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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Mére Térésa

Publié à 18:41 par lusile17 Tags : enfants amour message voyage dieu chez
Mére Térésa

Mére Térésa

Après avoir travaillé quelques mois dans un dispensaire au Bengale où elle soigne des pauvres, soeur Mary-Teresa devient enseignante à l'école de Loreto Entally à Calcutta de 1931 à 1937. Face à des classes de 300 élèves, sa pédagogie stricte et son service humble lui vaut une proximité avec les enfants indiens qui l'appellent rapidement "Ma", ce qui signifie "Mère". Elle prononce ses vœux définitifs en Inde le 24 mai 1937. Elle devient en 1944 directrice des études à Sainte-Marie, école réservée à des classes sociales supérieures de Calcutta. Elle consacre une partie de son temps aux bidonvilles où elle se rend pour consoler les démunis et les malades et visiter ceux qui sont hospitalisés à Nibratan Sarkal

Le10 septembre 1946, au cours d'un voyage en train deCalcutta àDarjeeling dont le but est la retraite annuelle de sa communauté, elle reçoit ce qu'elle appelle « l'appel dans l'appel » . Alors qu'elle essaye de dormir : « Soudain, j'entendis avec certitude la voix de Dieu. Le message était clair : je devais sortir du couvent et aider les pauvres en vivant avec eux. C'était un ordre, un devoir, une certitude. Je savais ce que je devais faire mais je ne savais comment »

 Mère Teresa parle de cette journée comme étant le « jour de l'inspiration ». Mère Teresa ajoute que cette expérience est celle de l'amour de Dieu, qui veut aimer mais aussi être aimé. Elle exprime cette expérience beaucoup plus tard dans une lettre en 1993 revenant sur cette expérience du 10 septembre, en affirmant que Dieu a soif de nous :« Si vous devez retenir quelque chose de la lettre de Mère, retenez ceci:"J'ai Soif" est bien plus profond que Jésus vous disant "Je vous aime". Tant que vous ne savez pas au plus profond de vous que Jésus a soif de vous, vous ne pouvez pas savoir qui il veut être pour vous. Ou qui il veut que vous soyez pour lui ».

Elle ne parle à personne de cette expérience et médite en silence. De retour à Calcutta, elle écrit à son père spirituel jésuite Van Exem, et lui dit son désir de tout quitter. Il lui recommande alors de prier et de garder le silence. Peu de temps après il expose la situation à l'évêque de Calcutta Mgr Fernand Périer qui s'y oppose. Sœur Maria-Teresa n'est pas surprise de la réponse et mûrit son désir : elle veut fonder alors un nouvel ordre religieux. Elle tombe gravement malade peut de temps après et est envoyé dans un sanatorium à Asansol, dans l'Etat deBihar, pour guérir d'un début detuberculose. Au cours de ce temps elle prie et approfondit le message qu'elle a reçu, non seulement la découverte que Dieu l'aime mais aussi qu’il veut être aimé.

Ce temps de repos est écourté du fait de lacrise qui secoue l'Inde, les sœurs rappellent Sœur Maria-Teresa du fait des besoins d'aide. L'évêque apprend la détermination toujours intact de Sœur Maria-Teresa et lui demande l'autorisation du Vatican avant de quitter l'ordre. Le8 aout 1948 elle reçoit la réponse, le papePie XII accorde la permission d'exclaustration à Mère Teresa pour un an.

Sœur Maria-Teresa, qui se fait appeler Mère Teresa. Elle décide de partir immédiatement pourPadna afin de recevoir une formation d'infirmière .Elle revient quatre mois plus tard et loge chez lespetites sœurs des pauvres.

Elle décide alors de donner des cours dans la rue aux enfants dès le 21 décembre 1948, dix jours plus tard ils sont déjà plus de 50 enfants. Elle cherche à louer un local et distribue des savons en en expliquant l'usage. Elle ouvre alors dans un autre bidonville de Tiljana une nouvelle école. Elle tente de soigner les pauvres qu'elle rencontre.

