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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour : 04.08.2023
96001 articles


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animaux sa majesté le loup

le loup

Publié à 23:09 par fandeloup
le loup

Au tout début, il est peu probable que le loup et l’homme aient eu des relations conflictuelles. Les Indiens des Prairies d’Amérique du Nord partageaient leur territoires de chasse avec les loups et respectaient l’adresse et la force de ces compagnons prédateurs. Les Inuit partageaient leur terre avec eux et chassaient le même gibier. Les conflits sont apparus quand les hommes ont commencé à produire leur propre nourriture au lieu de chasser les animaux et de récolter des plantes sauvages. Les loups ont continué à chasser comme avant, mais ils ne trouvaient plus de gibier aussi facilement puisque les humains avaient domestiqué les animaux sauvages, les moutons et le bétail pour leurs propres besoins. Ils ont donc pensé que le loup était un dangereux prédateur. Il y a environ 12 000 ans, les humains sont passés d’un système de chasse et de cueillette à un système de culture et d’élevage, et depuis lors il y a eu des conflits entre le loup et l’homme. Au début du XVIe siècle, les chasses organisées, les fosses et autres pièges inventés par l’homme avaient complètement chassé les loups d’Angleterre. L’Ecosse s’est débarrassée de son dernier loup vers le milieu du XVIIIe siècle. Il fut également exterminé dans d’autres pays d’Europe, et dans l’ouest des Etats-Unis, on estime à environ 1 ou 2 millions le nombre de loups tués au cours de la dernière moitié du XIXe siècle. Au cours des deux siècles derniers, les gens ont migré vers de nouveaux territoires. Les loups ont besoin d’espace et de beaucoup de nourriture pour se développer. Les espaces sauvages ont été conquis, et les loups se sont raréfiés. Les idées fausses ont développé des sentiments de haine et des lois ont été votées partout dans le monde pour tenter de se débarrasser des loups.

le loup

Publié à 22:58 par fandeloup Tags : animal merci france texte
le loup

Le loup en France, une espèce protégée à abattre ? samedi 2 avril 2011

A terme, cet arrêté devrait permettre aux préfets d’autoriser des tirs sur les loups « lorsque toute autre méthode de prévention se révèle inadaptée ou insuffisante ». Les discussions autour de ce texte concernent donc les conditions générales fixant ces autorisations exceptionnelles de destruction d’une espèce pourtant protégée par la loi, ainsi que les quotas maximum d’individus « abattables » chaque année.

Condamner le loup

Si un tel arrêté est voté, les conséquences sur ce carnivore peuvent être désastreuses alors qu’on n’en compte moins d’une centaine seulement sur notre territoire. Le principe même d’éliminer des loups n’a pas de sens. On leur impute des dommages importants sur les troupeaux alors qu’une seule attaque a été recensée en une année ! De plus, il est stipulé que les tirs de prélèvement toucheront des individus au hasard or cette pratique, sans suivi scientifique des populations, pourrait complètement déstructurer des meutes formées et, dans ce cas, créer de vrais problèmes.

Tout ce qu’il faut savoir sur le loup

Réapparu naturellement en France depuis 1992 après 60 ans d’absence, le loup n’est pas le bienvenu. Ses principaux ennemis sont la peur et l’ignorance humaines. One Voice rappelle que le loup est un animal qui a tendance à éviter l’homme. Il a un rôle majeur sur la régulation des populations d’ongulés sauvages et sur leur état sanitaire. Et sa structure sociale complexe lui permet de maîtriser sa démographie. Enfin, la présence du loup a un impact positif direct sur l’écotourisme. L’évolution morale et scientifique de notre société justifie pleinement une cohabitation intelligente.

