amour ange anges animaux art artiste background bébé belle belle image belles images bonne
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Images pieuses( Tous les Saints) (384)
· Cartes humour (divers) (499)
· Bébés droles (473)
· Peintres et peintures divers (1) (500)
· Peintres et peintures divers (501)
· Images pieuses, icones( la vierge Marie) (420)
· Belles illusts -gifs et images de Noël (1083)
· Enfants en noir et blanc (364)
· Illustrations - Contes et fables divers (412)
· Poésies de Noël (33)
bonjours cath gros bisous pour une journée de fête.
Par le Bris, le 25.11.2024
vvvvvvvvgghhft ggg
Par Anonyme, le 21.11.2024
je t 'invité à mon anniversaire
Par Anonyme, le 18.11.2024
fgerhz
Par Anonyme, le 30.10.2024
w2ww2
Par Ww, le 07.10.2024
· Poésies de Noël- Le sapin de Noël
· Gif et image de chat
· Poèmes de la Saint Valentin
· Poésie -Le bonhomme de neige
· Poémes(Le paradis des mamans )
· Lady DIANA
· Carte humour de chasseur
· Alice au pays des Merveilles (Disney)
· La Belle au Bois Dormant (Disney)
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Contes de Grimm - Boucles d'Or et les trois ours
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Conte de Perrault - Le petit Poucet
· Lady DIANA
Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Saint François de Sales
Aussi bien en Savoie qu'en France et dans l'ensemble du monde catholique, saint François de Sales s'impose par son prestige spirituel.
Fils d'une noble famille, il reçoit, dans les différents collèges qu'il fréquente, l'éducation intellectuelle et mondaine qui est celle de l'honnête homme formé par les jésuites. S'y ajoutent de multiples voyages, une formation juridique avant que ne se décide sa vocation pour l'état ecclésiastique.
Sa carrière est celle des prélats privés de leur résidence épiscopale et désireux de la reconquérir. En 1599, ses premiers succès de missionnaire amènent Claude de Granier, évêque de Genève, à le prendre comme coadjuteur. François de Sales refuse d'Henri IV l'offre d'une abbaye et le chapeau de cardinal: «Dieu ne l'avait pas fait pour les grandeurs...» En 1618, il refuse la charge de coadjuteur de Paris que lui propose le cardinal de Retz et revient dans son diocèse.
Évêque de Genève, il prend à cœur l'œuvre de mission face à la ville qui fut et demeure encore en partie la métropole du calvinisme. Les circonstances politiques sont favorables: pour le Chablais, il rencontre l'appui du duc de Savoie; pour le pays de Gex, celui d'Henri IV. Le protestantisme est sur la défensive. La controverse avec Théodore de Bèze n'aboutit pas. L'évêque de Genève, exclu de sa ville, agit dans le plat pays par des visites pastorales, fonde à Annecy, en 1606, une académie, convertit en 1622 le maréchal de Lesdiguières qui devient connétable à la mort de Luynes.
Apôtre de l'amour divin, François de Sales participe à la spiritualité catholique: en 1604, prêchant le carême à Dijon, il forme avec la baronne de Chantal «une sainte union» dont les effets seront bénéfiques pour la foi et qui permet de préciser certains traits de son caractère: éloigner les disputes «qui ont toujours altéré la charité et troublé la paix de l'Église», agir par l'exemple, la parole et la concorde. En 1610, il fonde l'ordre de la Visitation de Sainte-Marie, approuvé par le Saint-Siège, confié à la Mère de Chantal; érigé en congrégation, l'ordre compte 75 monastères en France et en Savoie lorsque meurt la Mère de Chantal, dont le fils est le père de Mme de Sévigné. La charité de François de Sales, entretenue par une correspondance assidue avec Jeanne de Chantal, se porte vers les pauvres d'Annecy et d'ailleurs. En 1604 paraît L'Introduction à la vie dévote;en 1616, le Traité de l'amour de Dieuque suivent les Entretiens spirituels,les Lettres,les Sermons,des opuscules divers où alternent problèmes de piété et de morale. «Sublime dans la direction des âmes», au dire de Bossuet, François de Sales meurt à Lyon au retour d'un voyage auprès de Louis XIII, le 28 décembre 1622. Il est canonisé en 1665.
SAINT FRANÇOIS de SALES
Évêque et Docteur de l'Église
(1567-1622)
Saint François de Sales naquit au château de Sales, en Savoie, de parents plus recommandables encore par leur piété que par la noblesse de leur sang. Nommer ce saint, c'est personnifier la vertu de douceur; il fut le saint aimable par excellence et, sous ce rapport particulièrement, le parfait imitateur de Celui qui a dit: "Apprenez de Moi que Je suis doux et humble de coeur." Ce sera là toujours le cachet et la gloire de François de Sales.
