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Par Anonyme, le 25.07.2021
j'aime vraiment ce message
Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
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ma lumière et mon salut c'est le seigneur
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c'est mon anniversaire
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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La rancœur ne nous permet pas de profiter de la vie et nous empêche de connaître la paix intérieure. Malgré tout, le pardon est plus difficile à appréhender qu'on ne le croit. Voici des vérités à méditer et des erreurs à éviter quand on envisage de se réconcilier avec quelqu'un.
Vous souhaitez arrêter de vivre prisonnier de la rancœur et du ressentiment ? Pardonnez ! C’est facile, n’est-ce pas ? Ce n’est pourtant pas le cas en réalité. Toutefois, il est plus facile d’essayer de pardonner que de continuer à porter les fardeaux lourds et douloureux que sont la haine et l’antipathie, sous prétexte que ceci ou cela nous a blessé. La vie n’est pas faite pour être vécue de cette manière, car on ne vit pas pleinement, on ne connaît pas la paix intérieure et on peut difficilement être en harmonie avec soi-même et avec les autres. En revanche, lorsque l’on pardonne de tout son cœur, on redevient libre d’aimer pleinement.
C’est la seule manière de retrouver la paix que l’on avait perdue. Le pardon se complique davantage quand on a des doutes sur ce que cette notion recouvre. Nous avons tendance à le rattacher à l’émotivité, mais en réalité il dépend de la volonté. Le pardon, comme l’amour, est un acte de volonté.
Pardonner, c’est annuler la dette morale que quelqu’un a envers nous, pour être libre de toute rancœur et de tout ressentiment. Plus l’offense est grande, plus le besoin de pardonner et d’être pardonné est grand. Le pardon fait partie du « panier spirituel de la ménagère ». Il est nécessaire de pardonner car dans le cas contraire, la souffrance est double. En effet, nous souffrons à la fois de l’offense subie et du venin qui accompagne la rancœur, car il rend notre âme malade. Nous devons avoir certaines conceptions bien claires pour pouvoir réellement accorder et vivre le pardon. Le pardon n’est pas un sentiment : c’est un acte de volonté qu’il est bon d’accomplir.
Le premier pas vers un véritable pardon est d’avoir l’humilité de reconnaître que l’on a aussi offensé et que l’on a « besoin » d’être pardonné.
Si je pardonne, alors je ne ressens plus rien : faux. Il est très probable que même après avoir pardonné, vous ressentiez encore quelque chose. Cela fait partie du processus de guérison. Vous souvenir de l’incident et du sentiment ressenti ne veut pas dire que vous avez pardonné. On peut facilement tomber dans l’erreur de croire que si l’on ne pardonne pas, on continue à blesser l’autre. Il s’agit en réalité de rancœur, et cette rancœur est comme un venin que l’on boit dans le but de faire souffrir l’autre.
– Celui qui m’a fait souffrir ne mérite pas que je lui pardonne : c’est possible. Toutefois, vous méritez de vivre libre et en paix.
– Je ne pardonne pas parce que je n’y arrive pas : faux. Si vous ne pardonnez pas, c’est parce que vous ne voulez pas pardonner. Le pardon est un acte de volonté.
– Je pardonne mais je n’oublie pas. Cette phrase paraît extrêmement pertinente car, à moins de souffrir d’amnésie, les choses s’oublient difficilement. De plus, il est souvent utile de se souvenir de tout pour rester vigilant. Toutefois, si en disant « je n’oublie pas », vous attendez de pouvoir prendre votre revanche ou de voir souffrir votre agresseur, alors c’est très différent. C’est pourquoi pardonner n’est pas pareil qu’oublier. Le mieux est de se souvenir sans que cela ne nous fasse plus souffrir.
– Le pardon implique de se réconcilier et de se revoir : faux. Il est même parfois sain et bénéfique de laisser passer du temps et de mettre de la distance.
