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Par Anonyme, le 30.04.2022
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Par Anonyme, le 29.04.2022
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Par Anonyme, le 29.04.2022
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Par Anonyme, le 29.04.2022
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La mère de Jésus dit aux serviteurs : « Faites tout ce qu'il vous dira. » Jn 2, 5
Car si notre coeur nous condamnait, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connaît tout. 1 Jn 3, 20
Invoque-moi et je te répondrai; je t'annoncerai des choses grandes et cachées dont tu ne sais rien. Jr 33, 3
Date de création : 24.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et ployez sous le fardeau, et je vous soulagerai. Mt 11,28
A qui irions-nous seigneur jésus ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Jn 6,68
Heureux les coeurs purs car ils veront Dieu. Mt 5, 8
Je suis venu pour que les hommes aient la vie et qu'ils l'aient en abondance. Jn 10,10
En ce temps-là, l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth,à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie.L’ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. »À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation.L’ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu.Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus.Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ;il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n’aura pas de fin. »Marie dit à l’ange : « Comment cela va-t-il se faire puisque je ne connais pas d’homme ? »L’ange lui répondit : « L’Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c’est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu.Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu’on l’appelait la femme stérile.Car rien n’est impossible à Dieu. »Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m’advienne selon ta parole. » Alors l’ange la quitta.
Nous voici parvenus à quelques jours de Noël. A l’approche de cette grande fête, nous découvrons un Dieu qui rejoint notre humanité. Noël, c’est d’abord cela, Dieu qui vient à nous. Les textes bibliques de ce dimanche nous rappellent qu’il ne dirige pas les choses selon nos prévisions. Il dépasse nos vues. Et surtout, il nous invite à lui faire confiance quand les événements nous déconcertent. Le Seigneur nous appelle tous à le suivre fidèlement, même s’il nous conduit sur des chemins que nous n’avions pas prévus.
L’Evangile de l’Annonciation est une réponse plus précise à la première lecture (2Samuel 7,1-5.8b-12.14a.16). Nous y découvrons que Dieu ne veut pas habiter une maison grandiose. Son grand désir c’est de venir habiter le cœur de l’homme. Il veut que nous devenions familiers de sa présence et que nous cheminions avec lui vers son Royaume d’éternité. Il nous invite à être en communion d’amour avec lui et avec tous nos frères. Tout cela a commencé très humblement, à Nazareth, un petit village dont personne n’avait jamais entendu parler. Marie a répondu oui à l’appel de Dieu. Elle a accepté librement d’être la « servante du Seigneur ». Elle a servi l’humanité en lui donnant Celui qui est venu dans le monde pour le salut de tous les hommes.
Le même Christ veut venir habiter en nous ; c’est là tout le message de Noël. Vivre Noël, ce n’est pas d’abord faire un réveillon. Noël, c’est Jésus qui vient. Il frappe discrètement à notre porte et il attend notreréponse. Le plus beau cadeau de Noël c’est Jésus qui vient demeurer en nous. Accueillir Dieu et le donner au monde, c’est quelque chose d’extraordinaire. Nous y trouvons une joie que personne ne peut nous enlever. Avec lui et avec la Vierge Marie, toutes nos visites deviennent des visitations.
Ce cadeau que nous avons reçu, nous ne pouvons pas le garder pour nous. C’est comme une lumière qui doit être mise sur le lampadaire pour qu’elle éclaire notre monde. Le Seigneur compte sur nous pour lui préparer une place dans le cœur des hommes. Il a besoin de nos mains pour continuer les siennes. Il a besoin de nos lèvres pour prononcer ses paroles. Il a besoin de nos yeux pour voir la souffrance humaine et la soulager. Quelle que soit la question qu’il nous pose, il nous invite à lui dire oui. Avec lui, c’est une grande aventure qui commence. Accepter le Christ et l’offrir au monde c’est vraiment LA chance de notre vie. Comme Paul, nous pourrons dire : « Ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi ».
