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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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La colonne de Juillet Place de la Bastille, fut érigée entre 1833 et 1840. A son sommet, trône le “Génie de La Liberté” conçu par le sculpteur Auguste Dumont. Curieux hommage rendu par Louis Philippe aux insurgés qui renversèrent Charles X et la Monarchie absolue trois ans plus tôt. Lucifer a repris du poil de la bête. Aucun détail ne manque… Torche à la main, l’Ange vient de briser ses chaînes et s’élance vers de nouvelles conquêtes. Sous son imposant piédestal se trouve une crypte abritant quelques 500 restes des combattants de 1830, ainsi qu’une momie égyptienne rapportée par Napoléon.
« Tous les édifices religieux qui existent de par le monde doivent être respectés. Grâce à la ferveur des multitudes de fidèles qui depuis des siècles sont venus y prier, les églises, les temples sont imprégnés d’une atmosphère sacrée. Mais évidemmemnt les constructions humaines ne résistent pas au temps. C’est pourquoi même les croyants doivent admettre que le seul véritable temple est celui que Dieu a créé : l’univers. Il est indestructible, et toutes les entités dont le Créateur l’a peuplé sont autant de manifestations de sa présence. Même si nous ne les voyons pas, ces entités sont là pour nous aider à travers la terre, l’eau, l’air, le feu, la lumière du soleil. C’est grâce aux sacrifices de ces entités, grâce à leur amour, à leur désir de faire des échanges avec nous que nous sommes vivants – vivants physiquement, vivants psychiquement et vivants spirituellement. Nous devons donc apprendre comment entrer en contact avec elles, les respecter et leur être reconnaissants. Seuls ceux qui ont une conscience éveillée ont réellement accès au sanctuaire. » |
Omraam Mikhaël Aïvanhov |
Australie : l'incroyable vol d'une statue de mangue géante !
Capitale de la mangue de l’Etat australien du Queensland, la ville de Bowen avait pour fierté l’immense fruit trônant fièrement à l’entrée de la ville. Une gigantesque statue de dix mètres de haut pour quelques sept tonnes du nom de "Big Mango", "grosse mangue" en anglais. Un véritable monument dont les dimensions semblent peu propices à tout déplacement. En pourtant. La stupeur des habitants de la ville, lundi dernier, a dû être palpable à la découverte de son socle vide. Des voleurs ont en effet profité de la nuit paisible de ce coin reculé pour commettre le larcin du siècle, en dérobant la célèbre mangue.
Le vol, qui a étonné tant pour sa prouesse logistique que pour ses motivations obscures, a fait l’objet d’une forte mobilisation de la part des habitants. Notamment sur les réseaux sociaux, où différentes images fortes d’une certaine autodérision furent partagées. D'autant plus que les caméras de surveillances surveillant le fruit étaient parvenues à filmer la scène.
Un coup de publicité :
Finalement, il n’a fallu que quelques heures pour retrouver le coupable, qui s’est lui-même dénoncé. Il s’agit en réalité de Nando’s, une chaîne de restauration spécialisée dans le poulet. "La disparition de la ‘Big Mango’ a fait pas mal de bruit et nous confessons que Nando’s était derrière le déménagement de cette attraction touristique de sept tonnes", a ainsi avoué l’enseigne sur son site Internet, remerciant "les gens de Bowen de se montrer fair-play à leur égard après cet emprunt de leur jolie mangue". Ayant publié la vidéo expliquant le processus du larcin, la firme a déclaré qu’elle expliquera les raisons de ce geste après avoir avoir remis la statue en place. Pas tout de suite, visiblement. En effet, celle-ci a déclaré avoir "de grands projets" pour le monument. Une chose demeure néanmoins certaine : ses ingénieurs ont réalisé une véritable prouesse.
Muriel Robin est actuellement en tournage dans la région pour le prochain film de Josée Dayan intitulé "Entre-Deux mondes".
Ce mardi après-midi, Muriel Robin s'est baladée dans les rues de Quimper. Elle en a profité pour visiter la cathédrale et jouer aux jeux des photos avec quelques badauds.
(Pour Ouest-France Quimper, souriante et accessible, elle a accepté de poser).
