amour ange anges animaux art artiste background bébé belle belle image belles images bonne
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Images pieuses( Tous les Saints) (384)
· Cartes humour (divers) (499)
· Bébés droles (473)
· Peintres et peintures divers (1) (500)
· Peintres et peintures divers (501)
· Images pieuses, icones( la vierge Marie) (420)
· Belles illusts -gifs et images de Noël (1083)
· Enfants en noir et blanc (364)
· Illustrations - Contes et fables divers (412)
· Poésies de Noël (33)
vvvvvvvvgghhft ggg
Par Anonyme, le 21.11.2024
je t 'invité à mon anniversaire
Par Anonyme, le 18.11.2024
fgerhz
Par Anonyme, le 30.10.2024
w2ww2
Par Ww, le 07.10.2024
ww
Par Anonyme, le 23.09.2024
· Poésies de Noël- Le sapin de Noël
· Gif et image de chat
· Poèmes de la Saint Valentin
· Poésie -Le bonhomme de neige
· Poémes(Le paradis des mamans )
· Lady DIANA
· Carte humour de chasseur
· Alice au pays des Merveilles (Disney)
· La Belle au Bois Dormant (Disney)
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Contes de Grimm - Boucles d'Or et les trois ours
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Conte de Perrault - Le petit Poucet
· Lady DIANA
Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Saint René Goupil
Après avoir complété son noviciat chez les Jésuites de paris, il se voit refuser son entrée en raison de sa surdité. Il effectue alors des études de médecine puis s’embarque pour la Nouvelle-France en compagnie d’un groupe de missionnaires Jésuites. Il travaille d'abord dans un hôpital à Québec, puis se joint à Isaac Jogues, qu’il accompagne dans ses voyages. Lorsqu’ils sont capturés par les Iroquois, il est torturé pour avoir effectué un signe de Croix sur le front d’un enfant. Durant leur captivité, Isaac accepte finalement d’admettre René dans la communauté, mais sa vie de Frère Jésuite est de courte durée puisqu’il est exécuté quelques semaines plus tard (1606-1642)
Saint-René Goupil est le patron des anesthésistes.
Sainte Blandine martyr de Lyon
Jeune esclave, Blandine a été martyrisée à Lyon sous Marc-Aurèle en 177 avec une quarantaine d'autres chrétiens de Lyon et de Vienne parmi lesquels saint Pothin, évêque de Lyon, Attale, Epagathe, Sanctus, Biblis, Alexandre, Alcibiade, Maturus. Leur martyre a été relaté par des témoins oculaires qui ont rédigé une "Lettre des Églises de Lyon et de Vienne" adressée aux Églises de Phrygie et d'Asie et retranscrite au IVe siècle par Eusèbe dans son Histoire ecclésiastique. Il s'agit ainsi d'événements d'une historicité sûre.
Blandine fait preuve d'un courage extraordinaire qui conduit certains de ses compagnons qui avaient renié leur foi sous la torture à se rétracter et à souffrir en martyrs. Livrée aux bourreaux qui avouent n'avoir jamais vu femme souffrir si courageusement, elle se borne à répéter : " Je suis chrétienne ; il ne se fait point de mal parmi nous ". Suspendue par les bras et livrée aux bêtes, celles-ci n'en veulent pas. Exposée au gril, elle est roulée dans un filet de rétiaire (gladiateur armé d'un poignard et d'un filet) et livrée à un taureau sauvage, qui la lance en l'air avec ses cornes, puis on l'achève par le glaive.
Blandine est patronne de la ville de Lyon. Elle est aussi avec Marthe patronne des servantes.
