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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Mére Térésa

Publié à 00:26 par lusile17 Tags : fleurs femme bonne amour mort pensées
Mére Térésa

LA SAINTE DE CALCUTTA

Elle s’est éteinte  le 5 septembre 1997 à l’âge de 87 ans d’un arrêt cardiaque. Immédiatement, l’Inde a déclaré le lendemain samedi, jour de deuil national et, toutes religions confondues, la population a salué la mémoire de cet étrange Prix Nobel de la Paix, de ce personnage merveilleux qui a influencé la vie de tous et devant lequel on se sentait meilleur, rien qu’en le regardant! Son cercueil ayant été exposé à l’église Saint Thomas depuis  le dimanche, des dizaines de milliers de personnes ont commencé à défiler devant la dépouille mortuaire en déposant des fleurs et en pleurant. Quant aux obsèques, elles ont eu lieu le 13 septembre à Calcutta, cette ville à la misère criante qu’elle a voulu transformer en “cité de la joie” et où elle sera mise en terre parmi les pauvres, au service desquels elle a consacré sa vie entière. Les religieuses des Missionnaires de la Charité ont indiqué que le décès de Mère Teresa avait été pour elles un choc, car elle semblait relativement en bonne forme. Il était même prévu que le samedi matin, elle allait participer à une messe à la mémoire de la princesse Diana qui l’admirait et qu’elle connaissait bien! Mais, il semble que malgré les apparences, Mère Teresa était gravement malade du cœur. Déjà en 1987 et en 1996, on lui avait implanté un régulateur...

HOMMAGE UNANIME

Toutes les classes politiques indiennes et les médias internationaux ont été et sont unanimes à louer l’œuvre immense de compassion et de dévouement de cette femme catholique, qui avait dépassé la mesquinerie des différences confessionnelles dans un pays à majorité hindoue et à forte minorité musulmane, lesquelles toutes deux et chacune pour sa propre part, l’ont magnifiée en la qualifiant de “grande âme” et de “sainte”. L’Osservatore Romano du dimanche, organe officiel du Vatican, a défini cette mort en ces termes lapidaires: “Mère Teresa, icône toujours vivante de la prière et de la charité, ou plutôt, icône du futur de l’humanité souffrante...” D’ailleurs, l’un des temps les plus émouvants de sa vie a été évoqué pour la circonstance par la chaîne de télévision du Saint-Siège, lorsqu’en mai dernier, Mère Teresa a eu un entretien avec le cardinal Pio Laghi, au cours duquel elle a raconté comment elle voyait son entrée au paradis. - Quand vous vous présenterez devant St Pierre, que se passera-t-il Mère Teresa? “Eh! bien, ce jour-là, il me dira: qu’avez-vous fait Mère Teresa? Vous m’avez rempli le paradis de tous vos pauvres...” - Et quoi encore? “Il me reconnaîtra, je n’ai pas de doute à ce sujet.” - N’en ayez aucun, Mère Teresa! Elles sont 50.000, les personnes que vous lui avez envoyées et chacune avec son billet d’entrée au paradis. Elles viendront à votre rencontre pour vous saluer... “Ce sera magnifique”, s’exclama Mère Teresa. L’heure du rendez-vous est arrivée et cela a dû être certainement magnifique!

                                        

                                                         Citations et pensées de Mère Teresa

 

Dans le pauvre, nous touchons réellement le corps du Christ. Dans le pauvre, c'est le Christ affamé que nous nourrissons; c'est le Christ nu que nous habillons; c'est le Christ sans demeure que nous abritons. Il ne s'agit pas seulement de faim de pain, de manque de vêtements ou de besoin d'une maison faite de briques. Aujourd'hui, le Christ a faim dans nos pauvres gens. Mais même les riches ont faim d'amour, d'attention, faim d'être désirés, d'avoir quelqu'un qui soit leur.

