** QUELQUES CITATIONS DE LA SEMAINE **

** SPIRITUEL & QUELQUES CITATIONS **

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 Vous pouvez vous servir §

un petit com ou un Clic sur J'aime font  toujours plaisir

Bonne visite !

 Nous voilà, repartis pour une nouvelle semaine.

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 Un temps mitigé;

un peu de nuages, teinté avec un peu de soleil !!!

Pour commencer la semaine, voilà cette première Création 

" LES AMERINDIENS " , qui est pour vous,  en  Cadeau §

 OFFERT  &&  AMITIES.

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 AGREABLE SEMAINE A TOUS ET TOUTES. 

 AMÉRINDIENS : DIX CLICHES ET LEUR VÉRITÉS !

Best Native American Songs-Wuauquikuna -BEAUTIFUL!

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BON LUNDI.

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PRIÈRES SUPPLIQUES À NOTRE-DAME DE LOURDES .

En ce mois de février adressons nos supplications à Notre Dame de Lourdes en faveur de tous les malades, tous ceux qui soufrent d'une manière ou d'une autre.

Notre-Dame de Lourdes

Douce Vierge de Lourdes, ô ma tendre Mère, souvenez-Vous de moi !...

Lorsque je répands mon âme au pied de Votre image miraculeuse, lorsque par la pensée je me transporte à Votre sanctuaire béni, Mère, douce Vierge de Lourdes, souvenez-Vous de moi !

Vous qui n’abandonnez jamais ceux qui Vous invoquent, Consolatrice des affligés, Protectrice spéciale des âmes tourmentées, Mère, douce Vierge de Lourdes, souvenez-Vous de moi !

Source inépuisable du divin Amour, quand assoiffé, je me souviendrai de Vous pour mieux aimer mon Dieu, Mère, douce Vierge de Lourdes, souvenez-Vous de moi !

Lorsque je viendrai Vous prier pour l’Église et pour la Patrie, pour les pécheurs et pour tous ceux qui me sont chers, Mère, douce Vierge de Lourdes, souvenez-Vous de moi !

Quand je viendrai Vous confier mes peines, et lorsqu’à Vos pieds, je répandrai des larmes au souvenir des miens qui souffrent, de tous ceux que j’aime, de ceux que la mort m’a enlevés, Mère, douce Vierge de Lourdes, souvenez-Vous de moi !

Dans ma dernière agonie, à ce terrible passage du temps à l’éternité, Vous qui êtes mon ESPÉRANCE, Mère, douce Vierge de Lourdes, souvenez-Vous de moi !

Obtenez-moi qu’un jour dans le Ciel, Mère si bonne, douce Vierge de Lourdes, je puisse mieux Vous aimer et Vous bénir, mais surtout Vous remercier éternellement de Vous être souvenue de moi...

Ainsi soit-il. Ô Marie, qui êtes la Mère d’un “Fils-Dieu” et qui êtes aussi ma Mère, ne permettez pas qu’un jour Votre Fils-Dieu condamne Votre pauvre enfant.

Bénie soit la sainte et immaculée Conception de la bienheureuse Vierge Marie, Mère de Dieu !

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Notre-Dame de Lourdes, Vierge Immaculée, priez pour nous.

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Edito

FÉVRIER : MOIS DE PRIÈRES POUR LES MALADES

La souffrance et la maladie sont presque aussi vieilles que l’humanité. Elles sont conséquentes au péché originel et à la faiblesse humaine. Très souvent, elles sont perçues comme une injustice et poussent parfois à la révolte, au désespoir, à la solitude. L’attitude du Christ vis-à-vis des malades a inspiré l’agir de l’Église naissante. Jésus a souvent visité et guéri les malades (Mt 4,23 b).

Il a voulu faire comprendre que le malade est un frère souffrant, il reste membre de la communauté, et ne peut pas être ni abandonné ni tenu à l’écart. D’ailleurs, s’il est guéri de sa maladie, il réintègre sa vie normale. Personne n’est épargné de la maladie ou de la souffrance. Le Christ, Fils de Dieu, Lui-même, a connu la souffrance. Il s’est identifié aux malades : « j’étais malade, et vous m’avez visité » (Mt 25,36 b).