Sainte Blandine
Lors de son second voyage apostolique en France, le 4 octobre 1986, à l'amphithéâtre des Trois Gaules, Jean-Paul II a célébré les martyrs de Lyon :
« Ils n'ont pas voulu renier Celui qui leur avait communiqué sa Vie et les avait appelés à être ses témoins. Nous savons qu'ils sont nombreux aujourd'hui encore, et dans toutes les parties du monde, ceux qui subissent les outrages, le bannissement et même la torture à cause de leur fidélité à la foi chrétienne. En eux, le Christ manifeste sa puissance. Les martyrs d'aujourd'hui et les martyrs d'hier nous environnent et nous soutiennent pour que nous gardions nos regards fixés sur Jésus. »
Saint Geoffroy d'Amiens Evêque d'Amiens (+ 1115)
St-Geoffroy de Molincourt Troisième fils de Frodon et Élisabeth, un couple de seigneurs très chrétiens de la région de Soissons. À l’âge de 5 ans, il est confié à l’abbaye du Mont-Saint-Quentin et l’abbé Godefroy se charge de son éducation. Il y passe toute sa jeunesse à étudier tout en occupant diverses charges telles que le soin aux malades ou celle d’économe. En 1092, il est ordonné prêtre par Ratbode, l’évêque de Noyon, puis on lui demande de prendre la relève de l’abbé Henri à l’abbaye Notre-Dame de Nogent-sous-Coucy. Sous son administration, non seulement l’abbaye retrouve sa prospérité d’antan mais elle se développe considérablement. En 1103, il refuse la charge de l’abbaye Saint-Rémi de Reims que lui offre Manassès II, l’archevêque de Reims, , mais l’année suivante il est élu évêque d’Amiens. Vers 1113, il se trouve impliqué dans plusieurs conflits et décide alors d’abandonner sa charge pour se retirer dans la solitude de l’abbaye de la Grande Chartreuse. Il n’y demeure cependant pas très longtemps puisqu’il est bientôt obligé de rentrer à Amiens. Peu de temps après, cependant, il décède au cours d’une halte au monastère Saint-Crépin de Soissons alors qu’il était en chemin pour se rendre à Reims (1066-1115)
Sainte Elisabeth de Thuringe Elisabeth de Hongrie, duchesse (+ 1231)
Princesse de Hongrie, elle est fiancée à l'âge de quatre ans et mariée à quatorze au Landgrave de Thuringe. Ce sera une épouse aimante pour ce mari qu'elle n'a pas choisi, se parant pour lui faire honneur, alors qu'elle n'aime que la simplicité. Des franciscains venus d'Allemagne lui font connaître l'esprit de saint François et elle se met au service des pauvres et des familles éprouvées par la guerre. En 1227, son époux tant aimé meurt au moment de s'embarquer pour la croisade. Elisabeth se retrouve veuve à 20 ans, enceinte d'un troisième enfant. Comme on veut la remarier, elle refuse et, pour cette raison, connaît l'injustice de sa famille qui la chasse avec ses trois enfants et l'héberge dans une porcherie. Son oncle l'évêque de Bamberg calme le jeu. Elle peut revêtir l'habit du Tiers-ordre franciscain. La famille ducale se charge des enfants. Elle ne garde pour elle qu'une pauvre demeure et met alors tous ses revenus au service des pauvres. Elle leur fait construire un hôpital. Joyeuse de tout ce qu'elle devait endurer, elle disait : " Je ne veux pas faire peur à Dieu par une mine sinistre. Ne préfère-t-il pas me voir joyeuse puisque je l'aime et qu'il m'aime ? " Elle meurt à 24 ans ayant voué sa vie et sa santé à rendre heureux les misérables.
Mémoire de sainte Élisabeth de Hongrie. Mariée toute jeune à Louis, comte de Thuringe, elle lui donna trois enfants; devenue veuve, elle supporta avec courage de lourdes épreuves. Portée depuis longtemps à la méditation des réalités du ciel, elle se retira à Marbourg en Hesse, dans un hôpital qu’elle avait fondé, embrassant la pauvreté et se dépensant au soin des malades et des pauvres, jusqu’à son dernier souffle de vie, à l’âge de vingt-quatre ans, en 1231. Sainte-Élizabeth de Hongrie est la patronne des boulangers, des mendiants, des bénévoles qui travaillent dans les œuvres de charité, des personnes en exil, des personnes itinérantes, des personnes sans domicile, des malades hospitalisés, des fabricants de lacets, des services infirmiers et des randonneurs. Elle est invoquée pour résoudre les problèmes reliés à la belle-famille et pour soulager les maux de dents.
Saint Matthieu : apôtre et évangéliste
Saint Matthieu était probablement galiléen de naissance. Il exerçait la profession de publicain ou de receveur des tributs pour les romains, profession très odieuse parmi les juifs. Son nom fut d'abord Lévi. Il était à son bureau, près du lac de Génésareth, où apparemment il recevait le droit de péage, lorsque Jésus-Christ l'aperçut et l'appela. Sa place était avantageuse; mais aucune considération ne l'arrêta, et il se mit aussitôt à la suite du sauveur. Celui qui l'appelait par sa parole le touchait en même temps par l'action intérieure de sa grâce.