                                                                          Mère Teresa



Mére Térésa

Publié à 18:41 par lusile17 Tags : dieu
Mére Térésa
MERE THERESA DE CALCUTTA

La vie de mère Teresa de Calcutta a commencé au Kosovo. Agnès Gonxha Bojaxhiu, d'une famille d'origine albanaise, est née le 26 août 1910 à Skopje, capitale du Kosovo. A l'âge de douze ans, Agnès commence à ressentir  l'appel  de se consacrer à Dieu.
La vie de mère Térésa  comporte alors deux périodes bien tranchées : sa vie dans l'institut de sœurs de Lorette et sa vie dans l'ordre des Missionnaires de la charité.

A l'âge de dix-huit ans, en 1928 elle entre à l'Institut des "Soeurs de Lorette", en Irlande. En 1929 elle est envoyée à Calcutta. En 1931, après deux années de noviciat,  elle fait sa première profession de foi et elle prend le nom de Térésa. Elle enseigne géographie à l'école Sainte-Marie à Calcutta ou elle est nommée directrice en 1944. Elle reçoit l'appel de consacrer sa vie aux pauvres des bidonvilles. En 1946 avec le soutien de l'archevêque de Calcutta  elle obtient du pape Pie XII la permission de quitter l'ordre des "Sœurs de Lorette".



Mére Térésa

Publié à 18:41 par lusile17 Tags : travail nuit dieu
Mére Térésa

Mére Térésa

Fondation des Missionnaires de la charité

En1948, elle s'installe dans un bidonville (à Taltola) avec quelques autres religieuses qui l'ont suivie. Elle fonde la congrégation des Missionnaires de la charité, établie officiellement dans le diocèse de Calcutta en 1950.  Elle prend désormais le nom de Mère Teresa,car elle a choisi la petite Thérèse comme patronne et guide vers la sainteté.

Durant plus de 40 ans, la vie de mère Térésa a été consacrée aux pauvres, aux malades, aux laissés pour compte et aux mourants Cela commença avec l'ouverture du 'mouroir' de Calcutta pour assurer une fin digne à ceux qui, leur vie durant, avaient vécu "comme des bêtes". 

En 1996, la congrégation comptait 517 missions dans plus d'une centaine de pays. Il y a actuellement près de 4 000 sœurs des Missionnaires de la Charité.

Elle a reçu plusieurs récompenses pour son travail, notamment le Prix de la Paix du Pape Jean XXIII en 1971 et le Prix Nobel de la Paix en 1979 pour son action en faveur des déshérités en Inde. . Elle a utilisé sa notoriété mondiale pour attirer l'attention du monde sur des questions morales et sociales importantes.

 Pendant 50 ans la vie de mère Teresa a été marquée par la grande épreuve spirituelle de la nuit de la foi. Elle était assaillie par le doute concernant l'existence de Dieu. Ces années de nuit intérieure constituent un trait important de sa figure spirituelle. Cette épreuve apparaît avec une précision jusque-là inédite avec la publication en 2007 d'un ouvrage compilant 40 lettres rédigées au cours des soixante dernières années de sa vie et qu'elle voulait voir détruites pour certaines. 

Un supplice secrètement enfoui en elle et dissimulé derrière ce visage paisible qu'elle avait en public. Personne ne savait qu'elle était aussi tourmentée. 



Mére Térésa

Publié à 18:41 par lusile17 Tags : mort anniversaire
Mére Térésa

Mére Térésa

 Après un premier infarctus en 1983, sa santé se détériore sérieusement à partir de 1990. Suite à une crise de paludisme et à un arrêt cardiaque, elle abandonne ses responsabilités à la tête de la communauté en mars 1997. Pendant ses 10 dernières années elle a été souvent malade et hospitalisée.

La vie de mère Térésa a été assez longue. Elle est morte en effet à 87 ans le 5 septembre 1997.  L’Inde a déclaré le lendemain jour de deuil national. 

