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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
natalya zakonova
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
La Petite filles aux allumettes
Conte d'Andersen
Il faisait effroyablement froid; il neigeait depuis le matin; il faisait déjà sombre; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue: elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Lorsqu'elle était sortie de chez elle le matin, elle avait eu de vieilles pantoufles beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu'elle eut à se sauver devant une file de voitures; les voitures passées, elle chercha après ses chaussures; un méchant gamin s'enfuyait emportant en riant l'une des pantoufles; l'autre avait été entièrement écrasée.
Voilà la malheureuse enfant n'ayant plus rien pour abriter ses pauvres petits petons. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes: elle en tenait à la main un paquet. Mais, ce jour, la veille du nouvel an, tout le monde était affairé; par cet affreux temps, personne ne s'arrêtait pour considérer l'air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n'avait pas encore vendu un seul paquet d'allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.
Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières: de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur, celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir: c'était la Saint-Sylvestre. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.
Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d'allumettes, l'enfant aperçoit une encoignure entre deux maisons, dont l'une dépassait un peu l'autre. Harassée, elle s'y assied et s'y blottit, tirant à elle ses petits pieds: mais elle grelotte et frissonne encore plus qu'avant et cependant elle n'ose rentrer chez elle. Elle n'y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait.
L'enfant avait ses petites menottes toutes transies. «Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts? » C'est ce qu'elle fit. Quelle flamme merveilleuse c'était! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteignit brusquement: le poêle disparut, et l'enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié brûlé.
Elle frotta une seconde allumette: la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise: elle était couverte d'une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu, s'étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de pommes: et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une fourchette fixés dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien: la flamme s'éteint
L'enfant prend une troisième allumette, et elle se voit transportée près d'un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches vertes, brillaient mille bougies de couleurs: de tous côtés, pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle: l'allumette s'éteint. L'arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles: il y en a une qui se détache et qui redescend vers la terre, laissant une trainée de feu.
«Voilà quelqu'un qui va mourir » se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l'avait aimée et chérie, et qui était morte il n'y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu'on voit une étoile qui file, d'un autre côté une âme monte vers le paradis. Elle frotta encore une allumette: une grande clarté se répandit et, devant l'enfant, se tenait la vieille grand-mère.
- Grand-mère, s'écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh! tu vas me quitter quand l'allumette sera éteinte: tu t'évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d'oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-moi.
Et l'enfant alluma une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus longtemps possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n'y avait plus ni de froid, ni de faim, ni de chagrin: c'était devant le trône de Dieu.
Le lendemain matin, cependant, les passants trouvèrent dans l'encoignure le corps de la petite ; ses joues étaient rouges, elle semblait sourire ; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d'autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d'un paquet d'allumettes.
- Quelle sottise ! dit un sans coeur. Comment a-t-elle pu croire que cela la réchaufferait ? D'autres versèrent des larmes sur l'enfant; c'est qu'ils ne savaient pas toutes les belles choses qu'elle avait vues pendant la nuit du nouvel an, c'est qu'ils ignoraient que, si elle avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère la plus douce félicité.
La légende de l'hellébore(rose de Noël)
La nuit de la naissance du Christ, Madelon, une petite bergère qui gardait ses moutons, vit les rois mages et divers bergers, chargés de cadeaux, traverser le champ couvert de neige où elle se trouvait. Les rois mages portaient l'or, la myrrhe et l'encens, les bergers des fruits, du miel et des colombes. Madelon pensa qu'elle n'avait rien, pas même une simple fleur, pour ce nouveau-né d'exception. Un ange voyant ses larmes frôla la neige, révélant ainsi une très belle fleur blanche ombrée de rose : la rose de Noël.
La légende des flocons de neige
Il était une fois, il y a longtemps, habitaient de petits moutons argentés dans le ciel ! St-Pierre les avaient adoptés pour passer le temps ! Il les surnommaient flow ou flo ! Cela voulait dire "enfants" car ceux-ci n'arrêtaient pas de courir et de jouer partout.
Ils étaient très doux mais aussi très capricieux. Parfois, ils allaient courir dans le ciel. Mais de petites étoiles restaient accrochées à leur laine. Un jour, Dieu décida d'emmener le froid au monde !
Mais les petits moutons, très capricieux et nécessitant un petit confort chaud et douillet, se mirent à courir dans tous sens sur les nuages ! Si vite que les étoiles se décollèrent de leur laine et tombèrent du ciel !
Dieu était très ravi et donna à ces petites étoiles blanches, le nom de flocon (mélange de flow et de moutons). C'est depuis ce jour qu'on peut apercevoir des petits flocons tomber du ciel !!!
La legende du pére Noël
Le père Noël original fut Saint-Nicolas, né en Asie Mineure,
la Turquie d'aujourd'hui, il y a 1600 ans.
Le petit Nicolas était bon et généreux.
Il devint évêque de Myre, et plusieurs belles légendes sont connues à ce sujet.
