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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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La maison de la Reine vue de derriére
La maison de la Reine est située au centre du hameau. Son allure pittoresque est renforcée par l'originalité de sa structure : un double corps de bâtiments non alignés et simplement reliés par une passerelle couverte, une tour ronde, des escaliers extérieurs soutenus par des poteaux de bois et des toitures d'inclinaisons diverses. Elle est la seule, avec la laiterie de propreté, à être couverte de tuiles. Sa décoration est simple mais élégante, éloignée du luxe flamboyant du château. Composée de deux étages, elle comprend au niveau supérieur une antichambre en forme de « cabinet chinois », le petit salon, dit aussi « salle des nobles », et le grand salon aux lambris tendus de tapisseries de style suisse brodées en laine et vannerie. Des six croisées de la pièce, la reine peut aisément contrôler les travaux des champs et l'activité du hameau. Au centre de la pièce est installé un clavecin sur lequel Marie-Antoinette aime à jouer. L'accès à l'étage se fait soit par un ample escalier intérieur, soit par celui de la tour ronde, s'arrêtant à mi-hauteur et suivi d'une passerelle puis d'une volée de dix marches atteignant la galerie extérieure. Au rez-de-chaussée, le bâtiment comprend un salon de trictrac décoré d'un parquet en échiquier et une salle à manger à simple dallage de pierre blanche.
À gauche, un autre bâtiment est relié à la maison de la Reine par une galerie de bois vert-olive agrémentée de treilles et de centaines de pots de fleurs en faïence, marqués en bleu du chiffre de la Reine, dans un médaillon suspendu à un ruban environné de roses. Une jardinière de quatre-vingt-huit pieds posée le long de la galerie permet de cultiver des fleurs et de laisser pousser jusqu'au toit des plantes grimpantes. Un escalier hélicoïdal y accédant par la gauche s'enroule à l'origine autour d'un peuplier présent avant la construction de l'édifice. À l'étage, au-dessus de la grande salle de billard, flanquée de deux garde-robes, se trouve un petit appartement, qui comprend cinq pièces dont une bibliothèque. Malgré l'apparence rustique des façades, l'ameublement et l'aménagement intérieurs sont luxueux
La maison de la reine et le billard sont renommés sous le Premier Empire maison seigneuriale et bailliage. En mauvais état général, le double édifice est restauré dès 1810. La maçonnerie est refaite de fond en comble, de même que les charpentes et les boiseries. La peinture extérieure en trompe-l'œil est restaurée. Les intérieurs, au contraire, sont remis au goût de l'époque. Le cabinet de trictrac du rez-de-chaussée est repeint en couleur abricot, puis en vert. Le salon principal est tendu de soie jaune peinte en arabesque et des rideaux jaunes bordés de violet sont accrochés aux croisées. Tout le mobilier est assorti, en soie à fond jaune paille avec une bordure violette. Les tentures de 1811 sont remplacées en 1957 à la suite d'actes de vandalisme. La maison de la reine et le billard sont, en 2011, au centre d'un projet de restauration estimé à cinq millions d'euros.
La maison du billard vue de derriére
La maison de la Reine est située au centre du hameau. Son allure pittoresque est renforcée par l'originalité de sa structure : un double corps de bâtiments non alignés et simplement reliés par une passerelle couverte, une tour ronde, des escaliers extérieurs soutenus par des poteaux de bois et des toitures d'inclinaisons diverses. Elle est la seule, avec la laiterie de propreté, à être couverte de tuiles. Sa décoration est simple mais élégante, éloignée du luxe flamboyant du château. Composée de deux étages, elle comprend au niveau supérieur une antichambre en forme de « cabinet chinois », le petit salon, dit aussi « salle des nobles », et le grand salon aux lambris tendus de tapisseries de style suisse brodées en laine et vannerie. Des six croisées de la pièce, la reine peut aisément contrôler les travaux des champs et l'activité du hameau. Au centre de la pièce est installé un clavecin sur lequel Marie-Antoinette aime à jouer. L'accès à l'étage se fait soit par un ample escalier intérieur, soit par celui de la tour ronde, s'arrêtant à mi-hauteur et suivi d'une passerelle puis d'une volée de dix marches atteignant la galerie extérieure. Au rez-de-chaussée, le bâtiment comprend un salon de trictrac décoré d'un parquet en échiquier et une salle à manger à simple dallage de pierre blanche.