– Je suis obligé de l’avertir quand je lui ai pardonné : faux. Le pardon est un acte personnel qui s’active dès que l’on ressent le souhait et la volonté de pardonner, et on n’est pas obligé d’en avertir l’agresseur.
– Est-il facile de pardonner : absolument pas. Simplement parce que notre condition humaine, faible et limitée, nous rend la tâche difficile.
– Est-ce que l’orgueil et l’imagination compliquent notre capacité à pardonner : absolument. C’est pourquoi il convient de considérer l’offense dans sa dimension réelle, afin de se rendre compte qu’elle n’est peut-être pas si grave.
– Il est impossible de pardonner tant que l’on ne reçoit pas d’excuses : faux. Le pardon est un choix et on choisit de pardonner, même si l’agresseur n’a pas daigné s’excuser.
– Je ne peux pas pardonner une seconde fois : faux. Le pardon est un acte renouvelable et il est toujours possible de pardonner. En revanche, vous pouvez ne plus laisser les occasions d’agression se présenter.
– Quand je pardonne, j’enlève à mon ennemi le pouvoir qu’il a sur moi : vrai. C’est la raison pour laquelle le pardon n’est pas un acte héroïque mais pratique.
– Si je pardonne, je dois redevenir ami avec la personne : pas nécessairement.
– Je me sentirai en paix dès que j’aurai pardonné : pas toujours. Lorsque vous choisissez de renoncer à votre « ego blessé », cela ne veut pas dire que le problème disparaîtra, ni qu’il se règlera automatiquement, ni que vous vous sentirez en paix avec vous-même.
Pardonner, c’est choisir de faire partir toute pensée de revanche, de rancœur et d’apitoiement. Cela ne veut pas dire pour autant que l’on arrivera à pardonner sur-le-champ. Il s’agit d’un processus qui se travaille chaque jour.
Pardonner, c’est souhaiter à l’autre de bonnes choses : pas nécessairement. Il serait en effet hypocrite de dire que nous ne souhaitons que du bien à la personne qui nous a fait souffrir. C’est pratique de commencer à pardonner, mais c’est héroïque de souhaiter à cette personne que Dieu la comble de ses bénédictions. Cela est toutefois possible avec le temps et l’aide du Seigneur.
Enfin, à l’interrogation « J’ai le droit de refuser délibérément de pardonner ? » : il n’est pas conseillé de penser ainsi. Vous croyez-vous meilleur que la personne qui vous a blessé ?
A Lourdes, en 1968, un monsieur âgé regarde les pèlerins prier bras en croix. Il est renfrogné, le regard sévère. Tout à coup, il voit près de lui une jeune fille, les larmes aux yeux, parmi ces gens, elle aussi les bras en croix
Un prédicateur récite à haute voix le Pater :
– Pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés.
L’homme réplique : « Ah ! non… Ah ! non alors … jamais ! » Puis, il s’en va de la Grotte, révolté. Sur le chemin du retour, un prêtre le rencontre et l’aborde :
– Qu’avez-vous, Monsieur ? Vous semblez fatigué !
– Laissez-moi, réplique-t-il…
– Mais mon cher ami, entre frères, on peut bien se rendre des services…
– Des services ? Des services ? Vous ne pouvez rien pour moi. Vous pensez ! je sors de prison : quinze années de ma vie pour un crime que je n’avais pas commis ; j’ai été dénoncé par un de mes meilleurs amis. Ma femme venait me voir quand elle le pouvait et elle m’avait promis de m’emmener avec elle à Lourdes, à ma sortie. Ma femme est morte, mais je suis venu pour voir. Mais je vous assure qu’ayant entendu tout à l’heure cette phrase, comment voulez-vous que je pardonne à mon ami qui m’a fait tant de mal ?
