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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Contes et legendes de Noël

Conte de Noël

Publié à 22:21 par lusile17 Tags : nuit enfants chat cadeaux chez
Conte de Noël

Le petit garçon qui ne savait pas comment faire

Le traineau du Père Noël glissait silencieusement dans la nuit. En bas, les cloches de minuit s’étaient arrêtées de sonner depuis un moment et les gens continuaient de fêter joyeusement le réveillon. Un épais manteau de nuages empêchait la terre de trop geler, ce qui fait qu’on ne voyait plus les étoiles. Le Père Noël le regrettait un peu tellement elles sont belles, mais au moins il n’avait pas trop froid.
? Attention les rennes, on descend chez le petit Dylan et sa jeune sœur. C’est la maison bleue en face de nous.
                Comme d’habitude la manœuvre fut impeccable. Le Père Noël mit dans sa hotte les jouets que les enfants avaient commandés et il pénétra silencieusement dans la maison. De toute façon, personne ne l’aurait entendu vu la fête que faisaient les gens dans la salle à manger. Un joyeux chahut de réveillon !
                Il entra dans la chambre de Dylan où la lumière était éteinte ; l’enfant devait dormir ou faisait la fête avec sa famille. C’est alors  qu’un croc en jambe le projeta à terre et quelqu’un se jeta sur lui et l’entortilla dans une corde. L’agresseur était petit et les gestes maladroits, ce qui fit penser au Père Noël qu’il s’agissait d’un enfant, Dylan sans doute.
? A quoi joues-tu, par ma barbe ! Tu as fait le pari de renverser le Père Noël ou quoi ?
                Il n’eut pas de mal à repousser l’enfant qui, pourtant, se débattait comme un chat sauvage. Etait-il l’un de ces affreux mal élevés qui ne savent faire que des bêtises ? Impossible puisque le Père Noël ne passe que chez les enfants sages qui ont mérité leurs cadeaux.
? Tu vas me dire ce qui t’a pris de m’accueillir comme ça ! C’est pas des façons,… Même ma hotte qui est par terre ! Vas allumer pour m’aider à ramasser !
                 Dylan courut à son lit mais il n’alluma pas.
? Alors ça vient ? demanda le Père Noël penché sur les jouets qu’il commençait à ranger.....

Les rois mages

Publié à 22:12 par lusile17 Tags : homme animaux enfant argent
Les rois mages

Les rois mages

Donc, Balthazar, Melchior et Gaspard, les Rois Mages,
Chargés de nefs d'argent, de vermeil et d'émaux,
Et suivis d'un très long cortège de chameaux,
S'avancent, tels qu'ils sont dans les vieilles images.

De l'Orient lointain, ils portent les hommages
Aux pieds du Fils de Dieu, né pour guérir les maux
Que souffrent ici-bas l'homme et les animaux.
Un page noir soutient leurs robes à ramages.

Sur le seuil de l'étable où veille Saint Joseph,
Ils ôtent humblement la couronne du chef
Pour saluer l'Enfant qui rit et les admire. 

C'est ainsi qu'autrefois, sous Augustus César,
Sont venus, présentant l'or, l'encens et la myrrhe,
Les rois mages Gaspard, Melchior et Balthazar.
 


Poéme de Noël

Poéme de Noël

Poéme de Noël

Ainsi qu'ils le font chaque année, 
En papillotes, les pieds nus,
Devant la grande cheminée
Les petits enfants sont venus.

Tremblants dans leur longue chemise,
Ils sont là... Car le vieux Noël,
Habillé de neige qui frise,
A minuit descendra du ciel.

Quittant la guirlande des anges,
Le Jésus de cire et les Rois,
Transportant des paquets étranges,
Titubant sur le bords des toits,

Le vieux bonhomme va descendre ...
Et, de crainte d'être oubliés,
Les enfants roses, dans la cendre,
Ont mis tous leurs petits souliers.

