Église Notre-Dame de l'Assomption- Pozières

Pozières est une commune française, située dans le département de la Somme et la région Picardie.

Complètement détruite pendant la Première Guerre mondiale, l'église de Pozières a été reconstruite à l'identique. Face à elle s'élève le monument aux morts de Pozières, en hommage aux combattants du village. On peut y lire : « Pozières à ses morts de la Grande Guerre 1914-1918 ».

Église Saint-Jean-Baptiste de Péronne

Église construite sur le site d'une petite chapelle qui existait déjà en 1101, l'église Saint-Jean-Baptiste de Péronne, consacrée en 1525, est le seul édifice de style gothique flamboyant que compte encore Péronne au début du XXe siècle.

Détruite en partie par le feu prussien en 1870, le XXe siècle commençant lui réserve d’autres menaces et souffrances.

L’église Saint Jean-Baptiste entre pourtant dans le XXe siècle avec les honneurs : le 25 septembre 1901, les grilles en fer forgé de son chœur (XVIIIe siècle) sont en effet classées monuments historiques. Elles proviennent d’un don effectué en 1775 par un lieutenant criminel du bailliage de Péronne. De même, le 4 avril 1907, Aristide Briand, alors ministre de l’Instruction publique, inscrit aux Monuments historiques l’église elle-même, ainsi que son principal mobilier (deux tableaux, une peinture murale du XVIe siècle, et deux retables

Dès octobre 1914, les Allemands occupent l’église et surtout le clocher, qui devient un poste principal d’observation du front relativement proche. Ils y montent même une mitrailleuse lourde pour la défense anti-aérienne de la ville.

À la fin du mois de janvier 1916, l’église Saint-Jean se transforme temporairement en prison. Elle reçoit près de 500 prisonniers français capturés sur le front à Frise.

Au milieu de l’année 1916, Saint-Jean-Baptiste est en fait épargnée par la guerre, jusqu'aux bombardements alliés précédant la Bataille de la Somme. Le 7 juillet 1916, la façade Saint-Jean reçoit ses premiers éclats alors que le centre-ville croule sous les obus : ses vitraux sont brisés, plusieurs sculptures de la façade s’effondrent rue Saint-Jean.

Après l’armistice de 1918, les paroissiens péronnais retrouvent une église fantôme : seuls les murs ont résisté, ainsi qu’une seule voûte où l’on retrouve encore aujourd’hui la peinture murale du XVIe siècle, « la Belle Mort ».

Enfin, le dimanche 10 juillet 1932, la bénédiction solennelle de la troisième église Saint-Jean est effectuée par Mgr Lecomte, évêque d’Amiens.

La Seconde Guerre mondiale
L’église Saint-Jean-Baptiste est heureusement épargnée par les ravages de la Seconde Guerre mondiale. Alors que la ville de est de nouveau détruite à plus de 30%, seuls les vitraux de Saint-Jean sont cassés par l’explosion d’un wagon de munitions en 1944.

À part les restaurations partielles de 1972 et 1983, la réfection de ses orgues en 1987, et la destruction de son presbytère pour cause de vétusté, Saint-Jean-Baptiste, restée le symbole religeux majestueux à Péronne, et ayant retrouvé la sérénité qui convient si bien aux édifices religieux, est un monument visité chaque année par près de 5 000 personnes.

Église paroissiale Saint-Didier-Chaulnes

Chaulnes est une commune française, chef-lieu de canton, située dans le département de la Somme et la région de Picardie. Ses habitants sont les Chaulnois.
Pendant la Première Guerre mondiale,La ville a subi d'importantes destructions pendant cette époque

Église paroissiale Saint-Didier, reconstruite en béton armé et briques en 1927 après les destructions de la Première Guerre mondiale, sur les plans de Godefroy Teisseire. Les vitraux sont de Raphaël Lardeur et la décoration intérieure d'inspiration byzantine de Aldighieri Dominique

Moreuil_le clocher moderne de l'église Saint-Vast

L'abbaye de Saint-Vast

Elle n'était à l'origine qu'un hospice où les Bénédictins du lieu entretenaient deux ou trois religieux chargés de faire valoir leurs biens. Par la suite, les moines bâtirent une chapelle et remplirent les fonctions curiales. En 1109, Bernard de Moreuil institua la chapelle sous le titre de prieuré de Saint-Vast. Vers 1140 ou 1150, ce prieuré fut érigé en abbaye et devint le lieu de sépulture des seigneurs de Moreuil
Le clocher moderne de l'église Saint-Vaast, conçu par les architectes Duval et Gonse. Le cardinal Créquy, évêque d'Amiens, fit, par son testament en date du 15 juin 1574, plusieurs legs à l'abbaye Saint-Vast, par lequel il ordonna " que, tous les ans, le 17 juillet, jour d'anniversaire de la naissance, il serait présenté à l'autel pendant l'offertoire de la messe, un bouquet " bois doré et peint ", autour duquel seraient ses noms et qualités, et qu'il serait chanté un service et obit solennels. Pendant celui-ci, on mettrait sur son tombeau un drap d'or aux quatre coins duquel seraient un écusson aux armes de son père, un autre à celles de sa mère, un troisième aux armes de son frère et la quatrième à ses propres armes .

