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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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La ferme
La ferme de Marie-Antoinette est créée, légèrement à l'écart du hameau, pour y être une véritable exploitation. Les différents bâtiments qui la composent sont construits de 1784 à 1789, avec de nombreuses modifications de projet au cours de l'édification : des étables, une bergerie, une porcherie, des clapiers et un poulailler. Valy Bussard est le fermier désigné par la Reine pour conduire la ferme mais aussi la laiterie. Il arrive de Touraine le 14 juin 1785 et sa famille le rejoint le 27 décembre. Leur résidence, construite en 1787 et composée de trois chambres, une cuisine et une salle à manger, est, comme l'ensemble des maisons du hameau, décorée dans le « goût rustique ». Un garçon laitier et un vacher viennent les assister dans l'exploitation. Chargé aussi de la gestion de la ferme, Valy occupe un bureau au-dessus de l'étable.
En mai 1787, on reçoit sept chèvres et un bouc. Huit vaches et un taureau sont acquis en juin. Un nouveau bouc à quatre cornes et une chèvre blanche . Ce n'est qu'en 1789 qu'est acheté l'unique cheval, alors que la famille royale a déjà quitté Versailles.
En 1787, la construction d'une nouvelle grange dans l'enceinte de la ferme permet de transformer la premiére en salle de bal. Un pont au-dessus du fossé permet l'accès depuis l'allée du Rendez-Vous, grâce à une grande porte à auvent. La cour de la ferme comprend un abreuvoir et un puits.
La majeure partie de l'ensemble est détruite sous le Premier Empire et le reste est affecté à un corps de garde de l'Empereur et aux chevaux. .
La restitution complète de l'exploitation dans son état de 1789 est lancée en 1992 et achevée en 2006
La ferme
La ferme de Marie-Antoinette est créée, légèrement à l'écart du hameau, pour y être une véritable exploitation. Les différents bâtiments qui la composent sont construits de 1784 à 1789, avec de nombreuses modifications de projet au cours de l'édification : des étables, une bergerie, une porcherie, des clapiers et un poulailler. Valy Bussard est le fermier désigné par la Reine pour conduire la ferme mais aussi la laiterie. Il arrive de Touraine le 14 juin 1785 et sa famille le rejoint le 27 décembre. Leur résidence, construite en 1787 et composée de trois chambres, une cuisine et une salle à manger, est, comme l'ensemble des maisons du hameau, décorée dans le « goût rustique ». Un garçon laitier et un vacher viennent les assister dans l'exploitation. Chargé aussi de la gestion de la ferme, Valy occupe un bureau au-dessus de l'étable.
En mai 1787, on reçoit sept chèvres et un bouc. Huit vaches et un taureau sont acquis en juin. Un nouveau bouc à quatre cornes et une chèvre blanche . Ce n'est qu'en 1789 qu'est acheté l'unique cheval, alors que la famille royale a déjà quitté Versailles.
En 1787, la construction d'une nouvelle grange dans l'enceinte de la ferme permet de transformer la premiére en salle de bal. Un pont au-dessus du fossé permet l'accès depuis l'allée du Rendez-Vous, grâce à une grande porte à auvent. La cour de la ferme comprend un abreuvoir et un puits.
La majeure partie de l'ensemble est détruite sous le Premier Empire et le reste est affecté à un corps de garde de l'Empereur et aux chevaux. .
La restitution complète de l'exploitation dans son état de 1789 est lancée en 1992 et achevée en 2006
la Tour de Marlborough
La tour de Marlborough, édifiée avec l'aspect d'un phare vaguement médiéval, est initialement nommée « tour de la Pêcherie ». Des trois étages de la tour, seul le soubassement hexagonal est en pierre de vergelé, pour assurer sa solidité. La tour sert au stockage, dans son soubassement, des outils de pêche et des barques. Un étroit couloir permet de se rendre depuis la laiterie à cette pièce circulaire. Du pied de la tour, on monte et on descend d'une embarcation en bois de chêne peint en gris, pour les balades sur le « Grand lac » ou la pêche à la carpe ou au brochet. La partie haute est en bois peint d'un décor imitant la pierre et sert à communiquer par signaux avec le château. Lors de la construction de la tour, en 1784, on édifie aussi à proximité une pêcherie, de forme rectangulaire et comportant deux pièces. Mais après moins d'une année de travaux, elle est démolie pour faire place à une laiterie et les matériaux sont réemployés dans les chaumières proches.