En janvier 1949 elle recherche à vivre au plus près des pauvres, et ne veut plus vivre avec l'aide des petites sœurs des pauvres ; elle décide donc de chercher un nouveau lieu et grâce à l'aide du père Van Exem elle est accueillie au dernier étage d'une maison de Portugais . Sa vie s'organise alors entre temps de prière, enseignement auprès d'enfants et soins des mourants. Elle reçoit l'aide ponctuelle de laïcs et mendie auprès des pharmacies des médicaments qu'elle ne peut payer

En août 1949, le délai d'exclaustration étant achevé, l'évêque décide de prolonger l'exclaustration de Mère Teresa



Mére Térésa

Publié à 18:41 par lusile17 Tags : amour nuit dieu coeur
Mére Térésa

Mére Térésa

Naissance du mouroir de Kaligat 

Très vite plus de dix jeunes filles décident de suivre Mère Teresa. Elle oblige ses anciennes élèves à achever leurs études. Au printemps 1950 le Père Van Exem demande à Mère Teresa d'écrire une règle religieuse. Elle écrit la règle en une nuit et décide de choisir le nom de missionnaire de la Charité. Elle choisit ce nom de charité, agapé : amour qui vient de Dieu, Mère Teresa voulant répandre l'amour qui vient de Dieu .Mgr Ferdinand Perier inaugure la nouvelle congrégation le 7 octobre 1950. Elles adoptent l'habit du sari comme habit religieux pour se fondre parmi les populations indiennes.

Mère Teresa voit un mourant et décide de l'emmener à l'hôpital, mais il est refusé et meurt. Mère Teresa décide alors de s'occuper des mourants et demande un lieu à la mairie de Calcutta, qui lui offre un local à Kaligat proche du temple de Kali, déesse hindoue de l'Amour. Elle appelle la maison « Nirmal Hriday », « maison au coeur pur - Foyer pour mourants abandonnés ». Les sœurs amènent les mourants les plus pauvres et les plus abandonnés et les soignent avec des moyens rudimentaires. Cependant l'installation de religieuses catholiques proche d'un centre hindou est vue d'un mauvais œil par les hindous qui les accusent de prosélytisme. Une émeute éclate et les sœurs doivent leurs survies à la protection de la police. Un des opposants, victime de la tuberculose, rejeté car intouchable, est recueilli quelques mois plus tard. Son opinion sur Mère Teresa change et voit en elle une réincarnation de la déesse Kali, ce qui conduit à établir des relations de fraternité entre les hindous et Mère Teresa.

Deux ans après la fondation, Mère Teresa achète une maison, vendue à prix dérisoire par un musulman, pour y établir les sœurs. Mère Teresa exige des sœurs une pauvreté des lieux, qu'elle justifie « Comment puis-je regarder les pauvres en face, comment puis-je leur dire « je vous aime et je vous comprends » si je ne vis pas comme eux ». De même elle refuse l'aide économique du Vatican. La vie est organisée autour des temps de prières le matin et le soir, et la journée au service des pauvres. Mère Teresa affirme que la « prière est la respiration de l'âme. Sans la force que nous recevons de la prière, notre vie serait impossible ». Elle explique le lien entre la prière et l'action des sœurs missionnaires de la Charité, voyant dans chaque pauvre la présence de Dieu : « Jésus veut rassasier sa propre faim de notre amour en se cachant derrière les traits de l'affamé, du lépreux, du mourant abandonné. C'est pourquoi nous ne sommes pas des assistantes sociales mais des contemplatives au cœur même du monde. Nos vies sont consacrées à l'eucharistie par le contact avec le Christ, caché sous les espèces du pain et du corps souffrant des pauvres »

 



Mére Térésa

Publié à 18:41 par lusile17 Tags : enfants chien dieu amitié cadeaux femmes couture
Mére Térésa

Mére Térésa

L'orphelinat de Nirmala Shishu Bavan

Un jour Mère Teresa aperçoit un enfant abandonné en train d'être mangé par un chien dans la rue, elle recueille l'enfant qui meurt quelques temps après. Mère Teresa décide alors de créer un orphelinat. Le nouveau centre Nirmala Sishu Bavan ouvre ses portes le 24 novembre 1955, elle recueille les enfants abandonnés et les propose à l'adoption. Elle ouvre quelques temps après un centre spécialisé pour les enfants adoptés, qui du fait de la croyance au mauvais karma, et aux intouchables ne sont pas adoptés.

