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Par Anonyme, le 25.07.2021
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merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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Vous ressentez plus de tentations que d’habitude ? Normal. Voici la manière d'y résister.
«Le Seigneur dit à l’Adversaire : “Soit ! Tu as pouvoir sur tout ce qu’il possède, mais tu ne porteras pas la main sur lui” » (Job 1, 12).
J’ai tendance à me sentir comme Job pendant le Carême. J’ai l’impression que Dieu laisse le diable agir à sa guise et ma vie spirituelle devient chaotique ! Jésus a connu la tentation dans le désert, et le Carême est une période désertique. Selon le Catéchisme, « l’Église s’unit chaque année par les quarante jours du Carême au mystère de Jésus dans le désert ». Il est donc logique que nous aussi sentions plus de tentations pendant cette période. Voici certaines des attaques que j’ai réussi à identifier et des moyens utiles pour y faire face.
1. La tentation de la distraction
La pureté du cœur, c’est de vouloir une chose. — Søren Kierkegaard
Le Carême peut rapidement se transformer en une période de suractivité ou de non-activité. Le diable veut que nous nous perdions dans les pénitences ou alors que nous soyons vite découragés et renoncions. Mais notre priorité pendant le Carême doit être tournée vers Dieu, non vers nos activités, aussi bien intentionnées soient-elles.
2. La tentation du jugement
C’est la fierté qui change les anges en diables, c’est l’humilité qui change les hommes en anges. — Saint Augustin
Si nous sommes par nature plus disciplinés, plus déterminés que notre entourage, la tentation est grande de passer le Carême à nous auto-congratuler et à dresser des comparaisons flatteuses. Le diable veut précisément que nous pensions que nous sommes meilleurs que les autres. Le meilleur antidote est de choisir une pénitence qui soit impossible à réaliser parfaitement et qui contrecarre notre tendance à la fierté.
3. La tentation de l’amélioration personnelle
Très rapidement, le Carême peut devenir une façon de perdre du poids ou d’abandonner une habitude gênante, et non plus de nous rapprocher de Dieu. Mais ce n’est pas le sens du Carême. Nous sommes d’ordinaire doués pour nous aimer nous-mêmes, et mauvais pour aimer les autres. C’est pourquoi il est important de choisir des pénitences qui nous aident à grandir dans l’amour altruiste.
4. La tentation de la division
D’où vient la division ? Du diable ! La division est l’œuvre du diable! Fuyez les luttes internes !— Le pape François
Le Diable veut que nous regardions les autres chrétiens comme des ennemis au lieu de comprendre que le seul ennemi entre nous est le diable. Pendant le Carême, il peut essayer d’attiser les divisions entre les chrétiens, dans nos maisons, nos paroisses, et même sur Internet. La bonne question à se poser quand on lit un texte est : « M’aide-t-il à aimer davantage les chrétiens ou mène-t-il à la division ? ».
5. La tentation du découragement
Les tentations, les chagrins, les inquiétudes sont des marchandises offertes par l’ennemi. – St. Padre Pio
Le diable sait que quand nous sommes découragés, la grâce de Dieu nous atteint moins. C’est en réalité l’occasion de remercier Dieu de nous avoir sauvés de notre médiocrité et de nos péchés. Celui qui croit véritablement au message de l’Évangile ne peut se perdre dans le découragement.
Si vous avez d’autres idées tirées de votre expérience personnelle, des Écritures ou des Saints, n’hésitez pas à les partager dans les commentaires.
De cette phrase de Jésus et en tenant compte de l’histoire de Naaman le Syrien que nous lisons dans 2R 5,1-15a, plusieurs leçons de vie nous sont données par la Parole de Dieu de ce jour :
1) l’humilité pour accueillir le message de Dieu qui passe aussi à travers les jeunes et les personnes que nous connaissons ;
2) l’humilité par rapport à notre statut social qui parfois nous empêche de réaliser que nous ne sommes pas parfaits et avons besoin d’aide. A ce niveau, Ben Sirac le Sage nous dit : « Plus tu es grand, plus tu dois t’abaisser ». (Cf. Si3,18) ;
3) le désir de voir les autres délivrés de ce qui les accable et leur partager la bonne solution (c’est le cas de la servante de Naaman qui prend compassion de la situation de son maître et parle à son patron du peuple d’Israël, lieu de sa possible délivrance) ;
4) l’humilité pour accepter la démarche de Dieu pour nous sauver, même si elle nous semble absurde ou humiliante et enfin
5) la capacité de montrer à ceux qu’on aime le chemin de la vérité et du bien pour leur vie, comme l’ont fait les serviteurs de Naaman.
En quoi te sens-tu interpellé par rapport à toutes ces attitudes ?
Prière :Merci Seigneur de m’avoir invité à l’humilité afin de bénéficier de tes grâces qui se cachent parfois dans les petits détails.
Action :Ne laisse pas ton orgueil t’empêcher d’écouter les plus petits que toi.