Toutes les vertus, du reste, lui étaient chères, et sa vie, depuis son enfance, nous en montre le développement progressif, constant et complet. Jeune enfant, au collège, il était le modèle de ses condisciples, et dès qu'ils le voyaient arriver, ils disaient: "Soyons sages, voilà le saint!"
Jeune homme, il mena la vie des anges. Prêtre, il se montra digne émule des plus grands apôtres, par ses travaux et par les innombrables conversions qu'il opéra parmi les protestants. Évêque, il fut le rempart de la foi, le père de son peuple, le docteur de la piété chrétienne, un Pontife incomparable
SAINT FRANÇOIS de SALES
Évêque et Docteur de l'Église
(1567-1622)
Revenons à sa douceur; elle était si étonnante que saint Vincent de Paul pouvait dire: "Que Dieu doit être bon, puisque l'évêque de Genève, Son ministre est si bon!" Un jour ses familiers s'indignaient des injures qu'un misérable lui adressait, et se plaignaient de le voir garder le silence: "Eh quoi! dit-il, voulez-vous que je perde en un instant le peu de douceur que j'ai pu acquérir par vingt ans d'efforts?"
"On disait communément, écrit sainte Jeanne de Chantal, qu'il n'y avait pas de meilleur moyen de gagner sa faveur que de lui faire du mal, et que c'était la seule vengeance qu'il sût exercer." -- "Il avait un coeur tout à fait innocent, dit la même sainte; jamais il ne fit aucun acte par malice ou amertume de coeur. Jamais on n'a vu un coeur si doux, si humble, si débonnaire, si gracieux et si affable qu'était le sien."
Citons quelques paroles de François lui-même: "Soyez, disait-il, le plus doux que vous pourrez, et souvenez-vous que l'on prend plus de mouches avec une cuillerée de miel qu'avec cent barils de vinaigre. S'il faut donner en quelque excès, que ce soit du côté de la douceur." -- "Je le veux tant aimer, ce cher prochain, je le veux tant aimer! Il a plu à Dieu de faire ainsi mon coeur! Oh! Quand est-ce que nous serons tout détrempés en douceur et en charité!"
Saint François de Sales mourut à Lyon, le jour des saints Innocents.
Évêque de Genève (manoir proche du château de Thorens, aujourd'huiThorens-Glières, 1567-Lyon 1622).
Prêtre (1593), missionnaire dans le Chablais calviniste (1594-1597), il devient évêque coadjuteur (1599) puis titulaire (1602) de Genève, avec résidence à Annecy. Il applique à son diocèse les méthodes préconisées par le concile de Trente. En 1610, avec Jeanne de Chantal, il fonde l'ordre de la Visitation, à la fois contemplatif et actif. Il donne l'essentiel de sa direction spirituelle dans son Introduction à la vie dévote(1609). Sa spiritualité souriante mais exigeante, portée par un grand talent littéraire, se retrouve dans Traité de l'amour de Dieu(1616) et Entretiens spirituels(posthume). Canonisé en 1665, il a été déclaré docteur de l'Église en 1877.
SAINT SIMON Apôtre
Simon signifie obéissant ou triste. Il eut deux surnoms, car on l’appela Simon le Zélé, et Simon le Cananéen, de Cana, bourg de la Galilée, où le Seigneur changea l’eau en vin. En outre Zélé et Cananéen sont tout un, puisque Cana signifie zèle. Or, saint Simon posséda l’obéissance en accomplissant les préceptes ; la tristesse en compatissant aux affligés ; le zèle en travaillant constamment avec ardeur au salut des âmes.
Simon de Cana et Jude Thaddée étaient les frères de saint Jacques le mineur, et fils de Marie Cléophé qui fut mariée à Alphée.
Saint Simon prêcha d'abord en Égypte, en Mauritanie, en Libye; saint Jude, après avoir prêché en Afrique avec beaucoup de succès, revint en Orient et annonça l'Évangile dans la Judée, la Samarie, la Syrie et la Mésopotamie. Simon et Jude se rejoignirent en Perse, et là ils combattirent et moururent ensemble.
Les choses extraordinaires que Dieu opéra par leurs mains les firent traiter avec respect par le roi de ce pays, qui leur laissa la liberté de prêcher leur doctrine si sainte et si nouvelle. Un fait vint ajouter à leur prestige: Deux tigres, échappés de leur cage, étaient la terreur du pays. Au nom de Jésus-Christ, les Apôtres commandèrent à ces bêtes féroces de les suivre, et ils les emmenèrent dans leur maison. Le roi, toute sa cour et plus de soixante mille Perses se firent chrétiens. Des églises s'élevèrent sur les ruines des temples des idoles; le triomphe du Christ était complet.