Pour Mère Teresa, chaque vie est sacrée, elle s'oppose toute sa vie à l'avortement « Toute vie est vie de Dieu en nous. Même l'enfant non encore né a la vie de Dieu en lui. Nous n'avons pas le droit de détruire cette vie, quel que soit le moyen employé et pour quelque raison que ce soit ». Son engagement contre l'avortement prend deux formes, l'éducation à la méthode de contraception naturelle, mais aussi favoriser les adoptions d’enfants de personnes qui veulent avorter.

Le Premier Ministre duBengale, Dr.en:Bidhan Chandra Roy donne alors une aide financière, et rencontre Mère Teresa, avec qui il noue une amitié profonde. De même les premiers laïcs dont Ann Blaikie rencontre Mère Teresa et veulent aider en offrant des cadeaux pour les enfants àNoël. Mère Teresa qui ne veut exclure aucun enfant lui demande d'offrir des cadeaux aussi pour les fêtes musulmanes ou hindoues. Ces laïcs de plus en plus nombreux deviennent les coopérateurs actifs de l'ordre en 1960.

L'année 1959 marque ce que Mère Teresa appelle le « troisième pas de ma vie ». Dix ans après sa fondation sa congrégation peut se développer en dehors des limites de son diocèse de Calcutta. Mère Teresa s’implante àRanchi, puis àNew Dehli en présence dupremier ministre de l'Inde Nehru. L'année suivante elle fonde des missions à Jansi, Agâ, Asansal et Bombay ou elle s'offusque publiquement de l'extrême pauvreté qui y règne. Cette critique déclenche une campagne de presse à Bombay contre Mère Teresa. Cependant en 1962 elle reçoit le premier prix Padna Shri des mains du président indien pour son œuvre..

En 1963, Mère Teresa s'oppose, en vain, à la destruction d’un hôpital de lépreux à Calcutta ; elle décide de créer en 1963 une cité pour lépreux, la Cité de la paix à Asansol. La cité commence dès 1964. Le PapePaul VI en visite en 1965 en Inde offre sa limousine à Mère Teresa, qui décide alors de la mettre aux enchères afin de pouvoir financer la construction de sa cité.

En mars 1963 les premiers hommes fondent les frères missionnaires de la charité, Mère Teresa rencontre le père jésuite Andrew Travers-Ball et lui propose de diriger la nouvelle congrégation, ce qu’il accepte. Il écrit les constitutions de l’ordre avec Mère Teresa, et reçoit en 1967 l’approbation de Rome, malgré des différences de conceptions, tant sur l’habit que sur la conduite religieuse différente des sœurs; Mère Teresa préfère se soumettre à la conception du Père Andrew.

Dès 1965 les missionnaires de la Charité s’implantent enAmérique latine.L’intégration est assez difficile dans ces pays du fait d’une politisation accrue du clergé local.Mère Teresa refuse cependant tout engagement politique des sœurs, choisissant d’aller dans tous les pays, même les dictatures, comme Haïti, les Philippines de Ferdinand Marcos ou le Yémen, dictature musulmane, ce qui lui est très vivement reproché.

En 1968 à la demande de Paul VI, elle ouvre une maison à Rome, et découvre alors la grande pauvreté qui existe aussi dans le monde occidental. Dans le même temps, les sœurs œuvrent au Bangladesh, pays alors dévasté par la guerre civile ; de nombreuses femmes sont victimes d’exactions, violées par les soldats. Son œuvre s'étend peu à peu partout où est la pauvreté, même dans des régions hostiles, dans des pays communistes, jusque-là interdits à tout missionnaire. AuYémen par exemple, pays à majorité musulmane où l'influence chrétienne est faible, Mère Teresa, invitée par le Premier Ministre en1973, ouvre des cours de couture àAl Hudaydah et s'occupe également deslépreuxqui vivent retirés dans les grottes du désert yéménite. On la surnomme Mère sans frontière



Mére Térésa

Publié à 18:30 par lusile17 Tags : enfants voyages
Mére Térésa

Mére Térésa

En 1969 les missionnaires de la Charité sont reconnues de droit pontifical et en 1971 elle reçoit le prix Jean XXIII du pape Paul VI, ce qui marque le début de la reconnaissance mondiale de son œuvre.Elle fonde alors une maison à New York ainsi qu’un noviciat à Londres. En 1976 elle décide de fonder l’ordre des sœurs contemplatives, les sœurs du Verbe qui consacrent leurs temps à la prière pour les pauvres, elle fonde la première maison à New York .En 1978 elle reçoit le prix Balzan pour l'humanité, la paix et la fraternité entre les peuples .

