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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette
Laiterie (gauche) avec la Tour de Marlborough (droite).
A l'origine, il existe au hameau de la Reine deux laiteries : la « laiterie de préparation », dans laquelle sont produits les crèmes et les fromages, est située au nord de la tour. On y écrème le lait en provenance de la vacherie et on y bat le beurre. Une table de pierre est entourée de consoles sur lesquelles sont entreposés des ustensiles de fer blanc de chez Bayoud. La pasteurisation est réalisée dans une petite pièce voisine. L'eau, qui alimente aussi les proches maisonnettes, est stockée dans un réservoir astucieusement dissimulé dans les combles. À la différence de la plupart des jardins anglais de l'époque, la laiterie de préparation de Trianon est située au centre du hameau et non à l'écart ou en annexe. C'est le fermier lui-même, Valy Bussard, qui est responsable de ces laiteries et lui seul possède une clef spéciale qui lui donne accès à ces deux chaumières. Ce bâtiment est construit dès 1783, mais avec une autre destination : composé de deux pièces et d'un cabinet, il est à l'origine un fournil, dont le four est adossé à la façade ouest. L'ensemble est recouvert de roseau et l'intérieur est carrelé à partir de matériaux récupérés de la pêcherie, détruite peu de temps auparavant. En 1785, ce fournil est transformé en laiterie sur un modèle comparable à celle du pavillon de la Lanterne, bâtie deux ans plus tard près de la Ménagerie par le Prince de Poix. L'une des deux cheminées est néanmoins conservée et l'on transforme le cabinet en « timbre à glace », permettant l'entrepôt des glaces en provenance des glaciéres de Trianon, afin de conserver les laitages récemment préparés. La façade sud est ornée d'une pergola et un palis enclot le jardinet et sa plate-bande de fleurs.
La Reine vient déguster les produits laitiers dans la seconde laiterie, nommée « laiterie de propreté », sur des tables de marbre blanc veiné disposées autour de la pièce et soutenues par quatorze consoles sculptées. On les lui sert dans des terrines à lait, brocs, tasses ou beurriers en porcelaine, fabriqués dans la manufacture protégée de la Reine, rue Thiroux à Paris. Les sols sont aussi revêtus de marbre bleu et blanc. Afin d'entretenir la fraîcheur de la pièce, un filet d'eau s'écoule dans une rigole centrale et l'on a disposé dans quatre niches des vasques ornées de dauphins sculptés. Les murs sont ornés d'un décor en trompe-l'oeil. La laiterie de propreté est, avec la maison de la Reine, la seule chaumière à être couverte de tuiles, en raison de la fragilité de la voussure à caissons peints. Elle occupe l'emplacement de l'ancienne pêcherie, démolie en 1785, mais sur une plus large emprise. On construit même un petit hangar simplement équipé de deux bancs de pierre, à l'extrémité d'un mur percé de deux arches.
La première laiterie est détruite sous le Premier Empire, le coût de restauration à l'identique étant jugé trop élevé. Le mobilier d'origine de la laiterie de propreté et de la laiterie de préparation disparaît lors de la Révolution française.
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette
La Maison de la Reine
Le Hameau de la Reine est un refuge rustique dans le parc du Château de Versailles construit pour Marie Antoinette en 1783 ,près du Petit Trianon. Il a servi de lieu de réunion privée pour la reine et ses plus proches amis, un lieu de loisirs. Il contint une prairie avec des lacs et des cours d'eau .Il existe également plusieurs batiments dans un style rustique ,situé autour d'un étang irrégulier alimenté par un ruisseau entrainé par la roue du moulin .Le projet de construction comprend une ferme (qui etait de produire du lait et des oeufs)pour la Reine ,une laiterie , un pigeonnier ,un boudoir,une grange qui a brulé pendant la révolution française , un moulin et une tour sous la forme d'un phare appelé " Tour de Marlborough ". Chaque bâtiment est décoré d'un jardin, un verger ou un jardin de fleurs. Le plus grand et le plus célèbre de ces maisons est la «Maison de la Reine» qui est relié à la maison de billard par une galerie en bois, au centre du village.Une ferme était proche de l'endroit idyllique, imaginaire comme le Hameau de la Reine.
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette
La Grange
La grange a égalementservi comme salle de bal.Elle a été gravement endommagé pendant la Révolution française et détruit pendant le Premier Empire.
