Pepites d'amour
Trop beau !! Envie de partager avec vous !!!
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*_"Un jour, un homme décida de voyager par navire avec ses amis. Arrivés au milieu de leur voyage, le bateau commença à couler. Tout le monde tenta de se sauver à la nage mais en vain, tous se noyèrent sauf cet homme qui réussit à s'accrocher à un objet flottant. Avec l'effet des vents violents, cette chose l'amena très loin, jusqu'à une petite île où il n'y avait ni hommes ni animaux, juste quelques insectes. A la sueur de son front, il réussit à construire une petite case entièrement en paille. Il y demeura plusieurs jours en se nourrissant de fruits et commença à s'habituer à sa nouvelle vie de souffrance, même si on ne s'habitue pas à la souffrance._*
*_Il avait déjà perdu tout espoir de revoir un jour sa famille. Chaque soir, il allumait un feu devant sa maison pour se chauffer. Un certain soir, comme à l'accoutumée, il alluma le feu. Il resta là pendant un long moment jusqu'à s'assoupir. Tard dans la nuit, il fut reveillé par une chaleur accablante: c'était sa case en paille qui avait pris feu. Il pleura, maudit Dieu en criant: Oh Dieu,que t'ai-je fait de mal pour que tu me fasses souffrir ainsi? Tu m'as séparé de ma famille pour m'amener sur cette île déserte, ensuite tu as fait périr tous mes amis et maintenant tu laisses ma case brûler. Pourquoi es-tu si méchant? Mieux vaut mourir parce que je suis fatigué de vivre dans cette souffrance!_*
*_Mais à l'aube, il vit un petit bateau qui venait vers lui. Lorsque le bateau accosta, il courut droit vers le capitaine et lui dit avec étonnement: Monsieur le capitaine, comment êtes-vous arrivé ici? Aucun bateau ne peut arriver à cet endroit sauf s'il s'est perdu''. Le capitaine lui répondit alors: Dans la nuit nous avons vu un feu et nous avons cru que c'était un bateau qui brûlait. Si nous ne sommes pas arrivés immédiatement, c'est parce que le voyage a été long. Remercie ton Dieu car Il a utilisé le feu pour que nous te trouvions. L'homme pleura, tomba à genoux et demanda pardon à Dieu. Il monta dans le bateau et rentra chez lui."_*
*LEÇON: Dieu a plusieurs façons de résoudre nos problèmes. Tu peux perdre un emploi et penser que Dieu t'a laissé tomber alors qu'Il veut te donner un emploi meilleur. Tes amis peuvent te quitter, ne crois pas que l'Éternel t'a rejeté, Il veut plutôt t'eloigner des mauvaises compagnies.Tu peux perdre la femme ou l'homme que tu as tant aimé et croire que l'Éternel t'a abandonné alors qu'Il veut plutôt te donner la femme ou l'homme de ta vie. Ne maudis pas ton Dieu même si tu souffres, garde la foi et l'espoir, Il va agir.*
Dans la sagesse populaire, on dit aussi "IL NE FAUT JAMAIS BLÂMER UNE CONTRARIÉTÉ
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Cette petite histoire partagée par un curé angevin nous permettra peut-être de se recentrer sur l'essentiel.
Qui n’a jamais pesté sur la chorale qui chante faux, le prêtre qui parle trop longtemps ou le voisin qui ose sortir son portable ? La tentation est grande pour certains de se fâcher et de quitter l’église définitivement. C’est le père Matthieu Lefrançois, curé de la paroisse Saint-Antoine Saint-Serge à Angers, qui a trouvé un texte qui nous invite à regarder le Christ sur la page Facebook « Église Catholique de Guinée » et qui l’a adapté.
« Un jeune homme va trouver un prêtre et lui dit :
– Mon père je n’irai plus à l’église !
Le prêtre lui demande :
– Ah ? Tu peux me dire pourquoi ?
Le jeune homme répond : –
Oh, mon Dieu. Ici Je vois une sœur qui parle mal d’une autre sœur ; et là un frère qui ne lit pas bien ; la chorale est divisée et chante faux ; les gens pendant les messes regardent leur téléphone, sans parler de leur comportement égoïste et hautain en dehors de l’église…
Le prêtre lui dit :
– Tu as raison. Mais avant de quitter définitivement l’Eglise j’aimerais que tu me fasses une faveur : prends un verre plein d’eau et fais trois tours de l’église sans verser une goutte d’eau sur le sol. Après ça, tu pourras quitter l’église.
Le jeune homme se dit : trop facile !
Et il fait les trois tours comme le prêtre le lui a demandé. Quand il a fini, il revient dire :
– C’est fait mon père.
Et le prêtre lui demande :
– Quand tu étais en train de tourner avec ton verre d’eau, as tu remarqué qu’une soeur parlait mal de quelqu’un d’autre ?
Le jeune :
– Non.
As-tu vu les gens être indifférents aux autres visiteurs de l’église ?