Le prêtre, bouleversé par cette confession, réfléchit un instant et lui répond :
– Vous savez, nous sommes tous pécheurs, et si vous voulez avoir la paix dans votre âme, comment voulez-vous que Dieu nous pardonne, si nous ne nous pardonnons pas nous-même. Alors il faut mettre votre conscience en paix…
Et tout en marchant le long du Gave, l’homme, après avoir longuement gardé le silence, confessait ses péchés…
Après l’absolution, le prêtre lui donne une cordiale poignée de main et lui dit :
– Tout cela est fini maintenant, n’en parlons plus ! … Êtes-vous content ?
– Oui, répondit-il, parce que maintenant, je sais que j’ai pardonné.
Le jour de son départ, il se rend aux fontaines pour prendre de l’eau aux robinets. La petite jeune fille qu’il avait vue le soir de son arrivée est là. Elle l’aborde :
– Monsieur, vous n’avez pas de gobelet, je peux vous passer le mien. Et elle détache l’objet de sa ceinture. Puis elle continue :
– Je vous ai aperçu, l’autre jour, à la Grotte. Vous sembliez si troublé…
– Mademoiselle, répond-il, c’est fini, car maintenant, j’ai la paix dans mon âme…Et la jeune fille réplique :
– Eh, voyez-vous, moi aussi, car mon père est malade d’un cancer, et avant de mourir, il voulait obtenir le pardon d’un ami qu’il avait fait condamner à tort à quinze ans de prison…
La jeune fille avait cins ans à l’époque des faits, elle a donc ving ans au moment de notre histoire.
» Ah … C’est toi, ma petite Thérèse ! s’écrit l’homme. Je te reconnais maintenant ! …
– Vous !!!? balbutie la jeune fille.
– Oui, moi, continue l’homme. » Et bien, maintenant, tous les deux, nous allons porter mon pardon à ton père ». Cette histoire véridique prouve que la Sainte Vierge n’abandonne jamais ses enfants quand on la prie avec ferveur, et qu’elle est la médiatrice de la grâce du Seigneur.
Hospitalité du Mans – journal de la Grotte, avril 1972
Source : Gloria TV
Ces trois modestes objets religieux — ou sacramentaux — recèlent une force étonnante et sont susceptibles de protéger efficacement le foyer avec la foi bien-sûr, ce n'est pas de la magie.
L’utilisation d’objets bénits est l’une des pratiques propres à l’Église catholique les plus controversées et les plus sujettes à la moquerie. Ces gestes, aussi anciens que l’Église, sont souvent considérés comme d’archaïques superstitions.
Et les fidèles sont bien souvent responsables de cette réputation, pour avoir effectivement souvent recours à ces objets de manière superstitieuse, faute d’avoir été correctement formés pour saisir le sens profond de cette démarche.
C’est la raison pour laquelle ces objets sont trop souvent utilisés comme des instruments magiques, plutôt que comme des vecteurs de la Grâce. Un phénomène d’autant plus regrettable qu’ils sont censés enrichir la vie spirituelle, et non l’atrophier.
Les objets bénits ont en effet été institués par l’Église pour nourrir en chacun une relation toujours plus intime avec le Christ et pour sanctifier toutes les dimensions de l’existence. Ce sont les extensions des sept sacrements et ils apportent la grâce de Dieu en toute action.
Ces objets sont particulièrement utiles dans l’enceinte du foyer. Utilisés avec foi, ils peuvent aider à repousser le mal ou aider chacun à vivre une vie toujours plus proche de Dieu. Voici les trois plus connus d’entre eux qui, utilisés à bon escient, seront de véritable catalyseurs spirituels, indispensables pour tenir à l’écart le mal qui rôde.
L’eau bénite véhicule un double symbole. La rappel du baptême d’une part, et la purification spirituelle d’autre part. Elle est réputée très puissante pour écarter le diable qui ne supporte pas sa pureté, lui qui est impur pour l’éternité. Cette eau peut aussi évoquer l’eau qui s’est écoulée du côté du Christ crucifié, rappelant ainsi la défaite définitive subie par Satan ce jour-là.
