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joyeux noël
Par Anonyme, le 24.12.2024
lieve nicole,
we wensen je mooie kerstdagen
en een fantastisch nieuwjaar.
gonny & ronny
Par Anonyme, le 23.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Diego Velásquez
La forge de Vulcain
Diego Velázquez (1599 - 1660) est un peintre du siècle d'or espagnol ayant eu une influence considérable à la cour du roi Philippe IV. Il est généralement considéré, avec Francisco Goya et Le Greco, comme l’un des plus grands artistes de l’histoire espagnole. Son style, tout en restant très personnel, s’inscrit résolument dans le courant baroque de cette période. Ses deux visites effectuées en Italie, attestées par les documents de l’époque, eurent un effet décisif sur l’évolution de son œuvre. Outre de nombreuses peintures à valeur historique ou culturelle, Diego Vélasquez est l’auteur d’une profusion de portraits représentant la famille royale espagnole, d’autres grands personnages européens ou même des gens du commun. Son talent artistique, de l’avis général, a atteint son sommet
en 1656 avec la réalisation de Les Ménines, son principal chef-d’œuvre. À partir du premier quart du xixe siècle, le style de Vélasquez fut pris pour modèle par les peintres réalistes et impressionnistes, en particulier Édouard Manet. Depuis, des artistes plus contemporains comme Pablo Picasso et Salvador Dalí ont rendu hommage à leur illustre compatriote en recréant plusieurs de ses œuvres les plus célèbres comme les Ménines (musée Picasso de Barcelone).
Jean Siméon Chardin
Le Bénédicité.
Le regard du XIXe siècle : Chardin, peintre des vertus bourgeoises
« Le dimanche 27 novembre 1740, M. Chardin de l'Académie royale de peinture et sculpture, fut présenté au roi par M. le contrôleur général avec deux tableaux que Sa Majesté reçut très favorablement; ces deux morceaux sont déjà connus, ayant été exposés au Salon du Louvre au mois d'août dernier. Nous en avons parlé dans le Mercure d'octobre, sous le titre: la Mère laborieuse et le Bénédicité. »
Ce fut la seule rencontre de Chardin avec Louis XV.
Le Bénédicité et la Mère laborieuse sont tombés dans l'oubli dix ans après la mort de Louis XV, puis ont été redécouverts en 1845 : le siècle bourgeois apprécie les représentations des vertus bourgeoises qu'il oppose à la dissolution supposée générale des mœurs de la noblesse.
La blanchisseuse
Une petite femme s’occupant à savonner
Jean-Siméon Chardin appelé à tort Jean-Baptiste-Simon est un peintre français, il est né le 2 novembre 1699 à Paris et considéré comme l'un des plus grands peintres du XVIII siècle.
D'un père artisan, Chardin a été l'élève de Cazes un peintre d'Histoire, puis a intégré l'Académie de Saint-Luc avec le titre de maître.
Parmi ses premiers oeuvres on trouve 'Le Buffet' qui a reçu une grande admiration depuis le WVIIIe siècle ainsi que'La Raie' ces deux tableaux furent remarqués par les membres de l'Académie royale à l'Exposition de la Jeunesse, Louis Boullongne le premier Peintre du Roi et le peintre Nicolas de Largillière, considéré parmi les meilleurs peintres français de natures mortes.
Jean-Simon Chardin devint peintre académicien ' dans le talent des animaux et des fruits', il commença à peindre ses premiers tableaux à figures en 1733.
Parmi ses principaux tableaux de 'scènes de genre' on cite 'Une femme occupée à cacheter une lettre ' , tableau exposé place Dauphine en 1743 et 'Une femme tirant de l'eau à la fontaine ' dit encore 'La femme à la fontaine' exposé quant à lui au salon du Louvre en 1737, 'La Blanchisseuse', 'La fillette au volant', 'Le Château de cartes'...etc
En 1740, JeanSoméon Chardin sera présenté à Louis XV à Versailles par Philibert Orry et présenta à cette occasion au Roi deux tableaux ' La mère laborieuse' et le 'Bénédicité' qui furent déjà exposés au Salon du Louvre.
En 1744, le peintre épousa Françoise Marguerite Pouget (1707-1791) et profitera de la protection et l'encouragement du marquis de Vandières (1727-1781) qui l'aida à obtenir une pension de 500 livres accordé par le Roy Louis XV, ainsi qu'un logement dans les Galeries du Louvre. Il a été nommé Trésorier de l'Académie en 1755
Il sera nommé en 1765, associé libre à l'Académie des Sciences, des Belles Lettreset des Arts de Rouen, mais à cause de son état de santé, aggravé par 'la maladie des pierres' ( colliques néphrétiques) il va démissionner de sa charge de trésorier de l'Académie' en 1774.