BÉATIFICATION DE MÈRE TERESA

 

1.Miracle de mère Térésa

Elle a fait un miracle peu après sa mort. Le 5 septembre 1998, lors du premier anniversaire du décès, on posa une médaille de la Vierge, que la mère avait portée, sur le ventre d’une indienne qui était atteinte d’un cancer incurable de l’estomac … Le lendemain, à la stupeur des médecins, la tumeur avait disparue ". Le miracle a été reconnu par l'Église. Cependant, il y a quelques points d'interrogations sur ce miracle.

 Monseigneur Henri de Souza, archevêque de Calcutta est à l’origine de la demande de canonisation. Le processus de béatification de mère Teresa a été particulièrement rapide: il a débuté en 1999, seulement deux ans après sa mort en 1997, grâce à une dérogation du pape permettant d'écourter le délai habituel de cinq ans. Celle-ci a bénéficié d'un traitement de faveur de la part de Jean Paul II fervent admirateur. 

Ses lettres, qui révèlent ses doutes,  étaient connues au moment du procès de béatification et ont été pris en compte pour sa béatification.



Mére Térésa

Publié à 18:41 par lusile17 Tags : mort enfant anniversaire
Mére Térésa

Mére Térésa

Céremonie de sa  béatification

Le1er octobre 2002, le dicastère romain reconnaît ses vertus héroïques ainsi qu’un miracle dû à son intercession. 

Elle a été béatifiée par le pape Jean Paul II  six ans après  sa disparition à l'issue d'un procès en béatification express. La cérémonie  de béatification a eu lieu le 19 octobre 2003 lors d'une cérémonie place Saint-Pierre à Rome, devant 300 000 fidèles. 

Cette date du 19 octobre, qui est aussi le jour anniversaire de la proclamation de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus comme Docteur de l'Église, est un signe du lien qui unit les deux Thérèse.   

La date de sa fête est le 5 septembre qui est la date de sa mort. On a célébré solennellement  à Calcutta sa fête un an après sa béatification, le septième anniversaire de sa mort. Les missionnaires de la Charité  ont choisi la fête du 5 septembre, comme jour de jeûne et de prière en solidarité avec les chrétiens victimes de la violence en Orissa état de l’Inde orientale. Des catholiques et des fidèles de religion hindou, ont invoqué l’intercession de la sainte “pour que l’amour triomphe de la haine”.

Pour que la bienheureuse soit proclamée sainte, il est nécessaire, selon la procédure vaticane, qu’advienne un miracle après sa béatification 

Un second  miracle lui est attribué.  Le père V.M. Thomas soutient que l’intercession de la bienheuse l’a guéri d’un calcul à l’urètre, à l’occasion du 10e anniversaire de sa mort le 5 octobre 2007. Ce second miracle pourrait la conduire à la sainteté, mais il n'est pas encore approuvé officiellement.



Mére Térésa

Publié à 18:41 par lusile17 Tags : fille enfants enfant anniversaire dieu mort amour travail bleu 2010
Mére Térésa

Mére Térésa:à Calcutta la pauvreté se poursuit.

 Le 5 septembre 2010 : Mère Teresa aurait eu 100 ans .
A Calcutta, une messe a été célébrée jeudi 2 septembre en son honneur au siège de la congrégation des Missionnaires de la Charité que la religieuse avait fondée en 1950. C’est là que Mère Teresa a été enterrée en 1997, sa tombe est depuis un lieu de pélerinage.

Calcutta est une des plus grandes villes de la péninsule indienne. Cette métropole n’a pas réussi sa reconversion industrielle, alors que l’industrie textile florissante a été délocalisée au Bangladesh. La misère règne, l’héritage de mère Teresa subsiste, les soeurs qui lui ont succédées poursuivent son oeuvre de bienfaisance.

 



Mére Térésa

Publié à 18:41 par lusile17 Tags : amour fond nuit mort livre dieu
Mére Térésa

Mére Térésa

La « nuit obscure » qu’a vécu Mère Teresa de Calcutta, rapportée dans un livre qui vient d’être publié, a été pour elle une sorte de « martyre » dû à la « présence-absence » de Dieu, a expliqué le père Raniero Cantalamessa, ofm cap., dans un entretien à Radio Vatican.