TU ES LA SOURCE DE TOUTE BONTÉ, Ô SEIGNEUR, ET TOUTE MISÉRICORDE VIENT DE TOI ; TU NOUS AS DIT COMMENT GUÉRIR
DU PÉCHÉ PAR LE JEUNE, LA PRIÈRE ET LE PARTAGE ; ÉCOUTE
L’AVEU DE NOTRE FAIBLESSE : NOUS AVONS CONSCIENCE DE NOS FAUTES, PATIEMMENT, RELÈVE-NOUS AVEC AMOUR.
NOUS T’EN PRIONS, SEIGNEUR, AUGMENTE NOTRE FOI. ENLÈVE DE NOS CŒURS TOUTE RANCUNE, TOUTE JALOUSIE, TOUTE PEUR POUR QUE TOUS ENSEMBLE NOUS FORMIONS LA GRANDE CHAINE D’AMOUR ET DE PAIX QUE TU ES VENU SEMER DANS NOS CŒURS…
Un jour, des gens rapportèrent à Jésus l’affaire des Galiléens que Pilate avait fait massacrer, mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient.Jésus leur répondit : « Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, pour avoir subi un tel sort ?Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même.Et ces dix-huit personnes tuées par la chute de la tour de Siloé, pensez-vous qu’elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ?Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. »Jésus disait encore cette parabole : « Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur ce figuier, et n’en trouva pas.Il dit alors à son vigneron : “Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol ?”Mais le vigneron lui répondit : “Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier.Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir. Sinon, tu le couperas.” »
Tout au long de ce temps du carême, nous continuons notre marche vers Pâques. Et nous le faisons à la lumière de la Parole de Dieu.
Dans l’Évangile de ce jour, Jésus nous recommande de vraiment nous engager sur le chemin de la conversion. Pour nous y aider, il part des événements de la vie : l’accident absurde, les catastrophes, les guerres fratricides qui ne provoquent que destruction est mort. À l’époque, on pensait que tous ces malheurs étaient une punition de Dieu. Jésus refuse cette interprétation encore aussi répandue. Nous avons tous entendu cette question : « Qu’est-ce que j’ai fait au Bon Dieu pour souffrir ainsi ? » Le Christ précise que le malheur est un avertissement pour nous tous et non le signe d’une culpabilité particulière.
Dans cet Évangile, Jésus nous adresse un message important : c’est nous qui avons à nous remettre en cause. Les événements de la vie sont le signe que Dieu nous parle pour nous appeler à la conversion. Ce n’est pas le péché qui entraîne la condamnation mais le refus de se convertir : « si vous ne vous convertissez pas, vous périrez comme eux. » Non, ce n’est pas une menace, ce n’est pas Dieu qui va nous faire périr, c’est nous qui allons à notre perte. C’est pour cela que le Christ nous demande de ne pas remettre à demain notre conversion.
La violence de Jésus, c’est celle de son amour miséricordieux. Il ne peut supporter que les hommes courent à leur perte. Il dénonce ce qui est le vrai mal de l’homme. Il nous rappelle à temps et à contretemps qu’il ne peut y avoir de compromission entre Dieu et le péché. Rester dans le péché c’est se condamner à une mort bien plus grave que celle qui est donnée par le glaive des soldats de Pilate. Mais le Christ Jésus est toujours là : il est celui qui a été envoyé par le Père pour guérir et sauver tous les hommes. Supplions-le de nous guider sur le chemin d’ une vraie conversion durant ce carême.
Cet évangile se termine par la parabole du figuier : ce dernier ne porte pas de fruit et son maître envisage de l’arracher. Jésus condamne le fruit pourri mais aussi l’absence de fruits. Mais le vrai vigneron est un passionné qui aime vraiment sa vigne. C’est encore plus vrai pour Jésus : il n’est pas venu pour les justes mais pour les pêcheurs. Tout au long de l’Évangile selon saint Luc, nous pouvons lire les paroles de la miséricorde ; elles nous disent toutes qu’il aime les pêcheurs ; il nous aime tous. Il ne faut pas opposer la miséricorde et l’exigence. Le carême est toujours le temps de la sincérité du cœur, le temps de l’amour vrai, de l’amour pour la vie.
Face à ce mal qui accable notre monde, nous voulons choisir l’amour, nous voulons changer notre cœur, le retourner, le convertir. La Vigne c’est le peuple d’Israël, c’est nous aujourd’hui. Sans l’amour, sans la conversion, nous sommes comme le figuier qui ne porte pas de fruit. Mais quand nous ne portons pas de bons fruits, Jésus ne nous dit pas : « il n’y a rien à faire ! Je t’abandonne ! » Jésus prend patience. Il veut nous aider à porter des fruits nouveaux. Il s’engage à tout faire pour nous y aider. Il fait sans cesse le premier pas vers nous, mais rien n’est possible si nous ne répondons pas à cet amour libérateur.
En ce jour, nous faisons notre la prière du psaume 94 : « Aujourd’hui ne fermons pas notre cœur, mais écoutons la voix du Seigneur. »