À gauche, un autre bâtiment est relié à la maison de la Reine par une galerie de bois vert-olive agrémentée de treilles et de centaines de pots de fleurs en faïence, marqués en bleu du chiffre de la Reine, dans un médaillon suspendu à un ruban environné de roses. Une jardinière de quatre-vingt-huit pieds posée le long de la galerie permet de cultiver des fleurs et de laisser pousser jusqu'au toit des plantes grimpantes. Un escalier hélicoïdal y accédant par la gauche s'enroule à l'origine autour d'un peuplier présent avant la construction de l'édifice. À l'étage, au-dessus de la grande salle de billard, flanquée de deux garde-robes, se trouve un petit appartement, qui comprend cinq pièces dont une bibliothèque. Malgré l'apparence rustique des façades, l'ameublement et l'aménagement intérieurs sont luxueux
La maison de la reine et le billard sont renommés sous le Premier Empire maison seigneuriale et bailliage. En mauvais état général, le double édifice est restauré dès 1810. La maçonnerie est refaite de fond en comble, de même que les charpentes et les boiseries. La peinture extérieure en trompe-l'œil est restaurée. Les intérieurs, au contraire, sont remis au goût de l'époque. Le cabinet de trictrac du rez-de-chaussée est repeint en couleur abricot, puis en vert. Le salon principal est tendu de soie jaune peinte en arabesque et des rideaux jaunes bordés de violet sont accrochés aux croisées. Tout le mobilier est assorti, en soie à fond jaune paille avec une bordure violette. Les tentures de 1811 sont remplacées en 1957 à la suite d'actes de vandalisme. La maison de la reine et le billard sont, en 2011, au centre d'un projet de restauration estimé à cinq millions d'euros.
La maison de la Reine
La maison de la Reine est située au centre du hameau. Son allure pittoresque est renforcée par l'originalité de sa structure : un double corps de bâtiments non alignés et simplement reliés par une passerelle couverte, une tour ronde, des escaliers extérieurs soutenus par des poteaux de bois et des toitures d'inclinaisons diverses. Elle est la seule, avec la laiterie de propreté, à être couverte de tuiles. Sa décoration est simple mais élégante, éloignée du luxe flamboyant du château. Composée de deux étages, elle comprend au niveau supérieur une antichambre en forme de « cabinet chinois », le petit salon, dit aussi « salle des nobles », et le grand salon aux lambris tendus de tapisseries de style suisse brodées en laine et vannerie. Des six croisées de la pièce, la reine peut aisément contrôler les travaux des champs et l'activité du hameau. Au centre de la pièce est installé un clavecin sur lequel Marie-Antoinette aime à jouer. L'accès à l'étage se fait soit par un ample escalier intérieur, soit par celui de la tour ronde, s'arrêtant à mi-hauteur et suivi d'une passerelle puis d'une volée de dix marches atteignant la galerie extérieure. Au rez-de-chaussée, le bâtiment comprend un salon de trictrac décoré d'un parquet en échiquier et une salle à manger à simple dallage de pierre blanche.
À gauche, un autre bâtiment est relié à la maison de la Reine par une galerie de bois vert-olive agrémentée de treilles et de centaines de pots de fleurs en faïence, marqués en bleu du chiffre de la Reine, dans un médaillon suspendu à un ruban environné de roses. Une jardinière de quatre-vingt-huit pieds posée le long de la galerie permet de cultiver des fleurs et de laisser pousser jusqu'au toit des plantes grimpantes. Un escalier hélicoïdal y accédant par la gauche s'enroule à l'origine autour d'un peuplier présent avant la construction de l'édifice. À l'étage, au-dessus de la grande salle de billard, flanquée de deux garde-robes, se trouve un petit appartement, qui comprend cinq pièces dont une bibliothèque. Malgré l'apparence rustique des façades, l'ameublement et l'aménagement intérieurs sont luxueux
La maison de la reine et le billard sont renommés sous le Premier Empire maison seigneuriale et bailliage. En mauvais état général, le double édifice est restauré dès 1810. La maçonnerie est refaite de fond en comble, de même que les charpentes et les boiseries. La peinture extérieure en trompe-l'œil est restaurée. Les intérieurs, au contraire, sont remis au goût de l'époque. Le cabinet de trictrac du rez-de-chaussée est repeint en couleur abricot, puis en vert. Le salon principal est tendu de soie jaune peinte en arabesque et des rideaux jaunes bordés de violet sont accrochés aux croisées. Tout le mobilier est assorti, en soie à fond jaune paille avec une bordure violette. Les tentures de 1811 sont remplacées en 1957 à la suite d'actes de vandalisme. La maison de la reine et le billard sont, en 2011, au centre d'un projet de restauration estimé à cinq millions d'euros.