Le jeune :
– Non.
As-tu vu que certains étaient bloqués sur leurs smartphones ?
Le jeune :
– Non.
– Tu sais pourquoi : tu étais concentré sur le verre pour ne pas renverser l’eau. Tu sais… c’est pareil dans notre vie. Quand notre cœur se focalise sur Jésus-Christ, nous n’avons pas le temps de voir les erreurs des gens. Qui sort de l’église à cause des chrétiens hypocrites n’y est sans doute jamais vraiment entré à cause de Jésus ».
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Voici comment Marie peut nous aider à atteindre nos objectifs en 2018
Si la Vierge Marie a été capable de s'attaquer à d'incroyables défis toute sa vie, nous le pouvons aussi...
Avez-vous des objectifs spirituels pour la nouvelle année ? Si oui, l’exemple de Marie peut vous aider. En effet, quand on lit son histoire et la façon dont l’ange Gabriel lui est apparu, force est de reconnaître que ses objectifs à elle ont dû changer très rapidement… Suite à cette rencontre, elle est passée de la vie d’une jeune mariée tout à fait normale, à celle d’une femme devant affronter un défi spirituel pour le moins intimidant… En se consacrant pleinement à ce challenge, elle a pu démontrer des qualités qui peuvent nous aider à évaluer nos propres aspirations pour 2018…
L’humilité
Quand Marie a dit oui à cette grossesse miraculeuse avant le mariage, elle devait savoir que bien des gens ne la croiraient pas. Et si Joseph n’avait pas décidé de l’épouser, elle aurait été publiquement humiliée. Pourtant, elle était prête à oublier sa propre réputation pour être fidèle à sa vocation. Atteindre des objectifs spirituels impose souvent de l’humilité de notre part, comme admettre qu’une mauvaise habitude doit être changée…
L’ouverture d’esprit
Qui n’a pas de rêves ou de plans pour cette nouvelle année ? On sait tous plus ou moins comment on aimerait voir nos vies se dérouler en 2018. Mais comment réagir si une opportunité inattendue (ou un désastre) vient tout bouleverser en un clin d’œil ?
La Vierge Marie était prête à affronter les chamboulements dans sa vie. Certes, cela peut-être perturbant, mais le changement peut aussi offrir d’énormes opportunités d’évolution personnelle. Être ouvert d’esprit peut nous rendre plus aptes à appréhender toutes les possibilités, même déconcertantes, qui se présentent à nous.
L’aventure
Quand Marie a accepté de devenir la mère de Dieu, elle s’est lancée dans une incroyable aventure ! Et l’aventure, c’est aussi excitant que terrifiant… Peur, incertitude, et même chagrin sont des sentiments auxquels il faut alors apprendre à faire face. Marie a suivi son fils tout au long de sa vie, dans ses bons comme ses mauvais moments, et elle est restée à ses côtés lorsqu’il a été mis en croix.
Nos routines sont souvent confortables mais parfois, un peu d’aventure, avec tout ce que ça impliquerait de positif et de négatif, cela peut vraiment nous faire du bien. Il ne faut pas avoir peur de sortir de sa zone de confiance !
Le courage
S’engager dans son épanouissement spirituel demande un certain courage et dire oui à de nouveaux objectifs peut se révéler décourageant au premier abord. Marie a risqué sa vie entière lorsqu’elle s’est investie dans sa maternité exceptionnelle. Elle n’a plus jamais été la même. Et on parle d’elle encore aujourd’hui, car son courage a fait toute la différence, tant pour elle que pour le monde entier. Elle a changé le cours de l’histoire par son engagement, pour ses convictions personnelles et spirituelles.
Lorsque nous avons le courage de dire oui, il est vraiment incroyable de voir à quel point chacun d’entre nous peut avoir une influence positive sur le monde qui l’entoure.
Source: Aleteia
VOICI LA LETTRE DE JÉSUS POUR VOUS :
JÉSUS, J'AI CONFIANCE EN TOI !
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Je suis Jésus, ton Dieu et ton ami le plus cher. Je désire aujourd’hui te parler de confiance, car je vois que tu t’inquiètes facilement face aux problèmes de la vie. Lorsque tu as fait tout ton possible pour essayer de les résoudre, laisse-Moi le reste. Si tu t’abandonnes à Moi, tout s’arrangera tranquillement selon Mes desseins.
Ne désespère pas, ne m’adresse pas une prière agitée comme si tu voulais exiger de Moi que j’accomplisse ce que tu désires. Ferme les yeux et dis-Moi avec calme : Jésus j’ai confiance en Toi ! Évite les angoisses et les pensées sur ce qui pourrait arriver par la suite. Ne piétine pas mes plans en essayant de M’imposer tes idées. Laisse-moi être Dieu et agir avec liberté.
Repose-toi sur Moi de toutes les difficultés et laisse ton futur entre mes mains. Dis-Moi sans cesse : Jésus, j’ai confiance en Toi ! Ne sois pas comme le patient qui demande au docteur de le soigner mais qui lui conseille comment s’y prendre. Laisse-Moi te porter dans mes bras, n’aie pas peur, Moi, je t’aime.