En plus de ses nombreuses médailles, Mère Teresa est docteur honoris causa de plusieurs universités.

Le 17 octobre 1979, Mère Teresa reçoit le prix Nobel de la paix qu'elle accepte « au nom des pauvres ».

À partir de ce moment la vie de Mère Teresa devient fortement médiatisée. Mère Teresa critique alors le matérialisme et l'égoïsme des sociétés occidentales.

Mère Teresa refuse toute logique d’organisation ou de business de l’œuvre : elle veut que les missionnaires de la charité vivent de la providence, et donc des dons, mais sans trop accumuler. Elle décide donc en juillet 1981 de refuser des dons d’argent trop nombreux, la presse critique alors Mère Teresa qui aurait trop d’argent au point d’en refuser.

De même elle refuse les associations qui ne la soutiennent que financièrement affirmant qu’elle ne veut pas d’amis mais des coopérateurs .

En1982, sur une des hauteurs du siège deBeyrouth, mère Teresa sauve 37 enfants hospitalisés pris au piège dans une ligne de front entre l'armée israélienne et la guérilla palestinienne. Elle provoque un cessez-le-feu et accompagnée par laCroix-Rouge, elle traverse la zone de tir jusqu'à l'hôpital dévasté pour évacuer les jeunes patients.

En1984, elle fonde les « pères missionnaires de la Charité » avec le pèreJoseph Langford. Le11 décembre de la même année, elle vient assister les victimes de lacatastrophe de Bhopal, quelques jours après le désastre. En 1985 elle reçoit deRonald Reagan la plus haute distinction américaine. La même année elle crée à New York le premier foyer pour les victimes du SIDA, qui vient de faire son apparition.

 En 1989 Mère Teresa est victime d’un arrêt cardiaque, et elle décide de démissionner de la charge de supérieure des Missionnaires de la Charité .Elle est cependant réélue en 1990. Elle continue ses voyages malgré sa santé fragile, et fonde une maison en Albanie, pays de sa naissance. En décembre 1991 elle est de nouveau victime d’un arrêt cardiaque, elle se repose mais reprend ses visites dans le monde entier, cherchant à fonder en Chine.

Mère Teresa a une tumeur à l'estomac. Le 5 Septembre 1997, elle est amenée à l'hôpital d'urgence et ce n'est que vers 14h30 qu'elle décèdera des suites de cette tumeur.



Mére Térésa

Publié à 18:30 par lusile17 Tags : coeur nuit travail dieu
Mére Térésa

Mére Térésa

Alors que Mère Teresa embrasse pleinement sa vocation missionnaire, elle insiste tout autant sur la nécessité d'une vie contemplative de prière. Ainsi, malgré la surcharge de travail, elle insiste pour que chacune des Missionnaires de la Charité puisse participer à l'Eucharistie et passer une heure devant le Saint Sacrement chaque jour, à partir du Chapitre générale de sa Congrégation de 1973. Pour Mère Teresa, la prière n'est pasdu temps pris sur le service des pauvres, mais bien une partie essentielle de celui-ci : « plus nous recevons dans la prière silencieuse, plus nous pouvons donner. » Le pape Benoît XVI a mis en avant la vie de Mère Teresa comme un exemple de cette articulation de la prière et de la charité au coeur de son encyclique Deus Caritas est :

« La bienheureuse Teresa de Calcutta est un exemple particulièrement manifeste que le temps consacré à Dieu dans la prière non seulement ne nuit pas à l’efficacité ni à l’activité de l’amour envers le prochain, mais en est en réalité la source inépuisable. »

— Benoît XVI, Deus caritas est



Mére Térésa

Publié à 18:30 par lusile17 Tags : amour femmes
Mére Térésa

Mére Térésa - Le Pape Jean Paul II

Le 11 Avril 1990, le pape Jean Paul II accepte sa démission de Supérieure générale des Missionnaires de la charité, en raison de son âge et de sa santé. Mais elle reste la Mère, celle qui apporte aux hommes la certitude que toute vie vaut la peine d'être vécue.