En nous rassemblant à l’église, nous avons répondu à l’appel du Seigneur. Chaque dimanche, il rejoint les communautés réunies en son nom. En nous nourrissant de sa Parole et de son Corps, il vient habiter en nous. Il veut être avec nous et en nous pour nous conduire vers le Royaume qu’il est venu annoncer. En ce jour, nous pouvons lui adresser cette prière : « Dieu qui veux habiter les cœurs droits et sincères, donne-nous de vivre selon ta grâce, alors tu pourras venir en nous pour y faire ta demeure. Amen »
Il y eut un homme envoyé par Dieu. Son nom était Jean.
Il était venu comme témoin, pour rendre témoignage à la Lumière, afin que tous croient par lui.Cet homme n'était pas la Lumière, mais il était là pour lui rendre témoignage.
Voici quel fut le témoignage de Jean, quand les Juifs lui envoyèrent de Jérusalem des prêtres et des lévites pour lui demander : « Qui es-tu ? »Il le reconnut ouvertement, il déclara : « Je ne suis pas le Messie. »Ils lui demandèrent : « Qui es-tu donc ? Es-tu le prophète Élie ? » Il répondit : « Non. - Alors es-tu le grand Prophète ? » Il répondit : « Ce n'est pas moi. »Alors ils lui dirent : « Qui es-tu ? Il faut que nous donnions une réponse à ceux qui nous ont envoyés. Que dis-tu sur toi-même ? »Il répondit : « Je suis la voix qui crie à travers le désert : Aplanissez le chemin du Seigneur, comme a dit le prophète Isaïe. » Or, certains des envoyés étaient des pharisiens.Ils lui posèrent encore cette question : « Si tu n'es ni le Messie, ni Élie, ni le grand Prophète, pourquoi baptises-tu ? » Jean leur répondit : « Moi, je baptise dans l'eau. Mais au milieu de vous se tient celui que vous ne connaissez pas :c'est lui qui vient derrière moi, et je ne suis même pas digne de défaire la courroie de sa sandale. »Tout cela s'est passé à Béthanie-de-Transjordanie, à l'endroit où Jean baptisait.
Ce 3ème dimanche de l’Avent nous invite à la joie. Cette joie c’est le signe de notre foi. Le chrétien se doit d’être un homme joyeux. Le pape Paul VI écrivait que « personne n’est exclu de la joie du Seigneur ». Et dans son exhortation « la joie de l’Evangile », le pape François nous dit : « Il y a des chrétiens qui semblent avoir un air de Carême sans Pâques. » C’est dommage pour eux et pour leur entourage. Nous avons tous à redécouvrir que l’action de l’Esprit de Dieu en nous est source de joie.
L’Evangile de ce dimanche est une annonce de Celui qui apporte la vraie joie au monde. Non, il ne s’agit pas de Jean Baptiste ; ce dernier n’est que le témoin de la Lumière. Sa mission, c’est de la montrer et de lui rendre témoignage : « Au milieu de vous, se tient celui que vous ne connaissez pas ». De même que l’arbre de vie était au milieu du jardin d’Eden, de même Jésus est au milieu de nous. Il se propose à tous. Tous peuvent avoir accès à lui. C’est l’abaissement d’un Dieu qui s’est fait homme et qui a vécu trente ans comme un homme.
Jean Baptiste est venu annoncer la Lumière dans un monde de ténèbres. Il est venu annoncer la Parole dans un monde de silence. Il faut savoir que, depuis longtemps, il n’y avait plus de prophète pour parler de la part de Dieu. Mais l’Evangile de ce dimanche nous annonce le changement : En Jésus, c’est Dieu qui vient à nous. Il est le Verbe de Dieu, la Parole de Dieu. Avec lui, la bonne nouvelle sera annoncée aux pauvres, aux exclus, aux prisonniers. Plus tard, Jésus dira que le Fils de l’homme n’est pas venu pour les bien-portants mais pour les malades.
