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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Saints Paul et Pierre
Saint Pierre et saint Paul : On ne peut les séparer. Ils sont les deux piliers de l'Église et jamais la Tradition ne les a fêtés l'un sans l'autre. L'Église romaine, c'est l'Église de Pierre et de Paul, l'Église des témoins directs qui ont partagé la vie du Seigneur. Pierre était galiléen, reconnu par son accent, pêcheur installé à Capharnaüm au bord du lac de Tibériade. Paul était un juif de la diaspora, de Tarse en Asie Mineure, mais pharisien et, ce qui est le plus original, citoyen romain. Tous deux verront leur vie bouleversée par l'irruption d'un homme qui leur dit: "Suis-moi. Tu t'appelleras Pierre." ou "Saul, pourquoi me persécutes-tu? Simon devenu Pierre laisse ses filets et sa femme pour suivre le rabbi. Saul, devenu Paul se met à la disposition des apôtres. Pierre reçoit de l'Esprit-Saint la révélation du mystère caché depuis la fondation du monde: "Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant." Paul, ravi jusqu'au ciel, entend des paroles qu'il n'est pas possible de redire avec des paroles humaines. Pierre renie quand son maître est arrêté, mais il revient: "Seigneur, tu sais tout, tu sais bien que je t'aime." Paul, persécuteur des premiers chrétiens, se donne au Christ: "Ce n'est plus moi qui vis, c'est le Christ qui vit en moi." Pierre reçoit la charge de paître le troupeau de l'Église: "Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église." Paul devient l'apôtre des païens. Pour le Maître, Pierre mourra crucifié et Paul décapité.
SAINTE FRANÇOISE ROMAINE
Veuve
(1384-1440)
Sainte Françoise Romaine naquit à Rome, d'une famille très ancienne et non moins illustre. Son enfance, passée dans le recueillement et dans l'union avec Dieu, l'avait disposée à se consacrer à Jésus-Christ; mais Dieu permit que ses parents l'engageassent, malgré ses goûts, dans le mariage, pour donner aux personnes mariées un admirable modèle à imiter.
Sa maison fut l'école de toutes les vertus chrétiennes. Aimable pour tous, on ne sait laquelle fut la plus parfaite, de l'épouse, de la mère, de la maîtresse; époux, enfants, domestiques la vénéraient et l'aimaient. Les obligations de son état n'étaient jamais sacrifiées au bonheur de prier Dieu, et elle en reçut la récompense; car, un jour qu'elle avait été obligée de s'interrompre quatre fois pendant la récitation du même verset de son office, elle retrouva le verset écrit en lettres d'or.
Elle obtint de son mari, au bout de quelques années de mariage, de vivre en sa maison comme une véritable religieuse. Plus tard, son mari étant mort, elle put rejoindre les Soeurs Oblates, qu'elle avait fondées, et avec qui elle avait vécu jusque là en communauté d'oeuvres et de prières.
Parmi toutes les choses étonnantes de sa vie, on peut signaler surtout la présence ordinaire et visible de son ange gardien, et les luttes terribles qu'elle eut à soutenir contre le démon. Outre son ange gardien, Dieu lui avait donné un ange chargé de la punir; cet ange était sévère; car, à la moindre faute, il la frappait, même en public. L'ange restait invisible, mais les coups étaient entendus de tous. Ainsi, quelques personnes tenant un jour devant elle une conversation frivole, Dieu inspira à la Sainte de les interrompre, et comme elle hésitait, elle reçut sur la joue un rude soufflet. Souvent, alors qu'elle était à genoux devant une statue de la Sainte Vierge, son ange s'approchait et continuait avec elle la prière.
On représente généralement sainte Françoise avec un ange à côté d'elle. Plus d'une fois l'ange dévoué eut à chasser les démons, qui ne cessaient de harceler la servante de Dieu. Une nuit, pendant qu'elle priait, le diable la prit par les cheveux, et, la portant sur la terrasse de la maison, la suspendit au-dessus de la rue; mais Dieu la remit en sûreté dans sa cellule.
D'autres fois, elle était traînée violemment; l'ennemi du salut prenait toutes les formes pour la tromper ou l'épouvanter; le calme de Françoise excitait son dépit et le mettait en fuite.
