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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Sainte Marguerite-Marie Alacoque
(1648-1690)
Prévenue par la grâce divine dès ses premières années, elle conçut de la laideur du péché une idée si vive, que la moindre faute lui était insupportable; pour l'arrêter dans les vivacités de son âge, il suffisait de lui dire: "Tu offenses Dieu!"
Elle fit le voeu de virginité à un âge où elle n'en comprenait pas encore la portée. On raconte qu'elle aimait, tout enfant, à réciter le Rosaire, en baisant la terre à chaque Ave Maria. Après sa Première Communion, elle se sentit complètement dégoûtée du monde; Dieu, pour la purifier, l'affligea d'une maladie qui l'empêcha de marcher pendant quatre ans, et elle dut sa guérison à la Sainte Vierge, en échange du voeu qu'elle fit d'entrer dans un Ordre qui Lui fût consacré. Revenue à la santé, elle oublia son voeu, et, gaie d'humeur, expansive, aimante, elle se livra, non au péché, mais à une dissipation exagérée avec ses compagnes.
De nouvelles épreuves vinrent la détacher des vanités mondaines; les bonnes oeuvres, le soin des pauvres, la communion, faisaient sa consolation.
Enfin elle entra à la Visitation de Paray-le-Monial. C'est là que Jésus l'attendait pour la préparer à sa grande mission. Le divin Époux la forma à Son image dans le sacrifice, les rebuts, l'humiliation; Il la soutenait dans ses angoisses, Il lui faisait sentir qu'elle ne pouvait rien sans Lui, mais tout avec Lui. "Vaincre ou mourir!" tel était le cri de guerre de cette grande âme. Quand la victime fut complètement pure, Jésus lui apparut à plusieurs reprises, lui montra Son Coeur Sacré dans Sa poitrine ouverte: "Voilà, lui dit-Il, ce Coeur qui a tant aimé les hommes et qui en est si peu aimé!"
La canonisation de la Sainte a eu lieu le 13 mai 1920
Sainte Marguerite-Marie Alacoque
Visitandine à Paray-le-Monial
Elle est née, le 22 juillet 1647, en Bourgogne Elle devient orpheline alors qu'elle a douze ans et ses tantes qui gèrent la famille font d'elle un véritable souffre-douleur. A 24 ans, elle peut enfin réaliser sa vocation: répondre à l'amour intense de Dieu. Les grâces mystiques qui accompagnent ses épreuves culminent en 1673 dans plusieurs visions du Christ: Voici le cœur qui a tant aimé les hommes jusqu'à s'épuiser et se consumer pour leur témoigner son amour. Guidée par le Saint jésuite Claude de La Colombière, elle parviendra à promouvoir le culte du Sacré-Cœur d'abord dans son monastère de la Visitation, puis dans toute l'Église Catholique latine. Elle meurt le 16 octobre 1690.
Béatifiée d'abord par l'opinion populaire à cause de tous les miracles obtenus par son intercession, les pressions jansénistes puis la Révolution retarderont sa béatification jusqu'en 1864 puis sa canonisation en 1920. Les foules continuent d'affluer à Paray le Monial. Plusieurs Papes ont souligné l'importance de son message: l'immensité de l'Amour de Dieu révélé dans un cœur d'homme, et proposé à tous.
Mémoire de sainte Marguerite-Marie Alacoque, vierge. Entrée à vingt-quatre ans au monastère de la Visitation à Paray-le-Monial en Bourgogne, elle avança de manière admirable sur le chemin de la perfection. Pourvue de dons mystiques, elle se préoccupa avant tout de la dévotion envers le Sacré-Cœur de Jésus, et fit beaucoup pour promouvoir son culte dans l’Église. Elle mourut le 17 octobre 1690.
Saint Fiacre est le patron des jardiniers, il est représenté armé d'une bêche.
Fiacre est né au début du VIIe siècle dans une noble famille irlandaise. Il passe en Gaule à la suite du grand mouvement religieux qui entraîne beaucoup de ses compatriotes vers le continent. Il s'arrête à Meaux où il est accueilli par l'évêque, saint Faron, frère de sainte Fare, qui lui donne l'autorisation de s'établir comme ermite en forêt de Breuil. Fiacre a pour premier disciple saint Killian, lui-même irlandais, qui sur ses conseils part prêcher l'Évangile en Artois.
Beaucoup de misères affluant à son ermitage, Fiacre demande à son évêque un terrain qu'il pourrait cultiver afin de nourrir les pèlerins indigents. Selon la tradition, l'évêque lui aurait octroyé en toute propriété l'espace de terre qu'il pourrait entourer d'un fossé en une journée de travail. Fiacre, laissant traîner son bâton derrière lui, aurait vu le sol se creuser de lui-même et les arbres déracinés tomber de droite et de gauche. Ses légumes plantés, Fiacre pense même aux plantes médicinales pour les malades et aux fleurs, « ces sourires de la terre » pour orner le petit oratoire qu'il bâtit en l'honneur de Marie. Il construit aussi un hospice pour les malades de plus en plus nombreux qu'on lui amène de tous les coins du pays. Fiacre partage son temps entre la prière, le travail manuel et le soin des pauvres.
