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magnifique ; est-ce d'après toffoli ?
Par Selingant Olivier, le 15.01.2025
bonjour je voudrais savoir,si cela est possible.le nom de l'arbre pleureur du jardin japonais en vous remercia
Par Alban , le 29.12.2024
joyeux noël
Par Anonyme, le 24.12.2024
lieve nicole,
we wensen je mooie kerstdagen
en een fantastisch nieuwjaar.
gonny & ronny
Par Anonyme, le 23.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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La Petite aux grelots -Conte de Charles Perrault
Illustrations de Jean Charles Pellerin à Epinal
Belle-Orange et sa grand’mère ne voyant pas reparaitre Gentil-Aymar, et remplies d’inquiétudes, pénétrèrent dans son cabinet au moyen d’une double clef. Trouvant le cabinet vide, elles coururent au balcon : mais quelle ne fut pas leur cruelle surprise en apercevant le malheureux gentilhomme qui, entrainé par la fée, leur faisait ses adieux.
La Petite aux grelots -Conte de Charles Perrault
Illustrations de Jean Charles Pellerin à Epinal
Or il arriva qu’un jour une dame très laide et richement parée vint demander à parler en particulier à Gentil-Aymar. — Cette dame n’était autre que la fée Rousse. Elle était très éprise de Gentil-Aymar et voulait à toute force l’épouser. Mais sur le refus de celui-ci elle l’enleva pour l’enfermer dans la tour de cristal qui dépendait du château du sommeil.
La Petite aux grelots -Conte de Charles Perrault
Illustrations de Jean Charles Pellerin à Epinal
Gentil-Aymar avait encore sa vieille mère, excellente femme qui l’aidait à élever Belle-Orange.
Aussi, grâce aux bons soins de son père et de sa grand’mère, Belle-Orange, qui était très gentille, grandissait-elle en attraits, en talents et en bons sentiments
La Petite aux grelots -Conte de Charles Perrault
Illustrations de Jean Charles Pellerin à Epinal
Il était une fois un gentilhomme nommé Gentil-Aymar qui était resté veuf et faisait son bonheur d’élever une petite fille qu’il chérissait.
Cette petite fille s’appelait Belle-Orange parce qu’elle avait la beauté et la douceur de ce fruit.
La Petite aux grelots -Conte de Charles Perrault
Illustrations de Jean Charles Pellerin à Epinal
Le héron,les poissons et l'écrevisse
Un héron vivant au bord d’un étang était devenu vieux ; et, comme il n’avait plus la force d’attraper les poissons, il réfléchit à quelle ruse il aurait recours pour vivre.
Il dit un jour aux poissons :
— Eh ! vous, poissons, savez-vous le malheur qui vous menace ? J’ai entendu dire aux hommes qu’ils allaient vider l’étang et vous mettre à la poêle. Je connais bien un autre étang derrière la montagne, et je voudrais bien vous y transporter, mais je suis si vieux qu’il m’est difficile de vous aider.
Le héron, les poissons et l’écrevisse
Arrivé dans le champ, le héron voulut poser l’écrevisse ; mais celle-ci, apercevant les arêtes des poissons sur la terre, serra de ses pinces le cou du héron et l’étrangla.
Puis, elle revint à la rivière et raconta tout aux poissons.
Le héron, les poissons et l’écrevisse
Dans ce même temps-là, vivait une vieille écrevisse. Quand elle vit le héron emporter le fretin, elle comprit la ruse et lui dit :
— Eh bien, mon héron, veux-tu m’emmener à la crémaillère ?
Le héron saisit l’écrevisse et l’emporta.
Le héron, les poissons et l’écrevisse
Les poissons prièrent le héron de ne point les abandonner.
— Soit ! dit le héron, je vais me dévouer pour vous ; je vous porterai l’un après l’autre, car je ne pourrais vous porter tous à la fois.
Les poissons se réjouirent, et c’était à celui qui passerait le premier.
— Porte-moi ! porte-moi ! s’écriaient-ils.
Et le héron commença le transport.
Il prend un poisson, l’emporte dans le champ voisin, et le croque.
Il en mangea ainsi une grande quantité.
Le renard et les oies
Un jour qu’il rôdait selon sa coutume, maître renard arriva dans une prairie où une troupe de belles oies bien grasses se prélassait au soleil.
A cette vue, notre chercheur d’aventures poussa un éclat de rire effrayant, et s’écria :
– En vérité, je ne pouvais venir plus à propos ! vous voilà alignées d’une façon si commode, que je n’aurai guère besoin de me déranger pour vous croquer l’une après l’autre.
A ces mots, les oies épouvantées poussèrent des cris lamentables et supplièrent le renard de vouloir bien se laisser toucher et de ne point leur ôter la vie.
Elles eurent beau dire et beau faire, maître renard resta inébranlable.
– Il n’y a pas de grâce possible, répondit-il, votre dernière heure a sonné.
Cet arrêt cruel donna de l’esprit à l’une des oies qui, prenant la parole au nom de la troupe :
– Puisqu’il nous faut, dit-elle, renoncer aux douces voluptés des prés et des eaux, soyez assez généreux pour nous accorder la dernière faveur qu’on ne refuse jamais à ceux qui doivent mourir ; promettez de ne nous ôter la vie que lorsque nous aurons achevé notre prière ; ce devoir accompli, nous nous mettrons sur une ligne, de façon à ce que vous puissiez dévorer successivement les plus grasses d’entre nous.
– J’y consens, répondit le renard; votre demande est trop juste pour n’être point accueillie : commencez donc votre prière ; j’attendrai qu’elle soit finie.
Aussitôt, une des oies entonna une interminable prière, un peu monotone à la vérité, car elle ne cessait de dire : caa-caa-caa. Et comme, dans son zèle, la pauvre bête ne s’interrompait jamais, la seconde oie entonna le même refrain, puis la troisième, puis la quatrième, puis enfin toute la troupe, de sorte qu’il n’y eut bientôt plus qu’un concert de caa-caa-caa !
Et maître renard qui avait donné sa parole, dut attendre qu’elles eussent fini leur caquetage.
Nous devrons faire comme lui pour connaître la suite de ce conte. Par malheur, les oies caquettent encore toujours, d’où je conclus qu’elles ne sont pas aussi bêtes qu’on veut bien le dire.