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Date de création : 28.05.2009
Dernière mise à jour :
15.08.2012
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D'un amour tendre et pur
Afin qu'il vous souvienne,
Voici mon cœur, mon cœur tremblant,
Mon pauvre cœur d'enfant.
Et voici, pâle fleur
Que vous fîtes éclore,
Mon âme qui se meurt de vous
Et de vos yeux si doux.
Mon âme est la chapelle,
Où la nuit et le jour
Devant votre grâce immortelle,
Prie à deux genoux mon fidèle amour.
Dans l'ombre et le mystère
Chante amoureusement
Un douce prière,
Païenne si légère,
C'est votre nom charmant.
D'un amour tendre et pur
Afin qu'il vous souvienne,
Voici mon cœur, mon cœur tremblant,
Mon pauvre cœur d'enfant.
Et voici, pâle fleur
Que vous fîtes éclore,
Mon âme qui se meurt de vous
Et de vos yeux si doux.
Des roses sont écloses
Au jardin de mon cœur,
Ces roses d'amour sont moins roses
Que vos adorables lèvres en fleur.
De vos mains si cruelles
Et dont je suis jaloux,
Effeuillez les plus belles,
Vous pouvez les cueillir,Le jardin est à vous.
D'un amour tendre et pur
Afin qu'il vous souvienne,
Voici mon cœur, mon cœur tremblant,
Mon pauvre cœur d'enfant.
Et voici, pâle fleur
Que vous fîtes éclore,
Mon âme qui se meurt de vous
Et de vos yeux si doux.
Poéme trouvé sur le net
La solitude
C'est d'avoir peur de regarder devant soi
C'est de passer des nuits d'horreur paralysée par l'incertitude
C'est vouloir crier si fort quand personne ne vous entend
C'est se craindre et trembler depuis déjà trop longtemps
C'est s'oublier avec le temps et regretter d'avoir aimé autant
C'est d'avoir peur qu'on ne nous voie plus comme avant
La solitude
C'est souhaiter mourir à la pensée qu'il doit partir
C'est essayer de se retrouver pour ne plus souffrir
C'est vouloir si fort être avec lui
C'est rêver à l'infini suppliant un dernier sursis
C'est refuser d'être consolée...
Fermer les yeux et se voir immolée
C'est ne pas comprendre autre chose que l'attente
La solitude
C'est sentir qu'on mord dans votre chair
C'est ne pas faire la différence entre le rêve et l'éphémère
C'est ne savoir ni aimer, ni haïr, mais vouloir en finir
C'est souffrir en silence
C'est détester l'indifférence
C'est vouloir se jeter à la mer pour le déraciner de sa chair
Et ne plus jamais penser qu'un jour il vous a aimée
La solitude
C'est vouloir mourir sans avoir au moins fait le tour de sa prison
C'est vouloir se pardonner toutes ses passions
C'est refuser de se souvenir de tout ce qui vous a fait trembler...
Oublier ses émotions et sur sa souffrance ne plus mettre un nom
Autre que le sien en se disant, peut-être encore qu'il m'appartient
La solitude
C'est moi en survie
C'est lui à l'infini
C'est ne plus chercher à comprendre
C'est se sentir blessée, fermer les yeux sur l'indifférence
Pardonner pour ne pas regretter et lui garder sa confiance
C'est réclamer son âme jusqu'au matin
Puisqu'il la tient dans ses mains
C'est vouloir lui crier je t'aime et ne plus se sentir soi-même
C'est avoir envie de lui, fermer les yeux tristement
En sachant qu'il est parti
La solitude
C'est moi... c'est lui...
A sombrer dans l'oubli
Claire De La Chevrotière
Douce Nuit
A la tombée du jour, lorsque la nuit prend son tour
Le monde s'endort jusqu'au lever du jour.
Les étoiles illuminent alors le ciel, une à une
Le soleil s'est couché, laissant la place à la lune.
Dans la sérénité, les oiseaux ont cessé de chanter
Les lapins dans leurs terriers se sont cachés
On entend parfois sous les toits le vent souffler.
La vie retient son souffle, pas de doute, la nuit es tombée.
Cet instant magique, où le rêve est permis
Deux êtres enlacés, qui se sont endormis
Une mère qui berce son enfant jusqu'à minuit.
La chouette qui, au contraire, sort de son nid.
Mystérieuse nuit, tu mènes le monde à l'envers
Un être s'endort, un autre s'éveille
Si le jour nous éclaire, toi tu éteins la terre.
