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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Eva Gonzalès
Roses dans un verre
Cette superbe nature morte, qui se résume à un bouquet de roses sur fond gris perle, un bol de cristal et une cuillère d'argent disposée transversalement pour indiquer la profondeur, est traitée avec une délicatesse admirable.
Eva Gonzalès
'Sous le Berceau'
Cette image de jeune femme s'abritant du soleil est sans doute imprégnée de la mode et du gout d'une époque, mais elle est surtout issue de la vision personnelle du peintre. Eva Gonzalès nous propose ici une image nouvelle de la féminité.
Eva Gonzalès est une artiste peintre impressionniste française (née à Paris le 19 avril 1849 - décédée à Paris le 5 mai 1883). Elle est inhumée au cimetière de Montmartre
Issue d'une famille bourgeoise monégasque et d'origine espagnole, Eva Gonzalès vécut à Paris une enfance heureuse. Son père était le romancier Emmanuel Gonzalès (1815-1887), feuilletoniste du Siècle et sa mère une musicienne belge. Ils habitaient au troisième étage du 11 rue Bréda (aujourd'hui rue Henri Monnier)).
Elle fut l'élève de Charles Chaplin, (1825-1891) avant d'être celle de Gustave Brinon. Elle fut présentée par Alfred Stevens, (1823-1906) à Edouard Manet, dans l'atelier duquel elle entra en 1869 et y rencontra Berthe Morisot qui fut jalouse de son amitié avec le maître. Elle servit fréquemment de modèle pour les membres de l'école impressionniste. Elle reçut les éloges d'Émile Zola et Castagnary. Retirée à Dieppe pendant la guerre franco-allemande de 1870 elle y peint des tableaux assez sombres.
Elle épousa l'artiste peintre et graveur Henri Guérard en 1879. Le couple était très ami avec le peintre Norbert Gœneutte qui fit plusieurs portrait d'elle, de son mari et de son fils. Eva prit parfois Henri, et très souvent sa sœur cadette, Jeanne Constance Gonzalès, comme sujet pour plusieurs de ses tableaux, ainsi que sa mère, musicienne. Elle avait son atelier 11 rue Bréda. Elle se refusa à participer aux salons impressionnistes. Le couple se rend à la ferme Saint-Siméon à Honfleur où il retrouve leur amis les peintres : Félix Bracquemond, Félix Buhot, Paul Cézanne, Adolphe-Félix Cals, Jules Chéret, Ernest Cabaner, Norbert Gœneutte. Ils habitent au 2 rue Bréda et 4 avenue Frochot.
Sa carrière prit brutalement fin lorsqu'elle mourut d'une embolie le 5 mai 1883, à l'âge de 34 ans, peu de temps après avoir accouché d'un fils, Jean Raymond Guérard, exactement six jours après le décès de son professeur, Manet, pour lequel elle était occupée à tresser une couronne pour la tombe. Henri Guérard se remaria avec sa sœur, Jeanne Gonzalès.
Eva Gonzalès
Le Réveil
Ce tableau est inspiré par sa sœur Jeanne, qui a posé également pour son pendant , Le Sommeil. Il est une délicate et subtile suite de variations sur des tons de blancs
Edmond Tapissier
La dentellière.
Edmond Anne Antoine Tapissier (14 juillet 1861, Lyon - 27 avril 1943 Treignac) est un peintre, lithographe et illustrateur français du XXe siècle
Fils d’un marchand de soie lyonnais, il étudie d'abord à Lyon sous Jean-Baptiste Chatigny. À Paris, il suit les cours de l'Académie Colarossi de l'Académie Julian puis aux Beaux-Arts les classes d'Alexandre Cabanel et de Fernand Cormon.
En 1902, Il épouse Jeanne Bonin originaire de Treignac.
Il expose au Salon des artistes français (médaille de bronze en 1908) et à celui des Arts Décoratifs
Il a réalisé des illustrations pour livres d’enfants. En 1908 il dessine sous le pseudonyme de Rose Candide pour le journal Saint-Nicolas sur un texte de Georges Le Cordier la première bande dessinée utilisant des phylactères Sam et Sap. Pour certain il s’agit d’E. Tap (aussi Émile Tap) autre pseudonyme transparent d’Edmond Tapissier.
