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Par Anonyme, le 18.12.2024
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Par Anonyme, le 03.12.2024
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Par le Bris, le 25.11.2024
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Par Anonyme, le 21.11.2024
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Par Anonyme, le 18.11.2024
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Jean Auguste Dominique Ingres
Portrait de Mme Moitessier
Madame Moitessier est le nom de deux portraits peints par Jean-Auguste-Dominique Ingres de Madame Moitessier, née Marie-Clotilde-Inès de Foucauld (1821–1897). L'un, portrait de Madame Moitessier debout, peint en 1851, est à la National Gallery of Art de Washington ; l'autre, où elle est assise, de 1856, est à la National Gallery de Londres.
Celui de Londres est le portrait le plus coloré du peintre. La robe lui permet de jouer avec les contours et les volumes. On remarque également le jeu de miroir.
Inès de Foucauld de Pontbriant était l'épouse du banquier Paul Sigisbert Moitessier, riche banquier du Second Empire et la tante de Charles de Foucauld. Elle tiendra sous la III république un salon politique pour un neveu de son mari, ministre à trente ans.
Jean Auguste Dominique Ingres
Portrait de Madame Gonse
Avec le plus modeste mais très suprenant, portrait de Mme Gaudry (1856) du musée de Grenoble, il est l'unique portrait achevé de cette dernière période d'Ingres, actuellement conservé en France dans une collection publique... Contrairement aux modèles volontairement inexpressifs représentés par l'artiste, la charmante Caroline semble s'intéresser à ce peintre qui la dévisage et paraît lui offrir toute sa vivacité, teintée de curiosité. ... Malgré sa robe et un fond de mur d'un vert très sombre, l'oeuvre ne dégage aucune tristesse. Ingres s'est longuement attaché aux nombreux rubans et bijoux de son modèles pour réchauffer sa palette de toute une gamme de couleurs brillantes, allant du rose clair au parme très opaque, en passant par différents tons de rouge à la juxtaposition dangeureusement audacieuse...
Les circonstances qui ont conduit Ingres à rencontrer son future modèle, née Josephine Caroline Maille (Rouen, 7.02 1815 - Paris, 22.02 1901) sont assez obscures mais peuvent être dégagées des informations qui nous sont parvenues, principalement grâce à Lapauze, qui avait directement acquis la toile de la famille. Caroline était la fille d'Eugène-Dominique Maille, que le vieil historien qualifia de "viel ami d'Ingres". L'affirmation semble à première vue un peu exagérée, et relever d'une tradition familiale un peu enjolivée. ... Nous avons (en revanche) indiscutablement un indice de cette rencontre par la dédicace à "Mlle Maille" du portrait de Madeleine Ingres en directrice que Lapauze posséda en même temps que celui-ci....
La question des conseils artistiques donnés par Ingres à la jeune femme est une autre interrogation importante, et plus difficile à résoudre. Carolien Gonse est généralement incluse parmi les élèves d'Ingres. Mais ce qualificatif peut parfois cacher une filiation exagérée, limitée à de simples conversations informelles, sinon de rares et brèves rencontres...."
Jean Auguste Dominique Ingres
Portrait de madame Leblanc -1823
Ingres fait ce portrait dans la ligne de ses portraits des grandes dames de l'aristocratie française. Nous pouvons le mettre en relation directe Devauçay Madame , Madame de Senonnes ou autrement. Ingres doivent se sentir particulièrement fier de cette photo, depuis dix ans après sa peinture en 1834, il a présenté le Salon officiel à Paris. Ces expositions annuelles de l'artiste avait laissé quelques fois vainqueur et d'autres vilipendé par la critique. Cette image a reçu certains des critiques les plus cruelles et répétées de sa peinture. Souligné l'absence de l'académisme d'Ingres aux déformations corps subtil des femmes, encore une beauté poignante produire un effet. Dans les mots de la critique Vergnaud, le chiffre était "un monstre, dont la tête est trop court, dont les yeux semblent sauter hors de la face, dont les doigts sont gras comme les saucisses." Nous ne pouvons nier aucune de ces allégations. En outre, Ingres en fonction de leur méthode de travail et leur a estimé que l'effet global a été supérieure à ces «défauts». Pour les atteindre, semble être celle utilisée miroirs courbes pour montrer les parties qui l'intéressent.