L'une de ces légendes raconte
comme il eut pitié des trois jolies filles d'un noble
qui étaient trop pauvres pour fournir la dot nécessaire à leur mariage.
A trois reprises, le bon saint Nicolas lança par leur fenêtre des sacs d'or
qui leur permirent de trouver de bons époux et d'être heureuses.
A travers les siècles, on perpétua la légende du généreux évêque
à la barbe blanche qui volait au-dessus des maisons sur un cheval blanc
et jetait des cadeaux par la cheminée.
Les premiers émigrants hollandais qui arrivèrent aux États-Unis
appelaient saint Nicolas "Sinter klaas" qui devint ensuite Santa Claus.
Les enfants suisses croyaient qu'un ange de Noël
appelé "Kriss Kringle" arrivait sur un traîneau tiré par six rennes.
Les lutins du père Noël viennent du folklore norvégien.
Plus tard, au 19ème siècle, en, 1822, un professeur de séminaire,
le docteur Clément C. Moore écrivit pour ses enfants "une visite de Saint Nicolas".
Il y rassemblait toutes les légendes mentionnées plus haut,
les confondant dans une seule merveilleuse histoire
qui est devenue un classique de la littérature sous le titre "la nuit avant Noël".
En 1863, le caricaturiste Thomas Nast reçut la mission d'illustrer cette histoire.
De sa plume émergea le père Noël que nous connaissons aujourd'hui,
avec son habit rouge, sa tuque et ses bottes luisantes.
Les peuples préhistoriques adoraient la lumière
et ils avaient construit des temples
qui aidaient à comprendre l'arrivée des saisons
pour les premiers agriculteurs européens, les hommes du néolithique.
Dans le temple mégalithique de New grange en Irlande,
la lumière du soleil ne rentre que le jour du solstice d'hiver, le 25 décembre.
De même dans le temple de Stonehenge en Angleterre,
le soleil ne se lève dans une pierre percée que le 21 juin, jour du solstice d'été.
Les Égyptiens adoraient à cette période, le fils du Dieu Osiris,
Aïnou surnommé le soleil renaissant et marqué au front d'une étoile d'or.
Les Celtes faisaient de grands feux aux solstices pour lutter contre les ténèbres.
Ils avaient très peur de ces périodes sombres avec le jour plus court
mais en même temps, ils savaient que le soleil allait réchauffer le sol et les plantes.
Au 6ème jour qui suivit le solstice d'hiver, notre 1er janvier,
ils coupaient en grande cérémonie le gui sacré qui montrait
que la nature revivait sur les chênes qui semblaient morts ;
le druide criait alors: "o ghel an heu!"
qui signifiait "que le blé lève" et qui est devenu "Au gui , l'an neuf".
Les Romains fêtaient les Saturnales du 17 au 25 décembre,
les hommes et les femmes portaient alors des guirlandes autour du cou
et s'offraient toutes sortes de cadeaux.
Un peu plus tard, sous l'empire romain,
le 25 décembre devint la fête du "soleil invaincu"
avec une des divinités solaires représentée par un enfant nouveau-né.
La religion chrétienne qui célébrait jusqu'au 3ème siècle
la naissance du Christ le 6 janvier (anciennes saturnales romaines)
décida en 354 que le 25 décembre deviendrait la date de la naissance de Jésus Christ.
Le 25 décembre est une fête
qui regroupe de nombreuses croyances très anciennes
avant de devenir une des dates les plus importantes du calendrier chrétien.
Legende de Noël
Couronne de l'Avent - couronne de noël
L'Avent, du latin adventus, qui signifie « arrivé, venue », est une période de 4 semaines avant la veille de Noël durant laquelle les Chrétiens devaient s'imposer le plus souvent en jeûnant, à l'approche d'une fête. Pendant ce temps, on préparait le repas, on nettoyait et décorait la maison.
L'Avent représente les 4 semaines précédant la fête de Noël, mais ce sont les 4 dimanches de ces semaines qui importent le plus. Depuis le pape Grégoire I er (XIème siècle) c'est la période de la préparation à la venue du Christ, et le début de l'année liturgique pour les Chrétiens.
L'avent commence le premier dimanche qui suit le 26 novembre, et chaque dimanche de l'Avant, on allume une bougie.
La couronne de l'Avent est née au XVIème siècle en Allemagne pour que les Chrétiens se préparent à la grande fête de Noël. La couronne de l'avent est un cercle qui rappelle aux Chrétiens que chaque année est la période où Jésus revient.
Mais la légende raconte que la couronne de l'Avent aurait été créée à Hambourg vers 1850 dans un orphelinat par le pasteur Heinrich WICHERN. Elle est faite de plusieurs branches de sapin, de laurier, de houx, de gui, de pommes de pin et de rubans de couleur. Elle porte 4 bougies, une pour chaque semaine de l'Avent ; au cours de la première semaine, on en allumait une, deux la deuxième semaine et ainsi de suite.