Agir

Vous avez jusqu’au 11 avril 2011 seulement pour contester le projet d’ arrêté fixant les règles d’abattage du loup. Vous avez la possibilité de donner votre opinion à l’adresse électronique créée à cet effet sur le site officiel de la consultation publique. Pour que le ministère de l’Ecologie et du Développement Durable soit le garant du respect et de la dignité des loups en France merci pour votre mobilisation!

le loup

Publié à 22:48 par fandeloup Tags : chien chiens chez cadre nature divers éléments animal
le loup

Les loups de par le monde, chassent comme tous les grands prédateurs sans rompre les équilibres essentiels ou « lois de la nature ». Contrairement au chien, les loups ne chassent pas par jeu mais bien pour assurer la nourriture de la meute et des jeunes de l’année. Selon la civilisation Inuit, le loup est appelé « le médecin des Rennes », envoyé par la déesse mère, pour manger les rennes malades ou vieux qui affaiblissent le troupeau. Cette vision mythique du loup introduit la notion de prédateur permettant le maintien d’un équilibre essentiel entre les grands herbivores (espèces-proies) et leur milieu naturel.Alors, le loup est-il un ogre, un assassin aveugle ? La réponse à cette question amène à considérer 3 principaux éléments. Un assassin aveugle ne sélectionne pas ses proies, il tue « au hasard ». Un ogre tue une quantité énorme de proie à chaque attaque, apte à satisfaire son gigantesque appétit. Les attaques se multiplient tant que le quota alimentaire journalier n’est pas atteint. Le loup sélectionne ses proies. Mais ses critères sont variés et dépendent étroitement du territoire et des espèces (V.VIGNON in ATEN, cahier technique n°69, 2002) : l’accessibilité de la proie : le loup va s’orienter davantage sur des proies "faciles à attraper", c’est-à-dire malade ou faible (jeunesse, vieillesse, blessure...). Cela lui permet d’obtenir un bon rapport quantité d’énergie dépensée à la chasse/ quantité d’énergie retrouvée après consommation de la proie. la taille ou l’âge de la proie : le loup ajuste la taille corporelle de sa proie-cible au nombre d’individus qui chassent ensemble (=taille de la meute). Un loup solitaire chasse des petites proies au maximum équivalentes à son propre poids. Quand des meutes se constituent, on assiste à un changement progressif et sélectif dans la taille des proies. l’abondance / répartition de telle ou telle espèce sur sont territoire de chasse. Il écrête préférentiellement les hautes densités d’ongulés proies (également parce que si ces ongulés sont plus nombreux, la recherche de la proie dure moins longtemps). Les meutes peuvent réorganiser leur territoire en fonction des variations d’abondance de leurs espèces-proies. les opportunités saisonnières : si les espèces-proies mettent bas de manière échelonnée, le loup suit cette succession et se déplace d’espèce-proie en espèce-proie en fonction des naissances. Ainsi, les espèces d’ongulés peut adaptées aux forts enneigements seront prédatées l’hiver car elles sont facilement accessibles (difficultés de déplacement). le comportement de la proie : une proie qui s’affole sans fuir sera prédatée parce que facile à attraper, de même qu’une espèce peu attentive à son environnement (manque de vigilance). Le loup attaque mais le nombre de ses victimes est généralement réduit même sur les ongulés domestiques. Les résultats des déclarations pour indemnisation ont été analysés dans le cadre du premier programme LIFE, sur toute la zone de présence des Loups dans l’arc alpin. Depuis 1992, il apparaît qu’une majorité des attaques (43%) ne fait qu’entre 1 et 2 victimes. Pour 28%, le nombre s’élève à 3 ou 4 victimes. Les attaques faisant plus de 16 victimes sont rares, seulement 3% dans le cadre de cette étude (sc : rapport LIFE-Loup de février 99, L’info-Loup déc.1998 n°5). Les nombres impressionnants (supérieur à 16) de victimes lors d’attaques sur des troupeaux s’expliquent à 99% par des dérochements, suite à l’affolement du troupeau. Mais même sans attaque de loups, ces dérochements peuvent se produire quelque soit le motif du dérangement : chiens non gardés en laisse, orage, etc. Néanmoins, pour être honnête, il existe quand même des cas d’over-killing chez les loups. En effet, dans des conditions naturelles, le loup choisit ses proies en fonction de critères bien précis, de manière à avoir le plus de chances de réussite possible. Sur une harde de chamois, par exemple, il choisira celui présentant les caractéristiques de la proie idéale (animal affaibli, blessé ou âgé, bref dont les moyens de défense et de fuite sont amoindris). Le problème peut se poser (comme à tout autre prédateur) quand le loup a en face de lui quantité de proies potentielles présentant toutes les caractéristiques de la proie idéale. La prédation peut alors dépasser les besoins alimentaires. Ce phénomène appelé « over-killing » est tout de même assez rare comme en témoignent les statistiques. Le loup n’a pas les mêmes besoins alimentaires selon son territoire de chasse. Les innombrables études menées sur les loups (notamment transatlantiques) ont apporté des indications sur la quantité de nourriture nécessaire à un animal pour assurer sa survie. Il ressort que cette quantité moyenne varie en fonction de divers éléments, dont la taille du territoire de la meute, l’abondance des proies, les espèces présentes, la taille de la meute etc. Pour ne détailler que deux... : La taille de la meute. Plus la meute est grande, plus les chances de succès lors des attaques est importante et le partage des tâches équilibré, d’où une moindre dépense d’énergie par individu. Plus la meute est grande, plus la recherche des proies sera efficace (surtout si sur le territoire, elles sont abondantes) et rapide, d’où encore moins d’énergie dépensée etc. Ainsi, une meute de 16 loups consomme en moyenne 5 kg/jour/loup alors qu’une meute de 2 loups consommera 8 kg/jour/loup (Thurber et Perterson, 1993). Or, la taille des meutes françaises est nettement inférieure à celles des loups transalpins ou transatlantiques. Elle n’excède jamais 8 individus (ex. meute du Queyras en 2002), pour une moyenne de 5 (meutes de Vésubie-Roya, Impéria / Bedola, Val Pesio / Roya en 2002) et un minimum de 2 individus (6 meutes sur 11). En Europe, la taille des meutes est surtout liée au contrôle exercé par l’homme et les meutes importantes sont très rares. Leur consommation est donc plus importante qu’elle ne pourrait l’être proportionnellement... La diversité des proies. Plus le territoire de la meute est riche en grands ongulés (mouflons, chamois, cerfs...), plus l’effort à fournir par la meute est grand, lors de l’attaque. Mais la consommation de l’animal -proie compense largement les dépenses énergétiques de la meute. Celle-ci est davantage « rassasiée » que si elle doit reporter sa prédation sur un nombre important de petites proies, peu avantageuses en terme énergétique. Plus les proies sont petites plus la meute devra en consommer, plus elle devra chasser, plus elle consommera de l’énergie etc. Elle ira donc au « plus facile », c’est-à-dire les ongulés domestiques en troupeaux non gardés.