Jean Auguste Dominique Ingres
La Maladie d'Antiochus,ou Stratonice et Antiochus
Huile et aquarelle sur papier
C'est en 1834, peu de temps avant de partir pour Rome pour prendre ses fonctions de directeur de l'Académie de France qu'Ingres reçut la commande d'un tableau représentant La maladie d'Antiochus de la part du duc d'Orléans, fils aîné du roi Louis-Philippe. Le tableau aujourd'hui conservé au musée Condé de Chantilly occupa l'artiste pendant des années à Rome. Accablé de commandes, l'artiste, anxieux, ne put livrer l'oeuvre au prince qu'en 1840 qui se montra satisfait et doubla même ses honoraires. Ingres semble avoir été intrigué pendant longtemps par ce thème qui fut celui du concours du grand Prix de Rome en 1774 (année où David fut vainqueur). Le sujet était dans l'air et Méhul en fit un opéra en 1792 que Ingres a pu entendre lors de reprises en 1801, 1802 et 1806. C'est d'ailleurs de 1807 environ, peu après son arrivée à Rome, que daterait le beau dessin du Louvre, première représentation achevée de l'épisode. Dans tous les cas, Ingres s'intéresse plus particulièrement à un passage de la Vie de Démétrius (LII) de Plutarque. La scène se passe en Syrie : Antiochus, fils de Séleucus, un des lieutenants d'Alexandre le Grand, brûle d'amour pour sa jeune belle-mère. Il tente de dissimuler sa passion et tombe malade mais le médecin Erasistrate parvient à déceler l'origine du mal : Antiochus se trouble dès que paraît Stratonice. Averti, Séleucus préféra céder sa femme et sauver son fils. Le thème du lit où languit le héros, la frise des figures semblent avoir été empruntés à Poussin (Testament d'Eudamidas et La mort de Germanicus) tandis que la Pudicité Giustiniani du Capitole ou la Sainte Suzanne de François Duquesnoy (Rome, église Notre Dame de Lorette) ont servi de modèle pour Stratonice et un dessin de Flaxman intitulé Achille pleurant la mort de Patrocle a été consulté pour le groupe du père et du fils. Mais le souci d'Ingres, pour venir à bout de sa « grande miniature historique » comme il la désigne lui-même dans une lettre à son ami Gilibert en 1837, était de trouver le moyen de fondre ses figures dans un décor, savant et précieux à la fois.L'oeuvre, véritable manifeste du style néo-grec, connut un grand succès, en particulier lors de son exposition publique au Palais-Royal dès sa réception et à nouveau en 1846 au Bazar Bonne-Nouvelle. Ingres la fit graver par Reveil en 1851 et en réalisa en 1858-1860 une version réduite (Philadelphia Museum of Art). Un an avant sa mort, Ingres entreprit la belle et imposante variante du musée Fabre. Il semblerait qu'il se soit aidé d'un calque conservé de la version du duc d'Orléans en simplifiant de nombreux éléments. Le décor dans son ensemble apparaît plus lumineux, moins dur et contrasté et la tonalité des draperies a changé. La perspective éloigne les protagonistes du regard en renforçant l'aspect théâtral de la scène. Stratonice au drapé moins flottant apparaît encore plus que dans la première version comme murée dans ses secrètes pensées. Le tableau stylisé et contrôlé à l'extrême conserve cependant, presque miraculeusement, tout le mouvement et la sensibilité passionnée de la vie réelle.
Jean Auguste Dominique Ingres
Henri IV jouant avec ses enfants, au moment où l'ambassadeur d' Espagne est admis en sa présence, 1817,
Jean Auguste Dominique Ingres
La mort de Leonard de VincI
La mort de Léonard de Vinci, 1818. Commandé au peintre par le comte de Blacas (1770-1839), ambassadeur de France à Rome, avec son pendant "Henri IV recevant l'ambassadeur d'Espagne". Le sujet exalte la personnalité de François Ier, tout en évoquant un des grands maîtres de la Renaissance, Léonard de Vinci.