Cette tradition qui nous vient d'Allemagne s'est ensuite répandue dans les pays scandinaves avant de gagner l'Amérique du Nord et une bonne partie de l'Europe. La couronne de Noël pouvait alors être suspendue au plafond, servant ainsi de luminaire, ou déposée sur une table.
Pour certains sa forme ovale évoque la couronne d'épines que portait Jésus sur la Croix, pour d'autres elle est plutôt le symbole du temps qui ne s'arrêtera jamais.
Légende de l'arbre de Noël
Il était un fois, en Allemagne, il y a très longtemps, un bûcheron. En rentrant chez lui, par une nuit d'hiver claire mais glaciale, l'homme fut ébahi par le merveilleux spectacle des étoiles qui brillaient à travers les branches d'un sapin recouvert de neige et de glace.
Pour expliquer à sa femme la beauté de ce qu'il venait de voir, le bûcheron coupa un petit sapin, l'apporta chez lui, et le couvrit de petites bougies allumées et de rubans.
Les petites bougies ressemblaient aux étoiles qu'il avait vues briller, et les rubans, à la neige et aux glaçons qui pendaient des branches.
Des gens virent l'arbre et s'en émerveillèrent tant, surtout les enfants, que bientôt chaque maison eut son arbre de Noël.
Légende des guirlandes du sapin de Noël
Il y a très longtemps en Allemagne, une maman s'affairait à préparer les décorations de Noël; l'arbre était dressé, la maison nettoyée et les araignées chassées. Le soir, le calme et la sérénité revenus, les araignées revinrent et découvrirent le sapin, elles entreprirent aussitôt l'assaut de l'arbre, le recouvrant de leurs toiles grises et poussiéreuses.
Lors de l'arrivée du Père Noël pour la distribution des cadeaux, il fut ravi de découvrir les araignées heureuses et satisfaites de leur travail de décoration du sapin, mais il ne pu s'empêcher de penser à la tristesse de la mère qui allait retrouver son arbre décoré de toiles.
C'est pourquoi, pour satisfaire tout le monde le Père Noël transforma la décoration de fils grisâtres en fils d'or et d'argent. L'arbre de Noël se mit alors à scintiller et à briller de tous ses feux !
C'est pour cette raison que depuis, les décorations de nos sapins de Noël sont constituées de belles et brillantes guirlandes.
C'est aussi pour cette raison, que la légende dit qu'il faudrait toujours glisser, au milieu des branches de nos arbres de noël, de gentilles petites araignées.
Légende de Noël |
Il était une fois, une pauvre veuve qui avait trois petits garçons. On était à la veille de Noël et les enfants demandèrent à leur mère:
Est-ce qu’on aura un arbre de Noël, maman, cette année?
Hélas, non, mes chers petits, nous sommes trop pauvres.
Mais nos petits amis étaient très débrouillards. Ils décidèrent d’aller dans la forêt pour chercher un petit sapin. Hélas, malgré toutes leurs recherches, les petits garçons ne trouvèrent aucun sapin. Ils allaient revenir à la maison, lorsqu’ils aperçurent une brebis qui avait une patte prise dans un tronc d'arbre creux.
Après bien des efforts, les enfants réussirent à libérer la brebis. Juste à ce moment-là, un berger apparut sur les lieux.
Dites-moi, mes enfants, que faites-vous dans cette grande forêt?
Nous cherchons un petit sapin, monsieur, mais nous n’en avons pas trouvé!
Eh bien, puisque vous avez secouru ma brebis, je vais vous aider.
Le berger, qui connaissait bien la forêt eut tôt fait de découvrir le plus beau petit sapin qui soit et le remit aux enfants
Oh merci monsieur ! Grâce à vous, nous aurons un bel arbre de Noël
Puis, nos trois petits garçons retournèrent à la maison avec leur sapin en chantant. Le soir, avant de se mettre au lit, ils placèrent le petit sapin près de la cheminée et s’endormirent en pensant au Père Noël.
Le lendemain matin, quand les enfants se réveillèrent, ils trouvèrent leur sapin rempli de cadeaux merveilleux.
Oh voici des patins pour moi! s’écria l’aîné. Que je suis content!
Et moi, j’ai un baton de hockey! ajouta le cadet en sautant de joie.
Quant à moi, le plus petit, j’ai un avion! Puis un gros livre de contes. Que je suis content!
La maman ne comprenait rien à tout cela et murmura:
Mais qui a bien pu donner tous ces beaux cadeaux à mes enfants!
Juste à ce moment-là, le Père NOËL apparut dans la maison et s’adressant à la maman, il lui dit:
Mais c’est moi, Madame, qui ai apporté ces étrennes à vos petits, parce que je sais qu’ils sont charitables envers les bêtes.
Puis, le PÈRE NOËL raconta à la maman comment ses enfants avaient se couru la brebis de son vieil ami, le berger de la forêt. Ceci dit, le PÈRE NOËL embrassa les enfants, sans oublier la maman et s’en alla en disant: JOYEUX NOËL Â TOUS!