Lévi, appelé Matthieu après sa conversion, invita Jésus-Christ et ses disciples à manger chez lui; il appela même au festin ses amis, espérant sans doute que les entretiens de Jésus les attireraient aussi à Lui. C'est à cette occasion que les pharisiens dirent aux disciples du sauveur: "Pourquoi votre maître mange-t-Il avec les publicains et les pécheurs? " Et Jésus, entendant leurs murmures, répondit : "Les médecins sont pour les malades et non pour ceux qui sont en bonne santé. Sachez-le donc bien, je veux la miséricorde et non le sacrifice; car je suis venu appeler, non les justes, mais les pécheurs."
Après l'Ascension, saint Matthieu convertit un grand nombre d'âmes en Judée; puis il alla prêcher en Orient, où il souffrit le martyr. Il est le premier qui ait écrit l'histoire de Notre-Seigneur et sa doctrine, renfermées dans l'évangile qui porte son nom. – On remarque, dans l'évangile de saint Matthieu, qu'il se nomme le publicain, par humilité, aveu touchant, et qui nous montre bien le disciple fidèle de celui qui a dit: "Apprenez de moi que je suis doux et humble de coeur."
On croit qu'il évangélisa l'Éthiopie. Là, il se rendit populaire par un miracle: il fit le signe de la croix sur deux dragons très redoutés, les rendit doux comme des agneaux et leur commanda de s'enfuir dans leurs repaires.
Ce fut le signal de la conversion d'un grand nombre. La résurrection du fils du roi, au nom de Jésus-Christ, produisit un effet plus grand encore et fut la cause de la conversion de la maison royale et de tout le pays.
On attribue à saint Matthieu l'institution du premier couvent des vierges. C'est en défendant contre les atteintes d'un prince une vierge consacrée au Seigneur, que le saint apôtre reçut le coup de la mort sur les marches de l'autel.
Saint Jean Apôtre et évangéliste
Un homme avait deux fils, comme lui pêcheurs sur le lac de Tibériade. Jacques et Jean, les fils de Zébédée, ne manquaient pas de personnalité: on les appelait "fils du tonnerre". Grande était leur soif spirituelle. C'est pourquoi ils s'attachèrent à l'enseignement de Jean le Baptiste: "Celui qui vient derrière moi est plus grand que moi." Aussi, quand le Baptiste dit un matin, en leur montrant Jésus de Nazareth: "Voici l'agneau de Dieu." Jean suivit cet homme. Jacques dut hésiter encore. Lorsque quelques jours après, Jésus dit aux deux frères qui maillaient leurs filets: "Venez avec moi." Jacques et Jean suivirent le Maître.
Jean était jeune. Il avait un grand amour du Christ. Il pensait que celui du Christ était plus grand encore. Alors il s'appela: "le disciple que Jésus aimait." Il fera partie du petit groupe des fidèles d'entre les fidèles. Il est sur le Mont Thabor lors de la Transfiguration, à la Cène, tout contre Jésus et au Calvaire, le seul parmi les apôtres, au pied de la croix. C'est là que Jésus lui confie Marie, sa mère.
Selon la tradition de l'Eglise catholique, c'est toute l'Eglise qui est confiée à la Mère de Dieu. Au matin de Pâques, il court et précède Pierre au tombeau: "Il voit, il croit."
Une tradition ancienne veut que Jean vécut ensuite à Ephèse avec Marie. Qu'il y écrivit le quatrième évangile. Qu'un séjour à Patmos fut l'occasion d'une révélation qui devint l'Apocalypse. Qu'enfin, lorsqu'il fut vieux, il ne sut que rabâcher l'essentiel de ce que le Christ lui avait enseigné et donné de découvrir: "Dieu est amour. Aimez-vous les uns les autres."
Selon la tradition, saint Jean aurait été amené d'Ephèse à Rome, chargé de fers, sous l'empereur Domitien. Il fut condamné par le sénat à être jeté dans l'huile bouillante. Cette condamnation fut exécutée devant l'actuelle Porte Latine. Il en sortit plus frais et plus jeune qu'il n'y était entré. Le fait n'est pas prouvé, mais il fallait bien que saint Jean soit venu à Rome, comme Pierre et Paul.
Ancienne fête le 6 mai, solennité du martyre de saint Jean.
Fête de saint Jean, Apôtre et Évangéliste. Fils de Zébédée, un des premiers appelés par le Seigneur, il fut, avec son frère Jacques et avec Pierre, témoin de sa transfiguration et de sa passion, et il reçut de lui, au pied de la croix, Marie pour mère. Dans l’Évangile et les lettres qui portent son nom, il se présente comme le théologien qui a pu contempler la gloire du Verbe incarné et qui annonce ce qu’il a vu.