Ils ont même, contre une bûche
Qui venait de rouler du feu,
Rangé leurs pantoufles à ruche
Et leurs bottes de vernis bleu

Puis, après quelque phrase brève,
Ils s'endormirent en riant
Et firent un si joli rêve
Qu'ils riaient encore en dormant.

Ils rêvaient d'un pays magique
Où l'alphabet fut interdit ; 
Les ruisseaux étaient d'angélique,
Les maisons de sucre candi ;

Et dans des forêts un peu folles,
Tous les arbres, au bord du ciel, 
Pleins de brillantes girandoles,
Etaient des arbres de Noël.

Dans ce pays tendre et fidèle,
Les animaux parlent encore,
L'Oiseau Bleu vient quand on l'appelle ; 
La Poule a toujours des oeufs d'or.

... Mais comme venait d'apparaître 
Peau d'Ane en un manteau de fleurs,
Le jour entrant par la fenêtre
A réveillé tous les dormeurs.

C'est un talon qu'on voit descendre ! 
C'est un pied nu sur le parquet ! 
Les mains s'enfoncent dans la cendre,
Comme un bourdon dans un bouquet ! 

"Une armure avec une épée ! 
- Un navire ! Un cheval de bois ! 
- Oh ! la merveilleuse poupée
Et qui parle avec une voix ! 

- Que la bergerie est légère ! 
- Et comme le troupeau est blanc ! 
- Le loup ! - le berger ! - la bergère !"

Tout tremble au bord du coeur tremblant...

Oh ! Bonheur ! Noël de la vie,
Laisse-nous quelques fois, le soir
Aux cendres de mélancolie,
Mettre un petit soulier d'espoir ! 


(Poème extrait d'un recueil de poèmes de Noël )

La petite fille de Noël

Publié à 21:33 par lusile17 Tags : nuit enfants fille animation
La petite fille de Noël

La petite fille de Noël

Elle était là assise toute triste, elle regardait l'animation des rues avec ses grands yeux remplis de larmes. Pour elle Noël serait un jour comme les autres peut être encore plus triste, elle était seule assise sur son banc abandonné de tous et elle finit par pleurer.
Les passants indifférents à ses pleurs, à son malheur la dévisageaient et continuaient leur chemin. Les haut-parleurs placés au coin des rues diffusaient en boucle des chants de Noël. Elle rêvait que sa maman reviendrait du pays ou l'on ne revient jamais, elle croyait au miracle en cette nuit de Noël.
Un couple vint à passer près d'elle et lui demanda qu'as-tu mon enfant à pleurer à chaudes larmes, vous savez je n'ai plus de maman, je n'ai plus de famille et de voir tous ces enfants heureux mais jamais contents cela me fait beaucoup de peine. Si maman était encore là oh ! Combien je la gâterai, je l'aimerai, je voudrai tant qu'elle me serre dans ses bras, me fasse des tas de câlins et me dire des mots d'amours qui rythment avec toujours. Maman que tu me manques tous les jours, je voudrai tant que tu puisses revenir sur cette terre.
Le couple tout ému mais ne pouvant exaucer le vœu de la petite fille décida qu'elle passerait Noël avec eux, qu'il la gâterait un max et qu'il ferait leur possible pour la garde toujours auprès d'eux.
Pour cette petite fille, ce Noël fut finalement un de c'est plus beau Noël et se jura d'être toujours auprès des siens, puisque Dieu lui avait envoyé en cette nuit de la nativité une autre famille.