Il sait ce qu’est la souffrance. Puisqu’il l’a expérimentée, il est en mesure de venir en aide à celui qui souffre. Dès les origines de l’Église, et comme le recommande l’apôtre saint Jacques, les chrétiens ont eu à porter une attention particulière aux malades : « Si l’un de vous est malade, qu’il appelle les anciens et reçoive l’onction d’huile au nom du Seigneur » (Jc. 5, 13- 15).

L’effort de la communauté vis-à-vis du malade consiste avant tout à le soutenir, à le soigner et à le guérir. En même temps, la communauté invitera le prêtre à prier sur le malade afin que le Christ, qui le visite et le rencontre, l’associe à sa passion. Après lui avoir pardonné les péchés, il lui donnera le réconfort et la force de lutter dans la maladie et les tentations, pour persévérer dans la foi et la confiance en cet amour salvifique de Dieu.

La prière pour le malade engage toute la communauté et non le prêtre seul. En effet, le sacrement des malades n’est pas seulement conféré à ceux qui se trouvent à toute extrémité. Il est aussi administré à tout baptisé dont l’état peut conduire à la mort : extrême vieillesse, intervention chirurgicale lourde, maladie psychologique, spirituelle… C’est pourquoi, il est toujours nécessaire d’en parler avec le prêtre. Il peut être réitéré durant la même maladie qui s’aggrave, ou encore si le malade qui l’a reçu s’est rétabli, et redevient malade. Ce sacrement peut être reçu au cours de la messe.

Cette année, nous convions spécialement toute la communauté à porter fraternellement les malades dans sa prière. Aussi, le sacrement des malades sera conféré au cours de la messe dominicale anticipée du samedi 11 février à 18h00 à Nailloux (Journée Mondiale de prière pour les malades), et celles du dimanche 12 février à 11h00 à Villefranche et Fourquevaux (dimanche de la santé). Venez nombreux ces jours-là prier pour les frères malades de notre Ensemble paroissial, c’est un devoir fraternel et chrétien.

Ne craignons pas d’en parler autour de nous !!! Que les malades qui désirent ce sacrement s’inscrivent ou se fassent inscrire, en appelant le secrétariat de Villefranche (aux heures d’ouverture).

Communiquons l’adresse postale, le numéro de téléphone du malade ou de l’accompagnant, pour des visites ultérieures du prêtre, et surtout si le malade souhaite se confesser avant le sacrement des malades.

Abbé Cyrille Manter

avec l’équipe SEM de l’Ensemble paroissial.

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 Lien/Document:  http://toulouse.catholique.fr/Fevrier-mois-de-prieres-pour-les-malades

  Notre Dame de Lourdes santé des malades écoutez les prières de vos enfants et daignez les exaucez. Amen !

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*&*&* QUELQUES IMAGES ANIMEES *&*&*

  Une petite douceur  && à déguster avec modération ! 

INSTANT TENDRESSE, POUR LES P'TITS BOUTS

* De beaux moments à partager *

* IMAGE DROLE -- CONSTERNANT *

* UNE  "CHOUETTE" IMAGE *

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AGREABLE JEUDI §

 A M I T I E S.

Un notaire cherche un nouvel employé pour tamponner ses actes.

Et comme certains formulaires doivent être tamponnés jusqu’à 10 fois, il faut que l’employé puisse compter jusqu’à 10.

Le premier candidat s’assied et le notaire lui demande de compter jusqu’à 10

: – Oui, bien sur : 10.9.8.7.6.5.4.3.2.1.

– C’est bien, dit le notaire, et dans l’autre sens, maintenant ?

– Non, répond le candidat, j’ai travaillé à la NASA et j’ai toujours compté ainsi.

– Désolé, mais vous ne convenez pas !

Candidat suivant !

Le notaire demande au second candidat de compter jusqu’à 10.

– Oui, bien sur : 1.3.5.7.9.10.8.6.4.2.

– C’est bien, dit le notaire, et dans le bon ordre, maintenant ?

– Non, répond le second candidat, j’ai travaillé comme facteur et j’ai toujours compté ainsi en passant de boite en boite…

– Désolé, mais vous ne convenez pas !

Candidat suivant !

Le notaire pose la même question au troisième candidat.

– Oui, bien sur : 1.2.3.4.5.6.7.8.9.10.

– C’est parfait ! Où avez-vous travaillé auparavant ?

– J’étais dans l’administration.

– Dans l’administration ? Je n’en reviens pas ! Mais, dites-moi, bien que ce ne soit pas nécessaire, pouvez-vous continuer à compter après 10 ?

