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joyeux noël
Par Anonyme, le 24.12.2024
lieve nicole,
we wensen je mooie kerstdagen
en een fantastisch nieuwjaar.
gonny & ronny
Par Anonyme, le 23.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Titien
Danae recevant la pluie d'or
Entre 1553 et 1554 Le Titien exécute pour les Habsburgs deux "fables mythologiques" aux intentions clairement érotiques, Danae recevant la pluie d'or et Vénus et Adonis, tous les deux maintenant conservés au Prado.
Cette Danae est une variation sur la toile peinte dix ans plus tôt pour la famille Farnese,Danae et Cupidon. La fidélité au texte d'Ovide est plus grande. Cupidon a été remplacé par la nurse âgée qui utilise son tablier pour recueillir la pluie d'or par laquelle Jupiter s'était transformé pour posséder la jeune femme.
Titien
Bacchus et Ariane
Bacchus et Ariane est une peinture de la Renaissance réalisée par Titien en 1523. Elle fait partie du cycle de peintures à sujet mythologiques commandé par Alphonse Ier d'Este, duc de Ferrare, pour une pièce de son palazzo de Ferrare. La commande initiale de cette toile avait été faite à Raphaël mais, à la mort de celui-ci en 1520, seul un dessin préliminaire avait été réalisé et la commande passa alors à Titien. Le thème de la peinture est inspiré des œuvres des poètes latins Catulle et Ovide. La toile, œuvre majeure du cycle, est désormais exposée à la National Gallery de Londres. Les autres peintures importantes du cycle sont Le Festin des dieux (en grande partie de Giovanni Bellini, exposée à la National Gallery of Art de Washington, La Bacchanale des Andriens et L'Offrande à Vénus (toutes deux
Jean COUSIN le Père
Eva Prima Pandora_Vers 1550
Ève, qui selon la Genèse commit le péché originel, est assimilée à Pandore qui, dans la mythologie grecque, répandit les maux parmi les hommes en ouvrant par curiosité le vase d'Épiméthée. Lors de l'entrée d'Henri II à Paris en 1549, Jean Cousin orna un arc triomphal d'une allégorie de Paris en "nouvelle Pandore vêtue en nymphe".
Cette représentation imaginaire et sensuelle d'Ève, la première femme, se veut une vision idéale de la femme, posant devant un double paysage ; paysage sauvage et rappelant les errements du paradis terrestre à droite, organisé et dominé par l'homme à gauche. L'inspiration italienne de Jean Cousin est évidente : perspective rigoureuse dans la construction ; mise en place savante de l'espace pictural ; modelé du corps construit à partir d'un éclairage subtil venant de la gauche ; sensualité du corps de la jeune femme et raffinement dans le traitement des bijoux et des accessoires. L'utilisation symbolique de l'architecture, ou du crâne, évoque le caractère éphémère de la vie et de la beauté terrestre rappelant les symboles raffinés de Mantegna.
Qui est cette jeune femme, mystérieux nu féminin aux proportions allongées.
Le titre de l'oeuvre, que le peintre a figuré dans le tableau, au-dessus de la tête de la figure, montrant bien qu'il ne se rapporte qu'à elle, renforce encore le mystère : est-ce Ève ou bien Pandore, appartient-elle au monde de la Bible ou à celui de la mythologie païenne ?
Selon un exercice intellectuel prisé par les humanistes de la Renaissance, Cousin conduit ceux qui contempleront son oeuvre sur le chemin d'une comparaison : n'y a-t-il pas de profondes similitudes entre la première pécheresse de la tradition judéo-chrétienne et la première femme modelée par Hephaïstos ?
Toutes deux désobéirent, et pour le même motif coupable : la curiosité. Toutes deux furent à l'origine de tous les malheurs de l'humanité. Ainsi, du vase, sur lequel Pandore pose en vain la main, se sont déjà échappés les fléaux et les désastres qui devaient à jamais y rester prisonniers, ce dont témoigne le crâne, emblème de toutes les Vanités.
Nous connaissons peu de choses quant aux circonstances de la réalisation de cette oeuvre et à son histoire. Demeurée dans une famille de Sens, originaire du même village que Jean Cousin, elle fut acquise par la société des Amis du Louvre et donnée au musée du Louvre en 1922.
Jean COUSIN le Père ou le fils ???
Enlèvement d'Europe.
L’un des plus célèbres peintres français de la Renaissance, cité dans la « Vie des plus excellents peintres » de Vasari. Il est cependant difficile de lui attribuer des œuvres avec certitude, son fils peintre également portant les mêmes noms et prénoms et un autre Jean Cousin (sans lien de parenté) étant sculpteur alors à Paris.
Il réalisa des vitraux pour la cathédrale Saint-Etienne de Sens en 1530 sur le sujet de la « Légende de Sainte Eutrope » et celui de « la Sibylle tiburtine » ainsi que de nombreux vitraux pour des châteaux et églises de la région sénonaise, dont la « Sibylle tiburtine » du château de Fleurigny ou les vitraux de l’abbaye de Vauluisant. C’est probablement après1530, date de ses derniers travaux connus à Sens, qu’il part pour Paris (peut-être en 1538) où il travaille d’abord comme orfèvre bien qu’aucune de ses œuvres d’orfèvrerie ne soit connue.
