hurlement peut être également une invitation à la chasse. Les Loups ont cette faculté de pouvoir localiser les sons. Elle permet ainsi aux individus isolés lors de migration nocturnes ou lors d’expédition de chasse de rejoindre le groupe. En effet, la cohésion du groupe serait souvent impossible sans ce pouvoir du hurlement. Le hurlement a aussi d’autres finalités que le rassemblement ou la capture d’une proie.

Il semble qu’il soit pour le Loup un moyen d’extérioriser des sentiments, des sentations. Le Loup semble également en mesure de connaitre parfaitement les différences de son qu’ils émettent ou entendent.Ils possèdent un répertoire de hurlements distincts les uns des autres. Il est probable qu’il puisse s’identifier mutuellement par l’usage de hurlements personnels et appropriés. Les Loups sauraient se différencier par les hurlements et juger si le cri qu’ils perçoivent provient d’une troupe ou d’un individu étrangers à leur communauté.

Les caractéristiques d’un hurlement peuvent varier suivant les conditions d’existence ou le comportement du Loup qui l’émet. Il peut varier aussi selon qu’il soit spontané ou provoqué par diverses sortes de stimulation.

Ce hurlement doit encore nous révéler beaucoup de choses, comme savoir s ’il existe réellement un code, un langage chez les Loups. Il sert à appeler un autre clan, à communiquer, à se rassurer, à affirmer la cohésion du groupe, à se reconnaitre. Mais un langage ? Les spécialistes pourront ils un jour nous répondre ? Ah ! Une autre information. : ’la lune ne fait pas hurler le Loup.’ Il peut arriver que cela se produise sous la Lune, mais il n’y a pas de liens de cause à effet.

La valeur sociale des concerts Lupins conserve encore en partie son mystère... ...pour notre plus grand plaisir.

loups

Publié à 13:23 par fandeloup Tags : chez nature cadre divers chien éléments monde animal chiens
loups

Les loups de par le monde, chassent comme tous les grands prédateurs sans rompre les équilibres essentiels ou « lois de la nature ». Contrairement au chien, les loups ne chassent pas par jeu mais bien pour assurer la nourriture de la meute et des jeunes de l’année. Selon la civilisation Inuit, le loup est appelé « le médecin des Rennes », envoyé par la déesse mère, pour manger les rennes malades ou vieux qui affaiblissent le troupeau. Cette vision mythique du loup introduit la notion de prédateur permettant le maintien d’un équilibre essentiel entre les grands herbivores (espèces-proies) et leur milieu naturel.

Alors, le loup est-il un ogre, un assassin aveugle ? La réponse à cette question amène à considérer 3 principaux éléments. Un assassin aveugle ne sélectionne pas ses proies, il tue « au hasard ». Un ogre tue une quantité énorme de proie à chaque attaque, apte à satisfaire son gigantesque appétit. Les attaques se multiplient tant que le quota alimentaire journalier n’est pas atteint.

Le loup sélectionne ses proies. Mais ses critères sont variés et dépendent étroitement du territoire et des espèces (V.VIGNON in ATEN, cahier technique n°69, 2002) :

l’accessibilité de la proie : le loup va s’orienter davantage sur des proies "faciles à attraper", c’est-à-dire malade ou faible (jeunesse, vieillesse, blessure...). Cela lui permet d’obtenir un bon rapport quantité d’énergie dépensée à la chasse/ quantité d’énergie retrouvée après consommation de la proie.

la taille ou l’âge de la proie : le loup ajuste la taille corporelle de sa proie-cible au nombre d’individus qui chassent ensemble (=taille de la meute). Un loup solitaire chasse des petites proies au maximum équivalentes à son propre poids. Quand des meutes se constituent, on assiste à un changement progressif et sélectif dans la taille des proies.

l’abondance / répartition de telle ou telle espèce sur sont territoire de chasse. Il écrête préférentiellement les hautes densités d’ongulés proies (également parce que si ces ongulés sont plus nombreux, la recherche de la proie dure moins longtemps). Les meutes peuvent réorganiser leur territoire en fonction des variations d’abondance de leurs espèces-proies.

les opportunités saisonnières : si les espèces-proies mettent bas de manière échelonnée, le loup suit cette succession et se déplace d’espèce-proie en espèce-proie en fonction des naissances. Ainsi, les espèces d’ongulés peut adaptées aux forts enneigements seront prédatées l’hiver car elles sont facilement accessibles (difficultés de déplacement).

le comportement de la proie : une proie qui s’affole sans fuir sera prédatée parce que facile à attraper, de même qu’une espèce peu attentive à son environnement (manque de vigilance).