Il collabore à de nombreuses revues comme le Pêle-Mêle, le Populaire illustré,Le Gaulois en tant que dessinateur politique
Il entreprend de nombreux voyages Russie, Italie, Grèce, Proche-Orient et Turquie.
Il serait devenu peintre de la Marine en 1918, bien qu'il ne figure pas sur la liste officielle.
En 1927 il est fait chevalier de la légion d’honneur.
Il a réalisé de nombreux cartons pour la Manufacture de Beauvais et les Gobelins.
Il décora aussi de nombreuses églises et mairies.
Simon Vouet
Allégorie de la richesse
Simon Vouet est l'une des grandes figures de la peinture religieuse française du 17e siècle. Né en 1590, il rapporta de sa formation à Rome une synthèse brillante des renouveaux de la peinture italienne. Là-bas, dans le berceaux des arts, notre peintre avait travaillé pour des commanditaires illustres tels que les princes Doria. Il oeuvra aussi pour le cardinal Barberini qui n'était autre que le futir pape Urbain VIII. Très renommé, Vouet était ainsi parvenu à la direction de l'Académie de saint-Luc, qui forma les artistes peintres avant la création de l'Académie Royale de Peinture et de Sculpture. On peut dire que Vouet a beaucoup contribué, de manière significative, à implanter en France les bases d'un baroque inscrit dans la lignée des plus grands peintres italiens, Véronèse et Titien en tête.
Après son retour en France, il fut nommé peintre du roi et officia dans le cadre des grandes décorations à l'époque de Louis XIII. En vous balandant au musée du Louvre, vous pourrez découvrir certaines de ses toiles tout à fait caractéristiques de sa manière, très inspirée des vénitiens avec ces coloris clairs et chatôyants, des raccourcis et des drapés à tomber. Comme les grands maîtres de son temps, Vouet s'était entouré d'un atelier nombreux et diversifié dont on retrouver certains décors dans les grandes églises parisiennes.
Simon Vouet
La Sainte Famille avec sainte Elisabeth et le petit saint Jean (1625-1650)
Simon Vouet, né le 9 janvier 1590 à Paris où il est mort le 30 juin 1649, est un artiste-peintre français.
Son père, le peintre Laurent Vouet, lui apprend les rudiments de l’art. Simon Vouet s’adonne d’abord aux portraits.
Il voyage en Angleterre et fait partie de la suite du baron de Sancy, ambassadeur de France en poste à Constantinople. Il entame un long séjour en Italie, visitant Venise, Rome. De 1620 à 1622, il est employé à Gênes par les princes Doria. Il travaille pour le cardinal Barberini, futur pape Urbain VIII. Suite au succès immense dont il jouit à Rome, il est nommé à la tête de l'Accademia di San Luca en 1624. Jacques de Létin est un de ses amis peintre à Rome.
Simon Vouet rentre brusquement en France en 1627, suivant les recommandations pressantes du duc de Béthunes. Il importe en France le style baroque italien. Il l’adapte aux grandes décorations de l'époque de Louis XIII et de Richelieu. Il est nommé premier peintre du Roi. Louis XIII lui commande des portraits, des cartons de tapisserie et des peintures pour les palais du Louvre, et du Luxembourg et pour le château de Saint-Germain-en-Laye. En 1632, il œuvre sur les chantiers du cardinal de Richelieu au Palais-Royal et au château de Malmaison. Il décore encore en 1631 le château du président de Fourcy, à Chessy, l’hôtel Bullion, le château du maréchal d'Effiat à Chilly, l’hôtel du duc d’Aumont, la chapelle Séguier, la galerie du château de Wideville.
Simon Vouet est l'emblème d'une peinture baroque française
Simon Vouet
La Vierge et l'enfant a la rose
Peu d’artistes ont autant compté, dans l’histoire de la peinture française, que Simon Vouet . Dans un pays qui se relevait peu à peu des désastres engendrés par les guerres de religion, c’est à lui que l’on confia le soin de retrouver, face aux splendeurs de Rome et à la gloire d’artistes tels que Rubens, un style proprement national. Or, dans cette mission menée dès l’année 1627, il réussit pleinement. D’emblée, il sut fournir de nombreux modèles pour les ateliers de tapisseries installés à Paris et il s’attaqua aux voûtes des plus grands palais. Autour de lui se forma un atelier considérable, d’où sortirent quelques-unes des personnalités qui allaient s’imposer dans l’art de peindre en France : Le Brun, Mignard et Le Sueur.