A Paris, il continua de travailler sur verre, réalisant notamment des vitraux pour la Sainte Chapelle au château de Vincennes ainsi que celles de l’église Saint-Gervais à Paris.
Il fut un artiste complet, réalisant des sculptures comme celles du tombeau de l’Amiral Chabot. On lui attribue aussi le superbemonument funéraire de Louis de Brezé, mari de Diane de Poitiers (dans la cathédrale de Rouen), et il aurait aussi travaillé aux sculptures du château de Chambord et de nombreux dessins pour gravure, ou tapisseries comme la légende de Saint Mammès commandées par le cardinal de Givry et conservées au Louvre (1544).
Il obtint les faveurs de nombreux souverains français de la dynastie Valois, travaillant pour Henri II, François II, Charles IX et Henri III.
Par exemple, il réalisa des entrées royales, notamment celles d’Henri II à Paris avec Jean Goujon (en 1549) et de Charles IX à Sens en 1563.
Il forma aussi son fils, le peintre Jean Cousin le jeune (né à Sens en 1522 – mort à Sens en 1595), auteur notamment d’un « Jugement dernier » mais dont l’attribution des œuvres est encore plus incertaine.
La jeune mendiante
Cette peinture m'a scotchée sur place, on entend presque que les cris de supplication de cette femme qui semble dans la détresse. C'est fort et c'est beau...
Merle Hugues
Roméo et Juliette -1874
1823-1881, peintre de genre et d'histoire, de sujet religieux. Né dans le village de Saint-Marcellin, Hugues Merle était un peintre de genre sensibles de grand talent dont les peintures de la simple, la vie des nobles de la classe ouvrière lui a valu une reconnaissance international . Après avoir étudié avec Leon Cogniet à l'Ecole des Beaux-Arts, il s'est lancé dans une série de tableaux représentant des thèmes historiques, y compris l'assassinat d'Henri III, qui a été acquise par le gouvernement français en 1863 pour l'exposition au Musée de Pau.
Merle Hugues
Susannah au bain - 1874
Susannah au bain est un superbe exemple de la maîtrise complète de Merle de la technique académique. Exécuté sur une grande échelle, et sûrement une entrée de Salon, ce tableau a été exécuté par l'artiste à l'apogée de sa carrière.Dessin précis et une étude approfondie de l'anatomie humaine étaient considérés comme les fondements de l'enseignement universitaire et la réputation d'un artiste et la carrière reposaient sur sa capacité à représenter fidèlement et naturellement la forme humaine et d'expression. Des choix de sujet ont clairement important, et Susannah à son bain Merle s'éloigne de ses thèmes habituels de la mère et l'enfant et a pris un sujet plus monumentale et sérieuse. Sa description de Susannah, au moment où elle prend conscience qu'elle n'est pas la seule comme elle s'élève hors de l'eau du bain, est un tour de force de la technique et d'expression. La jeune femme porte une expression d'angoisse et tourne le dos à des vieillards se cacher dans les arbres, en essayant vainement de se couvrir avec sa chemise.
Hugues Merle (1823-1881) était un français du 19e siècle peintre . Il dépeint la plupart des sujets sentimentaux ou morale. Il a souvent été comparé à William-Adolphe Bouguereau
Hugues Merle est né en 1823 à Saint Martin. He studied painting with Léon Cogniet . Il étudie la peinture avec Léon Cogniet . Merle a commencé à exposer au Salon (Paris) en 1847. Il a reçu des prix de deuxième classe en 1861 et 1863. En 1966, il a été fait Chevalier de la Légion d'Honneur .Hugues Merle est devenu un ami de Paul Durand-Ruel s 'dans le début des années 1860. Durand-Ruel avait commencé à acheter des peintures de Merle en 1862 et introduit Merle à William-Adolphe Bouguereau. Merle alors souvent être comparée à Bouguereau et même »est devenu un rival important de Bouguereau dans le sujet et le traitement ". Dans le milieu des années 1860, Merle peint plusieurs portraits de Paul Durand-Ruel , son épouse et leur fils, John. Hugues Merle est décédé en 1881 à Paris .
Merle Hugues
Jeune fille tenant un enfant endormi
1823-1881, peintre de genre et d'histoire, de sujet religieux. Il fut l'élève de Léon Cogniet aux Beaux-Arts. Il exposa au salon de 1847 à 1880
Jean Beauduin
Derniers rayons, 1896
1851-1916, peintre. Jean Beauduin étudia aux Beaux-Arts d'Anvers. Il se rendra à Paris et y exposa ses nus féminins, ses portraits et ses paysages.
Jean Beauduin est un peintre, dessinateur et illustrateur de scènes de genre, portraits et paysages. Il a reçu sa formation artistique à l'Académie d'Anvers.Il s'installe à Paris peu de temps après à travailler comme illustrateur pour de nombreux journaux et magazines, tels que "Le Figaro", "La France illustrée", "Panurge", "La Silhouette", "La Chronique Parisienne" et "illustrée Paris". Il expose son œuvre au Salon des Artistes Français à Paris