Poix-de-Picardie-église Saint-Denis au cœur des Evoissons

Envie de respirer ? Nous vous emmenons à la découverte de la vallée des Evoissons. La balade à pied commence à Poix-de-Picardie. C’est un bourg lové dans la verdure. La belle église Saint-Denis du XVIème siècle de style flamboyant abrite des clefs de voûtes à pendentifs sculptés. Autre curiosité marquant le paysage, le viaduc ferroviaire de Poix (1866) de 246 m de long. Il est entièrement fait de briques. Il permet le franchissement de la vallée de Fay, profonde de 33 m.

Parmi celles qui se visite, l’Eglise Saint-Denis à Poix-de-Picardie (XVIème), classée Monument Historique, possède de magnifiques voûtes, elle offre au visiteur une vue imprenable sur la ville.

Église Notre-Dame de Tilloy-lès-Conty (Somme )

Église Notre-Dame du XVIIIe siècle

L'église Saint-Vaast de Wailly (SOMME)

L'église Saint-Vaast de Wailly, construite en style baroque au milieu du XVIIIe siècle, financé par la princesse de Croÿ en remplacement de l'église paroissiale détruite par incendie en 1720. Elle contient un mobilier du XVIIIe siècle, et notamment un lutrin, une statue de Saint-Michel terrassant le démon et deux crédences
Le clocher de l’église rappelle ceux de Toscane

L'église Saint-Antoine -Conty

Conty est un bourg picard du sud de la Somme (à 20 km d'Amiens), situé dans la vallée de la Selle au confluent des Évoissons et d'autres petits ruisseaux.

Au centre du village, l’église Saint-Antoine abrite une fontaine miraculeuse. Selon la légende, on y sollicitait la protection des animaux et la guérison des bêtes malades. Admirez les imposantes gargouilles et la statue de Saint-Antoine.

L'église Saint-Antoine, datant des XVe et XVIe siècles, est un vaste et bel édifice en pierre, de style gothique flamboyant classé "Monument Historique". Il s'agit d'un des monuments les plus remarquables de Picardie. La statue du patron de l'église orne son clocher du XIVe siècle, magnifique tour carrée de 33 mètres de haut, appuyée à droite du chœur. L’église est bâtie en forme de croix, elle a environ 30 m de longueur sur 21 m de largeur.

Les clefs de voûte portent des pendentifs sculptés et les gargouilles du clocher sont dignes d'intérêt. Sur l'une d'elles (transept gauche), on peut voir les armes des princes de Bourbon-Conti qui possédèrent la seigneurie de « Conti » de 1551 à 1622.

Quatre belles statues du XVIIIe siècle, en bois, décorent le sanctuaire.

Autre légende contynoise : celle de la truite Antoinette. Elle vivait dans les eaux de la fontaine. On raconte qu’elle mesurait soixante-treize centimètres. Elle était très aimée des habitants. Un jour, des soldats la tuèrent d’un coup de fusil. Mais quand ils la mirent dans la poêle, Antoinette s’envola par la cheminée.

Ainval, hameau de Grivesnes (Somme)

Ancienne commune de la Somme, la commune d'Ainval-Septoutre a existé de 1829 à 1965. Elle fut créée en 1829 par la fusion des communes d'Ainval et de Septoutre. En 1965, elle a été supprimée et rattachée à la commune de Grivesnes

La croix surmontant la courte flèche du clocher a souffert d'une tempête récente.
La perspective fait croire que l'église touche la maison devant. Il n'en est rien. Un petit espace (de 2 ou 3 mètres) sépare les 2 bâtiments.

Frémontiers. - Eglise Saint-Pierre (Somme)

L'intérêt architectural et artistique de l'église de Frémontiers a justifié que sa façade et quelques contreforts soient classés au titre des Monuments historiques en 1931 - le reste avait déjà été inscrit sur l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques dès 1926.
Cette église du XVIème siècle se caractérise par la richesse ornementale de sa façade et de ses contreforts (les statues qui en occupaient les niches, trop abîmées, ont été déposées). Quoique de qualité, cette ornementation ne présente pas une grande originalité, ni pour l'époque, ni pour la région.
La demande d'augmentation de protection pour la partie inscrite ambitionnait davantage l'harmonisation juridique de cette protection qu'une reconnaissance esthétique et scientifique part