Il meurt vers 670 au Breuil où se construit un monastère autour duquel se forme un village qui portera son nom. Les pèlerins affluent sur son tombeau pour demander la guérison de toutes sortes de maux. On venait même autrefois l'invoquer contre les hémorroïdes, le « mal de saint Fiacre », la tradition affirmant qu'il suffisait de s'asseoir sur la pierre sur laquelle le saint avait l'habitude de s'asseoir pour être guéri.
Il a été aussi le patron des cochers de Fiacre : l'entrepreneurs des coches à cinq sols de l'heure habitait l'hôtel Saint-Fiacre, rue Saint-Antoine à Paris, et avait pour enseigne une image de saint Fiacre.
Saint Fiacre est vêtu en paysan ou en ermite, avec une bêche. Il tient d'une main le livre ouvert des Évangiles, et de l'autre une bêche (statue en pierre, XVIe siècle, église Notre-Dame de Verneuil-sur-Avre, Eure). Un vitrail (église Saint-Maclou à Troyes, XVIe siècle) montre Fiacre reçu par l'évêque saint Faron à Meaux, puis bêchant la terre. Il importe de ne pas confondre saint Fiacre armé de sa bêche avec le Christ apparaissant en jardinier après la Résurrection à Marie Madeleine
Sainte Rosalie
Rosalie une jeune fille de Palerme, choisit de vivre en ermite sur le mont Pellegrino. Morte en 1170, ses reliques délivrèrent la ville de la peste.
Patronne de Palerme, et de la Sicile.
Sainte Rosalie
Patronne de Palerme
Sainte Rosalie, du sang royal de Charlemagne, naquit à Palerme, en Sicile, d’un chevalier français et d’une parente de Roger, roi de Sicile. La Sainte Vierge lui apparut et lui conseilla de se retirer du monde. Rosalie, à quatorze ans, quitta le palais de son père sans avertir personne, n’emportant qu’un crucifix et des instruments de pénitence. Deux anges la conduisirent sur une montagne voisine de la ville. Dans une grotte inconnue et enveloppée de neige pendant plusieurs mois, Rosalie passa quelques années, partageant son temps entre l’oraison, la prière et la pénitence. Des racines crues faisaient sa nourriture ; l’eau du rocher lui servait de boisson. Souvent elle recevait la visite des Anges, et le Sauveur Lui-même venait parfois S’entretenir avec elle. On voit encore dans cette grotte une petite fontaine qu’elle creusa pour réunir les eaux qui suintaient à travers les fissures de la roche ; on voit aussi une sorte d’autel grossier et un long morceau de marbre où elle prenait son repas, un siège taillé dans le roc et une vigne très ancienne, qu’on croit avoir été plantée par elle. Aussitôt après sa disparition, sa famille la fit rechercher dans toute la Sicile. Les anges avertirent Rosalie qu’elle serait bientôt découverte, si elle ne changeait de demeure ; elle prit aussitôt son crucifix et le peu d’objets qu’elle avait avec elle et suivit ses guides célestes ; ils la conduisirent sur le mont Pellegrino, où ils lui indiquèrent une grotte obscure et humide qui lui servit de retraite pendant les dix-huit dernières années de sa vie.
SAINT JEAN BOSCO
(DON BOSCO)
(1815-1888)
fêté le 31 janvier
Patron des Editeurs
Orphelin de père à 2 ans, Jean Bosco est élevé très chrétiennement par sa mère, modeste paysanne piémontaise. Ordonné prêtre à Turin en 1841, il se voue à l'apostolat auprès des enfants des rues, pour lesquels il crée l'Oratoire Saint-François de Sales, à la fois patronage, maison d'accueil, école et centre d'apprentissage. Pour s'occuper d'eux, il fonde la congrégation des Salésiens et les Filles de Marie Auxiliatrice. Patron de la jeunesse, des apprentis et jeunes travailleurs, il est aussi, à cause de ses nombreux ouvrages religieux très populaires, le patron des éditeurs. (Tiré de famille Chrétienne n° 993)
Alors que le choléra sévit à Turin, Don Bosco veut secourir les malades. Il fait appel à ses protégés qui, pris de peur, refusent une première fois.
Après s'être tourné vers Dieu, et rempli de Son Esprit, Don Bosco leur dit alors: "Je suis sur que, si vous vous mettez en grâce de Dieu et si aucun de vous ne fait de péché mortel, que vous n'attraperez pas le choléra."
A la suite de quoi, les enfants, un à un, se portèrent volontaires.
"Soyez tranquilles, ajouta Don Bosco, la Vierge Marie est avec vous, et Elle vous protégera."