Galerie de la maison de la Reine
La maison de la Reine est située au centre du hameau. Son allure pittoresque est renforcée par l'originalité de sa structure : un double corps de bâtiments non alignés et simplement reliés par une passerelle couverte, une tour ronde, des escaliers extérieurs soutenus par des poteaux de bois et des toitures d'inclinaisons diverses. Elle est la seule, avec la laiterie de propreté, à être couverte de tuiles. Sa décoration est simple mais élégante, éloignée du luxe flamboyant du château. Composée de deux étages, elle comprend au niveau supérieur une antichambre en forme de « cabinet chinois », le petit salon, dit aussi « salle des nobles », et le grand salon aux lambris tendus de tapisseries de style suisse brodées en laine et vannerie. Des six croisées de la pièce, la reine peut aisément contrôler les travaux des champs et l'activité du hameau. Au centre de la pièce est installé un clavecin sur lequel Marie-Antoinette aime à jouer. L'accès à l'étage se fait soit par un ample escalier intérieur, soit par celui de la tour ronde, s'arrêtant à mi-hauteur et suivi d'une passerelle puis d'une volée de dix marches atteignant la galerie extérieure. Au rez-de-chaussée, le bâtiment comprend un salon de trictrac décoré d'un parquet en échiquier et une salle à manger à simple dallage de pierre blanche.
À gauche, un autre bâtiment est relié à la maison de la Reine par une galerie de bois vert-olive agrémentée de treilles et de centaines de pots de fleurs en faïence, marqués en bleu du chiffre de la Reine, dans un médaillon suspendu à un ruban environné de roses. Une jardinière de quatre-vingt-huit pieds posée le long de la galerie permet de cultiver des fleurs et de laisser pousser jusqu'au toit des plantes grimpantes. Un escalier hélicoïdal y accédant par la gauche s'enroule à l'origine autour d'un peuplier présent avant la construction de l'édifice. À l'étage, au-dessus de la grande salle de billard, flanquée de deux garde-robes, se trouve un petit appartement, qui comprend cinq pièces dont une bibliothèque. Malgré l'apparence rustique des façades, l'ameublement et l'aménagement intérieurs sont luxueux
La maison de la reine et le billard sont renommés sous le Premier Empire maison seigneuriale et bailliage. En mauvais état général, le double édifice est restauré dès 1810. La maçonnerie est refaite de fond en comble, de même que les charpentes et les boiseries. La peinture extérieure en trompe-l'œil est restaurée. Les intérieurs, au contraire, sont remis au goût de l'époque. Le cabinet de trictrac du rez-de-chaussée est repeint en couleur abricot, puis en vert. Le salon principal est tendu de soie jaune peinte en arabesque et des rideaux jaunes bordés de violet sont accrochés aux croisées. Tout le mobilier est assorti, en soie à fond jaune paille avec une bordure violette. Les tentures de 1811 sont remplacées en 1957 à la suite d'actes de vandalisme. La maison de la reine et le billard sont, en 2011, au centre d'un projet de restauration estimé à cinq millions d'euros.