 

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C'était donc cela Noël

C'était donc cela Noël

C'était donc cela Noël

Dans les rues illuminées de la ville, l'adolescente marchait, marchait depuis des heures, sans savoir où elle allait... De ses mains gelées, elle tentait maintenir le méchant et léger imperméable qui lui servait de manteau, sans la protéger de la bise glaciale en cette fin de journée du 24 décembre.
Les gens, pressés, la bousculaient, sans la voir, chargés de paquets, de sapin de Noël, de victuailles... Elle ne regardait pas les mille lumières des devantures, les décorations scintillantes de la ville. Son estomac se tordait de douleur tenaillé par une faim atroce.
Elle marchait, sans savoir si l'eau qu'elle avait dans ses grands yeux noirs était des larmes ou le crachin qui commençait à tomber, annonçant une prochaine chute de neige. Fatiguée, elle s'arrêta pour reprendre son souffle... Elle se trouvait devant une boulangerie... Son regard ne se posa pas sur les gâteaux et les bûches crémeuses exposées dans la vitrine, éclairée par des guirlandes multicolores. Non ; elle fixait les pains alignés, droits et raides comme la justice. Elle sentit monter en elle une sensation bizarre, tandis que la salive inondait sa bouche sèche... Brusquement, les pains, les gâteaux, entamèrent une sorte de danse lente. Soudain, ce fût l'obscurité, la sensation de tomber dans un puits sans fond... Puis plus rien.
Une voix douce lui parvint dans son demi-coma, et un instant, elle songea qu'elle était au paradis, avec les anges, et que ses souffrances étaient terminées. Une sensation chaleur l'enveloppait tout entière, tandis qu'un liquide chaud glissait entre ses lèvres... Ses paupières si lourdes, parvinrent à s'ouvrir lentement... Elle vit devant elle un visage, un visage inconnu, et, instinctivement, elle tenta de se lever, pour fuir. Mais la même voix douce lui murmura :
"N'aies pas peur. Tu ne crains rien. Ici, personne ne peut te faire du mal... Plus tard, tu me raconteras ton histoire. Mais dis mois simplement, si quelqu'un t'attend, ta maman peut-être ? Et si tu veux bien, ton nom aussi... Comment t'appelles--tu ? Quel âge as-tu ? "
L'adolescente regarda ce visage plus attentivement. C'était celui d'une dame un peu âgée, avec quelques petites rides, qui, lui donnaient un aspect doux et bienveillant. Assise au bord du grand lit douillet dans lequel Soliska (c'était son prénom) était allongée, elle lui faisait boire à petites gorgées, un délicieux chocolat chaud. Dans un mauvais français, Soliska put répondre.
Non, elle n'avait personne qui prévenir... Elle avait 15 ans ou 16 ans,. Elle ne savait pas, au juste.
Elle faisait partie d'un camp de sans papiers dans lequel elle avait survécu avec un vieil oncle et son fils.
Condamnée à mendier, couverte de honte, traquée telle une biche aux abois, elle n'avait pas rapporté hier, la "recette" imposée par son cousin. S'en était suivi la correction "méritée", et comme elle cherchait à se défendre, l'homme, pris de boisson, s'était alors transformé en brute sexuelle. Soliska avait pu échapper à son bourreau grâce à l'intervention de l'oncle, et avait profité de la confusion qui avait attiré les autres occupants du camp, pour fuir. Où ? Elle n'en savait rien. Mais fuir, quitte à mettre fin à ses jours.
Fatiguée d'avoir parlé, en cherchant ses mots, elle ferma un instant les yeux. Alors, la voix si douce lui parvint à nouveau :
" Petite, je ne veux pas savoir de quel pays tu viens, ni pourquoi tu vis dans une telle misère... Tout au moins, pas ce soir, parce que ce soir, vois-tu, c'est la veille de Noël. Je ne connais pas ta religion, mais je peux juste te dire que les chrétiens célèbrent ce soir la naissance d'un Enfant-Roi qui s'appelait Jésus, et qui est né il y a 2010 ans de cela. Il est maintenant au plus haut des Cieux, près de Dieu, son père spirituel, Je t'expliquerai tout cela plus tard.
Le soir de Noël est un soir de paix, d'amour, de bonheur, de grande joie.
Et de partage. Je suis seule, moi aussi, mais pas pour les mêmes raisons que les tiennes.
Je m'appelle Sylviane, et je serais heureuse de passer cette soirée de Noël avec toi. Es-tu d'accord ?
Soliska posa ses grands yeux noirs sur le visage vieillissant mais encore beau de Sylviane. Pour la première fois depuis des mois et des mois, elle sourit et murmura un"oui" très doux, et apaisé.
Sylviane caressa doucement la magnifique chevelure noire de la jeune fille et murmura : "Tu es mon Etoile, Soliska. La même que celle qui a conduit les bergers, il y a bien longtemps, devant l'étable où Jésus est né. Repose toi. Je vais te faire couler un bain bien chaud, et ensuite nous célébrerons Noël.
Noël... Amour, partage, autant de mots que Soliska ne connaissait pas. Mais son coeur, lui, avait compris. Alors, dans ses yeux, mille petites étoiles se mirent à danser. De sa main, elle envoya un baiser en direction du Ciel... "Pour toi Maman, tu seras avec moi ce soir, heureuse de mon bonheur. Je t'aime... "
Soliska ne savait pas encore comment et où cette bonne fée l'avait recueillie. Ni même qui elle était. Mais elle pouvait maintenant oser penser à demain, avec espoir...