Si tu penses que les choses se sont empirées et se compliquent malgré tes prières, continue à Me faire confiance en répétant sans arrêt : Jésus, j’ai confiance en Toi ! J’ai besoin d’avoir les mains libres pour agir. Ne me les lie pas avec tes soucis inutiles. C’est ce que désire Satan en cherchant à t’agiter, à t’angoisser, à te faire perdre la paix.
Confie-toi totalement en moi, abandonne-toi à moi, ne t’inquiète pas, donne-moi tes angoisses et redis-moi sans cesse : Jésus, j’ai confiance en Toi ! et tu verras les grands miracles que te réserve mon amour. Souviens-toi : Fais-moi confiance
Jésus,
J’ai confiance en Toi,
Je compte sur Toi,
je me fie sur Toi,
je suis sûr de Toi,
je Te remercie
et je T’aime.
Le miracle de l'amour
Qu'est-ce que c'est qu'une année liturgique?
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L'année liturgique est une année durant laquelle le chrétien est appelé à vivre l’ensemble de l’histoire du salut et de la vie du Christ. Elle reprend les événements principaux de la vie du Christ : sa naissance (Noël) sa mort et sa résurrection (Pâques), son ascension, le don de l’Esprit (Pentecôte).
Elle invite les chrétiens à accueillir Dieu dans leur vie et à rester tendus vers la venue du Royaume.
Elle déploie sur une année ce que nous affirmons à chaque messe : « Nous proclamons ta mort, Seigneur Jésus, nous célébrons ta Résurrection, nous attendons ta venue dans la gloire »
Quand commence l'année liturgique?
L'année liturgique est différente de l'année civile et de l'année scolaire.
Elle commence le 1er dimanche de l’Avent, quatre semaines avant Noël et s’achève avec le dimanche du Christ roi (un des derniers dimanches du mois de novembre).
Elle se divise en plusieurs périodes :
Le temps de l’Avent en préparation à la fête de Noël (4 semaines)
Le temps de Noël et de l’Épiphanie qui dure de la fête de Noël au baptême du Christ
Le temps ordinaire qui commence après le baptême du Christ.
Le temps de Carême en préparation à la fête de Pâques qui commence le mercredi des Cendres
Le temps pascal qui dure de la Pâques à la Pentecôte
Suite du temps ordinaire qui commence après Pentecôte et dure jusqu’à la fin de l’année liturgique, c’est-à-dire le dimanche du Christ roi.
*La Bible et la liturgie*
Depuis le Concile Vatican II, nous sommes invités à lire chaque année un des trois Évangiles synoptiques. Pour parcourir les trois Evangiles synoptiques, l’Eglise nous propose un cycle des années dénommées A, B et C.
Pour l'année A, c'est l'Évangile selon saint Matthieu qui nous accompagne, l'année B (Marc) et l'année C (Luc).
L'Évangile selon saint Jean est lu plus spécialement lors des fêtes, durant toutes les années liturgiques. Il présente en effet des caractères distincts, qui en font un évangile à part.
Le cycle des années A,B et C se répètent donc tous les 3 ans.
2014-2015 : année B
2015 -2016 : année C
2016-2017 : année A
2017 -2018 : année B
2018-2019 : année C
*Comment savoir si une année liturgique est A, B ou C ?*
Il suffit de diviser l’année en question par trois. Si le reste est zéro, alors l’année est C, si le reste est 2, alors l’année est B et si le reste est 1 , alors l’année est A.
BONNE JOURNEE
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Quatre conseils pour mieux prier à la messe
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Au cours de ses deux premières catéchèses sur l’Eucharistie, le pape François nous a rappelé quatre attitudes fondamentales à respecter pendant la messe.
En ce mois de novembre, le pape François a entamé un nouveau cycle de catéchèses sur l’Eucharistie, rappelant à deux reprises que la messe est la « prière par excellence », c’est-à-dire à la fois la plus haute et la plus concrète des prières. À ce titre, il estime qu’on ne va pas à la messe comme si on allait voir un spectacle ou visiter un musée.
Il faut, a-t-il souligné, que la Parole de Dieu puisse résonner dans les cœurs, et le croyant entrer ainsi dans une relation parfaite d’amour avec Lui. Et pour préserver cette « intériorité », le Saint-Père a décliné les quatre bonnes dispositions à avoir dès l’entrée : le silence, la confiance, l’émerveillement, et une capacité à dire « Père » à Dieu.
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1. Le silence
Attitude essentielle du fidèle pour se préparer à accueillir la Parole de Dieu et la laisser agir dans les cœurs. La Parole jaillit du « silence mystérieux » de Dieu. Parole et silence agissent ensemble, nourrissent la participation active du fidèle.