Il est donc de coutume d’accrocher un petit bénitier au mur de la maison. Il peut s’agir de pièces élaborées ou de simples coupes remplie d’une eau bénite destinée à un usage quotidien. C’est souvent dans l’entrée des maisons ou des appartements que l’on dispose le bénitier, mais il est aussi indiqué d’en placer dans les chambres des membres de la famille. L’idée est d’aider chacun à ne jamais oublier Dieu au quotidien. Et en cas d’urgence, elle peut s’avérer particulièrement précieuse pour repousser une tentation ou un mal soudain !
Dans la mesure du possible, il est toujours bon d’avoir à portée de main un petit récipient contenant du sel bénit. Le plus simple pour s’en procurer est de s’adresser directement au curé de sa paroisse, même s’il n’est pas impossible que celui-ci soit surpris par cette demande peu commune. Trop souvent négligé, son existence est parfois méconnue des fidèles. Pourtant, il s’agit d’un instrument efficace pour faire face au mal, comme en témoigne cette prière utilisée dans les exorcismes.
« Dieu Éternel et Tout-Puissant, nous implorons humblement Ton immense Bonté pour que, dans Ta Tendresse, Tu daignes Bénir et Sanctifier cette créature du Sel que tu as mis à l’usage du genre humain, afin qu’elle soit pour tous ceux qui la prendront le Salut de l’Âme et du corps ; et que tout ce qui a été aspergé ou touché par elle soit libéré de toute impureté et de toute attaque de l’Esprit mauvais, par Jésus Christ, Notre Seigneur qui vit et Règne pour les siècles des siècles. Amen ».
Le troisième objet bénit à posséder à la maison est pour le coup beaucoup plus répandu. En l’occurrence, le crucifix. Non seulement parce qu’il rappelle l’immense amour que Dieu a éprouvé pour les hommes, mais aussi parce qu’il se révèle très efficace pour lutter contre le mal. Le crucifix est un véritable fléau pour Satan car il représente tout ce qu’il exècre. C’est pourquoi il est précieux d’en fixer un dans chaque pièce de son logement pour méditer régulièrement sur le grand sacrifice d’amour consenti par Dieu pour les hommes, et pour conserver en permanence à l’esprit ce sur quoi il faut se focaliser au moment de la tentation.
La prière de bénédiction de la croix résume parfaitement les raisons d’en posséder une :
« Ô Saint Seigneur, Père tout puissant, Dieu éternel, fais-nous l’honneur de bénir cette croix pour qu’elle devienne une aide au salut des Hommes. Fais-en un support de foi, un encouragement aux bonnes actions, une rédemption pour les âmes, fais-en une consolation, une protection et un bouclier contre les attaques cruelles des ennemis, par Jésus Christ notre Seigneur ».
Le 9 juin dernier, le pape François a imploré les chrétiens de ne pas tomber dans le piège du désespoir dans les moments difficiles. Lors de l’homélie de la messe matinale célébrée quotidiennement dans sa résidence, la maison Sainte-Marthe, le Pape a préconisé de garder foi en Dieu, d’être patient et de prier afin de surmonter la douleur.
Le pape François a imploré les chrétiens d’éviter le piège du désespoir dans les moments difficiles, et celui de la facilité dans les moments de bonheur. « Restez humbles et laissez la “joie de Dieu” pénétrer votre cœur. Remerciez Dieu pour le Salut qu’il vous accorde. »
Pour nourrir son propos, le Pape a évoqué le livre de Tobie, qui raconte l’histoire de deux infortunés. Tobeit est un juif pieux, déporté à Nivine lors de l’exil des Hébreux à Jérusalem. Des pigeons lui ayant souillé les yeux de leurs fientes alors qu’il se reposait, il devient progressivement aveugle et se voit réduit à la misère. Il charge alors son fils Tobie de se rendre à sa place récupérer une somme d’argent laissée en dépôt chez un parent lointain. Tobie part alors pour un long voyage, au cours duquel il rencontre Sarra, sa future épouse. Il la délivre d’un démon qui faisait périr ses fiancés au fur et à mesure que ces derniers lui déclaraient leur amour.