Le prédicateur de la Maison pontificale a commenté la publication de lettres inédites, à dix ans de la mort de la bienheureuse, regroupées dans l’ouvrage « Mother Teresa : come be my light », sous la direction du père Brian Kolodiejchuk, postulateur de la cause de canonisation de la religieuse.

Dans une de ses lettres, Mère Teresa dit : « Il y a tant de contradiction dans mon âme, un profond désir de Dieu, si profond qu’il fait mal ; une souffrance permanente, et avec cela le sentiment de ne pas être voulue par Dieu, rejetée, vide, sans foi, sans amour, sans zèle… Le ciel n’a aucun sens pour moi : il m’apparaît comme un lieu vide ! ».

« Cette souffrance lancinante, qui donne le vide de Dieu, est le signe qu’il s’agit d’un phénomène positif » explique le père Cantalamessa.

« Il s’agit d’une présence-absence, ajoute le prêtre capucin : Dieu est présent mais on ne le sent pas en soi ».

« Le fait que Mère Teresa ait pu rester des heures devant le Très Saint Sacrement, comme rapportent les témoins qui l’ont vue, presque enlevée… si l’on pense dans quelles conditions elle se trouvait là, cela est un martyre ! » souligne t-il.

« Cela est un véritable martyre, parce que pour celui qui ne sent pas Dieu et sent ce vide, demeurer des heures immobile devant le Très Saint Sacrement, c’est vraiment se retrouver au milieu des flammes » ajoute t-il.

« Pour moi cela fait grandir à l’infini la figure de Mère Teresa, et ne la diminue en rien », a précisé le prédicateur.

« Les athées ‘normaux’, communs, ne souffrent pas de l’absence de Dieu ; pour Mère Teresa, c’était l’épreuve la plus terrible qu’elle pouvait vivre ».

« Je crois que Mère Teresa a vraiment la stature des ‘géants’ dans la sainteté chrétienne, justement aussi à cause de cette capacité de cacher ces phénomènes, de les vivre personnellement au plus profond de son cœur, peut-être, précisément en expiation de cet athéisme diffus qui existe dans le monde d’aujourd’hui, parce qu’au fond, Mère Teresa a vécu de manière positive, avec foi, du côté de Dieu, cette existence comme si Dieu n’existait pas », affirme t-il.

La « nuit obscure », explique le père Cantalamessa, « est une chose très connue dans la tradition chrétienne ; peut-être de manière nouvelle, inédite sous la forme qu’a connue Mère Teresa ».

« Tandis que ‘la nuit obscure de l’esprit’ de saint Jean de la Croix est un temps préparatoire à celui définitif appelé ‘unitif’, pour Mère Teresa il semble qu’il s’agisse d’un état stable, à un certain moment de sa vie, lorsqu’elle a lancé cette grande œuvre de charité, jusqu’à la fin ».

« Selon moi, ce prolongement de la ‘nuit’ a également un sens pour nous, aujourd’hui. Je crois que Mère Teresa est la sainte de l’ère médiatique, parce que cette ‘nuit de l’esprit’ l’a protégée en l’empêchant de devenir la victime des médias, c’est-à-dire de s’élever », constate t-il.

« En effet, elle même disait que face aux plus grands honneurs et aux acclamations de la presse, elle ne ressentait rien parce qu’elle vivait ce vide intérieur. Ainsi, c’était une sorte de ‘combinaison d’amiante’, pour traverser l’ère des medias ».