2. Appeler Dieu, « Père »
Pour faciliter notre relation de confiance avec Dieu, François nous recommande de l’appeler « Père » comme Jésus y encourageait ses disciples. Le Pape insiste sur cette nécessité : « Faisons attention à cela : si on n’est pas capable d’appeler Dieu “Père”, on n’est pas capable de prier. Nous devons apprendre à dire “Père”, c’est-à-dire à se mettre en sa présence avec une confiance filiale. Mais pour pouvoir apprendre, il faut reconnaître avec humilité que nous avons besoin d’être instruits, et dire avec simplicité : Seigneur, apprends-moi à prier ».
3. La confiance
La prière, qui est « échange », doit être dite de manière humble et confiante, comme un petit enfant a confiance en son père et sa mère. « Dieu se souvient de toi, prend soin de toi, de toi, de moi, de tous », a rappelé le Pape. On se remet donc à Dieu avec confiance, sans se préoccuper de l’avenir, pour ressortir de la messe plus fort et plus courageux face aux adversités de la vie.
4. L’émerveillement
Un enfant « s’émerveille devant la moindre petite chose parce que tout est nouveau pour lui » nous dit le pape François. De la même façon, dans la prière, un fidèle entre en relation avec le « Dieu des surprises ». Prier, ce n’est pas parler avec Dieu comme le font les « perroquets », mais s’émerveiller « d’un Dieu vivant, qui habite en nous, qui bouge notre cœur, qui est dans l’Église et qui marche avec nous ; et sur ce chemin, il nous surprend toujours », expliquait le Saint-Père dans une de ses méditations matinales il y a quelques mois.
Apprends de l'émerveillement, cultive l'étonnement. Vis, aime, crois. Et, avec la grâce de Dieu, ne désespère jamais.
Pape François (@Pontifex_fr) October 30, 2017
Connaissez-vous la fable de « Jésus et le canari » ?
Jésus et le petit oiseau se lièrent d’une belle amitié, mais quand le canari mourut... la Vierge Marie, la mère parfaite, vint le consoler. Cette fable s’inspire de la mère parfaite, capable de consoler son enfant, accablé par la perte d’un être cher. La Vierge Marie est dans cette histoire un véritable exemple pour chaque maman.
« Jésus et le canari » est l’une des 52 histoires du livre italien E la farfalla volò (« Et le papillon vola », non publié en France), édité par Mario Delpini, actuel archevêque de Milan. Cette fable se déroule à Nazareth où Jésus a grandi. Pour son anniversaire, il reçoit de ses parents un cadeau spécial.
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Le cadeau d’anniversaire
Le 25 décembre au matin, l’Enfant Jésus se réveille aux notes d’un chant joyeux qui semble l’inviter à tisser une nouvelle amitié. C’est un canari qui chantonne dans une cage en bois, construite par son père, Joseph.
L’enfant ressent une telle joie qu’il court aussitôt appeler ses amis pour les inviter à l’écouter et à le voir de leurs propres yeux. Marie, la mère de Jésus, s’occupe de sa maison, tout en observant discrètement, amusée et émue, les visages des enfants qui écoutent émerveillés le chant du petit canari, comme ils auraient écouté une merveilleuse histoire.
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Petit et gai
Quand le petit canari reprend son souffle, les enfants demandent à Jésus : « Que lui donneras-tu à manger ? », » Comment a-t-il appris à voler ? », « Où est sa mère ? », « Quel âge a-t-il ? ».
Le canari est de couleur orange. Petit et gai, il sautille ici et là dans la cage, sans jamais se fatiguer. Pendant un certain temps, les enfants restent et regardent. Puis ils laissent Jésus avec son nouvel ami.
Jésus apprend rapidement les habitudes de son compagnon. Il cherche même parfois à en imiter même le doux chant. Mais de sa bouche ne sort qu’un vague sifflotement. Il pense alors que le canari doit bien s’amuser en l’écoutant.
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L’amitié et la liberté
Ils deviennent vite de grands amis. Le canari l’éveille aux premières lueurs du jour. Et quand Jésus rentre à la maison, le canari le salue par des chants festifs. Après un certain temps, Jésus pense que le petit oiseau aurait peut-être aimé voler librement.
Un peu inquiet — « Tu ne t’échapperas pas, n’est-ce pas ? » — il ouvre la porte de la petite cage et l’invite à le suivre pour jouer avec lui. Ébahi, il remarque que le canari le suit vraiment. Il s’arrête à l’ombre des branches, il commente les jeux des enfants ; puis s’envole saluer les autres oiseaux du village et raconter sa chance d’avoir un ami comme Jésus, qui le laisser voler librement.
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Le triste réveil
Un matin, cependant, Jésus se réveille et s’étonne de voir déjà la lumière inonder la maison. Il courut vers son ami canari pour lui demander : « Pourquoi ne m’as-tu pas réveillé ? ». Et il le trouve couché, avec les yeux fermés et les petites pattes raides, en l’air. Croyant qu’il s’était endormi, il s’exclame : « Étrange façon de dormir pour un canari ». Mais quand il le prend dans sa main, il réalise que son cœur ne bat plus.