Sa femme, Virginia da Vezzo, figure sous les traits de ses vierges et ses madones.
Henri Fantin-Latour
Ignace Henri Jean Théodore Fantin-Latour, né à Grenoble le 14 janvier 1836 et mort à Buré le 25 août 1904, est un peintre réaliste et intimiste, et lithographe français.
Il étudie avec son père Jean-Théodore Fantin-Latour 1805 1872, puis avec Horace Lecoq de Boisbaudran à la Petite École de dessin de Paris. Il entre à l'École des beaux-arts en 1854 et participe à l'éphémère expérience de Gustave Courbet en 1859. Il épouse la peintre Victoria Dubourg en 1876. Il passe ensuite ses étés dans la résidence de la famille de sa femme à Buré en Basse-Normandie.
Membre du groupe dit « de 1863 », puis du Cénacle des Batignolles d'où surgira l'Impressionnisme, il est un peu, remarquait Gustave Kahn, le chaînon qui unit les peintres d'aujourd'hui à la peinture romantique. Fantin rénove le portrait collectif avec de grands tableaux-manifestes : Hommage à Delacroix, 1864; Le Toast, hommage aux peintres réalistes 1865, fragment à la Freer Callery, Washington; L'Atelier des Batignolles, hommage à Manet; Un coin de Table, hommage aux jeunes poètes parnassiens, 1872, dont Verlaine et Rimbaud ; Autour du Piano, hommage aux musiciens et musicologues 1885. Ses natures mortes, fleurs ou fruits, ont souvent trouvé acquéreur. C'est Whistler qui a attiré en Angleterre l'attention sur Fantin, à une époque où la peinture impressionniste française était peu appréciée dans ce pays. Il l'a ainsi mis en relation avec son beau-frère Françis Seymour Haden et avec le graveur Edwin Edwards. Passionné de musique Berlioz, Schumann, Wagner, Fantin cherche à la transcrire par des peintures fluides exécutées en longues touches, Trois filles du Rhin1876, et lui consacre la plupart de ses lithographies. Ses portraits de sa femme Victoria Dubourg, ou de ses amis, Manet, Verlaine, ont un réalisme harmonieux et incisif.
Il est enterré au Cimetière du Montparnasse.
Henri Fantin-Latour
Nature morte
Connu avant tout comme peintre de nature morte, Fantin-Latour est également un excellent portraitiste. Il parvient à exprimer, d’une manière étrangement troublante, le vécu émotionnel de la société bourgeoise de l’époque : l’enfermement dans la morale et les conventions, l’indifférence affective et l’absence de communication. Sans chercher délibérément à se montrer critique envers ses contemporains, le peintre retranscrit de manière froide, sobre et objective ce qu’il voit dans la réalité et privilégie la représentation de figures statiques devant des fonds dépouillés, sans ornements ni accessoires explicatifs, qui confère un air de nature morte à ses portraits
Fantin-Latour fait sans aucun doute partie des peintres de nature morte les plus remarquables de l’histoire de l’art occidental. Ses compositions sont toujours agencées de manière à créer un intense sentiment d’harmonie. Sa maîtrise créa rice est si grande qu’il n’a pas à craindre la comparaison avec son modèle Chardin
Dans ses natures mortes, Fantin-Latour s’efforce également de montrer les choses telles qu’elles sont en réalité. Il n’est ainsi pas difficile pour le spectateur de reconnaître clairement les fleurs ou les fruits représentés, d’autant plus que, comme les figures, ceux-ci apparaissent généralement devant un fond neutre
Henri Fantin-Latour
Bouquet de roses
J'adore les natures mortes de Fantin Latour, un vrai bol d'air pur ,un bouquet de fraicheur.
Fantin Latour est un peintre impressionniste qui se rendit célèbre par ses peintures de bouquets de roses
Ses natures mortes, fleurs ou fruits, ont souvent trouvé acquéreur. C'est Whistler qui a attiré en Angleterre l'attention sur Fantin, à une époque où la peinture impressionniste française était peu appréciée dans ce pays