 



Mére Térésa

Publié à 18:41 par lusile17 Tags : enfants bleu dieu
Mére Térésa

Mére Térésa

Jeune et encore une sœur inexpérimentée, elle gagne cependant très vite la confiance de ses sœurs supérieures en enseignant la géographie aux enfants de Darjeeling. C’est durant cette période épanouissante spirituellement qu’elle prononce ses vœux et qu’elle choisit le nom et la protection de Thérèse de Lisieux, Sainte Patronne des missionnaires. Sa vie est plutôt paisible jusqu’au début des années 40, où elle est frappée et désolée par la pauvreté de plus en plus accrue dans les faubourgs de Calcutta. La grande famine de 1943, ainsi que les violences religieuses de 1946 augmentent tragiquement le nombre de morts, de malades, et de laissés pour compte. La ville est dans un état d’abandon, de désespoir et d’effroi qu’elle n’a jamais connu auparavant. Mère Teresa a alors une révélation, qu’elle appellera plus tard « L’appel dans l’appel » : elle doit quitter la retraite de son couvent et aider les pauvres et les malades. C’était pour elle un ordre venant de Dieu. Elle part donc s’installer dans les bidonvilles de Calcutta, avec quelques autres sœurs. Elle adopte son célèbre sari blanc bordé de bleu et la nationalité indienne, à l’âge de 36 ans.

Le grand mystère de sa vie demeure dans sa Foi. Peu de gens le savent de son vivant, mais Mère Teresa doutait très fortement de l’existence de Dieu, déjà 50 ans avant son décès. Accablée par la misère du monde, elle ne comprenait pas, et pensait ne pas avoir la Foi…

Très critiquée dans les années 70 pour certaines de ses vues perçues comme extrêmes, et aussi parce que pour certains elle se contentait seulement d’aider les gens à rester en vie et n’agissait pas sur les causes profondes de la pauvreté, Mère Teresa devint un personnage médiatique et respecté pour la majorité. En 60 ans, les Missionnaires de la Charité sont passés d’une petite congrégation de 13 personnes à une « super entreprise de charité » de près de 4000 nonnes dans le monde entier !  Mère Teresa est sans contexte l’une des figures les plus marquantes du XXème siècle.



Mére Térésa

Publié à 18:41 par lusile17 Tags : femme amour amitié travail soi dieu
Mére Térésa

Mére Térésa

Le Pape Jean Paul II une grande admiration pour Mére Térésa

Bienheureuse Teresa de Calcutta

Un jour, dans la rue, Mère Teresa ramasse une femme agonisant, jetée par son fils dans une poubelle et dont les membres étaient déjà rongés par les rats et les fourmis. Aucun hôpital ne veut les accueillir. C’est ainsi que naît la maison des mourants de Calcutta où 40 000 personnes ont été depuis transportées pour y finir leur vie dans la paix. Suivent beaucoup d’autres œuvres : orphelinats, cités de la paix pour les lépreux, cuisines de la charité, maisons spécialisées pour les malades du sida. Rien ne semble arrêter ce frêle petit bout de femme, mue par une force intérieure hors du commun.

Les Missionnaires de la Charité, outre les trois vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance font un pas de plus dans le renoncement en prononçant un quatrième vœu : celui de se vouer au service des plus pauvres d’entre les pauvres, de ceux qui ne peuvent les dédommager de leur peine, dont on n’attend rien en retour. Mère Teresa limite volontairement le travail des sœurs à une catégorie de personnes, les plus méprisés, les plus défigurés. En choisissant l’abaissement et le dépouillement, en consentant au plus difficile, les sœurs s’identifient à Jésus abandonné par les siens, celui qui « s’est anéanti lui-même, en prenant la condition d’esclave »

 Mère Teresa est hantée par cette vision de Dieu mendiant l’amour de l’homme : « Affamé d’amour, Il te regarde ; assoiffé de bonté, Il te supplie ; mis à nu par amour de la vérité, Il espère en toi ; infirme et emprisonné par amitié, Il attend cette amitié de toi ; sans abri, Il demande refuge en ton cœur ; veux-tu être tout cela pour Lui ? »
Le service des pauvres n’est donc pas une fin en soi mais la voie concrète pour aimer le Christ.

 Parcourir inlassablement les routes de Calcutta et les bidonvilles du monde est à ses yeux un privilège puisque c’est Jésus que l’on soulage.