Le Pape a fait allusion à cette histoire pour illustrer la façon dont le Seigneur influence la vie de chaque individu, y compris la nôtre. La vie de Tobiet et Sarra fut jonchée de bons et de mauvais moments. Tobiet fut persécuté, raillé, insulté par sa femme. Sarra, a ajouté le Pape, n’était pas de mauvaise nature mais elle devait assumer au quotidien les difficultés liées à la mort de ses époux. Elle aussi a beaucoup souffert. Dans leurs plus grands moments de détresse, Sarra et Tobiet ont souvent pensé à mettre fin à cette vie.
« Nous avons tous traversé des épreuves au cours de nos vies. Leurs moments de désespoir sont donc compréhensibles. Mais Sarra a ensuite imaginé la souffrance que causerait sa mort à ses parents, et cette pensée lui fut insupportable. Elle s’est donc tournée vers la prière. C’est cette prière qui nous sauve dans les moments difficiles, ainsi que la patience. Sarra et Tobiet ont tous les deux patiemment attendu que Dieu leur vienne en aide… Ils n’ont jamais perdu espoir en Dieu. Priez, soyez patients et espérez. C’est essentiel. »
Leur histoire est également faite de moments de bonheur, et le Pape a insisté sur le fait que l’histoire se termine bien. Tobiet est finalement guéri de sa cécité et Sarra délivrée de son démon grâce à l’intervention de l’ange Raphaël.
« La souffrance qui leur a été infligée était un test. En voyant l’humilité avec laquelle le couple surmontait ces difficultés, le Seigneur a décidé de les sauver… Il leur a accordé de vrais moments de bonheur durant lesquels Sarra et Tobiet n’ont pas oublié de Le remercier par leurs prières. »
Le souverain pontife a poussé ses fidèles à se demander si, dans dans les différentes phases de leurs vies, ils étaient conscients de ce qui se passait dans leurs âmes. Savez-vous que les mauvais moments sont des épreuves qu’il vous faut surmonter courageusement en priant pour garder patience et espoir ?
Le Seigneur est toujours près de nous. Nous pouvons nous tourner vers lui à tout moment pour prier et Le remercier de la joie qu’il nous donne. Après réflexion, Sarra et Tobiet ont compris que le suicide n’était pas le chemin à prendre. Ils ont réalisé qu’il leur fallait « prier et attendre patiemment le Salut de Dieu ». Le pape François a invité tous ses fidèles à relire ces quelques passages de la Bible.
« En lisant la Bible ce week-end, prions pour que Dieu nous accorde la grâce de pouvoir discerner ce qui se passe dans nos âmes aussi bien dans les bons que dans les mauvais moments de notre existence. Prions pour pouvoir surmonter les épreuves de la vie, et éviter le piège de la vanité dans les moments d’allégresse. »
Alors que l’on célèbre ce dimanche 18 juin 2017 la Fête Dieu, "solennité du Corps et du Sang du Christ", appelée aussi parfois "Corpus Christi" ou "Corpus Domini", retour sur ce Saint Sacrement en cinq questions toutes simples, que chacun se pose.
Ce que l’on sait tous, de l’Eucharistie (du grec eukharistía qui signifie « action de grâce »), c’est qu’elle est un sacrement, qui contient réellement le corps, le sang, l’âme et la divinité de Jésus sous les apparences du pain et du vin. Elle a été instituée au soir du Jeudi saint, à la veille de la mort du Christ.
On compte principalement trois 3 raisons pour lesquelles Dieu nous a offert le miracle quotidien de l’Eucharistie : pour continuer à s’offrir en sacrifice à Dieu son Père, pour qu’elle soit la nourriture de notre âme et enfin, pour en faire le mémorial perpétuel de sa passion et de sa mort, une preuve de son amour et de sa volonté d’être toujours auprès de nous. Pour mieux saisir la grandeur et la beauté de ce sacrement que Dieu nous a donné, rappelons-nous qu’une croyance populaire dit que même les anges nous l’envient !