Nous offrant pourtant d'autres merveilles
Dans le silence de ton ciel étoilé
Douce nuit, tu nous permets de rêver
Oubliant ainsi, le temps d'une nuit
Tous nos soucis
Toi, ma belle fleur
Tu es la plus belle fleur de mon jardin,
Il me semble te voir sortir d'une nuée,
Car mes yeux sont encore couverts de buée,
Toi, tu es fraîche comme la rosée du matin.
Tu es la fleur de mon coeur,
Si belle que je te caresse,
D'une main pleine de tendresse,
Qui me donne tant de bonheur.
Vraiment, tu es la fleur qu'on envie,
Douce et délicate comme un pétale de rose,
Ma tête au creux de ton épaule repose,
Ton doux parfum m'enivre et me redonne vie.
Tu le sais, tu es ma fleur unique,
Tu es resplendissante dans ta robe,
Et te garde avec moi jusqu'à l'aube,
Même dans mes rêves tu ne me quittes
Le livre de la vie
Le livre de la vie est le livre suprême
Qu'on ne peut ni fermer, ni rouvrir à son choix;
Le passage attachant ne s'y lit pas deux fois,
Mais le feuillet fatal se tourne de lui-même;
On voudrait revenir à la page où l'on aime,
Et la page où l'on meurt est déjà sous vos doigts...
Alphonse de Lamartine
LA PAIX EN FETE
Paix! Quel mot magique!
Tout humain libre souhaite
Repousser les guerres tragiques
Et vivre, la Paix en fête!
Lorsqu'on parle de nature,
On dit majestueuses montagnes,
Immense et paisible azur,
Savoureux et délicieux champagne!
La Paix!
Lorsqu'on aime une personne,
On est séduit par son caractère:
Calme, pure et bonne,
Transparente comme le verre!
La Paix!
Les conflits politiques,
Ou les conflits sociaux
Sèment partout la panique,
Et le juste devient faux!
Et quand les bombardements
Déchirent la sérénité d'une région,
Ou les membres d'un Parlement
Se disputent à cris de lions,
Et la Paix individuelle,
Et celle de la patrie,
Sont condamnées de plus belle,
Et à jamais meurtries!
La Paix nourrit la croyance en Dieu.
La Paix améliore les conditions de vie.
Levons tous nos prières aux cieux!
Pour un beau monde dans la Paix uni!
Je cherche à prendre contact avec une personne au nom de son fils ! Cette jeune personne s'appelle Patricia DEBOST. Elle est née le 17 /12/ 1977 à NANTUA dans le département de l'AIN (01). Elle a vécu à BOURG EN BRESSE, puis dans l'ALLIER (03) et à CARPENTRAS. Elle a un jeune ado de 12 ans et demiqui en ma compagnie souhaite vivement la rencontrée, car il ne l'a pas revu depuis 6 ou 8 ans et souffre beaucoup ! Je lui ai fais la promesse de l'aider !Qui m'aidera à lui faire le plus beau cadeau de sa vie ? Pour plus de renseignements, je ne suis pas le père de cet ado, je l'aide au maximum de mes possibilités, cette démarche est strinctement confidentielle et personne de son entourage n'est au courant de cette recherche !!! Et cela doit rester confidentiel dans l'intérêt de cet Ado !
P. S : Confidentialité absolue garantie et obligatoire !
Grand Merci pour Hervé !!!
Source :http://marco-herve.centerblog.net
Note importante :
Message à diffusé largement.
Vous pouvez faire suivre cet article dans vos blogs en faisant un copié collé. Merci de ne pas le modifié et de renseigné la source.* Merci * à tous ceux qui les soutiennent.
Merci d'avance à toutes les personnes qui feront tourné ce blog et cet article sans modifier quoi que ce soit sur leur blog.
Retrouvez Marco et Hervé sur skyrock :
http://recherchemaman.skyrock.com
La petite fille aux allumettes
Il faisait effroyablement froid; il neigeait depuis le matin; il faisait déjà sombre; le soir approchait, le soir du dernier jour de l'année. Au milieu des rafales, par ce froid glacial, une pauvre petite fille marchait dans la rue: elle n'avait rien sur la tête, elle était pieds nus. Lorsqu'elle était sortie de chez elle le matin, elle avait de vieilles pantoufles beaucoup trop grandes pour elle. Aussi les perdit-elle lorsqu'elle eut à se sauver devant une file de voitures; les voitures passées, elle chercha après ses chaussures; un méchant gamin s'enfuyait emportant en riant l'une des pantoufles; l'autre avait été entièrement écrasée.