Voilà ce message de joie. Il nous rejoint dans un monde qui souffre de la violence, de l’injustice et de l’égoïsme : « quand la vie intérieure se ferme sur ses propres intérêts, il n’y a plus de place pour les autres, les pauvres n’entrent plus, on n’écoute plus la voix de Dieu… Même des croyants courent ce risque… Beaucoup y succombent et se transforment en personnes vexées, mécontentes, sans vie » (Pape François)
Dans quelques jours, nous allons fêter Noël. Tout est prévu pour que ce soit « un Noël de rêve » : cadeaux, réveillon, illumination de nos rues… Mais le risque est grand d’oublier Celui qui est à la source de cette fête. Et c’est là, dans le désert de nos vies, qu’il nous faut réentendre ce message de Jean Baptiste : « Au milieu de vous, se tient Celui que vous ne connaissez pas ». Notre mission, c’est de révéler cette présence du Christ dans notre monde. Les plus beaux cadeaux, les plus fastueux réveillons ne peuvent pas vraiment nous combler. C’est seulement auprès du Seigneur que nous trouverons la vraie joie.
Nous te demandons Seigneur de faire de nous un peuple de témoins joyeux de ta présence et de ton amour. Toi seul peux nous aider à évangéliser Noël car tu en es le principal acteur. Tu nous invites et nous attends tous à la crèche. Donne-nous de répondre joyeusement à ton appel.
Source Dimanche prochain
Prière à Marie l'Immaculée Conception
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Dieu notre Père,
parmi toutes tes créatures, tu as fait éclore Marie,
La créature parfaite, « l’Immaculée Conception ».
Ici, à Lourdes, elle a prononcé ce nom et Bernadette l’a répété.
L’Immaculée Conception, c’est un cri d’espérance :
Le mal, le péché et la mort ne sont plus les vainqueurs.
Marie, signe précurseur, aurore du salut !
Marie,
toi l’innocence et le refuge des pécheurs :
Nous te prions.
Ave Maria, gratia plena !
Seigneur Jésus,
Tu nous as donné Marie comme Mère.
Elle a partagé ta Passion et ta Résurrection.
Ici, à Lourdes, elle s’est montrée à Bernadette,
Attristée de nos péchés mais rayonnante de ta lumière.
Par elle, nous te confions nos joies et nos peines,
Les nôtres, celles des malades, celles de tous les hommes.
Marie,
notre sœur et notre mère,
notre confidente et notre soutien :
Nous te prions.
Ave Maria, gratia plena !
Esprit Saint, tu es Esprit d’amour et d’unité.
Ici, à Lourdes, par Bernadette, Marie a demandé
De bâtir une chapelle et de venir en procession.
Inspire l’Eglise que le Christ construit sur la foi de Pierre :
Rassemble-la dans l’unité.
Guide le pèlerinage de l’Eglise :
Qu’elle soit fidèle et audacieuse !
Marie, toi qui es comblée de l’Esprit Saint,
Tu es l’épouse et la servante.
Tu es le modèle des chrétiens et le visage maternel de l’Eglise :
Nous te prions.
Ave Maria, gratia plena !
Commencement de l’Évangile de Jésus, Christ, le Fils de Dieu.Il était écrit dans le livre du prophète Isaïe : Voici que j'envoie mon messager devant toi, pour préparer la route.A travers le désert, une voix crie : Préparez le chemin du Seigneur, aplanissez sa route.Et Jean le Baptiste parut dans le désert. Il proclamait un baptême de conversion pour le pardon des péchés.Toute la Judée, tout Jérusalem, venait à lui. Tous se faisaient baptiser par lui dans les eaux du Jourdain, en reconnaissant leurs péchés.Jean était vêtu de poil de chameau, avec une ceinture de cuir autour des reins, et il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage.Il proclamait : « Voici venir derrière moi celui qui est plus puissant que moi. Je ne suis pas digne de me courber à ses pieds pour défaire la courroie de ses sandales.Moi, je vous ai baptisés dans l'eau ; lui vous baptisera dans l'Esprit Saint. »
Les textes liturgiques de ce dimanche nous lancent un appel à l’espérance. C’est important car nous vivons dans un monde souvent désespérant. En de nombreux endroits, c’est l’escalade de la violence, haine et du malheur. Et c’est là que la Parole de Dieu intervient. En ce temps de l’Avent, elle vient nous annoncer le « Messager de la Paix ».