Salon de la maison de la Reine
La maison de la Reine est située au centre du hameau. Son allure pittoresque est renforcée par l'originalité de sa structure : un double corps de bâtiments non alignés et simplement reliés par une passerelle couverte, une tour ronde, des escaliers extérieurs soutenus par des poteaux de bois et des toitures d'inclinaisons diverses. Elle est la seule, avec la laiterie de propreté, à être couverte de tuiles. Sa décoration est simple mais élégante, éloignée du luxe flamboyant du château. Composée de deux étages, elle comprend au niveau supérieur une antichambre en forme de « cabinet chinois », le petit salon, dit aussi « salle des nobles », et le grand salon aux lambris tendus de tapisseries de style suisse brodées en laine et vannerie. Des six croisées de la pièce, la reine peut aisément contrôler les travaux des champs et l'activité du hameau. Au centre de la pièce est installé un clavecin sur lequel Marie-Antoinette aime à jouer. L'accès à l'étage se fait soit par un ample escalier intérieur, soit par celui de la tour ronde, s'arrêtant à mi-hauteur et suivi d'une passerelle puis d'une volée de dix marches atteignant la galerie extérieure. Au rez-de-chaussée, le bâtiment comprend un salon de trictrac décoré d'un parquet en échiquier et une salle à manger à simple dallage de pierre blanche.
À gauche, un autre bâtiment est relié à la maison de la Reine par une galerie de bois vert-olive agrémentée de treilles et de centaines de pots de fleurs en faïence, marqués en bleu du chiffre de la Reine, dans un médaillon suspendu à un ruban environné de roses. Une jardinière de quatre-vingt-huit pieds posée le long de la galerie permet de cultiver des fleurs et de laisser pousser jusqu'au toit des plantes grimpantes. Un escalier hélicoïdal y accédant par la gauche s'enroule à l'origine autour d'un peuplier présent avant la construction de l'édifice. À l'étage, au-dessus de la grande salle de billard, flanquée de deux garde-robes, se trouve un petit appartement, qui comprend cinq pièces dont une bibliothèque. Malgré l'apparence rustique des façades, l'ameublement et l'aménagement intérieurs sont luxueux
La maison de la reine et le billard sont renommés sous le Premier Empire maison seigneuriale et bailliage. En mauvais état général, le double édifice est restauré dès 1810. La maçonnerie est refaite de fond en comble, de même que les charpentes et les boiseries. La peinture extérieure en trompe-l'œil est restaurée. Les intérieurs, au contraire, sont remis au goût de l'époque. Le cabinet de trictrac du rez-de-chaussée est repeint en couleur abricot, puis en vert. Le salon principal est tendu de soie jaune peinte en arabesque et des rideaux jaunes bordés de violet sont accrochés aux croisées. Tout le mobilier est assorti, en soie à fond jaune paille avec une bordure violette. Les tentures de 1811 sont remplacées en 1957 à la suite d'actes de vandalisme. La maison de la reine et le billard sont, en 2011, au centre d'un projet de restauration estimé à cinq millions d'euros.
La maison de la Reine et a droite le billard
La maison de la Reine est située au centre du hameau. Son allure pittoresque est renforcée par l'originalité de sa structure : un double corps de bâtiments non alignés et simplement reliés par une passerelle couverte, une tour ronde, des escaliers extérieurs soutenus par des poteaux de bois et des toitures d'inclinaisons diverses. Elle est la seule, avec la laiterie de propreté, à être couverte de tuiles. Sa décoration est simple mais élégante, éloignée du luxe flamboyant du château. Composée de deux étages, elle comprend au niveau supérieur une antichambre en forme de « cabinet chinois », le petit salon, dit aussi « salle des nobles », et le grand salon aux lambris tendus de tapisseries de style suisse brodées en laine et vannerie. Des six croisées de la pièce, la reine peut aisément contrôler les travaux des champs et l'activité du hameau. Au centre de la pièce est installé un clavecin sur lequel Marie-Antoinette aime à jouer. L'accès à l'étage se fait soit par un ample escalier intérieur, soit par celui de la tour ronde, s'arrêtant à mi-hauteur et suivi d'une passerelle puis d'une volée de dix marches atteignant la galerie extérieure. Au rez-de-chaussée, le bâtiment comprend un salon de trictrac décoré d'un parquet en échiquier et une salle à manger à simple dallage de pierre blanche.