Voilà la malheureuse enfant n'ayant plus rien pour abriter ses pauvres petits petons. Dans son vieux tablier, elle portait des allumettes: elle en tenait à la main un paquet. Mais, ce jour, la veille du nouvel an, tout le monde était affairé; par cet affreux temps, personne ne s'arrêtait pour considérer l'air suppliant de la petite qui faisait pitié. La journée finissait, et elle n'avait pas encore vendu un seul paquet d'allumettes. Tremblante de froid et de faim, elle se traînait de rue en rue.
Des flocons de neige couvraient sa longue chevelure blonde. De toutes les fenêtres brillaient des lumières: de presque toutes les maisons sortait une délicieuse odeur, celle de l'oie, qu'on rôtissait pour le festin du soir: c'était la Saint-Sylvestre. Cela, oui, cela lui faisait arrêter ses pas errants.
Enfin, après avoir une dernière fois offert en vain son paquet d'allumettes, l'enfant aperçoit une encoignure entre deux maisons, dont l'une dépassait un peu l'autre. Harassée, elle s'y assied et s'y blottit, tirant à elle ses petits pieds: mais elle grelotte et frissonne encore plus qu'avant et cependant elle n'ose rentrer chez elle. Elle n'y rapporterait pas la plus petite monnaie, et son père la battrait.
L'enfant avait ses petites menottes toutes transies. «Si je prenais une allumette, se dit-elle, une seule pour réchauffer mes doigts? » C'est ce qu'elle fit. Quelle flamme merveilleuse c'était! Il sembla tout à coup à la petite fille qu'elle se trouvait devant un grand poêle en fonte, décoré d'ornements en cuivre. La petite allait étendre ses pieds pour les réchauffer, lorsque la petite flamme s'éteignit brusquement: le poêle disparut, et l'enfant restait là, tenant en main un petit morceau de bois à moitié brûlé.
Elle frotta une seconde allumette: la lueur se projetait sur la muraille qui devint transparente. Derrière, la table était mise: elle était couverte d'une belle nappe blanche, sur laquelle brillait une superbe vaisselle de porcelaine. Au milieu, s'étalait une magnifique oie rôtie, entourée de compote de pommes: et voilà que la bête se met en mouvement et, avec un couteau et une fourchette fixés dans sa poitrine, vient se présenter devant la pauvre petite. Et puis plus rien: la flamme s'éteint.
L'enfant prend une troisième allumette, et elle se voit transportée près d'un arbre de Noël, splendide. Sur ses branches vertes, brillaient mille bougies de couleurs: de tous côtés, pendait une foule de merveilles. La petite étendit la main pour saisir la moins belle: l'allumette s'éteint. L'arbre semble monter vers le ciel et ses bougies deviennent des étoiles: il y en a une qui se détache et qui redescend vers la terre, laissant une traînée de feu.
«Voilà quelqu'un qui va mourir » se dit la petite. Sa vieille grand-mère, le seul être qui l'avait aimée et chérie, et qui était morte il n'y avait pas longtemps, lui avait dit que lorsqu'on voit une étoile qui file, d'un autre côté une âme monte vers le paradis. Elle frotta encore une allumette: une grande clarté se répandit et, devant l'enfant se tenait la vieille grand-mère.
Grand-mère, s'écria la petite, grand-mère, emmène-moi. Oh! tu vas me quitter quand l'allumette sera éteinte: tu t'évanouiras comme le poêle si chaud, le superbe rôti d'oie, le splendide arbre de Noël. Reste, je te prie, ou emporte-moi.
Et l'enfant alluma une nouvelle allumette, et puis une autre, et enfin tout le paquet, pour voir la bonne grand-mère le plus longtemps possible. La grand-mère prit la petite dans ses bras et elle la porta bien haut, en un lieu où il n'y avait plus ni de froid, ni de faim, ni de chagrin: c'était devant le trône de Dieu.
Le lendemain matin, cependant, les passants trouvèrent dans l'encoignure le corps de la petite, ses joues étaient rouges, elle semblait sourire ; elle était morte de froid, pendant la nuit qui avait apporté à tant d'autres des joies et des plaisirs. Elle tenait dans sa petite main, toute raidie, les restes brûlés d'un paquet d'allumettes.
Quelle sottise ! dit un sans-cœur. Comment a-t-elle pu croire que cela la réchaufferait ? D'autres versèrent des larmes sur l'enfant; c'est qu'ils ne savaient pas toutes les belles choses qu'elle avait vues pendant la nuit du nouvel an, c'est qu'ils ignoraient que, si elle avait bien souffert, elle goûtait maintenant dans les bras de sa grand-mère la plus douce félicité.
Hans Andersen