Le grand peintre Jean Siméon Chardin, s'est éteint à Paris le 6 décembre 1799, laissant derrière lui de grands oeuvres.
Jean Simeon Chardin
Nature morte_Raisins et grenades
Au 18ème siècle les natures mortes, apparues à la fin du 17è prennent tout leur sens avec les vanités.
Des objets de la nature sont représentés : fruits, fleurs coupées dans des vases avec d'autres objets inanimés.
Chardin est le peintre des natures mortes du 18ème. La nature morte contient une dualité. Elle est à la fois plaisir, ressemblance avec la nature (on a envie de croquer dans ces fruits trompeurs) et outil au service de la religion ; le réalisme devient symbolisme par son caractère immobile, mort comme les corps destinés à l'enfer.
Pieter Bruegel
La Tour de Babel
L'épisode biblique de la tour de Babel a fait l'objet de trois tableaux chez Bruegel, dont deux seulement nous sont restés à ce jour. Le plus célèbre est la "grande tour", qui est exposé au Kunsthistorisches Museum de Vienne.
La description de l'architecture de la tour par Bruegel, avec ses nombreuses arches et d'autres exemples de l'ingénierie romaine fait penser de manière délibérée au Colisée qui représentait pour les chrétiens de l'époque le symbole de la démesure et de la persécution.
La peinture de Bruegel semble attribuer l'échec de la construction à des problèmes d'ingénierie structurelle plutôt qu'à de soudaines différences linguistiques d'origine divine. Bien qu'à première vue la tour semble constituée d'une série stable de cylindres concentriques, un examen plus attentif montre à l'évidence qu'aucun étage ne repose sur une vraie horizontale ; la tour est plutôt construite comme une spirale ascendante, elle est un édifice circulaire dont les étages ont un diamètre qui va en diminuant. Les contrebutements, qui encadrent des baies géminées, s'allègent de plus en plus. Les arches sont cependant construites perpendiculairement au sol incliné ce qui les rend instables, quelques unes se sont d'ailleurs déjà écroulées. Plus troublant peut-être : le fait que les fondations et les couches inférieures de la tour n'ont pas été finies avant que les couches supérieures ne soient construites.
En montrant la tour à divers niveaux d'avancement, selon les étages, Bruegel permet de pénétrer au coeur de l'édifice et de cerner les différentes étapes de la construction. Si le dessin architectural est très précis, il n'en reste pas moins absurde. La tour semble composée d'un étrange réseau de galerie voûtées en berceau qui ne mènent à rien. Il est évident que Bruegel n'a pas cherché à reproduire un espace habitable. En effet, l'intention des constructeurs de la tour n'est pas de faire un bâtiment fonctionnel mais de pénétrer les cieux.
La peinture est censée représenter les dangers de l'orgueil humain mais aussi l'échec de la rationalité classique face au divin. C'est aussi une allégorie du fier empire international des Habsbourg basé sur une foi unifiée et constitué de banquiers, de ministres, de clercs, de soldats et de penseurs humanistes sycophantes soumis à un tel projet.
L'autre œuvre du peintre sur le même sujet, La "Petite" Tour de Babel (c. 1568) se trouve au Musée Boymans-van Beuningen à Rotterdam.
Antoine Watteau
Pierrot
Pierrot est un tableau d'Antoine Watteau, peint en 1718-1719 et exposé aujourd'hui au Louvre. Il a longtemps été appelé Gilles.
Le pierrot est un des plus célèbres personnages de la comédie italienne. Le thème de ce tableau vient certainement de l’expérience de Watteau en tant qu'élève de Gillo, qui peignait entre autres de nombreux décors de théâtre. Ce fut un des tableaux favoris de La Case, son propriétaire au XIXème siècle. La poésie transparaît dans le regard de cet homme, plongé dans le vague. En un sens, il inspire la pitié par le ridicule (vêtements mal ajustés) ; il est d’ailleurs la risée de ses camarades, représentés en arrière plan.
Le décor est de toute évidence d’inspiration théâtrale : Pierrot semble comme monté sur scène et le fond paysager peu vraisemblable
Antoine Watteau
La Partie carrée
La représentation de deux couples relaxant dans un parc ou dans un décor similaire était un sujet classique dans la peinture galante, tel qu'illustré dans La Partie carrée (1713) d'Antoine Watteau.
Jean Antoine Watteau (ou Wateau), né à Valenciennes le 10 octobre 1684 et mort à Nogent-sur-Marne le 18 juillet 1721, est un peintre français.
Il est un des premiers représentants du mouvement rococo. Inspiré par la commedia dell'Arte, il aime à représenter le théâtre dans ses tableaux, que ce soit à travers les rideaux lourds ou les thèmes. Ses tableaux les plus célèbres sont un Pierrot (anciennement intitulé Gilles) et ses deux Pèlerinages à l'île de Cythère.