Le nom Marlborough est une référence à la berceuse Marlbrough s'en va -t-en guerre, écrite en 1722 mais remise au goût du jour en 1782.
Après la Révolution, la tour est l'un des bâtiments les plus endommagés. Sa structure métallique a été vandalisée. Lors des travaux de restauration engagés par Napoléon, la partie supérieure est simplifiée et l'ensemble du bâtiment est repeint en imitation de « pierre en ruine ».
L'escalier de bois débillardé à limon courbe sur poteaux avec marches massives en chêne, qui entourait initialement la tour, avait disparu à la fin du xixe siècle, après avoir fait l'objet d'une réfection complète en 1837, de même que la tourelle supérieure couverte de plomb ; il a été reconstruit à l'identique en 2002 lors des travaux de restauration de l'ensemble. Garni de giroflées et de géraniums qui « figurent un parterre aérien » il permet de rejoindre une pièce ronde, entourée de douze arcades, qui paraît avoir été créée comme un petit boudoir puis, à l'étage supérieur, un balcon circulaire permettant d'apprécier la vue panoramique sur le lac et l'ensemble du hameau.
la Tour de Marlborough et la laiterie
La tour de Marlborough, édifiée avec l'aspect d'un phare vaguement médiéval, est initialement nommée « tour de la Pêcherie ». Des trois étages de la tour, seul le soubassement hexagonal est en pierre de vergelé, pour assurer sa solidité. La tour sert au stockage, dans son soubassement, des outils de pêche et des barques. Un étroit couloir permet de se rendre depuis la laiterie à cette pièce circulaire. Du pied de la tour, on monte et on descend d'une embarcation en bois de chêne peint en gris, pour les balades sur le « Grand lac » ou la pêche à la carpe ou au brochet. La partie haute est en bois peint d'un décor imitant la pierre et sert à communiquer par signaux avec le château. Lors de la construction de la tour, en 1784, on édifie aussi à proximité une pêcherie, de forme rectangulaire et comportant deux pièces. Mais après moins d'une année de travaux, elle est démolie pour faire place à une laiterie et les matériaux sont réemployés dans les chaumières proches.
Le nom Marlborough est une référence à la berceuse Marlbrough s'en va -t-en guerre, écrite en 1722 mais remise au goût du jour en 1782.
Après la Révolution, la tour est l'un des bâtiments les plus endommagés. Sa structure métallique a été vandalisée. Lors des travaux de restauration engagés par Napoléon, la partie supérieure est simplifiée et l'ensemble du bâtiment est repeint en imitation de « pierre en ruine ».
L'escalier de bois débillardé à limon courbe sur poteaux avec marches massives en chêne, qui entourait initialement la tour, avait disparu à la fin du xixe siècle, après avoir fait l'objet d'une réfection complète en 1837, de même que la tourelle supérieure couverte de plomb ; il a été reconstruit à l'identique en 2002 lors des travaux de restauration de l'ensemble. Garni de giroflées et de géraniums qui « figurent un parterre aérien » il permet de rejoindre une pièce ronde, entourée de douze arcades, qui paraît avoir été créée comme un petit boudoir puis, à l'étage supérieur, un balcon circulaire permettant d'apprécier la vue panoramique sur le lac et l'ensemble du hameau.