À gauche, un autre bâtiment est relié à la maison de la Reine par une galerie de bois vert-olive agrémentée de treilles et de centaines de pots de fleurs en faïence, marqués en bleu du chiffre de la Reine, dans un médaillon suspendu à un ruban environné de roses. Une jardinière de quatre-vingt-huit pieds posée le long de la galerie permet de cultiver des fleurs et de laisser pousser jusqu'au toit des plantes grimpantes. Un escalier hélicoïdal y accédant par la gauche s'enroule à l'origine autour d'un peuplier présent avant la construction de l'édifice. À l'étage, au-dessus de la grande salle de billard, flanquée de deux garde-robes, se trouve un petit appartement, qui comprend cinq pièces dont une bibliothèque. Malgré l'apparence rustique des façades, l'ameublement et l'aménagement intérieurs sont luxueux
La maison de la reine et le billard sont renommés sous le Premier Empire maison seigneuriale et bailliage. En mauvais état général, le double édifice est restauré dès 1810. La maçonnerie est refaite de fond en comble, de même que les charpentes et les boiseries. La peinture extérieure en trompe-l'œil est restaurée. Les intérieurs, au contraire, sont remis au goût de l'époque. Le cabinet de trictrac du rez-de-chaussée est repeint en couleur abricot, puis en vert. Le salon principal est tendu de soie jaune peinte en arabesque et des rideaux jaunes bordés de violet sont accrochés aux croisées. Tout le mobilier est assorti, en soie à fond jaune paille avec une bordure violette. Les tentures de 1811 sont remplacées en 1957 à la suite d'actes de vandalisme. La maison de la reine et le billard sont, en 2011, au centre d'un projet de restauration estimé à cinq millions d'euros.
La Ferme
La ferme de Marie-Antoinette est créée, légèrement à l'écart du hameau, pour y être une véritable exploitation. Les différents bâtiments qui la composent sont construits de 1784 à 1789, avec de nombreuses modifications de projet au cours de l'édification : des étables, une bergerie, une porcherie, des clapiers et un poulailler. Valy Bussard est le fermier désigné par la Reine pour conduire la ferme mais aussi la laiterie. Il arrive de Touraine le 14 juin 1785 et sa famille le rejoint le 27 décembre. Leur résidence, construite en 1787 et composée de trois chambres, une cuisine et une salle à manger, est, comme l'ensemble des maisons du hameau, décorée dans le « goût rustique ». Un garçon laitier et un vacher viennent les assister dans l'exploitation. Chargé aussi de la gestion de la ferme, Valy occupe un bureau au-dessus de l'étable.
En mai 1787, on reçoit sept chèvres et un bouc. Huit vaches et un taureau sont acquis en juin. Un nouveau bouc à quatre cornes et une chèvre blanche . Ce n'est qu'en 1789 qu'est acheté l'unique cheval, alors que la famille royale a déjà quitté Versailles.
En 1787, la construction d'une nouvelle grange dans l'enceinte de la ferme permet de transformer la premiére en salle de bal. Un pont au-dessus du fossé permet l'accès depuis l'allée du Rendez-Vous, grâce à une grande porte à auvent. La cour de la ferme comprend un abreuvoir et un puits.
La majeure partie de l'ensemble est détruite sous le Premier Empire et le reste est affecté à un corps de garde de l'Empereur et aux chevaux. .
La restitution complète de l'exploitation dans son état de 1789 est lancée en 1992 et achevée en 2006
La ferme -La bergerie
La ferme de Marie-Antoinette est créée, légèrement à l'écart du hameau, pour y être une véritable exploitation. Les différents bâtiments qui la composent sont construits de 1784 à 1789, avec de nombreuses modifications de projet au cours de l'édification : des étables, une bergerie, une porcherie, des clapiers et un poulailler. Valy Bussard est le fermier désigné par la Reine pour conduire la ferme mais aussi la laiterie. Il arrive de Touraine le 14 juin 1785 et sa famille le rejoint le 27 décembre. Leur résidence, construite en 1787 et composée de trois chambres, une cuisine et une salle à manger, est, comme l'ensemble des maisons du hameau, décorée dans le « goût rustique ». Un garçon laitier et un vacher viennent les assister dans l'exploitation. Chargé aussi de la gestion de la ferme, Valy occupe un bureau au-dessus de l'étable.