Le Hameau de la Reine est un refuge rustique dans le parc du Château de Versailles construit pour Marie Antoinette en 1783 ,près du Petit Trianon. Il a servi de lieu de réunion privée pour la reine et ses plus proches amis, un lieu de loisirs. Il contint une prairie avec des lacs et des cours d'eau .Il existe également plusieurs batiments dans un style rustique ,situé autour d'un étang irrégulier alimenté par un ruisseau entrainé par la roue du moulin .Le projet de construction comprend une ferme (qui etait de produire du lait et des oeufs)pour la Reine ,une laiterie , un pigeonnier ,un boudoir,une grange qui a brulé pendant la révolution française , un moulin et une tour sous la forme d'un phare appelé " Tour de Marlborough ". Chaque bâtiment est décoré d'un jardin, un verger ou un jardin de fleurs. Le plus grand et le plus célèbre de ces maisons est la «Maison de la Reine» qui est relié à la maison de billard par une galerie en bois, au centre du village.Une ferme était proche de l'endroit idyllique, imaginaire comme le Hameau de la Reine.
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette
Maison du garde -Un jardin de Curé
Le Hameau de la Reine est un refuge rustique dans le parc du Château de Versailles construit pour Marie Antoinette en 1783 ,près du Petit Trianon. Il a servi de lieu de réunion privée pour la reine et ses plus proches amis, un lieu de loisirs. Il contint une prairie avec des lacs et des cours d'eau .Il existe également plusieurs batiments dans un style rustique ,situé autour d'un étang irrégulier alimenté par un ruisseau entrainé par la roue du moulin .Le projet de construction comprend une ferme (qui etait de produire du lait et des oeufs)pour la Reine ,une laiterie , un pigeonnier ,un boudoir,une grange qui a brulé pendant la révolution française , un moulin et une tour sous la forme d'un phare appelé " Tour de Marlborough ". Chaque bâtiment est décoré d'un jardin, un verger ou un jardin de fleurs. Le plus grand et le plus célèbre de ces maisons est la «Maison de la Reine» qui est relié à la maison de billard par une galerie en bois, au centre du village.Une ferme était proche de l'endroit idyllique, imaginaire comme le Hameau de la Reine.
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette
La ferme
Valy Bussard, l'agriculteur, est venu au Hameau pour gérer une ferme fonctionnelle.
Décoré dans un style rustique, la ferme comprenait trois chambres, une cuisine et une salle à manger.
Elle était bien équipée avec des animaux et des jardins potagers, dont les cultures conduit à l'expérimentation agricole et culinaire de Versailles.
Ce petit coin de paradis illustre merveilleusement le mythe pastoral né au début du XVIIème siècle sous la plume d’Honoré d’Urfé avec l’Astrée. Cette allégorie se veut une harmonieuse fiction évoquant dans un cadre bucolique de belles bergères et beaux bergers. Non pas des pauvres mais des gens de « qualité » ayant choisi de vivre plus doucement et sans contrainte, c’est-à-dire s’adonner dans le lent écoulement du loisir à tous les raffinements du cœur et de l’esprit. C’est une autre version du mythe de l’âge d’or et de paix dans une nature idyllique où des bergers philosophes détenaient les clés de la sagesse. Publié sur 20 ans (1607-1627), le roman d’Urfé connaît un succès phénoménal et va même inspirer des jeux de rôles à la cour. Même si Marie-Antoinette vit dans la seconde partie du XVIIIème siècle, son hameau, construit en 1783, est autant inspiré de cette mode que de son désir de vivre loin de la cour pour échapper à ses contraintes et aux critiques. Ainsi, de 1783 à 1785, le célèbre architecte Richard Mique façonne le Hameau, en empruntant les traits des dessins du peintre Hubert Robert. De nombreuses chaumières enjolivées de jardins potagers et fleuristes brodent la silhouette du Grand Lac. Non loin de là, se cache la Ferme avec un formidable cheptel qui fait fureur à l’époque. La reine recueille son propre lait qu’on lui sert dans des porcelaines de Paris dans la Laiterie de propreté située au pied de la Tour de Marlborough, aussi appelée la tour de la Pêcherie.
La maîtresse des lieux possédait sa propre maison coiffée de tuiles. Décorée somptueusement par Georges Jacob et Jean-Henri Riesner, sa demeure communiquait avec le Billard via une galerie de bois. Des pots de fleurs en faïence de Saint-Clément au chiffre de la reine trônaient sur les escaliers, la Grange jouait le rôle de salle de bal, le Moulin avec sa roue à eau, la Maison du Garde, ou encore le Colombier paraient ce village royal. Les invités de la reine goûtaient à toutes les commodités qui étaient dues à leur rang. Bien plus qu’un hameau de villégiature, il était une véritable exploitation agricole dont les produits alimentaient les cuisines de Versailles.