Malgré sa souffrance physique et psychologique et la pauvreté qui l'entoure, Mère Teresa défend toute sa vie durant la réalité du bonheur terrestre accessible par la simplicité. En s'appuyant sur son expérience et celle des hommes et des femmes qui l'ont suivie, Mère Teresa trace un chemin tout simple vers le vrai bonheur qu'elle résume dans son dernier ouvrage Un Chemin tout simple publié de son vivant en 1995. Ce chemin se résume en cinq lignes qu'elle imprime sur des petits cartons jaunes qu'elle distribue à ses visiteurs:

« Le fruit du silence est la prière.

Le fruit de la prière est la foi.

Le fruit de la foi est l'amour.

Le fruit de l'amour est le service.

Le fruit du service est la paix. »

— Mère Teresa, Un Chemin tout simple



Mére Térésa

Publié à 18:30 par lusile17 Tags : travail soi livre
Mére Térésa

Mére Térésa

Mère Teresa devient en quelques décennie l’une des personnes les plus connues de la planète et une légende vivante. Son nom devient synonyme d’amour inconditionnel, de don de soi et de dévouement .Son désintérêt pour les honneurs, elle oublie ses prix, ou vend les médailles afin de financer son œuvre accentue l’image désintéressé qu’elle a , même si elle dit les accepter "en faveur des démunis".

Tout au long de sa vie les reconnaissances pleuvent : Mère Teresa reçoit sa première distinction indienne, la médaille de Padma Shri, dès 1962. Elle en recevra beaucoup d'autres, dont le Prix Jawaharlal Nehru pour le dialogue international en 1972. Le Jury explique son choix en affirmant : « On ne peut que rarement voir un sacrifice aussi désintéressé et infatigable que celui de Mère Teresa en faveur des membres les plus faibles de la société humaine. Ce service altruiste, fait sans aucune distinction de nationalité, de caste ou de religion et sans aucune attente de reconnaissance publique, est un merveilleux exemple de la façon dont une œuvre silencieuse et efficace, un travail, un dévouement, peuvent contribuer à la promotion de l’amitié et à la compréhension entre les peuples. » .

Sa notorité internationale grandit avec le documentaire Something Beautiful for God de Malcolm Muggeridge diffusé en 1969 sur la BBC et son livre publié en 1971. Elle reçoit du pape Paul VI, en 1971, le Prix Jean XXIII pour la Paix, puis le Prix Pacem in Terris en 1976, ainsi que de nombreux titres dont le le Prix Nobel de la Paix en 1979. Lors de l’attribution du prix Nobel de la Paix de nombreux journaux la décrivent comme une sainte vivante .

Son rayonnement dépasse tous les clivages religieux et culturels. Ainsi, les musulmans bengali l'appellent la Zinda Pir, ou Sainte Vivante en langue ourdoue, le Dalaï-Lama affirme « C'est un être pour qui j'ai le respect le plus profond. Dès l'abord, j'ai été frappé par l'absolue humilité de son comportement. Du point de vue bouddhiste, elle pourrait être considéré comme un bodhisattva ».

L’Eglise catholique reconnaît dans un temps éclair l’héroïcité de ses vertus, et elle est béatifiée en octobre 2003 par Jean-Paul II.



Mére Térésa

Publié à 18:30 par lusile17 Tags : anniversaire nuit cadre
Mére Térésa

Mére Térésa

Béatification

L'Église catholique reconnaît un miracle à Mère Teresa. Il s'agit de la guérison, contestée par des médecins indiens, d'une Indienne, Monika Besra, atteinte d'une tumeur à l'estomac. Cette guérison remonte au 5 septembre 1998, date du premier anniversaire du décès de la fondatrice des Missionnaires de la charité.

La célébration solennelle de la béatification de Mère Teresa a lieu le 19 octobre 2003 sur la place Saint-Pierre, à Rome. Cette date est choisie parce que c'est le dimanche le plus proche du deuxième anniversaire de l'élection du pape Jean-Paul II, et aussi parce qu'elle est proche de la fin de l'année du rosaire qui finit en octobre 2003.