Jean-Antoine Watteau est le deuxième des 4 fils de Jean-Philippe Watteau (1660-1720), maître-couvreur, marchand de tuiles, et de Michelle Lardenois (1653-1727). Vers l’âge de dix ans, il est mis en apprentissage chez Jacques-Albert Gérin, l’un des peintres renommés de la ville, dont le musée et les églises de Valenciennes conservent quelques ouvrages, de valeur médiocre, dans le goût flamand.
Watteau passe les derniers mois de sa vie dans la propriété d'un ami de l'abbé Haranger, l'intendant des Menus-Plaisirs Philipe Le Fevre. Il meurt dans les bras de Gersaint en 1721, peut-être des suites de la tuberculose, à l'âge de 37 ans.
Watteau semble dans ses toiles condenser l’esprit de la Régence, alors qu'il ne survécut que six ans à Louis XIV.
Les tableaux de Watteau sont loin de se caractériser uniquement par une frivolité qui serait propre aux « fêtes galantes ». Une mélancolie sobre peut y être observée, un sentiment de la futilité de la vie, une légèreté pleine de grâce. Des peintres comme Nicolas Lancret et Jean-Baptiste Pater essaieront de reproduire ces thèmes mais n'arriveront pas à capturer l'esprit et à rendre cette ambiguïté.
Antoine Watteau
Embarquement pour Cythère
Le Pèlerinage à l'île de Cythère est un tableau d'Antoine Watteau, réalisé en 1717, et présenté par le peintre comme morceau de réception à l'Académie royale de peinture. Il est reçu à l'Académie, qui crée spécialement pour lui le genre de la fête galante. Le tableau est aujourd'hui exposé au musée du Louvre.
En 1718, Watteau en fit lui-même une réplique sensiblement différente, intitulée Embarquement pour Cythère, ayant appartenu à Frédéric II de Prusse et exposée aujourd'hui au Château de Charlottenburg à Berlin.
Pèlerinage à l'île de Cythère
Paul Cézanne
"Les joueurs de carte"
Les Joueurs de cartes de Paul Cézanne ont fait l'objet de plusieurs versions de la part de l'artiste. La première composition comporte plusieurs personnages, mais au fur et à mesure que Cézanne traite le sujet, il en réduit le nombre jusqu'à aboutir à une composition à deux personnages dont le caractère évoque une nature morte.
Dans la version à quatre personnages, une lumière diurne blafarde à la tonalité bleue et froide domine le tableau. Les visages et les mains des joueurs sont peints dans un ton chaud d'orange qui indique la concentration, la tension intérieur sous une apparence tranquille. Ce contraste est repris en haut à droite dans la tenture bouffante et dans la blouse bleue du personnage de droite.
Dans la version à deux personnages, la composition est totalement différente. L'arrière-plan est presque complètement sombre et seules quelques bandes claires offrent un indice sur la localisation, probablement la terrasse couverte d'un café. Chaque détail du tableau a sa fonction pour l'effet d'ensemble. Rien n'est laissé au hasard. Refusant toute mise en scène naturaliste ou représentation anecdotique, Cézanne parvient ici à réaliser une composition soigneusement conçue, constituée de lignes axiales et de correspondances chromatiques et formelles, dans laquelle sont immortalisées de la même manière monumentalité et intimité.
Paul Cézanne
Sa résidence du Jas de Bouffan (1878).
Paul Cézanne (19 janvier 1839 à Aix-en-Provence, France et mort le 22 octobre 1906 à Aix-en-Provence) est un peintre français. Membre du mouvement impressionniste, il est l'auteur de nombreux paysages de Provence, et particulièrement de la campagne d'Aix-en-Provence. Il a notamment réalisé plusieurs toiles ayant pour sujet la montagne Sainte-Victoire.
Son père, Louis Auguste Cézanne, originaire de Saint-Zacharie (Var), descendant de petits artisans (drapiers, ferronniers, etc.) repérés à Marseille depuis la fin du XVIe siècle, possède une chapellerie sur le cours Mirabeau. La famille est relativement aisée et le père crée une banque, le 1er juin 1848, 24, rue des Cordeliers, établissement qu'il transfère en 1856 13, rue Boulegon, et à laquelle il donnera le nom de « Banque Cézanne et Cabassol », de son nom propre et de celui de son associé
En octobre 1906, alors qu'il peint sur le motif, dans le massif de la Sainte-Victoire, un violent orage s'abat. Cézanne a un malaise. Il est recueilli par des charretiers et déposé dans sa maison de la rue Boulegon, à Aix, où il mourrut, le 22, emporté par une pneumonie.