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette
La ferme
Valy Bussard, l'agriculteur, est venu au Hameau pour gérer une ferme fonctionnelle.
Décoré dans un style rustique, la ferme comprenait trois chambres, une cuisine et une salle à manger.
Elle était bien équipée avec des animaux et des jardins potagers, dont les cultures conduit à l'expérimentation agricole et culinaire de Versailles.
Ce petit coin de paradis illustre merveilleusement le mythe pastoral né au début du XVIIème siècle sous la plume d’Honoré d’Urfé avec l’Astrée. Cette allégorie se veut une harmonieuse fiction évoquant dans un cadre bucolique de belles bergères et beaux bergers. Non pas des pauvres mais des gens de « qualité » ayant choisi de vivre plus doucement et sans contrainte, c’est-à-dire s’adonner dans le lent écoulement du loisir à tous les raffinements du cœur et de l’esprit. C’est une autre version du mythe de l’âge d’or et de paix dans une nature idyllique où des bergers philosophes détenaient les clés de la sagesse. Publié sur 20 ans (1607-1627), le roman d’Urfé connaît un succès phénoménal et va même inspirer des jeux de rôles à la cour. Même si Marie-Antoinette vit dans la seconde partie du XVIIIème siècle, son hameau, construit en 1783, est autant inspiré de cette mode que de son désir de vivre loin de la cour pour échapper à ses contraintes et aux critiques. Ainsi, de 1783 à 1785, le célèbre architecte Richard Mique façonne le Hameau, en empruntant les traits des dessins du peintre Hubert Robert. De nombreuses chaumières enjolivées de jardins potagers et fleuristes brodent la silhouette du Grand Lac. Non loin de là, se cache la Ferme avec un formidable cheptel qui fait fureur à l’époque. La reine recueille son propre lait qu’on lui sert dans des porcelaines de Paris dans la Laiterie de propreté située au pied de la Tour de Marlborough, aussi appelée la tour de la Pêcherie.
La maîtresse des lieux possédait sa propre maison coiffée de tuiles. Décorée somptueusement par Georges Jacob et Jean-Henri Riesner, sa demeure communiquait avec le Billard via une galerie de bois. Des pots de fleurs en faïence de Saint-Clément au chiffre de la reine trônaient sur les escaliers, la Grange jouait le rôle de salle de bal, le Moulin avec sa roue à eau, la Maison du Garde, ou encore le Colombier paraient ce village royal. Les invités de la reine goûtaient à toutes les commodités qui étaient dues à leur rang. Bien plus qu’un hameau de villégiature, il était une véritable exploitation agricole dont les produits alimentaient les cuisines de Versailles.
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette
La ferme
Valy Bussard, l'agriculteur, est venu au Hameau pour gérer une ferme fonctionnelle.
Décoré dans un style rustique, la ferme comprenait trois chambres, une cuisine et une salle à manger.
Elle était bien équipée avec des animaux et des jardins potagers, dont les cultures conduit à l'expérimentation agricole et culinaire de Versailles.
Ce petit coin de paradis illustre merveilleusement le mythe pastoral né au début du XVIIème siècle sous la plume d’Honoré d’Urfé avec l’Astrée. Cette allégorie se veut une harmonieuse fiction évoquant dans un cadre bucolique de belles bergères et beaux bergers. Non pas des pauvres mais des gens de « qualité » ayant choisi de vivre plus doucement et sans contrainte, c’est-à-dire s’adonner dans le lent écoulement du loisir à tous les raffinements du cœur et de l’esprit. C’est une autre version du mythe de l’âge d’or et de paix dans une nature idyllique où des bergers philosophes détenaient les clés de la sagesse. Publié sur 20 ans (1607-1627), le roman d’Urfé connaît un succès phénoménal et va même inspirer des jeux de rôles à la cour. Même si Marie-Antoinette vit dans la seconde partie du XVIIIème siècle, son hameau, construit en 1783, est autant inspiré de cette mode que de son désir de vivre loin de la cour pour échapper à ses contraintes et aux critiques. Ainsi, de 1783 à 1785, le célèbre architecte Richard Mique façonne le Hameau, en empruntant les traits des dessins du peintre Hubert Robert. De nombreuses chaumières enjolivées de jardins potagers et fleuristes brodent la silhouette du Grand Lac. Non loin de là, se cache la Ferme avec un formidable cheptel qui fait fureur à l’époque. La reine recueille son propre lait qu’on lui sert dans des porcelaines de Paris dans la Laiterie de propreté située au pied de la Tour de Marlborough, aussi appelée la tour de la Pêcherie.