– Mais, évidemment ! Valet, Dame et Roi !

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La pensée du jour &  mercredi 15 février 2017

« Dans son sens originel, le mot « charité », qui est comme la foi et l’espérance une vertu théologale (c’est-à-dire qui a Dieu pour objet), désigne l’amour de l’homme pour Dieu, dont procède nécessairement l’amour du prochain. Malheureusement, ce mot « charité » a fini par perdre, avec le temps, sa signification sublime, et ce qu’on appelle maintenant charité s’exprime par des actes qui peuvent n’être accompagnés d’aucun sentiment d’amour véritable. Beaucoup « font la charité » parce que l’Église et la famille leur ont appris qu’il faut donner aux pauvres, secourir les malheureux, etc. La charité est donc souvent le produit d’une éducation étroite et elle n’a rien à voir avec la bonté. Que de personnes « charitables » empoisonnent la vie de leur famille et de leur entourage ! Il existe ainsi beaucoup de personnes charitables, mais on en rencontre très peu de vraiment bonnes. Et les chrétiens devraient faire l’effort de retrouver le sens premier du mot « charité », qui signifie « amour », car celui qui dit aimer Dieu doit L’aimer aussi dans son prochain. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

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La pensée du jour & mardi 14 février 2017 

« On constate que de plus en plus d’hommes et de femmes s’intéressent à l’économie et aux finances. Dans ce domaine, tous deviennent des champions, ou du moins, c’est ce qu’ils croient. En réalité, s’ils avaient une bonne compréhension des questions économiques et financières, ils auraient appris à s’occuper d’abord des richesses spirituelles qu’ils reçoivent du Ciel, comment les conserver, comment les faire fructifier. N’importe quel ignorant sait que s’il ne fait pas fructifier son capital, au bout de quelque temps il n’aura plus rien, car un capital qui n’est plus alimenté est vite dissipé. Mais quand il s’agit du plan spirituel, même les plus instruits se laissent appauvrir : ils oublient que la lumière, la chaleur, la richesse intérieure s’épuisent rapidement si l’on ne travaille pas chaque jour à les augmenter. Et comment les augmenter ? Par la prière, la méditation, des exercices. En se liant chaque jour à la Source inépuisable de la vie divine, ils renouvelleront sans cesse leurs énergies pour pouvoir continuer à accomplir leur tâche. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

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 La pensée du jour & lundi 13 février 2017

 « Dans le livre de la Genèse il est écrit qu’après avoir séparé la terre des eaux, créé le soleil, la lune, les étoiles, les plantes et les animaux, au sixième jour, Dieu dit : « Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance. » L’univers est le corps de Dieu, un corps qu’Il anime de son esprit. De la même façon, l’homme possède un corps ; ce corps est un reflet de l’univers, et l’esprit qui l’anime est une étincelle jaillie de l’Esprit divin. Ainsi, Dieu n’est pas, comme certains l’imaginent, ce monarque absolu qui trône loin de notre vue dans un lieu inaccessible, au fin fond du ciel. Sans doute est-Il l’être le plus impénétrable, le plus insaisissable, mais Il est en même temps le plus proche, car Il est en nous. Et c’est donc tout un travail que nous avons à faire pour sentir et vivifier cette présence qui nous habite. Rien n’est plus précieux que la sensation d’être habité par le Seigneur : à ce moment-là, quoi qu’il arrive, rien ne peut ébranler notre foi. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

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 La pensée du jour & dimanche 12 février 2017

 « L’histoire humaine est une succession de changements. Rien ne peut rester en l’état, car la vie est en perpétuel mouvement. On aimerait penser que ce mouvement est toujours un progrès et va dans le sens de l’évolution. Malheureusement, on est obligé de constater qu’il y a parfois des régressions. Mais évolution ou régression, rien ne reste en place. Les générations d’êtres humains se succèdent, et même si, dans certains pays, les changements se produisent plus lentement que dans d’autres, ou vont dans une mauvaise direction, quand les conditions s’y prêtent, personne ne peut les empêcher de prendre une tournure favorable. Ce sont d’abord des courants émis par les esprits lumineux du monde invisible, et les êtres qui sont préparés captent ces courants, ils en deviennent les conducteurs. Et quand le moment est venu, les changements sont aussi acceptés par l’ensemble de la société. »

 Omraam Mikhaël Aïvanhov

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