Le loup attaque mais le nombre de ses victimes est généralement réduit même sur les ongulés domestiques. Les résultats des déclarations pour indemnisation ont été analysés dans le cadre du premier programme LIFE, sur toute la zone de présence des Loups dans l’arc alpin. Depuis 1992, il apparaît qu’une majorité des attaques (43%) ne fait qu’entre 1 et 2 victimes. Pour 28%, le nombre s’élève à 3 ou 4 victimes. Les attaques faisant plus de 16 victimes sont rares, seulement 3% dans le cadre de cette étude (sc : rapport LIFE-Loup de février 99, L’info-Loup déc.1998 n°5).

Les nombres impressionnants (supérieur à 16) de victimes lors d’attaques sur des troupeaux s’expliquent à 99% par des dérochements, suite à l’affolement du troupeau. Mais même sans attaque de loups, ces dérochements peuvent se produire quelque soit le motif du dérangement : chiens non gardés en laisse, orage, etc.

Néanmoins, pour être honnête, il existe quand même des cas d’over-killing chez les loups. En effet, dans des conditions naturelles, le loup choisit ses proies en fonction de critères bien précis, de manière à avoir le plus de chances de réussite possible. Sur une harde de chamois, par exemple, il choisira celui présentant les caractéristiques de la proie idéale (animal affaibli, blessé ou âgé, bref dont les moyens de défense et de fuite sont amoindris).

Le problème peut se poser (comme à tout autre prédateur) quand le loup a en face de lui quantité de proies potentielles présentant toutes les caractéristiques de la proie idéale. La prédation peut alors dépasser les besoins alimentaires. Ce phénomène appelé « over-killing » est tout de même assez rare comme en témoignent les statistiques.

Le loup n’a pas les mêmes besoins alimentaires selon son territoire de chasse. Les innombrables études menées sur les loups (notamment transatlantiques) ont apporté des indications sur la quantité de nourriture nécessaire à un animal pour assurer sa survie. Il ressort que cette quantité moyenne varie en fonction de divers éléments, dont la taille du territoire de la meute, l’abondance des proies, les espèces présentes, la taille de la meute etc. Pour ne détailler que deux... :

La taille de la meute. Plus la meute est grande, plus les chances de succès lors des attaques est importante et le partage des tâches équilibré, d’où une moindre dépense d’énergie par individu. Plus la meute est grande, plus la recherche des proies sera efficace (surtout si sur le territoire, elles sont abondantes) et rapide, d’où encore moins d’énergie dépensée etc. Ainsi, une meute de 16 loups consomme en moyenne 5 kg/jour/loup alors qu’une meute de 2 loups consommera 8 kg/jour/loup (Thurber et Perterson, 1993).

Or, la taille des meutes françaises est nettement inférieure à celles des loups transalpins ou transatlantiques. Elle n’excède jamais 8 individus (ex. meute du Queyras en 2002), pour une moyenne de 5 (meutes de Vésubie-Roya, Impéria / Bedola, Val Pesio / Roya en 2002) et un minimum de 2 individus (6 meutes sur 11). En Europe, la taille des meutes est surtout liée au contrôle exercé par l’homme et les meutes importantes sont très rares. Leur consommation est donc plus importante qu’elle ne pourrait l’être proportionnellement...

La diversité des proies. Plus le territoire de la meute est riche en grands ongulés (mouflons, chamois, cerfs...), plus l’effort à fournir par la meute est grand, lors de l’attaque. Mais la consommation de l’animal -proie compense largement les dépenses énergétiques de la meute. Celle-ci est davantage « rassasiée » que si elle doit reporter sa prédation sur un nombre important de petites proies, peu avantageuses en terme énergétique. Plus les proies sont petites plus la meute devra en consommer, plus elle devra chasser, plus elle consommera de l’énergie etc. Elle ira donc au « plus facile », c’est-à-dire les ongulés domestiques en troupeaux non gardés.

le loup

Publié à 11:09 par fandeloup Tags : vie film
le loup

On avait tous un rêve lorsqu'on etait petit .Mais on a jamais pu le réalisé ..Le miens était de devenir véterinaire,et approcher un loup,pouvoir le toucher,sentir son contact..Alors et vous vous rêvez de quoi ?

le loup

Publié à 10:13 par fandeloup
le loup

comme le loup j'aime voir de loin , observer et contempler

le loup

Publié à 09:56 par fandeloup Tags : sourire
le loup

De tout ce que vous portez,votre sourire est ce qui vous habilles le mieux"

le loup

Publié à 21:55 par fandeloup

le loup

Publié à 21:37 par fandeloup Tags : animal

un animal majestueux

le loup

Publié à 12:01 par fandeloup Tags : animal france
le loup

Le loup originel que nous avions en france, proche du loup de Pologne, a complètement disparu dans les années 40. Les loups d'Italie traversent maintenant les Alpes pour peupler les versants français et le massif Central. Réapprenons à connaître cet animal particulier dont le mythe peuple notre imaginaire et notre culture