le loup

Publié à 22:44 par fandeloup
le loup

Les loups utilisent tout un éventail de grognements, gémissements et brefs aboiements pour communiquer entre eux au sein de la meute que ce soit pour exprimer la peur, l’anxiété, la domination ou la soumission, la protestaion ou encore pour jouer ou avertir la meute de la présence d’un intrus. Le hurlement est sans doute le moyen de communication vocal le plus connu du loup. Les loups hurlent -entre autres- pour se rassembler et maintenir une cohésion dans le groupe. Ces chants avertissent également les loups aux alentours de la présence de la meute, afin de prévenir contre les intrusions. Tout comme les gémissements, les hurlements sont composés de plusieurs harmoniques ce qui donne l’impression que la meute qui hurle est beaucoup plus nombreuse qu’elle ne l’est réellement. Il arrive parfois qu’un loup solitaire hurle pour se signaler à un conjoint potentiel.

le loup

Publié à 22:31 par fandeloup
le loup

De retour dans les Alpes Françaises, le loup peut redouter plus que jamais la réaction des hommes qui décident comme d'habitude de ce qui doit vivre ou mourir sur cette terre.. (on peut se demander de quel droit et à quel titre ???)... .

Si l'esprit du Grand Chef Seattle pouvait leur venir en aide .... Discours prononcé en 1854 par Seattle (v. 1786-1866), chef des tribus Duwamish et Suquamish, devant le gouverneur Isaac Stevens.

le loup

Publié à 22:00 par fandeloup Tags : chez homme nuit animaux chien animal
le loup

CLASSIFICATION

Règne Animal

Embranchement Chordés

Sous-embranchement Vertébrés (animaux à colonne vertébrale) Classe Mammifères (animaux à sang chaud muni d'un pelage et de glandes mammaires pour l'alimentation des jeunes)

Ordre Carnivores, animaux pourvus de canines permettant de découper des morceaux de viande. Les carnivores sont soit des digitigrades (qui marchent en appuyant sur les doigts par ex. le loup, le lynx) soit des plantigrades (qui marchent sur la plante des pieds, par ex. l'ours).