L’Evangile de saint Marc nous présente le « commencement de la bonne nouvelle de Jésus Christ Fils de Dieu ». C’est donc Dieu lui-même qui vient en la personne de Jésus. Cet Evangile s’ouvre par la prédication de Jean Baptiste : « A travers le désert, une voix crie… et Jean Baptiste parut dans le désert ». Alors, on peut se poser la question : pourquoi avoir choisi le désert pour annoncer cette bonne nouvelle ? Pourquoi n’avoir pas choisi un lieu de passage des foules ?
En fait, il y a plusieurs raisons : dans le monde de la Bible, le désert, c’est un lieu symbolique très fort. C’est le lieu de la rencontre avec Dieu. C’est dans cet espace dépouillé qu’il parle au cœur de l’homme pour l’inviter à se convertir : « Préparez les chemins du Seigneur, aplanissez sa route… » Nous voici donc mobilisés. Nous devons nous arracher à nos fauteuils confortables, retrousser nos manches et mettre la main à la pâte. Se convertir, c’est sortir de nos habitudes sclérosées et de nos lamentations stériles. Jean Baptiste nous recommande d’aplanir la route. Il s’agit d’enlever tous les obstacles pour que le Seigneur puisse passer et que nous puissions le rejoindre.
Le désert est aussi le symbole de l’aridité de nos cœurs. Nous le voyons bien tous les jours : nos cœurs ressemblent souvent à cette terre aride, altérée et sans eau. Pensons à tous ces déserts d’humanité où l’homme est devenu pire qu’un loup pour l’homme, déserts de dignité dans lesquels des hommes et des femmes sont traités comme du matériel qu’on utilise et qu’on jette. Et nous n’oublions pas les nombreux déserts de solitude, les déserts d’amour de ceux qui ne savent pas aimer et ne se sentent pas aimés. Dans tous ces déserts, nous voyons des hommes qui n’arrivent pas à se comprendre ni à se supporter.
Or c’est là que le Christ nous rejoint pour venir nous chercher. L’Evangile commence dans les déserts de nos vies. Dans le sable du désert, il n’y a pas de vie. Mais dès qu’il pleut, le sol se recouvre de végétation et de fleurs. De même, sans la présence du Seigneur, nos vies sont desséchées. Mais Dieu ne nous abandonne pas. Ce qu’il sème en nos cœurs ne meurt jamais. A la première occasion favorable, il se révèle pour transfigurer notre vie.
Et puis, il y a un dernier point qu’il ne faut pas oublier : le désert n’est pas ce lieu de rêve qu’on choisit pour goûter la tranquillité. Bien au contraire, c’est le lieu de tous les combats, c’est le lieu où l’on meurt de soif et de chaleur. En choisissant le désert, Jean Baptiste annonce qu’il y aura un combat, une lutte. Jésus commence son ministère en affrontant le démon au désert. Tout au long de son ministère, il sera combattu par ses adversaires. Ces derniers finiront par l’arrêter, le condamner et le mettre à mort sur une croix. Notre vie chrétienne est une lutte contre les forces du mal. Aujourd’hui comme autrefois, de nombreux chrétiens sont persécutés et mis à mort. Mais avec le Christ ressuscité, c’est l’amour qui triomphera.
C’est de cette espérance que nous avons à témoigner dans le monde d’aujourd’hui. Cela commence en donnant la première place au Christ dans notre vie. Il n’est pas possible de l’annoncer aux autres si nous ne l’accueillons pas en nous. Noël c’est Jésus qui vient à nous. Vivre Noël, c’est d’abord accueillir cette venue du Sauveur dans notre vie. Il est la source qui vient irriguer nos déserts ; il fait revivre ce que l’on croyait mort.
Aujourd’hui, nous te prions, Seigneur, toi qui es le Sauveur et l’Ami des hommes, donne-nous d’être les témoins de ton amour auprès de tous ceux et celles que tu mets sur notre route. Amen !
PRIÈRE AU MIRACULEUX ENFANT JÉSUS DE PRAGUE
O Miraculeux Enfant Jésus!