Canonisation

Sacanonisation requiert la reconnaissance d'un deuxième miracle attribuable à Mère Teresa. La question s'est posée de savoir si les récentes mises à jour de lettres décrivant laNuit de la foi traversée par Mère Teresa ralentirait le processus de sa canonisation. Dans un document officiel, le Vatican a affirmé que les doutes et la souffrance mis en lumière par les écrits de la religieuse sont perçus comme un élément enrichissant sa personnalité. Ainsi, un nouveau miracle suffit, car l’on considère que l’examen de la personnalité a déjà été fait dans le cadre du procès en béatification. LaCongrégation pour les causes des saints reconnaît que les termes employés par la religieuse pour décrire sa souffrance « sont particulièrement forts, et peuvent donc choquer », mais elle rappelle aussi que cette « nuit de la foi » est une expérience souvent vécue dans la vie spirituelle.



Mére Térésa

Publié à 18:30 par lusile17 Tags : homme mort chez dieu
Mére Térésa

Mére Térésa

 C’EST L’AMOUR À L’ŒUVRE 

“Le seul moyen d’éliminer la pauvreté, c’est le partage. Le Christ est allé chez les plus pauvres, pour montrer qu’il fallait s’aimer les uns les autres, c’est-à-dire partager. Utiliser ce que Dieu a offert à ceux qui possèdent et le partager avec ceux qui n’ont rien”.

Les religieuses et les religieux qui sont dans l’ordre de Mère Teresa, ne se sont jamais sentis aussi vivants qu’en cet endroit de Calcutta où règne la mort. Ils n’ont jamais été si près du paradis qu’en cet enfer. Un homme soigné de la lèpre ne cesse de répéter: “Vous savez, Mère Teresa a sauvé 50.000 lépreux en Inde, ils ont été soignés et guéris”. On avait demandé à Mère Teresa comment les “Missionnaires de la Charité” s’étaient transformés en une grande institution. Elle rétorqua: “Ce n’est pas une institution! C’est l’amour à l’œuvre...” L’œuvre de Mère Teresa est immense. Elle couvre 71 pays: léproseries, centres d’accueil pour les victimes du SIDA, écoles, soupes populaires et foyers pour indigents et mourants.



Mére Térésa

Publié à 18:23 par lusile17 Tags : enfants dieu
Mére Térésa

Mére Térésa -Le Pape Jean Paul II

EN 1950 EST FONDÉ L’ORDRE DES “MISSIONNAIRES DE LA CHARITÉ”
 

La chambre de Mère Teresa donne sur le bidonville. Elle voit la situation pauvre et peu salubre où vivent les enfants en une ville qui, encore aujourd’hui, n’est qu’un immense bourbier de famine.

Il ne fallut que deux ans à cette petite religieuse très volontaire pour passer à travers les échelons de la hiérarchie catholique romaine de l’Inde, fort sceptique, pour obtenir la permission de devenir religieuse “libre”, non cloîtrée. Elle suivit une formation médicale intensive à Patna, au nord-est de l’Inde, avant de retourner dans les bidonvilles de Calcutta

Aujourd’hui, grâce à son ordre, 176.000 familles sont nourries, 22.000 enfants sont accueillis dans 97 écoles, 196.000 lépreux sont soignés, 37.000 indigents et mourants sont assistés. “Tout se fait en fonction des besoins”, dit Mère Teresa. “Dieu est l’amour en action, poursuit-elle. Il peut mobiliser n’importe qui, n’importe quand, n’importe où. Il demande d’agir en fonction d’un besoin: c’est Lui qui trouvera les ressources nécessaires. C’est pourquoi il faut Lui faire entièrement confiance et ne pas s’inquiéter de trop vouloir organiser”. Tout de même, comment expliquer qu’un ordre fondé est passé, en moins de cinquante ans, à 3000 religieuses et 400 religieux? “C’est l’œuvre de Dieu et non la mienne, assure Sœur Teresa. “Humainement parlant, c’était irréalisable. C’est Dieu qui a tout fait”. C’est cette confiance en Dieu qui la faisait sillonner l’Inde, apparaître en Europe; puis, se précipiter en Ethiopie et au Soudan quand y régnait la famine. On la voyait, ensuite, aux Philippines, à Los Angeles et aux Nations Unies à New-York.