Famille Canidés (avec 13 genres et 38 espèces)

Genre Canis (chien, 8 espèces)

Espèce lupus (loup)

SIGNALEMENT

Poids 12-80 kg, en fonction de la sous-espèce et de l'individu

Taille Corps 100-150 cm, queue : 31-51 cm, hauteur au garrot : 60-95 cm

Coloration Le plus souvent un mélange de beige et d'anthracite, mais aussi noir, blanc ou fauve. Poils du dos beiges avec la pointe noire, formant une sorte de légère crinière. On ne trouve pas de poils complètement noirs. En revanche, on observe souvent sur les pattes avant une ligne nettement plus sombre. Poitrine beige.

Chromosomes 76, comme le chien

Dentition 42 dents (32 chez le louveteau, dentition définitive à 7 mois)

Régime alimentaire Régime alimentaire Carnivore, mais mange aussi des fruits et des insectes

Répartition Europe, Amérique du Nord, Asie, Proche et Moyen-Orient

REPRODUCTION

Maturité sexuelle2 ans chez les deux sexes
Longévité 5-10 ans, jusqu'à 17 ans en captivité
Saison des amoursDe janvier à mars selon les régions
Gestation 61-63 jours, 5 paires de mamelles
Mise basDe mars à juin selon les régions
Nombre de jeunes3-8 par portée
Poids à la naissance300-500 g

PARTICULARITES


Pression de la morsure150 kg/cm2
Déplacement jusqu'à 60 km par nuit (record prouvé : 190 km !)
Vitesse de pointe45 à 50 km/h
Nage Bon najeur
Odorat Peut détecter un animal à 270 m contre le vent
Angle de vision250° (180° chez l'homme)
Auditionjusqu'à 40 kHz (20 kHz chez l'homme). Peut entendre d'autres loups hurler jusqu'à une distance de 6,4 - 9,6 km
Fréquence des battements cardiaques90 pulsations par minute, jusqu'à 200 lors d'efforts importants
Fréquence respiratoire15-20/minute, jusqu'à 100 lorsque le loup halète

le loup

Publié à 18:18 par fandeloup Tags : amour

le loup

Publié à 17:56 par fandeloup Tags : france
le loup

Espèce menacée en Europe, le loup est protégé par la convention européenne de Berne, signée en 1979. Aujourd'hui encore, de nombreuses dérogations existent, y compris en France

le loup

Publié à 17:46 par fandeloup
le loup

Canis lupus occidentalis Loup de forêt du Canada

le loup

Publié à 17:37 par fandeloup Tags : nature animaux enfant animal
le loup

Le loup gris est bien plus qu’un simple mammifère ou qu’un grand prédateur. En effet il s’agit aujourd’hui d’un véritable animal mythique et légendaire, jouant souvent le rôle du méchant dans les contes pour enfant et les histoires de coin de feu. Pourtant, cette réputation d’animal agressif et vicieux n’est pas du tout justifiée. En effet, les loups ont appris à éviter les hommes ; certainement qu’ils ont acquis une certaine méfiance à leur égard suite aux nombreuses persécutions dont ils ont été victimes. Celles-ci remontent à fort longtemps, puisque déjà aux moyen-âge les loups étaient pourchassés. A cette époque, ont pensait même qu’ils étaient le fruit de la sorcellerie et lorsqu’on arrivait à en capturer quelques-uns uns vivants, on les jugeait avant de les condamner au bûcher. Ainsi, il est devenu rare d’apercevoir un loup gris en pleine nature, et les quelques agressions qui ont lieu envers les hommes sont souvent dues à des animaux malades de la rage. Mais bien que le loup ait disparu de nombreuses régions, notamment dans l’hémisphère Nord, il colonise encore les terres qui s’étendent de la toundra ainsi que des steppes avoisinantes de l’arctique aux montagnes et aux forêts tempérées. Le loup gris a donc la faculté de s’adapté à des environnements très diversifiés, même si ses proies naturelles se font elles aussi de plus en plus rares.