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horrible ils n'ont vraiment aucune humanité ni de coeur je les déteste
Par Anonyme, le 01.08.2023
ça le fait chez moi
Par Anonyme, le 20.06.2023
bonjour
de passage sur votre blog , quoi de plus beau que l'imaginaire cela laisse libre court
a plein d'idé
Par béchard josé, le 12.06.2023
joli loup. joli texte dessous.
Par Anonyme, le 10.06.2023
mes sincère condoléance
Par Anonyme, le 14.05.2023
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Date de création : 24.08.2008
Dernière mise à jour :
04.08.2023
96001 articles
Mais n'oubliez pas de toujours garder vos distances avec les jeunes animaux. Soyez prêt pour beaucoup plus de douceur
3 louveteaux abattus par l'Etat dans les Alpes Maritimes
En France, le loup est officiellement une espèce strictement protégée. Malgré cela, des loups sont toujours régulièrement abattus sur dérogation préfectorale, pour "réguler" une population "grandissante" qui serait à l'origine d'attaques sur les élevages.
: le 9 août 2017, 3 loups ont été abattus à Cipières (Alpes Maritimes) par un agent de la brigade spécialisée de l'ONCFS pour protéger un troupeau ovin le 9 août 2017.
Après 4 mois de relances incessantes sur les circonstances de ces tirs et l'âge des loups abattus, les associations de défense de la faune sauvage et du Loup, regroupées sous la bannière de la fédération Cap Loup ont enfin obtenu une réponse du Préfet.
Ce ne sont pas trois loups qui ont été abattus, mais 3 louveteaux âgés de 3 à 4 mois, une tuerie qui bénéficie d'un accord préfectoral et qui est "totalement" assumée par le préfet qui considère que de "cibler prioritairement les jeunes individus au seins d'une meute (...) permet de prévenir tout effet indirect indésirable lié à une perturbation significative de la structure sociale".
En outre, le Préfet explique que les trois louveteaux se trouvaient au sein d'une meute de 5 loups à seulement 400 m d'un troupeau de brebis déjà attaqué 6 fois, mais pourtant protégé par "le berger et 2 chiens de protection".
Des explications qui ne satisfont pas Cap loup qui s'interroge sur la présence réelle des chiens de protection qui aurait pu éviter le "tir de défense". Pire, c'est l'abattage de louveteaux qui indigne le collectif :
"L'État favorise donc l'abattage de jeunes loups, même si ceux-ci ne sont pas en âge d'attaquer un troupeau domestique, et même si les conditions de tirs ne permettent pas d'identifier précisément l'animal visé (ce qui est pourtant une règle de base pour tout chasseur d'espèce « gibier » !)".
"En fait, les tirs de loups visent évidemment à calmer les éleveurs à court terme, sans recherche d'efficacité pour faire baisser la prédation sur le bétail à long terme ; celle-ci continue sur les troupeaux insuffisamment protégés... ce qui pousse l'État, sous la pression de éleveurs, à augmenter les abattages jusqu'à l'absurde avec ce genre de « carton » sur des louveteaux," accuse Pierre Rigaux, naturaliste.
Au final, Cap Loup continue de proposer des alternatives "pour mettre fin à cette politique de tirs, mais il est regrettable que notre demande d'arrêter les abattages n'ait encore jamais été prise en compte, malgré notre participation depuis plusieurs mois aux réunions de concertation pour l'élaboration du plan loup 2018-2023".
Des dizaines de loups, espèce protégée, sont abattus "légalement" chaque année en France
La France gère la question de l'expansion du loup sur le territoire à coup de fusil Chasse aux oies migratrices après la fermeture : le cadeau de trop de Macron aux chasseurs
Autorisation d'abattre 4 loups en France
Si l'on évoque souvent le loup, animal emblématique, n'oublions pas que d'autres animaux sont massacrés sur le territoire français comme les bouquetins : le 15 septembre 2015, "le Préfet de Haute-Savoie décidait unilatéralement l'abattage de plus de 200 bouquetins dont un nombre conséquents d'animaux sains, pourtant protégés au niveau international," s'indigne la LPO. Au total, 70 bouquetins seront tués illégalement, un scénario qui pourrait bien se reproduire alors que la préfecture de Haute-Savoie a lancé en octobre 2017 une consultation publique relative à un projet d’arrêté autorisant, à nouveau, sur le massif du Bargy, la capture, l’euthanasie et l'abattage d'un certain nombre de bouquetins...
Décidément, la France, qui ne rate pas une occasion de s'enorgueillir sur la scène internationale en matière d'environnement, démontre une nouvelle fois sa gestion irresponsable de sa faune sauvage en voie d'extinction et s'embourbe toujours plus dans le "problème loup".
Les loups gris sont l'une des espèces les mieux adaptées de la planète : hormis les humains, leur répartition était autrefois la plus vaste de tous les mammifères
Le meurtrier du loup a fini par avouer son crime!
Tuer un loup en France, une espèce protégée, peut coûter très cher. Six mois après avoir abattu la pauvre bête, ennemi des bergers, un suspect a fini par avouer son crime.
Ce chasseur qui n'est pas un berger mais un retraité de 65 ans selon une source proche du dossier. Il encourt une peine délictuelle maximale de deux ans de prison et de 150.000 euros d'amende, ainsi que le retrait de son permis de chasser et la confiscation de son arme à titre de peines complémentaires.
Pour leur part, des agriculteurs estiment qu'il ne s'agit pas d'un loup mais d'un hybride, croisement avec un chien errant. Les faits se sont passés dans le département de Haute Savoie il y a plus de six mois.
Dimanche 1er octobre 2017, en pleine saison de chasse, le Service départemental (SD) de Haute-Savoie de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) est avisé de la découverte d'un cadavre de loup sur la commune de Féternes (74).
Les Inspecteurs de l'Environnement se transportent sur place le jour même afin de procéder aux premières constatations. Les enquêteurs de l'ONCFS prennent en charge la dépouille, qui sera autopsiée dès le lendemain matin au laboratoire d'analyse vétérinaire de Chambéry.
L'autopsie révèlera que le loup, un mâle d'une trentaine de kilos, a été abattu par balle. Une enquête de police est diligentée pour destruction d'espèce protégée, sous l'autorité du Procureur de la République de Thonon les Bains. L'enquête est confiée à l'ONCFS et à la brigade territoriale de la Gendarmerie d'Evian les Bains.
Diverses investigations sont alors réalisées, notamment d'ordre balistique,grâce à la réquisition de l'Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie Nationale. Les investigations menées sur les six derniers mois ont permis de cibler un suspect qui a été convoqué pour être entendu au début de ce mois d'avril. Confronté par les enquêteurs spécialisés aux éléments de l'enquête, reconnaîtra les faits au cours de son audition.
L'excellente collaboration et la complémentarité entre les services de police judiciaire de l'ONCFS et de la Gendarmerie Nationale ont permis d'élucider cette affaire, démarrée suite au transport initial sur place du SD 74.