Nous te prions de jeter un regard miséricordieux
sur nos coeurs angoissés.
Que ton tendre Coeur si porté à la pitié accorde la grâce
que nous implorons ardemment
(Ici on fait sa demande...)
Délivre-nous de l'affliction
et du désespoir, des épreuves et des infortunes qui nous accablent.
Pour l'amour de ta sainte Enfance
exauce nos prières,
soit notre consolation
et viens-nous en aide
afin que nous puissions
te louer à jamais
avec le Père et l'Esprit Saint.
Ainsi soit-il.
(Cinquante jours d'indulgence chaque
fois que l'on récite cette prière.)
Prière à l'Enfant Jésus
***********
O Saint Enfant-Jésus
qui répands tes grâces sur ceux qui t’invoquent,
regarde-nous prosternés devant ta sainte image
et écoute notre prière.
Nous te recommandons tous les nécessiteux
qui se confient à ton Divin Coeur.
Etends sur eux ta main toute-puissante
et viens au secours de leur indigence.
Etends la main sur les malades
pour les guérir et sanctifier leurs peines ;
sur les affligés pour les consoler ;
sur les pécheurs pour les attirer
à la lumière de ta grâce ;
sur ceux qui, accablés par la douleur et la misère,
invoquent avec confiance ton aide pleine d’amour.
Etends la main encore sur nous pour nous bénir.
Accorde ô Petit Roi,
les trésors de ta miséricorde au monde entier
et garde-nous maintenant et toujours
dans la grâce de ton amour !
Amen.
*******************
Bientôt la fête de Noël mais avant cela préparons nous afin de bien recevoir notre sauveur. Se préparer c'est faire de la place dans nos coeurs car Dieu habite dans nos coeurs et à noël Il desire venir demeurer en nous et avec nous.
Pour cela nous devons libérer nos coeurs de tous ce qui l'encombrent et qui ne viennent pas du Seigneur:convoitise, jalousie, haine, désire de vengance...
Mettons à profit ce temps de l'avent pour recentrer notre vie sur l'essentiel: le Christ et l'amour envers nos frères et soeurs. Pensons aux plus pauvres, aux malades, aux personnes agées. Faissons un geste en leur faveur afin que la fête de noël soit belle pour tous. C'est par nous que le Christ leur montre son amour alors n'hésitons pas. Rendons notre foi agissante à travers des oeuvres de charité et d'amour fraternel.
Maman Marie aide-moi dans cette attente de la venue de mon sauveur. Aides-moi à me débarrasser de tous ce qui enlourdissent mon pélérinage térrestre vers ma patrie céleste. Fais-moi comprendre de quel amour j'ai été aimé et que je suis encore aimé.
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Jésus parlait à ses disciples de sa venue : « Prenez garde, veillez : car vous ne savez pas quand viendra le moment. Il en est comme d'un homme parti en voyage : en quittant sa maison, il a donné tout pouvoir à ses serviteurs, fixé à chacun son travail, et recommandé au portier de veiller.Veillez donc, car vous ne savez pas quand le maître de la maison reviendra, le soir ou à minuit, au chant du coq ou le matin.Il peut arriver à l'improviste et vous trouver endormis.Ce que je vous dis là, je le dis à tous : Veillez ! »
Ce premier dimanche de l’Avent marque le début d’une nouvelle année liturgique. Nous devons d’abord nous rappeler que ce mot Avent est un dérivé de venue,avènement. Nous célébrons les trois venues du Seigneur : nous pensons d’abord à celle qui est située dans le temps, sa naissance que nous fêtons le jour de Noël. Sa deuxième venue c’est chaque jour dans notre vie si nous l’accueillons. Quant à sa troisième venue, c’est celle de son grand retour dans la gloire. Ce qui nous est recommandé, c’est de veiller et de nous préparer activement à ce retour.