Il montre la mort de Léonard de Vinci au Clos Lucé avec FrançoisIer tenant sa tête.
Jean Auguste Dominique Ingres
Les Ambassadeurs d’Agamemnon et des principaux de l’armée grecque, précédés des hérauts, arrivent dans la tente d’Achille pour le prier de combattre,
Le sujet s'inspire du chant I de l'Iliade d'Homère . Achille joue de la cithare, et Patrocle l'écoute. Délégués par Agamemnon, Ajax, Ulysse et Phénix, accompagnés de deux hérauts, viennent demander à Achille de reprendre le combat contre les habitants de Troie : "Lors, les deux envoyés - Ulysse le divin s'avançant le premier - s'arrêtent devant lui. Achille, stupéfait, se dresse brusquement, la cithare à la main, abandonnant son siège".
Jean Auguste Dominique Ingres
Paolo et Francesca (1819)
L’artiste peint l’amour tragique des deux jeunes gens immortalisés au Chant V de L’Enfer. Tandis qu’elle lit avec Paolo l’histoire de Lancelot du lac, Francesca, la jeune épouse de Malatesta, se laisse embrasser par son beau frère : elle en perd son livre ! . Ce qui a la vertu de faire surgir quasi automatiquement le mari jaloux de sa cachette ( au fond a droite). Ainsi, Ingres nous fait-il passer du registre littéraire à la théâtralité la plus hyperbolique. De fait, tous ces gestes emphatiques sont réglés comme si, mûs par une même dispositif , Paolo et Malatesta étaient passés de concert d’un stade supposément vertical (position chaste et réservée du garçon/ attitude réservée du barbon derrière la tenture) au stade oblique de la tension active ( passion déclarée de Paolo/ irruption du mari qui dégaine). Configuration où les deux hommes , ouvrant une brèche en forme de V, atteignent caricaturalement à cet « instant fécond « que théorise Lessing dans son Laocoon . Refermé ce V signifiera, si l’on ose dire, que les jeunes gens n’y auront pas coupé.
Jean Auguste Dominique Ingres
Vénus Anadyomène
La Vénus Anadyomène est un tableau qui illustre la naissance de Vénus et plus particulièrement Vénus sortie des eaux. Peint par Jean-Auguste-Dominique Ingres
Le tableau commencé à Rome en 1808, alors que le peintre est pensionnaire de l'Académie de France à Rome. Il ne se résout pas à l'envoyer à Paris et le laisse à l'état d'ébauche. Il n'est achevé que quarante ans plus tard en 1848 à Paris, à la demande de Benjamin Delessert. Ce dernier n'apprécie pas le tableau car il trouve le genou mal dessiné. Il le vend la même année à Frédéric Reiset, qui est alors le conservateur des dessins du musée du Louvre. L'œuvre est présentée à l'Exposition universelle de 1855. Il est acheté par le duc d'Aumale avec l'ensemble de la collection Reiset en 1879.
Les premiers dessins représentent Vénus couchée puis agenouillée, puis enfin debout mais en position pudique, cachant son sexe et un sein. Sa position est inspiré de la Naissance de Vénus de Sandro Botticelli, qu'Ingres a peut-être vu lors de son passage à Florence en 1805, au musée des Offices. Un dernier dessin, daté de 1806, la représente avec les bras levés se tenant les cheveux. Lors de la reprise du tableau en 1848, Ingres apporte de profondes modifications dans ses couleurs.
D'après Charles Baudelaire, qui contemple le tableau lors de l'exposition universelle, la tête est inspirée des modèles antiques, les mains de Raphaël et le torse étroit de la statuaire médiévale.
Le tableau d'Ingres inspira plusieurs autres représentations de Vénus, notamment celles de William Bouguereau (1879) et de Théodore Chassériau (Vénus marine, 1838). Ingres reprit la posture de sa Vénus pour un autre de ses nus, La Source en 1856.