En mai 1787, on reçoit sept chèvres et un bouc. Huit vaches et un taureau sont acquis en juin. Un nouveau bouc à quatre cornes et une chèvre blanche . Ce n'est qu'en 1789 qu'est acheté l'unique cheval, alors que la famille royale a déjà quitté Versailles.
En 1787, la construction d'une nouvelle grange dans l'enceinte de la ferme permet de transformer la premiére en salle de bal. Un pont au-dessus du fossé permet l'accès depuis l'allée du Rendez-Vous, grâce à une grande porte à auvent. La cour de la ferme comprend un abreuvoir et un puits.
La majeure partie de l'ensemble est détruite sous le Premier Empire et le reste est affecté à un corps de garde de l'Empereur et aux chevaux. .
La restitution complète de l'exploitation dans son état de 1789 est lancée en 1992 et achevée en 2006
La ferme -La maison du fermier
La ferme de Marie-Antoinette est créée, légèrement à l'écart du hameau, pour y être une véritable exploitation. Les différents bâtiments qui la composent sont construits de 1784 à 1789, avec de nombreuses modifications de projet au cours de l'édification : des étables, une bergerie, une porcherie, des clapiers et un poulailler. Valy Bussard est le fermier désigné par la Reine pour conduire la ferme mais aussi la laiterie. Il arrive de Touraine le 14 juin 1785 et sa famille le rejoint le 27 décembre. Leur résidence, construite en 1787 et composée de trois chambres, une cuisine et une salle à manger, est, comme l'ensemble des maisons du hameau, décorée dans le « goût rustique ». Un garçon laitier et un vacher viennent les assister dans l'exploitation. Chargé aussi de la gestion de la ferme, Valy occupe un bureau au-dessus de l'étable.
En mai 1787, on reçoit sept chèvres et un bouc. Huit vaches et un taureau sont acquis en juin. Un nouveau bouc à quatre cornes et une chèvre blanche . Ce n'est qu'en 1789 qu'est acheté l'unique cheval, alors que la famille royale a déjà quitté Versailles.
En 1787, la construction d'une nouvelle grange dans l'enceinte de la ferme permet de transformer la premiére en salle de bal. Un pont au-dessus du fossé permet l'accès depuis l'allée du Rendez-Vous, grâce à une grande porte à auvent. La cour de la ferme comprend un abreuvoir et un puits.
La majeure partie de l'ensemble est détruite sous le Premier Empire et le reste est affecté à un corps de garde de l'Empereur et aux chevaux. .
La restitution complète de l'exploitation dans son état de 1789 est lancée en 1992 et achevée en 2006
La cour arriére de la ferme
La ferme de Marie-Antoinette est créée, légèrement à l'écart du hameau, pour y être une véritable exploitation. Les différents bâtiments qui la composent sont construits de 1784 à 1789, avec de nombreuses modifications de projet au cours de l'édification : des étables, une bergerie, une porcherie, des clapiers et un poulailler. Valy Bussard est le fermier désigné par la Reine pour conduire la ferme mais aussi la laiterie. Il arrive de Touraine le 14 juin 1785 et sa famille le rejoint le 27 décembre. Leur résidence, construite en 1787 et composée de trois chambres, une cuisine et une salle à manger, est, comme l'ensemble des maisons du hameau, décorée dans le « goût rustique ». Un garçon laitier et un vacher viennent les assister dans l'exploitation. Chargé aussi de la gestion de la ferme, Valy occupe un bureau au-dessus de l'étable.
En mai 1787, on reçoit sept chèvres et un bouc. Huit vaches et un taureau sont acquis en juin. Un nouveau bouc à quatre cornes et une chèvre blanche . Ce n'est qu'en 1789 qu'est acheté l'unique cheval, alors que la famille royale a déjà quitté Versailles.
En 1787, la construction d'une nouvelle grange dans l'enceinte de la ferme permet de transformer la premiére en salle de bal. Un pont au-dessus du fossé permet l'accès depuis l'allée du Rendez-Vous, grâce à une grande porte à auvent. La cour de la ferme comprend un abreuvoir et un puits.
La majeure partie de l'ensemble est détruite sous le Premier Empire et le reste est affecté à un corps de garde de l'Empereur et aux chevaux. .
La restitution complète de l'exploitation dans son état de 1789 est lancée en 1992 et achevée en 2006