Tenant son canari mort dans la main, il trouve refuge dans les bras de sa mère. La Vierge Marie le laisse pleurer. Et Jésus lui demande : « Pourquoi ne chante-t-il plus ? Pourquoi sa voix et sa joie, se sont-elles envolées ? ».
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Les douces paroles de la Vierge Marie
C’est si difficile de consoler son enfant. Si difficile de lui expliquer pourquoi les amis meurent et pourquoi s’éteint parfois le chant qui rend la vie douce et heureuse.
La Vierge Marie laisse le petit Jésus pleurer, puis le console : « Nous allons maintenant le laisser reposer dans le jardin, sous la terre souple comme une couverture. Le canari reposera longtemps. Mais son chant ne s’est pas éteint. Il s’est envolé au ciel et court raconter des histoires qui font rire et rêver les enfants. Son chant s’est envolé, et nous, qui nous rappelons ses quelques notes, nous en tirerons un chant pour faire rire et rêver les enfants. »
C’est ce qui se produisit en Galilée, dans une ville appelée Nazareth, quand l’enfant Jésus était âgé de 6 ans.
Ne sommes-nous pas tous des enfants à consoler ? Ne sommes-nous pas tous dans les bras de Notre Mère ? La Vierge Marie est la mère qui se réjouit du bonheur de son enfant, qui recueille ses confidences et ses larmes et qui le réconforte, avec une grande espérance.
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Source: Aleteia
5 ans de partage de la bonne nouvelle du christ
5 ans de joie, d'amour, de rencontre ...
5 ans ou chaque jour Seigneur Tu as été présent.
Merci pour la joie partage
Merci pour les échanges enrichissantes
Merci pour les rencontres
Bénis Seigneur l'oeuvre que toi même a crée
Je te confie tous ceux et celles qui passent sur ce blog,
accorde leur ta grâce et garde-les du mauvais.
Sois bénis Seigneur Jésus
Rester en communion avec Dieu du matin au soir n'est pas si difficile.
Le matin, se lever tôt
Se lever tôt porte des fruits aussi bien sur le plan physique que spirituel. Cela permet en effet de prier en silence dès le matin, et ainsi commencer la journée dans de bonnes dispositions. Réglez votre réveil le soir et levez-vous tout de suite lorsqu’il sonne sans succomber à la tentation naturelle de vouloir gagner une minute de plus pour dormir. Réalisez la première prière de la journée : l’offrande spirituelle d’interrompre son rêve.
Offrir sa journée à Dieu
En vous levant, agenouillez-vous, faites le signe de croix et offrez votre journée à Dieu. Cela ne prendra que quelques secondes et fera toute la différence tout au long de la journée. Priez de manière spontanée ou en suivant un modèle de prière traditionnelle de l’Église.
Prier mentalement
De nombreuses personnes préfèrent être lavées et habillées avant de prier pour une meilleur concentration et efficacité. Priez chez vous ou en vous arrêtant si vous le pouvez dans une église qui se trouve sur le chemin de votre travail. Peu importe la durée de la prière. Adressez-vous à Dieu seul et en silence. Confiez-lui vos besoins, vos rêves, mais aussi rendez grâce, reconnaissez sa bonté à travers les choses simples du quotidien, intercédez pour ceux qui en ont besoin, demandez pardon pour votre égoïsme, vos erreurs, vos pêchés… Louez-le, adorez-le, contemplez sa splendeur, ses mystères, sa miséricorde. Vous pouvez aussi méditez un passage des écritures ou des textes spirituels d’un saint quelconque. Grâce à Dieu, les choix sont nombreux.
Au cours de la journée
Se confier à Dieu et à Marie lors des activités quotidiennes
N’oubliez pas que Dieu est toujours présent. La plupart du temps un regard ou une brève pensée suffisent… Il n’est pas toujours nécessaire d’utiliser les mots pour communiquer avec celui que l’on aime. Adressez-vous aussi à Marie, comme un enfant empli de confiance et de tendresse. Pour vivre un temps de qualité et de reconnaissance le mieux est évidemment de dire le Rosaire.
Réciter une prière apprise par cœur
L’Église regorge de belles prières écrites par de grands saints, dont certaines sous forme de poèmes. Elles constituent d’excellents moyens pour nous inspirer, nous élever et nous unir à Dieu. Les poésies de saint Jean de la Croix, de sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, ou encore le dernier paragraphe de la célèbre prière « Tard je t’ai aimée« de saint Augustin en sont des exemples.
Offrir à Dieu son travail, ses souffrances, ses inquiétudes, ses joies…
Tout peut devenir prière. La devise des moines bénédictins « Ora et labora« (Prie et Travaille) exprimant leur vocation à transformer le travail en prière l’illustre bien.