Mais l'ennemi des âmes déchaîna toute sa fureur pour arrêter les progrès de l'Évangile. Simon et Jude étant allés annoncer Jésus-Christ en d'autres villes, les païens voulurent les contraindre à sacrifier au soleil, qu'ils adoraient comme un dieu:
"Mon frère, dit alors Jude à Simon, je vois le Seigneur qui nous appelle.
? Et moi, reprit Simon, j'ai vu aussi Jésus-Christ entouré de Ses Anges, et un des Anges m'a dit: "Je vous ferai sortir du temple et je ferai crouler sur eux tout l'édifice.
? Qu'il n'en soit pas ainsi! ai-je répondu, peut-être quelques-uns se convertiront-ils!"
Et voici qu'en ce moment un Ange leur dit à tous les deux: "Que choisissez-vous, ou la mort pour vous, ou l'extermination de ce peuple impie?
? Miséricorde pour ce peuple! crièrent les deux Apôtres. Que le martyre soit notre partage!"
Cependant les prêtres des dieux les exhortaient à sacrifier: "Le soleil, dit Simon, n'est que le serviteur de Dieu; ce sont les démons qui résident en vos idoles; je leur ordonne de sortir." Et les démons, sous une forme horrible, sortirent des statues brisées. Alors le peuple se jeta sur les deux Apôtres et les massacra, pendant qu'ils bénissaient Dieu et priaient pour leurs bourreaux.
Saint Nicolas
Saint Nicolas devrait son existence à Nicolas de Myre aussi appelé Nicolas de Bari. Il est né à Patara, cité de Lycie en Asie Mineure (actuellement en Turquie) entre 250 et 270 après Jésus Christ. Il a trouvé la mort dans la villede Myre en Asie Mineure, le 6 décembre, en 345 ou 352.Il est très connu dans la religion orthodoxe, surtout en Grèce et dans la religion catholique en général. Il futl'évêque de Myre au IVème siècle. C'est un prsonnage légendaire. A la mort de son oncle, une voix recommanda aux évêques d'élire comme successeur, celui qui entrerait le premier dans l'église et dont le nom serait Nicolas.
L'empereur romain Dioclétien le poursuivit pour ses croyances religieuses et donc chrétiennes. Saint Nicolas fut arrêté et emprisonné, puis contraint de vivre en exil.
Avant sa mort, saint Nicolas s'était rendu auprès du pape à Rome, et sur le chemin du retour, il a séjourné dans la ville de Bari, au sud de l'Italie. Il serait décédé un 6 décembre 343, à la suite de persécutions de la part des Romains. C'est pour cette raison que l'on fête la saint Nicolas le 6 décembre.
Il est enterré à Myre. En 1087, des marchands italiens volèrent ses ossements à Myre et les emportèrent à Bari.
Les légendes traditionnelles de saint Nicolas furent pour la première fois recueillies et écrites en Grèce par Métaphrastes au Xème siècle.Ces légendes nombreuses mettent en avant la générosité du saint.
La saint Nicolas devient une fête culturelle très importante dans de nombreuses régions.
Sainte Blandine
Jeune esclave chrétienne martyrisée à Lyon sous Marc-Aurèle, en 177.
Avec elle, périrent 48 autres victimes dont Pothin, le premier évêque de Gaule.
Mise ne croix dans l’arène, puis livrée aux bêtes mais épargnée, elle fut alors fouettée, tenaillée et placée sur un siège ardent.
Comme elle vivait toujours, elle fut enveloppée d’un filet et exposée à des taureaux furieux. S’apercevant qu’elle résistait encore, les bourreaux, lassées, l’égorgèrent.
Son corps repose dans la crypte de l’église d’Ainay, à Lyon.
Sainte-Marguerite de Cortone
Née en 1247 à Laviano, sur le lac Trasimène, Marguerite resta vite orpheline de mère. Mal à l’aise avec sa marâtre, elle s’enfuit à seize ans à peine, dans le château du comte Arsène de Montepulciano, avec lequel elle vécut dix années durant. Quand l’homme qu’elle aimait trouva précocement la mort au cours d’une partie de chasse ,elle le trouva assassiné au pied d'un arbre .Elle avait vingt-huit ans et était mère d'un petit garçon
Elle retourna chez son père, un pauvre paysan de Toscane qui l'accueillit avec amour. Elle voulait rentrer dans un couvent de Cortone, mais on la refusa parce qu'elle était trop belle et pas encore assez vieille. Elle décida de racheter ses errements par une pénitence publique, se promenant dans les rues, montrée par un ânier qui, dans les rues de la ville, criait son passé. Elle logeait dans une cabane chez des gens riches qui la lui avaient donnée au fond de leur jardin tandis que les Frères Mineurs se chargeaient de son fils. Admise dans le tiers-ordre franciscain, elle y vécut vingt-trois ans, gratifiée par Dieu de nombreuses faveurs mystiques.