« Veillez… » c’est le maître-mot de l’Evangile de ce dimanche. « Prenez garde », nous dit encore Jésus. Cela ne signifie pas « Méfiez-vous ». Nous ne devons pas nous méfier de la venue du Seigneur qui sera la plus grande des joies. Le plus important c’est de contempler sa venue d’une manière nouvelle. Nous devons donc demander la guérison du regard pour pouvoir veiller comme le Seigneur nous demande de le faire. C’est l’amour que le Seigneur veut faire grandir en nous, un amour vigilant et attentif. Nous sommes comme le serviteur qui attend son maître en pleine nuit. Il est important que nous donnions le meilleur de nous-mêmes. Son projet doit être le nôtre. Les hommes de notre monde ne s’intéresseront vraiment au Christ que s’il passionne ses disciples.
Il y a une chose que beaucoup ne savent pas : Dans la Bible, on emploie le même mot pour parler du veilleur et de l’amandier. Quand on croit que tout est fichu, l’amandier fleurit avant tous les autres arbres. Il annonce le printemps. Le veilleur comme l’amandier annonce le printemps de Dieu. Il faut croire que la Lumière l’emportera sur les ténèbres. C’est pour cela qu’il nous faut avoir un autre regard. Avec le regard de tous les jours, on ne voit que ce qui va mal, les catastrophes, les violences, les meurtres. Avec le regard de Dieu, nous pourrons repérer les signes du printemps spirituel dans ce monde qui est le nôtre. C’est ce regard de la foi qui nous permettra de le reconnaître et de l’accueillir. Son amour nous est sans cesse offert. Le cardinal Eyt nous disait que nous ne sommes pas 2000 ans après Jésus Christ mais 2000 ans avec lui.
« Vous ne savez pas quand viendra le moment » nous dit encore Jésus. Nous n’avons pas à le savoir ; ça ne nous regarde pas. Le Christ veut nous éviter l’inquiétude.Il nous recommande de rester fermes dans la foi. Même au plus fort de la nuit, nous avons la ferme certitude que l’amour triomphera. L’Evangile nous parle du chant du coq ; bien avant l’aurore, il annonce la venue de la lumière. Ce temps de l’Avent nous est donné pour réveiller notre attente, notre soif de Dieu.
Veillez, nous dit Jésus. Ne sombrez pas dans le sommeil spirituel qui fait qu’on ne voit que ce qui va mal.Durant ce temps de l’Avent, nous sommes invités à retrouver le chemin de la prière et des sacrements.C’est dans ce contact régulier avec le Seigneur que nous trouverons le chemin de la véritable conversion. Bernanos disait : « C’est formidable comme mes idées changent quand je prie. » C’est dans le silence, loin des tapages publicitaires que nous pourrons accueillir le Seigneur qui vient.
En ce début de l’année liturgique, nous nous tournons vers toi Seigneur : aide-nous à devenir les veilleurs de notre humanité. C’est au cœur de notre vie de tous les jours que nous voulons t’accueillir. Garde-nous éveillés pour ne pas manquer ce rendez-vous.
Source: Dimanche prochain
Grande neuvaine à l'Immaculée Conception
(du 30 novembre au 8 décembre 2014)
1) Chaque jour une dizaine de chapelet, suivie de trois fois l’invocation: «Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à Vous.»
2) Une communion le jour du 8 décembre ou un jour de l’octave.
3) Confession recommandée.
Prière de la neuvaine
«Très Sainte Vierge Marie,
nous croyons qu’à la fin de votre vie terrestre,
vous avez été élevée corps et âme au Ciel,
parce que vous êtes la Mère de Dieu, Immaculée.
La Très Sainte Trinité vous a couronnée Reine de l’univers,
et avec tous les Anges et les Saints du Ciel, vous intercédez pour nous, pèlerins de la terre,
et pour les âmes des défunts qui ont encore besoin de purification.
Aidez-nous à orienter notre vie vers Dieu qui a un Dessein d’amour sur chacun de nous,
à prier, à recourir aux sacrements de l’Église et à faire le bien,pour notre bonheur véritable dès ici-bas.
Donnez-nous une Foi et une Espérance inébranlables en l’Amour infini de Dieu,
au milieu des luttes et des épreuves inévitables et nécessaires de cette vie,
car les souffrances du temps présent ne sont rien
en comparaison du bonheur qui nous attend.»
Amen !