Mére Térésa

Publié à 18:41 par lusile17 Tags : enfants fille dieu couture
Mére Térésa

Mére Térésa-Le Pape Jean Paul II

Les parents d'Agnès Gongea-Boiaxhiu sont des commerçants bourgeois et catholiques, Albanais d'ascendance de la région de Mirdita, région du Nord de l'Albanie. Son père Kol est à la tête de différentes entreprises en bâtiment et vend des produits pharmaceutiques. Ils ont deux enfants, une fille Age, et un fils Lazare quand Agnès naît à Skopje le 26 août 1910, dans une province de l'Empire ottoman.

Kol, son père, est d'origine macédo-roumaine et tient à ce que ses enfants aillent à l'école, garçon, comme fille, chose relativement rare dans un pays marqué par l'influence ottomane. Les enfants aident aux travaux domestiques et reçoivent par leur mère une éducation religieuse

Ses parents, catholiques pratiquants, aident souvent les pauvres de la ville, et Agnès accompagne souvent sa mère dans la visite aux plus démunies, tant pauvres, qu'alcooliques ou orphelins. Drâne, sa mère conseille à ses enfants « Quand vous faites du bien, faites-le comme une pierre que vous jetez à la mer ». De même ils partagent régulièrement leur table avec des pauvres, Agnès est marqué par la recommandation de sa mère « Ma fille n'accepte jamais une bouchée qui ne soit partagée avec d'autres ».

En 1919, dans un contexte de tensions ethniques et religieuses (guerres des Balkans au cours desquelles la région est conquise par la Serbie puis première guerre mondiale), son père est victime d'un malaise et meurt. Elle se retrouve alors à 9 ans orpheline. Les entreprises familiales font faillite et Drâne ouvre alors un atelier de couture afin de subvenir aux besoins de sa famille.

Sa mère éduque alors ses enfants dans la foi, les enfants participent activement à la vie de la paroisse tenue par des jésuites. La famille organise des veillées de prières, participent aux offices, Agnès devient soprano de la chorale du village, joue au théâtre, apprend la mandoline. C'est dans cet ambiance de prière qu'Agnès pense, à l'âge de 12 ans à se consacrer à Dieu, elle met six ans à être convaincu de cet appel. Elle aime la solitude, la lecture, mais sa santé est fragile et elle est victime de rhumes chroniques.

Un nouveau père jésuite Franjo Jambrekovic développe dans sa paroisse l'intérêt pour les missions, tant par des prières que des revues ou des conférences de missionnaires qui viennent. A l'age de 17 ans, elle lui demande comment discerner sa vocation, celui-ci répond que c'est « par la joie ». Après un pèlerinage au sanctuaire marial de Letnice, elle ressent le désir de se consacrer.

Elle demande à sa mère l'autorisation d'entrer dans la congrégation des sœurs de Loreto. Sa mère accepte, malgré l'opposition de son frère Lazare qui trouve cela du gâchis. Agnès postule avec l'aide du père Franjo Jambrekovic et son départ est prévu pour le 25 septembre 1928

Elle arrive à Calcutta et elle est très vite choquée par l'extrême pauvreté , elle écrit ses impressions à un journal catholique de son village : « Si les gens de nos pays voyaient ces spectacles, ils cesseraient de se plaindre de leurs petits ennuis ». Une fois arrivée elle part pour Darjeeling où elle fait son postulat et son noviciat. Agnès devient novice le 23 mai 1929 et porte l'habit religieux pour la première fois. Elle est coupée du monde, elle reçoit une formation religieuse par la lecture des vies de saints, et prépare son diplôme d'enseignante. Le 25 mai 1931 elle fait ses voeux temporaires et change de nom pour sœur Mary-Teresa. Sœur Mary-Teresa veut se placer sous le patronage de Thérèse de Lisieux, orpheline comme elle, religieuse carmélite canonisée trois ans plus tôt en 1925, déclarée sainte patronne des missions, qui voulait vivre « tout par amour » et qui a écrit « ma vocation c'est l'amour »