Un certain 24 mai 1802, un ouvrier, déblayant une galerie dans la catacombe de Sainte Priscille à Rome, découvrit une tombe. Averti des procédures à suivre dans ces cas-là, il fit part de sa découverte aux autorités ecclésistiques qui décidèrent de l'ouvrir le lendemain, le 25 mai 1802. Le savant archéologue qui accompagnait l'équipe nota que la tombe était fermée, en haut, par trois blocs de terre cuite sur lesquels étaient peints en rouge les symboles chrétiens du martyre: une palme, emblème du triomphe des martyrs, deux flèches et une lance, une la point en bas et les deux autres la pointe en haut; ces flèches témoignaient du genre de mort subi par certains martyrs qui mouraient transpercés par des flèches. Étaient également dessinées une ancre, car on attachait une ancre au cou des martyrs que l'on voulait noyer, ainsi qu'une fleur de lys, symbole de la pureté.
Sainte Philomène
Il y avait aussi une inscription: "LUMENA PAXTE CUM FI. Il apparaissait évident que les blocs de fermeture n'avaient été correctement mis en place, et, en les bougeant, on obtint: "PAXTE CUM FILUMENA" soit: "La Paix soit avec toi, Philomène", ce dernier nom signifiant "Bien aimée" (du grec Phileo : aimer), ou d'après la racine latine "Fille de la lumière" (Filia luminis).
D'une main respectueuse, Mgr Ludovici, gardien des reliques, enleva la cloison légère, et l'on vit que la tombe contenait des ossements qu'on identifia comme étant ceux d'une jeune fille de treize à quinze ans dont le crâne avait été fracturé. Les archéologues découvrirent également, près de la tête, une petite fiole de sang à demi brisée . Les humbles ossements furent immédiatement rassemblés, et transportés pieusement au Trésor des reliques. Ni le vénérable prélat, ni les témoins de la scène ne pensaient, en retournant à Rome, leur précieux fardeau dans les bras, qu'ils portaient l'une des plus glorieuses thaumaturges de l'Église. L'endroit où l'on venait de découvrir cette nouvelle tombe étant la plus ancienne partie de toute la catacombe de sainte Priscille, on estima que la sainte martyre, Philomène, avait vécu au plus tard, vers l'an 150 de l'ère chrétienne. Il y avait, par conséquent, mille sept cents ans que son corps dormait là.
En juin 1805, soit trois ans après leur découverte, les reliques de la jeune martyre furent confiées à la paroisse de Mugnano, petite bourgade du Royaume de Naples. L'église qui allait les garder s'appelait l'Eglise des Grâces. Maintenant la Sainte était bien chez elle, là où Dieu la voulait. Commença alors une série ininterrompue de miracles et de merveilles comme on en voit rarement... et ce fut par Angel Bianco, un habitant de Mugnano atteint depuis plusieurs mois d'une goutte tenace, très douloureuse et handicapante, que sainte Philomène commença à distribuer ses bienfaits.
Le curé d'Ars découvrit la petite sainte Philomène grâce à Pauline Jaricot qui lui avait donné une parcelle de la relique qu'elle avait pu obtenir. En lui remettant la relique, Pauline avait dit au bon Curé: "Monsieur le Curé, ayez grande confiance en cette Sainte; elle vous obtiendra tout ce que vous lui demanderez". Mystérieusement, une intime et mystique amitié lia la sainte martyre et le bon curé. Sainte Philomène devenaint pour Mr Vianney "sa chère petite sainte, son consul, son prête-nom, sa chargée d'affaires près de Dieu."
Saint Luc
Evangéliste, et évêque
Un médecin grec, adorateur des idoles, soucieux de ses malades dont il connaît la faiblesse et souvent la misère. Jusqu’au jour où il entend St Paul parler de Jésus, qui vient apporter le salut et la résurrection. Pendant 18 ans, il ne quittera plus désormais l’apôtre des nations et le suivit jusqu’à son martyre à Rome en 67.
Il est l’auteur d’un évangile et du livre des Actes des Apôtres. On y trouve plusieurs termes médicaux pour parler de la maladie de ceux qui s’adressent à Jésus. Soucieux d’authenticité, il nous dit avoir étudié ses sources, comme le médecin écoute son patient pour mieux dire un diagnostic. Modeste et compatissant, il retient plus que les autres évangélistes tout ce qui marque la bonté du Sauveur: l’enfant prodigue, le bon Samaritain, la brebis perdue, la prostituée qui s’en va pardonnée, le bon larron. Dante dira de lui «Il est le scribe de la miséricorde du Christ». Heureux lui-même d’avoir trouvé le salut, il est, à sa manière, le chantre de l’amour incarné comme St Jean le sera de l’amour infini de Dieu Trinité.