C'était donc cela Noël ?

Le Noël de Tacotin le petit lutin

Publié à 17:05 par lusile17 Tags : merci fond cadeau nuit jardin neige
 Le Noël de Tacotin le petit lutin

Le Noël de Tacotin le petit lutin

 Tacotin le petit lutin a décoré son sapin. Il a placé ses souliers au pied de l'arbre. Et à présent il attend le père Noël mais quel est ce bruit dans la cheminée???Et qui est ce vieux monsieur tout habillé en rouge qui attérit sur le tapis? Tacotin a un peu peur mais il reconnaît vite la barbe blanche et le  gros bonnet fourré. Le père Noël car s'est bien lui est très pressé .Il a cassé son traîneau et il a oublié sa boite à outil.

Il faut dire que le père Noêl est un grand étourdi,alors il demande à Tacotin son marteau et ses clous. Le petit lutin est ravi de pouvoir faire plaisir au père-noël et il court vite chercher sa boite à outils.

Puis il demande:

- et mon cadeau? As-tu pensé à mon cadeau?

-Mon pauvre Tacotin je suis si étourdi répondit le père Noël,que j'ai même oublié ton cadeau

Et Tacotin va se coucher un peu triste.

Mais dans la nuit un tintement de clochette réveille le petit lutin. Il bondit à la fenêtre.

Le père Noël est là avec ses rennes et son traîneau.

-Tu as trouvé mon cadeau? lui crie Tacotin tout content

-Hélas non! dit le père Noël je te rapporte ta boite à outils. J'étais parti avec. Je suis vraiment étourdi. J'ai même oublié mes lunettes. C'est enuyeux car je n'arrive pas lire le nom sur le paquet au fond de mon traîneau. Tu viens m'aider?

Tacotin sort en courant dans le jardin. Dans le grand traineau du père Noël il reste un énorme paquet.

Le petit Lutin s'approche et lit:"Pour Tacotin" Tacotin saute de joie ,il ouvre le paquet: C'est un joli traîneau comme celui du père Noël mais un peu plus petit.

-Merci dit Tacotin mais où sont les rennes pour tirer mon traîneau?

-Oh que je suis étourdi! répond le père Noël. J'ai oublié les rennes ! Comment faire?Je sais je vais te donner un des miens. Prends soin de lui ,il s'appelle Klika.Il est très doux,et il court vite.

Et le père Noêl saute dans son traîneau qui disparait dans les nuages. Mais il a oublié son bonnet rouge qui est tombé sur la neige.

Tacotin le ramasse et en caressant Klika dit:

-Le père Noël est vraiment étourdi mais il est si gentil !