Saint Pierre
Simon, fils de Jean,né à Bethsaïde, était pêcheur à Capharnaüm. Il fut un des premiers appelés par le Seigneur avec son frère André pour former le groupe des Douze.
De tempérament ardent, mais pas toujours réfléchi, il devra apprendre dans le sillage du Christ à s’engager sans retour; le regard que Jésus jettera sur lui, après son reniement au moment de la Passion, marquera le tournant décisif de sa vocation, dont la fidélité désormais ne fléchira plus jusqu’au martyre.
Les Évangilesnous montrent Pierre appartenant au petit groupe le plus proche de Jésus, avec Jacques et Jean; ils sont notamment témoins de la résurrection de la fille de Jaïre et de la Transfiguration. C’est Pierre qui, à Césarée de Philippe. prononce la première profession de foi chrétienne lorsque Jésus demande à ses disciples:
"Pour vous, qui suis-je ? ". Il répond avec son ardeur habituelle : "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant ". C’est alors que Jésus lui trace clairement la mission qui le portera à la tête de l’Église :
"Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église, et je te donnerai les clefs du Royaume des Cieux"
Le Christ ressuscité ratifia cette promesse par la triple commande de paître son troupeau (Jean 21,15-17).
Apôtre, il reçoit ainsi du Christ le nom de "rocher" ou "pierre".Ainsi dès la Pentecôte, on voit Pierre agir en chef de la jeune communauté chrétienne. L’activité de Pierre à Jérusalem, en Samarie jusqu’à Antioche, n’est pas freinée par ses trois arrestations successives.
Il se rendit ensuite à Rome où il subit le martyre sur la colline du Vatican, sous le règne de Néron, crucifié la tête en bas. Ses reliques reposent toujours sous le maître-autel de la basilique Saint-Pierre de Rome. On possède deux lettres de saint Pierre dans le Nouveau Testament.
L’art le représente comme vieillard, grand et fort, barbu et aux cheveux bouclés. Il tient une ou deux clefs, ainsi qu’un livre ou bien il est montré crucifié à l’envers ou comme pape, avec les clefs et tenant une double croix.
Sa fête principale du 29 juin, avec saint Paul, date au moins du début du IV° siècle.
Saint PAUL ,apôtre des gentils
Paul de Tarse se revendique comme l'un des principaux disciples de Jésus. Celui-ci, quelques années après sa résurrection, lui serait apparu et l'aurait converti au christianisme.Il est considéré comme l'une des figures centrales du christianisme primitif, par le rôle qu'il a joué dans son développement.
Né Saül, vers 10 après l’ère commune, dans une famille établie à Tarse, il bénéficie de la citoyenneté romaine et connaît une éducation juive traditionnelle. Lorsqu'il gagne Jérusalem,vers les années 20 après l’ère commune, c'est pour étudier auprès du pharisienRoman;">Gamaliel .Sur leRoman;">chemin de Damasoù il se rend pour pour chasser des chrétiens, Saul rencontre Jésus. Il sort de cette rencontre momentanément aveugle. Trois jours plus tard, il est guéri par un disciple vivant à Damas: Ananie.Roman;">Il se convertit au christianismeet se fait baptiser. L'homme disparaît un temps assez long en Arabie. Le séjour à Jérusalem qu'il entreprend plus tard ne dure qu'une quinzaine de jours. Sa mission commence véritablement quelques années plus tard, d'abord à Chypre où il romanise son nom en Paul en compagnie de Barnabé, avant qu'il n'entreprenne ses longs voyages. Partout, il prêche et organise des communautés chrétiennes, suscitant adhésion ou rejet, au péril de sa vie. Infatigable, il survit à une lapidation, et résiste à l'emprisonnement, aux procès que lui intentent certains de ses coreligionnaires juifs. Paul, veut à toute force annoncerRoman;">l'Evangile, la « Bonne Nouvelle » aux païens sans jamais renier son appartenance au judaïsme.
Emprisonné à Jérusalem, à la suite d'un affrontement, il demande en tant que citoyen romain à être jugé à Rome. Quand il y parvient, l'incendie de la ville (en 64 ap. l’ère commune.), attribué par Néron aux chrétiens, signe son arrêt de mort, en même temps que des milliers d'autres. La citoyenneté dont il se réclame lui vaut un traitement de faveur :l'exécution par décapitation. Certains théologiens, estimant que Paul donne un enseignement différent de celui de Jésus de Nazareth, le considèrent comme le véritable fondateur du christianisme