Bien sûr ! Et chaque jour même si nous le pouvons et le voulons, pourvu qu’on le fasse avec les dispositions requises. Celles-ci sont très simples : il faut être en état de grâce (c’est-à-dire avoir la conscience pure de tout péché mortel), être à jeun d’au moins une heure avant la communion (sauf pour les malades, les personnes âgées et les femmes enceintes) et enfin savoir ce que l’on s’apprête à faire et le faire avec dévotion.
Le jeûne eucharistique n’est qu’un devoir de respect et d’amour. Le corps s’apprêtant à recevoir en lui le Christ se doit d’être pur de tout autre aliment. « Le petit désagrément de ne rien manger nous rappelle que la réception de la sainte communion est de grande importance », rappelait le père Gérald Murray, en 2015, dans le journal Famille chrétienne.
L’Église est très claire à ce propos dans le concile de Trente : si l’Eucharistie fait de nous des tabernacles du corps du Christ, nous le restons aussi longtemps que nous ne commettons pas de péché mortel. La présence réelle ne demeure en revanche que tant que les espèces sacramentelles ne sont pas consommées, c’est-à-dire avalées. Techniquement, puisque l’hostie conserve les apparences du pain, c’est notre corps qui l’assimile comme une nourriture. Pourtant, par le miracle de la transsubstantiation (1), c’est elle qui nous assimile en Jésus.
L’hostie est en fait du pain sans levain. Sa forme n’a, semble-t-il, rien de dogmatique. Avant que les religieuses (que l’on appelle joliment les « boulangères du Bon Dieu ») ne confectionnent les hosties, c’était, au Moyen Âge, le travail des oubloyeurs, les fabricants d’oublies. Les oublies étaient de petits biscuits ronds comme les hosties. Voilà sans doute d’où leur vient cette forme régulière.
« Frères, la coupe de bénédiction que nous bénissons, n’est-elle pas communion au sang du Christ ? Le pain que nous rompons, n’est-il pas communion au corps du Christ ? Puisqu’il y a un seul pain, la multitude que nous sommes est un seul corps, car nous avons tous part à un seul pain. » (1 Co 10, 16-17).
(1) Transsubstantiation : miraculeux changement qui s’opère sur l’autel durant la messe, au cours duquel le pain et le vin abandonnent leur substance pour prendre celle du corps et du sang du Christ, en ne gardant que l’apparence du pain et du vin.
Le trésor des papes vient aussi de leurs expériences personnelles, de leur sagesse du quotidien. Le pape Jean XXIII appliquait ces dix règles pour rendre ses journées meilleures.
1 – Rien qu’aujourd’hui, j’essaierai de vivre ma journée sans chercher à résoudre le problème de toute ma vie.
2 – Rien qu’aujourd’hui, je prendrai le plus grand soin de me comporter et d’agir de manière courtoise ; je ne critiquerai personne et je ne prétendrai corriger ou régenter qui que ce soit, excepté moi-même.
3 – Aujourd’hui je serai heureux, rien qu’aujourd’hui, sur la certitude d’avoir été créé pour le bonheur, non seulement dans l’autre monde, mais également dans celui-ci.
4 – Rien qu’aujourd’hui, je consacrerai dix minutes à une bonne lecture en me rappelant que, comme la nourriture est nécessaire à la vie du corps, de même la bonne lecture est nécessaire à la vie de l’âme.
5 – Rien qu’aujourd’hui, je ferai une bonne action et je n’en parlerai à personne.
6 – Rien qu’aujourd’hui, j’accomplirai au moins une chose que je n’ai pas du tout envie de faire, et si on m’offense, je ne le manifesterai pas.
7 – Rien qu’aujourd’hui, je me plierai aux circonstances, sans prétendre que celles-ci cèdent à tous mes désirs.