 

Chant de Noël

Publié à 16:50 par lusile17 Tags : belle coeur nuit enfant argent neige
Chant de Noël

DOUCE NUIT
D'après "Stille Nacht" de Josef Mohr et Franz Gruber (1818)

O douce nuit, belle nuit
C'est Noël aujourd'hui
Et pendant que les clochers joyeux
Carillonnent sous la voûte des cieux
Sous les toits des chaumières
On a le coeur bien heureux.
 
Douce nuit, sainte nuit
C'est joli un sapin vert
Recouvert de sa neige d'argent
Près du feu qui s'endort doucement
Cette nuit une étoile luit
Là où l'enfant descendit.

O cette nuit, douce nuit
Quand il vient, à minuit
Presque nu dans le froid et le vent
Attendu depuis la nuit des temps
Pour offrir à tous les hommes
Un peu de son paradis.



Origine de la décoration du sapin de noël

Publié à 15:59 par lusile17 Tags : france nuit fleurs enfant papier divers
Origine de la décoration du sapin de noël

Origine de la décoration du sapin de noël
 

Nous retrouvons la tradition de la décoration du sapin de Noël dès le XVème siècle : les premières parures y sont comestibles tels que les pommes, les noix, les bonbons ou les petits gâteaux mais souvent aussi de petits personnages ; on trouvait également des papiers colorés, des rubans et même des petites poupées de chiffons...
À cette époque, les artisans lyonnais ont commencé à réaliser des « lamettas » ( des franges de métal, inspirées des galons portés par les militaires). Ce sont les « cheveux d'ange » qui permettent aujourd'hui d'illuminer notre beau sapin de reflets argentés ou dorés.
Aux XVIIème et XVIIIème siècle, les personnes éclairaient leurs sapins de bougies, souvent au nombre de 12, une pour chaque mois de l'année, fixées au moyen de cire ou d'épingles. Parfois les bougies, onéreuses à cette époque, étaient remplacées par des chandelles souples nouées autour des branches, ou des coquilles de noix remplies d'huile et dotées de mèches.
Aujourd'hui, les systèmes d'attaches ont évolué et décorations de Noël sont fixées avec des pinces et des fils décoratifs.

Avec l'apparition de l'électricité et pour empêcher les incendies le 4 décembre, la tradition d'orner le sapin de bougies a connu des innovations. De ce fait, il fut possible d'installer plus tôt les décorations du sapin de Noël.
Les bougeoirs à pince ont fait leur apparition pour la première fois vers 1890 et les boules de verre et les lanternes furent crées entre 1902 et 1914. Les guirlandes électriques, bien qu'extrêmement chères, commencèrent à apparaître à la fin du XIXème siècle.
Les décorations de noël ont toujours utilisé divers matériaux tels que le verre, le bois, le métal, la cire ou le papier...
Mais le sapin n'est pas le seul à avoir la chance d'être paré de mille feux : la maison toute entière est aussi à la fête.
Parmi les nombreuses décorations de Noël qui embellissent nos maisons, certaines trouvent leurs origines au début de la Chrétienté : le cierge ou les chandelles. Depuis le début du Christianisme, on allume la veille de Noël un grand cierge symbolisant le Christ, lumière du monde ; ce cierge brûle toute la nuit de la Nativité. Cette tradition perdure dans plusieurs pays d'Europe comme la France, l'Angleterre, l'Irlande ou encore le Danemark.
Cette habitude de décorer nos maisons remonte à la seconde moitié du XIXème siècle. En 1860 les marchands de Montréal offraient des feuilles de houx et des boules de gui à leurs plus importants clients. On réalisait aussi des guirlandes de fleurs entrelacées que l'on suspendait un peu partout dans la maison et on décorait les tables de corbeilles de fleurs séchées, en cire ou en papiers.
La maison se décorait également de branches de sapins et les fenêtres s'illuminaient de décorations d'étoiles ou de petits personnages.
  Comme les pommes de pins ou les noix, le houx fait partie des plantes symboliques de la décoration de Noël :

 Une légende raconte que la Sainte Famille fut contrainte de fuir l'Egypte afin d'échapper à la colère d'Hérode qui voulait assassiner Jésus. On raconte que lorsque les soldats d'Hérode furent sur le point de les trouver, le houx a étendu ses branches pour dissimuler les parents et l'enfant Jésus. En guise de reconnaissance, Marie bénit le houx en annonçant qu'il resterait éternellement vert, symbole d'immortalité.