La croix constitue également une prière : ne restez pas paralysé face à vos souffrances et vos sacrifices, petits ou grands. Unissez-les au sacrifice rédempteur de Jésus avec amour et conscience.
Remettez également à Dieu vos préoccupations, inquiétudes, soucis… Saint Augustin nous rappelle, par l’une des phrases les plus connues de toute l’histoire du christianisme : « Tu nous as faits pour toi, Seigneur, et notre cœur est sans repos tant qu’il ne demeure en Toi« .
C’est en cheminant à ses côtés que nous retrouverons sérénité, paix et quiétude. Tout comme la douleur, le bonheur peut être offert à Dieu : au final il est à l’origine de tout bien et donc de toutes les joies légitimes présentes dans nos vies.
Faire silence
Essayez de vous détacher des nombreux bruits du quotidien en éteignant smartphone, télévision et radio… Laissez-vous imprégner par le silence. Si cela peut paraître difficile au début, savoir profiter du silence permet de se libérer et de se révéler. Pour entendre Dieu il faut faire silence car c’est dans le calme qu’il s’exprime…
Le soir
Rendre grâce en famille pour la journée passée
Les journées sont remplies de grâces de Dieu, même si certaines paraissent plus douloureuses. Dieu s’adresse à nous par de multiples événements, personnes, expériences. Pour que tout cela puisse être assimilé et porter des fruits, il paraît nécessaire de partager des moments de réflexion avec les personnes les plus chères à nos yeux. Confier à Dieu en famille les enseignements et inspirations du jour est une manière de prier et de consolider les relations familiales. Remercions-le pour cette chance.
Réaliser un examen de conscience
Chaque soir en vous couchant, mettez-vous en présence de Dieu et examinez votre conscience dans le calme avec sérénité, confiance, humilité et honnêteté. Ne dissimulez rien et rappelez-vous les dix commandements, les sept péchés capitaux… Qu’est ce qui peut être amélioré ? Réalisez un acte de contrition. Face à un péché grave, choisissez la confession. Remettez-vous à Dieu avec confiance, non comme un serviteur apeuré mais comme un fils en action de grâce ayant foi en la miséricorde, la compréhension et l’aide du Père.
Se coucher chaque soir à la même heure
Fixez chaque soir le même horaire pour vous coucher. Avec cela vous serez bien reposé le lendemain matin et vous pourrez ainsi vous lever tôt. Les habitudes stables sont très bonnes pour la santé de l’âme et du corps.
Dire le « Je vous salue Marie » dans son lit
La Vierge Marie entendra toujours la prière de l’un de ses enfants. La prière du « Je vous salue Marie » est bien plus merveilleuse que nous ne pouvons l’imaginer.
Source: Aleteia
Pour suivre le Christ, ce n’est pas compliqué : il suffit de se laisser faire par Lui. L’analyse du père François Labadens, de la communauté de l’Emmanuel.
Où que nous en soyons dans notre foi, nous exprimons dans notre cœur le désir de suivre Jésus. Mais comment faire pour réellement le suivre ? Nous expérimentons l’amour de Dieu pour nous, et nous voudrions lui répondre par notre propre amour, mais nous sommes souvent démunis face à la question de comment avancer.
En fait Jésus nous donne lui-même les indications pour nous mettre à sa suite ! Voyez comment il appelle ses premiers disciple dans l’évangile de Luc (Lc 5, 1-11). Que l’on ait envie de grandir dans la foi, de donner sa vie à Jésus, ou qu’il soit question d’une vocation particulière, les quatre pistes présentées dans cet évangile sont toujours valides. Ces quatre attitudes sont quatre acceptations, quatre moyens de mettre notre volonté et notre liberté au service de Jésus, tout cela par amour pour lui.
La première attitude, c’est d’accepter l’enseignement de Jésus
Notre passage de l’Évangile débute par une constatation : Jésus est au bord du lac de Galilée et il est pressé par les foules qui veulent entendre son enseignement. En fait nous ne savons pas ce qu’il dit. Mais Jésus touche les cœurs, nourrit les âmes, et nombreux sont ceux qui viennent passer du temps à l’écouter. La foule est tellement nombreuse que Jésus demande à l’une des équipes de pêcheurs de l’emmener à quelque distance du rivage pour qu’il puisse parler à tous de manière un peu plus confortable. Jésus utilise l’effet bien connu qui fait que l’eau du lac transmet facilement sa voix au plus grand nombre.
Accepter que Jésus choisisse le moment de l’enseignement. Jésus est malin : alors que les pêcheurs ne l’écoutaient que d’une oreille distraite en lavant leurs filets, Simon et ses compagnons sont maintenant obligés d’être avec lui dans la barque, et n’ont rien d’autre à faire que d’entendre son enseignement !