Elle s’éteignit à l’âge de cinquante ans dans une petite cellule de la grotte qui surplombe Cortone, déçue par les décisions prises par les chapitres franciscains qui s’éloignaient désormais de la rigueur des commencements, mais considérée par tous comme un modèle de vie évangélique.
Sainte-Marguerite de Cortone est la patronne des prostituées repenties. Elle est invoquée pour avoir la force de lutter contre les tentations.
Saint-Valentin
La vertu de saint Valentin, prêtre, était si éclatante, et sa réputation si grande dans la ville de Rome, qu'elle vint à la connaissance de l'empereur Claude II, qui le fit arrêter, et, après l'avoir tenu deux jours en prison, chargé de fers, le fit amener devant son tribunal pour l'interroger. D'abord il lui dit, d'un ton de voix assez obligeant : « Pourquoi, Valentin, ne veux-tu pas jouir de notre amitié, et pourquoi veux-tu être ami de nos ennemis ? » Mais Valentin répondit généreusement : « Seigneur, si vous saviez le don de Dieu, vous seriez heureux et votre empire aussi ; vous rejetteriez le culte que vous rendez aux esprits immondes et à leurs idoles que vous adorez, et vous sauriez qu'il n'y a qu'un Dieu, qui a créé le ciel et la terre, et que Jésus-Christ est son Fils unique ».
Un des juges, prenant la parole, demanda au Martyr ce qu'il pensait des dieux Jupiter et Mercure. « Qu'ils ont été des misérables » répliqua Valentin, « et qu'ils ont passé toute leur vie dans les voluptés et les plaisirs du corps ». Là-dessus, celui qui l'avait interrogé s'écria que Valentin avait blasphémé contre les dieux et contre les gouverneurs de la république. Cependant le Saint entretenait l'empereur, qui l'écoutait volontiers et qui semblait avoir envie de se faire instruire de la vraie religion ; et il l'exhortait à faire pénitence pour le sang des chrétiens qu'il avait répandu, lui disant de croire en Jésus-Christ et de se faire baptiser, parce que ce serait pour lui un moyen de se sauver, d'accroître son empire et d'obtenir de grandes victoires contre ses ennemis.
Saint-Valentin
L'empereur, commençant déjà à se laisser persuader, dit à ceux qui l'entouraient : « Ecoutez la sainte doctrine que cet homme nous apprend ». Mais le préfet de la ville, nommé Calpurnius, s'écria aussitôt : « Voyez-vous comment il séduit notre prince ! Quitterons-nous la religion que nos pères nous ont enseignée ? »
Claude, craignant que ces paroles n'excitassent quelque trouble ou quelque sédition dans la ville, abandonna le Martyr au préfet, qui le mit à l'heure même entre les mains du juge Astérius, pour être examiné et châtié comme un sacrilège. Celui-ci fit d'abord conduire le prisonnier en sa maison. Lorsque Valentin y entra, il éleva son coeur au ciel, et pria Dieu qu'il lui plût d'éclairer ceux qui marchaient dans les ténèbres de la gentilité, en leur faisant connaître Jésus-Christ la vraie lumière du monde.
Astérius, qui entendait tout cela, dit à Valentin : « J'admire beaucoup ta prudence ; mais comment peux-tu dire que Jésus-Christ est la vraie lumière ? »
- « Il n'est pas seulement », dit Valentin, « la vraie lumière, mais l'unique lumière qui éclaire tout homme venant en ce monde »
- « Si cela est ainsi, dit Astérius, j'en ferai bientôt l'épreuve : j'ai ici une petite fille adoptive qui est aveugle depuis deux ans ; si tu peux la guérir et lui rendre la vue, je croirai que
Jésus-Christ est la lumière et qu'il est Dieu, et je ferai tout ce que tu voudras ». La jeune fille fut donc amenée au Martyr, qui, lui mettant la main sur les yeux, fit cette prière : « Seigneur Jésus-Christ, qui êtes la vraie lumière, éclairez votre servante ».
A ces paroles, elle reçut aussitôt la vue, et Astérius et sa femme, se jetant aux pieds de leur bienfaiteur, le supplièrent, puisqu'ils avaient obtenu par sa faveur la connaissance de Jésus-Christ, de leur dire ce qu'ils devaient faire pour se sauver. Le Saint leur commanda de briser toutes les idoles qu'ils avaient, de jeûner trois jours, de pardonner à tous ceux qui les avaient offensés, et enfin de se faire baptiser, leur assurant que, par ce moyen, ils seraient sauvés. Astérius fit tout ce qui lui avait été commandé, délivra les chrétiens qu'il tenait prisonniers, et fut baptisé avec toute sa famille, qui était composée de quarante-six personnes.