C’est lui qui nous a parlé avec tant de délicatesse de la Mère de Dieu, la toute pure et toujours Vierge Marie dont il nous dit: « Elle méditait toutes ces choses en son cœur », ce qui veut dire qu’avec amour Marie relisait dans sa mémoire les faits et gestes du Seigneur, pour en approfondir toute la signification, comme saint Luc l’a fait en écoutant saint Paul et en nous transmettant cet évangile de la bonté de notre Père du ciel.
Fête de saint Luc, Évangéliste. Né, comme on le rapporte, à Antioche d’une famille païenne, médecin, il se convertit à la foi du Christ et devint le compagnon très cher de l’Apôtre saint Paul. Dans son Évangile, il exposa avec soin tout ce que Jésus a fait et enseigné, en scribe de la miséricorde du Christ, et, dans les Actes des Apôtres il se fit l’historien des débuts de la vie de l’Église jusqu’au premier séjour de saint Paul à Rome.
Saint Augustin
Saint Augustin(354-430) fut évêque d’Hippone, en Afrique du Nord. Aujourd’hui, ce serait un algérien. Augustin est un grand penseur qui nous laisse un nombre important d’ouvrages dont l’actualité est saisissante. L’itinéraire d’Augustin est d’abord chaotique : nous lui ressemblons finalement beaucoup, dans notre lenteur à croire et à suivre le Christ ! Augustin s’est ensuite longuement battu pour l’orthodoxie de la Foi, dans une période très troublée. C’est un homme des villes, des routes et des carrefours, un pèlerin de la Foi insatiable dans sa quête de vérité, passionné des hommes autant que de Dieu. C’est un intellectuel qui sait puiser dans la prière la force de sa pensée. Augustin n’ignore rien de la faiblesse humaine, mais il sait qu’elle est le lieu où Dieu nous rejoint pour nous sauver.
Sainte Hélène et Constantin
Née vers 249, à Drépane (Derpanum) en Bithynie (devenue Hélénopolis), Hélène, de condition modeste était, selon saint Ambroise, fille d'auberge avant que le tribun militaire Constance Chlore qui ne pouvait l'épouser, en fît sa concubine et l’associa à sa glorieuse destinée. Quand Dioclétien fit de Constance Chlore le César des Gaules (293), il lui imposa de répudier Hélène pour qu’il épousât Théodora, file de Maximien Hercule.
A la mort de Constance Chlore (306), ses fidèles de l’armée de Bretatgne acclamèrent comme leur empereur son fils, Constantin, qu’il avait eu avec Hélène qui fut, dès lors, comblée d'honneur et reçut le titre d'Augusta et un palais à Trêves.
Eusèbe qui affirme qu'elle devint chrétienne après la conversion de Constantin, souligne la piété d'Hélène, ses prières dans les églises, sa charité pour les pauvres et les prisonniers. Entrée à Rome avec son fils, elle reçut le titre de Nobilissima Femina et la résidence impériale du Sessorium, près du Latran.
Après que Constantin eut battu l’empereur d’Orient, Licinius (324), Hélène, proclamée Augusta, investie du droit de battre monnaie à son effigie et de porter le diadème, entreprit un pèlerinage en Palestine (326) et visita les lieux saints où elle aurait découvert les reliques de la vraie croix ; on lui doit la construction des basiliques du Mont des Oliviers et de Bethléem.
Sainte Hélène
Elle commença par visiter les Lieux saints ; l’Esprit lui souffla de chercher le bois de la croix. Elle s’approcha du Golgotha et dit : « Voici le lieu du combat; où est la victoire ? Je cherche l’étendard du salut et ne le vois pas. » Elle creuse donc le sol, en rejette au loin les décombres. Voici qu’elle trouve pêle-mêle trois gibets sur lesquels la ruine s’était abattue et que l’ennemi avait cachés. Mais le triomphe du Christ peut-il rester dans l’oubli ? Troublée, Hélène hésite, elle hésite comme une femme. Mue par l’Esprit-Saint, elle se rappelle alors que deux larrons furent crucifiés avec le Seigneur. Elle cherche don c le croix du milieu. Mais, peut-être, dans la chute, ont-elles été confondues et interverties. Elle revient à la lecture de l’Evangile et voit que la croix du milieu portait l’inscription : « Jésus de Nazareth, Roi des Juifs ». Par là fut terminée la démonstration de la vérité et, grâce au titre, fut reconnue la croix du salut. (Saint Ambroise)