8 – Rien qu’aujourd’hui, j’établirai un programme détaillé de ma journée. Je ne m’en acquitterai peut-être pas entièrement, mais je le rédigerai. Et je me garderai de deux calamités : la hâte et l’indécision.
9 – Rien qu’aujourd’hui, je croirai fermement – même si les circonstances attestent le contraire – que la Providence de Dieu s’occupe de moi comme si rien d’autre n’existait au monde.
10 – Rien qu’aujourd’hui, je n’aurai aucune crainte. Et tout particulièrement, je n’aurai pas peur d’apprécier ce qui est beau et de croire à la bonté.
Je suis en mesure de faire le bien pendant douze heures, ce qui ne saurait me décourager, comme si je me croyais obligé de le faire toute ma vie durant.
Par l’intercession de la Sainte Vierge, l’homme peut jouer pleinement son rôle extraordinaire de co-créateur.
Mystère Joyeux! L’Ange de la Force de Dieu salue Marie comme il salue notre âme à tous.
À chacun est posé la question de l’enfantement de Dieu en nous. À chaque instant, l’Ange nous interpelle et constate que le Seigneur est avec nous, nous aime qui que nous soyons, quoique nous ayons fait. Rien que cela, serait déjà une inconcevable et scandaleuse bénédiction mais cela ne s’arrête pas là. Dieu béni aussi le fruit de nos entrailles, nos productions, nos créations. La plus extraordinaire chose au monde, c’est que l’Homme participe à la création divine. Le plus grand blasphème et cause de malheur est d’empêcher la force de création individuelle de s’actualiser.
Mystère Joyeux ! Si nous répondons « oui » à l’invite de Dieu, il va faire grandir ce que nous possédons en germe, il va lui-même grandir en nous, se faire intime au plus intime de notre être, faire jaillir notre vraie personnalité qui se cache sous les masques et les blessures que la vie dans le monde nous impose. Car notre vrai moi est comme une graine profondément enfouie en nous-même. En acceptant, comme Marie, le Christ dans notre vie, nous lui permettons d’agir et de développer un mode d’existence qui ne se limite plus à notre monde temporel mais qui s’inscrit déjà dans l’Éternité.
Mystère Joyeux ! L’ange s’est incliné devant Notre Dame, protectrice de toute âme terrestre. Celle qui deviendrait la Reine des Cieux a accepté le rôle que le Seigneur lui avait assigné. Elle aurait pu refuser, mais avec courage, elle a accepté. Avec humilité aussi. Non de cet effacement pudibond qu’on voudrait parfois faire passer pour de l’humilité, car si elle avait été habitée d’un tel sentiment, elle se serait sentie trop petite pour la tâche et aurait refusé. Non, l’humilité de Marie était cette ouverture totale du cœur qui se rend tout entier à la Grâce de Dieu et se tient prêt, dans la plus sereine confiance, pour la mission divine. En tant que chrétien, il nous appartient de prendre exemple sur notre protectrice et d’être à l’écoute, d’entendre l’appel qui nous est adressé personnellement et d’y répondre avec une disponibilité totale.
Mystère Joyeux ! La vraie vocation de l’Homme, la mission d’existence commune à l’humanité est donc profondément mariale. Ne pas la suivre, c’est-à-dire refuser l’amour de Dieu, s’est manquer le coche car dans cette acceptation libre de communion se trouve la véritable et première vocation de l’Homme. Elle a pour nom la sainteté et nous y sommes tous appelé, quelques soient nos croyances, nos non croyances, notre métier ou notre classe sociale.