Saint Jean Bosco
Fondateur de la société de Saint-François-de-Sales et de l'Institut des Filles de Marie-Auxiliatrice
C'était un fils de pauvres paysans piémontais. Adolescent, il joue à l'acrobate pour distraire sainement les garnements de son village. Devenu prêtre à force de sacrifices, il se dévoue aux jeunes ouvriers de Turin abandonnés à eux-mêmes. Il crée pour eux un centre de loisirs, un patronage, puis un centre d'accueil, puis des ateliers. Rien de tout cela n'était planifié à l'avance, mais ce sont les besoins immenses qui le pressent. Jamais il ne refuse d'accueillir un jeune, même si la maison est petite, même si l'argent manque. Plutôt que de refuser, il multipliera les châtaignes comme son maître multipliait les pains en Palestine. Sa confiance absolue en la Providence n'est jamais déçue. Ses "enfants" seront bientôt des centaines et tous se feraient couper en morceaux pour Don Bosco. Sa mère, Maman Marguerite, vient s'installer près de lui et jusqu'à sa mort, elle leur cuira la polenta et ravaudra leurs vêtements. Très marqué par la spiritualité de saint François de Sales, Jean Bosco invente une éducation par la douceur, la confiance et l'amour. Pour ses garçons, il fonde l'Oratoire, l'Oeuvre, qui sera à l'origine de la congrégation des prêtres salésiens. Pour les filles, il fonde la congrégation de Marie-Auxiliatrice. Don Bosco mourra, épuisé, en butte à l'hostilité de son évêque qui ne le comprend pas, mais entouré de ses disciples.
Saint Jean Bosco-Le songe des agneaux
SAINT PATRICE
Apôtre de l'Irlande
(373-464)
Saint Patrice naquit probablement près de Boulogne-sur-Mer; on croit qu'il était le neveu de saint Martin de Tours, du côté maternel. Quoi qu'il en soit, ses parents l'élevèrent dans une haute piété. Il avait seize ans, quand il fut enlevé par des brigands et conduit providentiellement dans le pays dont il devait être l'apôtre. Patrice profita des cinq ou six ans de sa dure captivité pour apprendre la langue et les usages de l'Irlande, tout en gardant des troupeaux.
Un jour qu'il vaquait à ses occupations ordinaires, un ange lui apparut sous la forme d'un jeune homme, lui ordonnant de creuser la terre, et le jeune esclave y trouva l'argent nécessaire au rachat de sa liberté. Il passa alors en France sur un navire et se rendit au monastère de Marmoutier, où il se prépara, par l'étude, la mortification et la prière, à la mission d'évangéliser l'Irlande. Quelques années plus tard, il alla, en effet, se mettre, dans ce but, à la disposition du Pape, qui l'ordonna évêque et l'envoya dans l'île que son zèle allait bientôt transformer.
Son apostolat fut une suite de merveilles. Le roi lutte en vain contre les progrès de l'Évangile; s'il lève son épée pour fendre la tête du Saint, sa main demeure paralysée; s'il envoie des émissaires pour l'assassiner dans ses courses apostoliques, Dieu le rend invisible, et il échappe à la mort; si on présente à Patrice une coupe empoisonnée, il la brise par le signe de la Croix.
La foi se répandait comme une flamme rapide dans ce pays, qui mérita plus tard d'être appelée l'île des saints. Patrice avait peu d'auxiliaires; il était l'âme de tout ce grand mouvement chrétien; il baptisait les convertis, guérissait les malades, prêchait sans cesse, visitait les rois pour les rendre favorables à son oeuvre, ne reculant devant aucune fatigue ni aucun péril.
La prière était sa force; il y passait les nuits comme les jours. Dans la première partie de la nuit, il récitait cent psaumes et faisait en même temps deux cents génuflexions; dans la seconde partie de la nuit, il se plongeait dans l'eau glacée, le coeur, les yeux, les mains tournés vers le Ciel, jusqu'à ce qu'il eût fini les cinquante derniers psaumes.
Il ne donnait au sommeil qu'un temps très court, étendu sur le rocher, avec une pierre pour oreiller, et couvert d'un cilice, pour macérer sa chair même en dormant. Est-il étonnant qu'au nom de la Sainte Trinité, il ait ressuscité trente-trois morts et fait tant d'autres prodiges? Il mourut plus que nonagénaire, malgré ses effrayantes pénitences.
Saint Patrick
Enlevé par les Britanniques du continent vers l'âge de 16 ans, et expédiés à l'Irlande comme un esclave . Envoyé à la montagne comme un berger , il a passé son temps dans le domaine de la prière . Après six ans de cette vie, il a reçu avait un rêve dans lequel il a été commandé pour retourner en Grande-Bretagne; le voir comme un signe, il s'est échappé. . Il a étudié dans plusieurs monastères en Europe .. Envoyé par le pape Célestin pour évangéliser l'Angleterre , puis en Irlande , au cours de laquelle son conducteur de char était Saint Odran , et Saint Jarlath a été l'un de ses élèves spirituelle. En 33 ans il a effectivement transformé l' Irlande . Dans le Moyen Age l'Irlande est devenue connue comme la terre des saints, et pendant l'âge des ténèbres de ses monastères ont été les grands dépôts de l'apprentissage en Europe , tout la conséquence de la ministère de Patrick.
Est mort entre 461 et 464 à Saul, le comté de Down, en Irlande de causes naturelles