Il en est de même dans nos vies : c’est Jésus qui décide du moment où il va nous enseigner quelque chose. Comme Simon et les autres pêcheurs n’ont pas vraiment choisi, nous non plus nous ne maîtrisons pas la manière dont Dieu va nous parler. Combien d’entre nous n’ont pas été déçus par un temps de prière ou une veillée dont nous attendions beaucoup ? Dieu est le maître, et il choisit les moyens qu’il veut ! Il nous parlera par une intuition qui va germer dans notre esprit, par une parole de la Bible que nous allons recevoir, par une phrase dite par un ami etc. Notre première mission est d’accepter de recevoir l’enseignement de Jésus quand lui le veut !
Accepter humblement de découvrir de nouvelles choses. Ensuite, ce qui fait la différence entre entendre et accueillir un enseignement, c’est l’attitude de notre cœur. Pour accepter l’enseignement de Jésus, nous avons besoin d’être ouverts à quelque chose de nouveau, que nous ne connaissons pas. Donc être ouverts à la surprise, à l’inconfort et même à être déstabilisés. Si je ne veux pas changer de point de vue, ni changer d’habitude, ni changer mon cœur, il ne faut surtout pas que je reçoive cet enseignement, ce serait dangereux !
Après l’amour pour Jésus, l’humilité est donc l’attitude de cœur fondamentale pour accueillir ce qu’il veut me dire. Acceptons avec humilité la nouveauté de sa Parole qui va changer des choses dans ma vie, me faire découvrir quelque chose de nouveau, voire même peut-être… me faire changer d’avis ! Si, si, c’est possible !
La deuxième attitude, c’est d’accepter d’agir avec Jésus, et non pas pour Jésus
C’est l’étape de l’action. Mais attention, pas n’importe quelle action ! Que font les pêcheurs dans la barque après avoir entendu Jésus parler ? Ils n’improvisent pas pour lui montrer qu’ils sont les meilleurs pêcheurs de la région… Ils ne font que ce qu’il leur demande, même s’ils sont surpris par ce qu’il veut leur faire faire.
Agir pour Jésus conduit à l’épuisement.Voilà une question fondamentale pour chacun de nous : ce que je fais, je le fais avec Jésus, ou pour Jésus ? Malheureusement, on peut faire plein de trucs pour Jésus, sans jamais lui demander son avis ! Du coup on s’éparpille, on s’épuise, et on tient ses engagements à la force du poignet en ayant oublié que tout ce qui est fait sans charité ne sert à rien.
Discerner ses engagements.Pour suivre Jésus, nous avons besoin de choisir d’agir avec lui, et non pas seulement pour lui. Avec lui, c’est-à-dire avec un ami, tout simplement en coopération avec son Dieu ! Quelle immensité ! Du coup, tous ces engagements que j’ai pris cette année, tous très généreux, est-ce que j’ai pris le temps de discerner si Jésus me les demandaient vraiment ? Désirer suivre Jésus, c’est aussi accepter par amour de renoncer à certaines choses, pour me concentrer sur ce que Jésus me demande. Rassurons-nous, Jésus est réaliste, et ce qu’il nous demande, il nous donne les moyens de le faire ! Voici un critère intéressant : dans une journée, Dieu me donne le temps nécessaire pour faire tout ce qu’il me demande. Donc si je n’ai pas le temps de tout faire, c’est qu’il y a des choses en trop. Simple, non ? Rassurons-nous là encore, Dieu désire aussi que nous nous reposions, que nous ayons des relations sociales. Il n’est pas un maître impitoyable, mais un ami intime et délicat. N’hésitons donc pas à mettre toutes nos activités sous son regard, à vivre tous nos instants avec lui.
La troisième attitude pour suivre Jésus, c’est accepter d’obéir
Voilà un mot qui n’est pas à la mode ! Obéir ? Et pourtant… si nous voulons suivre Jésus, c’est-à-dire si nous acceptons de nous laisser guider, nous acceptons d’être emmenés dans des lieux que nous ne connaissons pas. Du coup il est normal que des pourquoi restent temporairement sans réponse. Temporairement… car les réponses arrivent ensuite !
Dans l’évangile de saint Luc qui nous intéresse, Jésus demande à Simon de faire quelque chose d’insensé. Simon est un professionnel de la pêche, c’est son métier depuis toujours. Il n’a rien pris de toute la nuit, et voilà qu’un inconnu qui n’a pas vraiment le profil du pêcheur, il a plutôt une carrure de charpentier, lui demande de jeter les filets ! Simon réagit en lui exprimant son incompréhension, mais il accepte d’obéir : « Sur ta parole, je vais jeter les filets ». Pourquoi obéit-il ? parce que dans sa barque il a eu le temps d’entendre les paroles de Jésus et qu’il a compris qu’elles avaient quelque chose d’extraordinaire ! L’obéissance de Simon vient du fait qu’il a passé du temps à écouter Jésus… ce qui nous ramène à la première attitude.