la Tour de Marlborough
Intérieur de la tour
La tour de Marlborough, édifiée avec l'aspect d'un phare vaguement médiéval, est initialement nommée « tour de la Pêcherie ». Des trois étages de la tour, seul le soubassement hexagonal est en pierre de vergelé, pour assurer sa solidité. La tour sert au stockage, dans son soubassement, des outils de pêche et des barques. Un étroit couloir permet de se rendre depuis la laiterie à cette pièce circulaire. Du pied de la tour, on monte et on descend d'une embarcation en bois de chêne peint en gris, pour les balades sur le « Grand lac » ou la pêche à la carpe ou au brochet. La partie haute est en bois peint d'un décor imitant la pierre et sert à communiquer par signaux avec le château. Lors de la construction de la tour, en 1784, on édifie aussi à proximité une pêcherie, de forme rectangulaire et comportant deux pièces. Mais après moins d'une année de travaux, elle est démolie pour faire place à une laiterie et les matériaux sont réemployés dans les chaumières proches.
Le nom Marlborough est une référence à la berceuse Marlbrough s'en va -t-en guerre, écrite en 1722 mais remise au goût du jour en 1782.
Après la Révolution, la tour est l'un des bâtiments les plus endommagés. Sa structure métallique a été vandalisée. Lors des travaux de restauration engagés par Napoléon, la partie supérieure est simplifiée et l'ensemble du bâtiment est repeint en imitation de « pierre en ruine ».
L'escalier de bois débillardé à limon courbe sur poteaux avec marches massives en chêne, qui entourait initialement la tour, avait disparu à la fin du xixe siècle, après avoir fait l'objet d'une réfection complète en 1837, de même que la tourelle supérieure couverte de plomb ; il a été reconstruit à l'identique en 2002 lors des travaux de restauration de l'ensemble. Garni de giroflées et de géraniums qui « figurent un parterre aérien » il permet de rejoindre une pièce ronde, entourée de douze arcades, qui paraît avoir été créée comme un petit boudoir puis, à l'étage supérieur, un balcon circulaire permettant d'apprécier la vue panoramique sur le lac et l'ensemble du hameau.
la Tour de Marlborough
Intérieur de la tour - Passage menant a la laiterie de propreté
La tour de Marlborough, édifiée avec l'aspect d'un phare vaguement médiéval, est initialement nommée « tour de la Pêcherie ». Des trois étages de la tour, seul le soubassement hexagonal est en pierre de vergelé, pour assurer sa solidité. La tour sert au stockage, dans son soubassement, des outils de pêche et des barques. Un étroit couloir permet de se rendre depuis la laiterie à cette pièce circulaire. Du pied de la tour, on monte et on descend d'une embarcation en bois de chêne peint en gris, pour les balades sur le « Grand lac » ou la pêche à la carpe ou au brochet. La partie haute est en bois peint d'un décor imitant la pierre et sert à communiquer par signaux avec le château. Lors de la construction de la tour, en 1784, on édifie aussi à proximité une pêcherie, de forme rectangulaire et comportant deux pièces. Mais après moins d'une année de travaux, elle est démolie pour faire place à une laiterie et les matériaux sont réemployés dans les chaumières proches.
Le nom Marlborough est une référence à la berceuse Marlbrough s'en va -t-en guerre, écrite en 1722 mais remise au goût du jour en 1782.
Après la Révolution, la tour est l'un des bâtiments les plus endommagés. Sa structure métallique a été vandalisée. Lors des travaux de restauration engagés par Napoléon, la partie supérieure est simplifiée et l'ensemble du bâtiment est repeint en imitation de « pierre en ruine ».
L'escalier de bois débillardé à limon courbe sur poteaux avec marches massives en chêne, qui entourait initialement la tour, avait disparu à la fin du xixe siècle, après avoir fait l'objet d'une réfection complète en 1837, de même que la tourelle supérieure couverte de plomb ; il a été reconstruit à l'identique en 2002 lors des travaux de restauration de l'ensemble. Garni de giroflées et de géraniums qui « figurent un parterre aérien » il permet de rejoindre une pièce ronde, entourée de douze arcades, qui paraît avoir été créée comme un petit boudoir puis, à l'étage supérieur, un balcon circulaire permettant d'apprécier la vue panoramique sur le lac et l'ensemble du hameau.