 

Origine de la bûche de noël

Publié à 15:55 par lusile17 Tags : bonne france hiver
Origine de la bûche de noël

Origine de la bûche de noël
 

La coutume d'allumer une bûche à Noël, dans l'âtre, remonte à très longtemps et existait dans toute l'Europe. On dit que le feu produit par la bûche est un hommage au soleil. Ce geste cérémoniel serait dérivé de diverses célébrations païennes associées au solstice d'hiver.
À l'origine, il s'agissait d'une bûche qui devait brûler du 24 décembre jusqu'au Nouvel An. Allumée dans la pièce à vivre, elle apporte chaleur et lumière à la veillée. On devait choisir une très grosse bûche de bois dur ou une vielle souche et provenant de préférence d'un arbre fruitier.

La bûche devait être coupée avant le lever du soleil. La bûche était souvent décorée de rubans. On la portait ensuite dans la grande pièce familiale avec un grand cérémonial.
En France la coutume dit qu'on doit placer dans l'âtre autant de bûches qu'il y a d'habitants dans la maison. Le chef de famille bénissait la bûche avec de l'eau et du sel et parfois avec du vin.
Il fallait s'occuper des bûches avec les mains; aucun instrument ne pouvant s'approcher du feu. Si le feu faisait beaucoup d'étincelles, on disait que la moisson de l'été suivant serait bonne. Si la lumière faisait projeter des silhouettes sur le mur, on disait qu'un membre de la famille allait mourir au cours de l'année.
Les cendres de la bûche étaient précieusement conservées contre les orages, pour guérir certaines maladies et pour fertiliser les terres.
C'est pour continuer à célébrer ce rituel, que la bûche de Noël a vu le jour sous la forme d'un délicieux dessert qui aurait été inventé par un pâtissier en 1945.

 

Le Père Noël s'est perdu

Publié à 14:39 par lusile17 Tags : femme chez cadeau nuit enfants travail bébé cadeaux
Le Père Noël s'est perdu

Le Père Noël s'est perdu

Le soir de la naissance de Jésus, celui que l'on appelle aujourd'hui le Père Noël, était un roi, qui gouvernait un grand royaume trés lointain. Lui aussi avait vu la belle  qui annonçait la naissance de Jésus, mais avant de partir et de suivre cette merveilleuse  il alla dire aurevoir à sa femme et à tous ses enfants. Mais, quand il sortit de chez lui, l' avait disparu! Le roi était triste d'avoir perdu cette si belle  et surtout ne pas avoir pu offrir un cadeau au petit bébé Jésus...
Alors, il décida de le chercher seul, sans  pour le guider... Mais il réalisa que c'était trop dur, il y avait beaucoup trop de bébés qui étaient nés ce soir-là. Il rentra donc chez lui , mais sa femme et tous leurs enfants, en le voyant si triste, voulurent l'aider et trouvèrent une solution...
"Et si tu offrais à tous les  du monde un  ?" Le roi trouva cette idée merveilleuse! Tous se mirent au travail et fabriquèrent des milliers de  , de  pour tous les  du monde. Et depuis plus de 2000 ans, ce roi, que l'on appelle le  , travaille avec sa femme, la Mère Noël et tous leurs enfants, les  à faire des jouets pour tous les enfants sages du monde. Et, la nuit de la naissance de Jésus, la nuit de Noël, notre cher  distribue tous ses cadeaux!