L’obéissance dans notre vie quotidienne. Soit, mais comment comprendre l’obéissance à Jésus dans ma vie quotidienne ? Elle n’est pas une démission de mon intelligence, mais un accueil bienveillant de quelque chose qui vient de plus loin que moi. Jésus me parle à travers ma conscience, mon intelligence, mes frères et dans l’Église. Est-ce que je suis honnête et juste dans mes actions ? Est-ce que j’accepte ce que me propose l’Église en terme d’obligations (messe le dimanche et jours spéciaux, confession au moins une fois par an, donner au denier de l’Église même si c’est peu) ? Est-ce que j’accueille l’enseignement de l’Église dans le domaine de la morale, même si pour le moment je n’en comprends pas encore tout (en sachant bien que la morale n’est pas une série de règles, mais une aide pour bien agir) ?
L’obéissance porte du fruit. Voilà un certain nombre de critères qui s’incarnent concrètement dans nos vies, et qui sont autant de moyen d’obéir à Jésus. Et comme Simon, c’est en obéissant que l’on comprendra pourquoi Jésus nous l’a demandé. Pierre se retrouve du coup avec un autre type de problème : il y a trop de poissons dans ses filets ! L’obéissance l’a porté à une fécondité qu’il ne connaissait pas. Voilà ce que Jésus nous propose si nous acceptons de le suivre : en lui obéissant (de manière juste et discernée, évidemment), nous ferons des choses que nous n’imaginions même pas ! En acceptant de sortir de notre petit cadre confortable, nous laissons Dieu agir en nous avec puissance !
L’obéissance est liée à la foi. Dans cette obéissance qui n’est pas une obéissance d’esclave, mais une action d’amour, libre et volontaire de notre part, nous construisons notre foi. La foi est justement cette obéissance, sans preuve complètement tangible, à un appel de Dieu. Le cardinal Newman disait : « La foi détache le regard d’elle-même pour le porter vers Jésus ; et au lieu de chercher avec impatience quelque assurance personnelle, elle se laisse conduire par l’obéissance en disant : “me voici : envoi-moi !” ».
La quatrième attitude c’est d’accepter ce que je suis pour laisser Dieu me transformer
Après l’épisode de la pêche miraculeuse, Jésus appelle Simon, Jacques et Jean à le suivre. Il le fait de manière particulière : « Désormais tu seras pêcheur d’hommes ». Les premiers apôtres décident alors de quitter leurs filets, leurs barques et leur famille. Leur vie change radicalement. Mais en même temps ils restent aussi les mêmes, des pêcheurs. La différence est qu’ils ne pêcheront plus la même chose : à la place des poissons, ce seront des hommes !
Ceci est un enseignement fondamental lorsque nous voulons suivre Jésus : Jésus ne nous transforme pas en quelqu’un de différent. Dans l’Évangile, Jésus reprend le métier de Simon pour lui donner sa nouvelle mission : c’est une manière de respecter très délicatement ce qu’il est, tout en changeant radicalement sa vie.
Deviens ce que tu es. Jésus nous respecte trop pour nous transformer en quelqu’un d’autre. Nous sommes chacun « une merveille à ses yeux » (Is 43, 4). C’est lui qui nous a créés et il y a un projet unique pour chacun de nous ; il n’a aucun envie que nous soyons différents ! Du coup, suite à l’appel de Jésus notre vie peut changer radicalement, mais la grâce de Dieu ne nous change pas. Au contraire, elle nous fait devenir toujours plus nous-mêmes. Suivre Jésus ne nous fait pas disparaître, mais au contraire nous révèle de plus en plus à nous-mêmes et au monde. Ainsi, nos qualités, nos talents, nos désirs, tout ce qui fait ce que nous sommes, tout cela est appelé à grandir et coopérant avec Jésus. Finalement en répondant à l’appel de Jésus de le suivre, nous acceptons qu’il nous aide à grandir intérieurement, à faire pousser et fleurir tout ce qu’il a déjà semé dans notre cœur.
Monte dans la barque
En lisant en détail ce passage de l’Évangile de Luc, nous nous rendons compte qu’il y a un personnage dont on ne parle jamais. En plus de Simon, Jean et Jacques, il y a le compagnon de barque de Simon. Il est là, il écoute, il pêche … mais il n’est rien dit de lui. Et si c’était une proposition pour prendre sa place ? Et si chacun de nous acceptait de suivre Jésus, non pas comme nous le décidons, mais comme Jésus nous le propose ? Et si nous nous nourrissions de sa parole jusqu’à accepter d’entrer avec amour à son service et de lui obéir, même si nous ne comprenons pas encore tout ?
Dans la barque de l’Église, il y a de la place pour chacun de nous, et Jésus nous appelle chacun personnellement, par notre nom, à venir à sa suite. N’hésitons pas à l’écouter et à répondre généreusement à son appel, car c’est en marchant généreusement à sa suite que nous grandirons et trouverons le vrai bonheur. « N’ayez pas peur du Christ ! Il n’enlève rien et il donne tout. Celui qui se donne à lui reçoit le centuple. Oui, ouvrez, ouvrez tout grand les portes au Christ – et vous trouverez la vraie vie. »