la Tour de Marlborough vue coté ruches
La tour de Marlborough, édifiée avec l'aspect d'un phare vaguement médiéval, est initialement nommée « tour de la Pêcherie ». Des trois étages de la tour, seul le soubassement hexagonal est en pierre de vergelé, pour assurer sa solidité. La tour sert au stockage, dans son soubassement, des outils de pêche et des barques. Un étroit couloir permet de se rendre depuis la laiterie à cette pièce circulaire. Du pied de la tour, on monte et on descend d'une embarcation en bois de chêne peint en gris, pour les balades sur le « Grand lac » ou la pêche à la carpe ou au brochet. La partie haute est en bois peint d'un décor imitant la pierre et sert à communiquer par signaux avec le château. Lors de la construction de la tour, en 1784, on édifie aussi à proximité une pêcherie, de forme rectangulaire et comportant deux pièces. Mais après moins d'une année de travaux, elle est démolie pour faire place à une laiterie et les matériaux sont réemployés dans les chaumières proches.
Le nom Marlborough est une référence à la berceuse Marlbrough s'en va -t-en guerre, écrite en 1722 mais remise au goût du jour en 1782.
Après la Révolution, la tour est l'un des bâtiments les plus endommagés. Sa structure métallique a été vandalisée. Lors des travaux de restauration engagés par Napoléon, la partie supérieure est simplifiée et l'ensemble du bâtiment est repeint en imitation de « pierre en ruine ».
L'escalier de bois débillardé à limon courbe sur poteaux avec marches massives en chêne, qui entourait initialement la tour, avait disparu à la fin du xixe siècle, après avoir fait l'objet d'une réfection complète en 1837, de même que la tourelle supérieure couverte de plomb ; il a été reconstruit à l'identique en 2002 lors des travaux de restauration de l'ensemble. Garni de giroflées et de géraniums qui « figurent un parterre aérien » il permet de rejoindre une pièce ronde, entourée de douze arcades, qui paraît avoir été créée comme un petit boudoir puis, à l'étage supérieur, un balcon circulaire permettant d'apprécier la vue panoramique sur le lac et l'ensemble du hameau.
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette
Le colombier
Elle aussi proche du lac, la maison du colombier accueille un pigeonnier, dans ses combles, et des poulaillers, sur l'arrière. À la demande de la Reine, et à l'inverse de Madame de Pompadour qui avait affectionné sa collection d'oiseaux rares, la volière est peuplée dès 1785 de coqs et poules de diverses espèces que l'on a fait venir de l'Ouest de la France et que l'on nourrit de graines d'orge et de vesce. Une pièce centrale permet l'hébergement de la personne chargée de cet élevage. Par un escalier extérieur, on accède à l'étage sous comble. L'été, on dresse une volière extérieure bâtie de poutrelles et couverte de filets. Un jardin clos de charmilles est constitué d'allées géométriques et de gazon, avec un petit bassin ovale. Une légende a couru après la Révolution selon laquelle le colombier aurait abrité un « bon religieux », ce qui, même après avoir été démenti, a tout de même donné le nom de presbytère à la chaumière à cette époque.
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette
Le colombier et la maison du garde
Elle aussi proche du lac, la maison du colombier accueille un pigeonnier, dans ses combles, et des poulaillers, sur l'arrière. À la demande de la Reine, et à l'inverse de Madame de Pompadour qui avait affectionné sa collection d'oiseaux rares, la volière est peuplée dès 1785 de coqs et poules de diverses espèces que l'on a fait venir de l'Ouest de la France et que l'on nourrit de graines d'orge et de vesce. Une pièce centrale permet l'hébergement de la personne chargée de cet élevage. Par un escalier extérieur, on accède à l'étage sous comble. L'été, on dresse une volière extérieure bâtie de poutrelles et couverte de filets. Un jardin clos de charmilles est constitué d'allées géométriques et de gazon, avec un petit bassin ovale. Une légende a couru après la Révolution selon laquelle le colombier aurait abrité un « bon religieux », ce qui, même après avoir été démenti, a tout de même donné le nom de presbytère à la chaumière à cette époque.
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette
Le Boudoir