La maîtresse des lieux possédait sa propre maison coiffée de tuiles. Décorée somptueusement par Georges Jacob et Jean-Henri Riesner, sa demeure communiquait avec le Billard via une galerie de bois. Des pots de fleurs en faïence de Saint-Clément au chiffre de la reine trônaient sur les escaliers, la Grange jouait le rôle de salle de bal, le Moulin avec sa roue à eau, la Maison du Garde, ou encore le Colombier paraient ce village royal. Les invités de la reine goûtaient à toutes les commodités qui étaient dues à leur rang. Bien plus qu’un hameau de villégiature, il était une véritable exploitation agricole dont les produits alimentaient les cuisines de Versailles.
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette
La maison du garde
La maison du garde, ou maison du gardien, est située en bordure du domaine. Son premier occupant a été le Suisse Jean Bersy, qui a habité les lieux avec sa famille. La maisonnette est au centre d'un enclos cultivé, constitué de petites parcelles. Non loin de là se trouve un jeu de boules, sous des arceaux où grimpent des rosiers, construit en 1788. Le logement comprend deux belles pièces et une cuisine en rez-de-chaussée ainsi qu'une chambre à l'étage, menant à un grenier. Malgré les efforts réalisés lors de la construction du hameau pour concilier les contraintes de la sécurité de son illustre occupante et les objectifs d'une simple vie champêtre, la situation même du village oblige à une vigilance permanente. L'existence d'un premier étage permet une meilleure surveillance du domaine. En outre, depuis le sous-sol de sa demeure, le gardien a accès par quelques souterrains dérobés à l'ensemble du Fossé en ha-ha qui entoure le domaine, afin d'y réaliser des patrouilles régulières. La construction est réalisée de telle sorte que cet accès demeure secret aux visiteurs
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette
La maison du garde
La maison du garde, ou maison du gardien, est située en bordure du domaine. Son premier occupant a été le Suisse Jean Bersy, qui a habité les lieux avec sa famille. La maisonnette est au centre d'un enclos cultivé, constitué de petites parcelles. Non loin de là se trouve un jeu de boules, sous des arceaux où grimpent des rosiers, construit en 1788. Le logement comprend deux belles pièces et une cuisine en rez-de-chaussée ainsi qu'une chambre à l'étage, menant à un grenier. Malgré les efforts réalisés lors de la construction du hameau pour concilier les contraintes de la sécurité de son illustre occupante et les objectifs d'une simple vie champêtre, la situation même du village oblige à une vigilance permanente. L'existence d'un premier étage permet une meilleure surveillance du domaine. En outre, depuis le sous-sol de sa demeure, le gardien a accès par quelques souterrains dérobés à l'ensemble du Fossé en ha-ha qui entoure le domaine, afin d'y réaliser des patrouilles régulières. La construction est réalisée de telle sorte que cet accès demeure secret aux visiteurs
Le grand Trianon et ses jardins à la française
Trianon est un ancien petit village dont l'origine remonte au Moyen-âge. Après en avoir racheté les terres, Louis XIV y fait bâtir, en 1670, le Trianon de porcelaine pour échapper aux fastes de la cour et cacher ses amours avec Madame de Montespan. Dix sept ans plus tard, celui-ci tombé en ruine, il fut remplacé par le Grand Trianon, appelé également Trianon de marbre et édifié par l’architecte Jules Hardouin Mansart. Il devint alors la résidence de campagne du roi Soleil. Au XVIIIe siècle, il fut habité par la reine Marie Leczinska puis entièrement remeublé pour son royal de mari et la marquise de Pompadour, sa maîtresse en titre. Mais Louis XV délaisse totalement ce lieu qui se délabre d’année en année. Sous le règne de Napoléon, le Grand Trianon reprendra de l’importance. En 1805, l'empereur le donna à sa mère avant de venir s’y installer lui-même cinq ans plus tard.
Aujourd'hui, le Grand Trianon est inscrit au Patrimoine mondial de l'Unesco. Il est devenu dans les années 60, la résidence officielle des présidents de la République où ont été reçus de nombreux hôtes étrangers comme les reines d'Angleterre et des Pays-Bas, les présidents américains Carter et Reagan, etc.
Il a su garder sa beauté d'antan arborant toujours aussi fièrement ses boiseries d'époque Louis XIV et Louis-Philippe. Les peintures commandées par Louis XIV ont d'ailleurs retrouvé leurs emplacements d'origine.