Mystère Joyeux ! Un pied dans l’Éternité, la peur de la mort s’évanouit comme brouillard chassé par le vent. L’arbre de Vie que l’on laisse croître en soi porté par la sève de l’Esprit, étouffe peu à peu les germes des passions viles : jalousie, haine, ignorance, arrogance, repli sur soi, rejet de l’autre…
Mystère Joyeux ! Nous savons que le mal qui accable l’humanité n’est pas dû à une nature mauvaise de l’Homme mais à un dysfonctionnement dû au péché mais nous savons aussi qu’à chaque instant, Dieu nous donne l’opportunité d’effacer l’héritage mortel. En acceptant l’amour de Dieu, nous repassons peu à peu de l’image à la ressemblance de Dieu et devenons réellement libres de nous recréer pour la gloire de Dieu et pour notre bonheur : « Tous les êtres soumis au devenir ne demeurent jamais identiques à eux-mêmes. Ils passent sans cesse d’un état à l’autre et naissent continuellement (…). Mais ici, la naissance ne vient pas d’une intervention étrangère : elle est le résultat d’un choix libre, et nous sommes ainsi en un sens nos propres parents, nous créant nous-mêmes tels que nous voulons être, et nous façonnant par notre volonté selon le mobile que nous choisissons. » (Saint Grégoire de Nysse, Vie de Moïse, PG 44, 328b)
Source: aleteia
Découvrez la belle histoire d'un petit garçon demandant à Jésus un miracle pour guérir sa mère malade.
Un jour, un petit garçon de cinq ans entre dans une pharmacie en courant et dit au pharmacien : « Monsieur, voici tout ce que j’ai comme argent. S’il vous plait donnez-moi un miracle ! ».
Le pharmacien étonné lui demande quel miracle il souhaite et pourquoi. Il lui répond : « Le médecin nous a dit que ma mère avait besoin d’un miracle pour guérir. Voici tout l’argent que j’ai économisé pour m’acheter une bicyclette mais j’aime ma maman et je veux qu’elle guérisse. S’il vous plait monsieur aidez-moi ! Est-ce que l’argent est suffisant ? ».
Le pharmacien, très touché, lui répond qu’il n’a pas le médicament « miracle » pour soigner sa maman et que s’il l’avait eu, il lui aurait offert gratuitement. Il ajoute que seul Jésus a ce médicament spécial et l’invite à se rendre à l’église pour l’obtenir.
Le petit garçon se met alors à courir pour se rendre à l’église. Il se place devant le crucifix près de l’autel et dit : « Je sais que tu es crucifié, que tu souffres et que tu n’as pas beaucoup de temps pour moi mais le pharmacien m’a dit que le miracle de ma maman se trouvait chez toi. J’aime ma maman et voici tout l’argent que j’ai économisé pour avoir une bicyclette. Je te les donne et je te promets que je viendrai t’aider à descendre de la croix, mais s’il te plait aide-moi ! ».
Malheureusement, Jésus ne lui répond pas et le petit garçon se met alors à crier : « Si tu ne veux pas m’aider, je vais aller me plaindre auprès de ta maman la Vierge Marie ! Si toi aussi, tu aimes ta maman comme j’aime la mienne, aide-moi et donne-moi le médicament. Je te promets de revenir le plus tôt possible pour t’aider. »
Le prêtre, qui entend les cris du petit garçon, s’approche de lui et l’invite à parler à voix basse à Jésus. Il lui explique que le Christ l’écoute même si il ne lui répond pas directement.
Le prêtre, ému par ce petit garçon, décide alors de le suivre jusqu’à chez lui. Tout le long du chemin vers la maison, le garçon explique au prêtre à quel point il aime sa mère, qu’elle est tout pour lui et que seul Jésus possède le miracle qui pourra la sauver, comme lui a expliqué le pharmacien.
Une fois arrivé à la maison, le petit trouve le lit de sa mère vide. Il crie son nom et là voilà qui sort soudain de la cuisine et lui dit : « Le médecin qui est venu me voir m’a guérie et te salut. Il te dit que lui aussi il aime beaucoup sa maman. Comment connais-tu ce médecin ? ».
Alors le prêtre se tourne vers le petit garçon et lui dit : « Tu vois, il a fait ce que tu lui as demandé et il est même arrivé avant nous. »
Source: Aleteia