L'équipe de tournage de la réalisatrice Josée Dayan s'est installée à Belle-Ile pour deux semaines de travail.
Le tournage de ce polar en deux épisodes sera destiné à passer sur France 3. L'équipe technique est composée d'une cinquantaine de professionnels. Muriel Robin, Nicole Garcia et Jacques Spiesser sont notamment à l'affiche de ce téléfilm. « Nous n'avons pas de chance avec la tempête mais nous gérons », expliquent les responsables du tournage. Les figurants ont été choisis parmi la population belliloise sur casting.
Certaines données scientifiques nous questionnent sur notre identité. Car face à certains chiffres, nous sommes en droit de nous demander : mais qui sommes-nous vraiment ? Vertige au pays du « Moi ».
Pour commencer, la science nous dit que nous sommes faits en moyenne à 70% d’eau. Mais si l’on compte le nombre de molécules d’eau dans une cellule, du fait que ces molécules sont plus petites, il y en a beaucoup. A vrai dire, énormément. « L’eau représente 70% de la masse d’une cellule. Mais si l’on compte les objets, c’est-à-dire le nombre de molécules présentes dans une cellule, celle-ci est alors faite à 99% d’eau. Il faut compter jusqu’à 100 pour trouver un objet qui ne soit pas de l’eau dans une cellule », nous dit le Pr Marc Henry, chercheur en chimie et spécialiste de l’eau. 99% des molécules qui composent nos cellules sont des molécules d’eau, ça commence fort.
De plus il y a, non pas 2 fois, mais 10 fois, plus de bactéries dans notre corps que de nos propres cellules humaines. 10 puissance 15 bactéries contre 10 puissance 14 cellules. C’est simplement vertigineux. Un zéro de plus sur un chiffre déjà faramineux, ça fait une différence énorme. « C’est-à-dire que (plus de) la moitié de moi-même, ce n’est déjà pas moi-même en quelque sorte », explique Jeremy Narby, un anthropologue qui s’est penché sur la question. Que font-elles là, toutes ces bactéries ? Sont-elles en train de nous parasiter ? Pas du tout. « Nous avons besoin de ces bactéries pour préserver le bon fonctionnement de notre écologie interne. Par exemple, nous ne pouvons pas synthétiser toutes nos vitamines sans elles, ou encore, la présence de certaines bactéries ou certains champignons nous aide à éloigner d’autres bactéries ou champignons », explique Dorion Sagan, fils et collaborateur de Lynn Margulis, une biologiste spécialiste des bactéries.
Il y a aussi que les cellules humaines de notre corps, celles qui ne sont pas des bactéries, sont quand même issues de bactéries. Décidément. « Nos propres cellules, celles qui composent nos tissus, sont le résultat d’une symbiose de plusieurs bactéries qui ont accepté de fusionner pour former une cellule plus complexe », poursuit Dorion Sagan. Comme nous l’explique l’article « La coopération du vivant » (Inexploré n°21), il y a de cela des milliards d’années des bactéries ont accepté de s’emboîter pour être plus efficaces ensemble, ce qui a donné naissance à l’ancêtre de la cellule humaine. Et nous pourrions continuer à sortir d’autres données étonnantes du chapeau de la science, sur la composition de notre corps humain… La question qui émerge alors, est : qui sommes-nous dans tout ça ?
Le tout est plus que la somme de ses parties :Ce que ces données nous amènent surtout à comprendre, c’est que nous ne sommes pas une « chose » ou un objet spécifique, à part du reste du monde. Nous sommes composés des mêmes éléments chimiques et des mêmes bactéries qui composent la nature. Cela fait que nous ne pouvons pratiquement pas, par exemple, trouver de molécules qui soient exclusivement humaines. Nous aurions bien quelques gènes à nous, mais très peu au final. Nous partageons la très grande majorité de notre génome avec nos cousins les primates. Alors qu’est-ce qui explique nos caractéristiques ? Qu’est-ce qui fait de nous des êtres humains ? Car, si sous les microscopes la différence n’est pas frappante, il est indiscutable qu’à grande échelle nous avons nos spécificités.
La réponse ne se trouverait pas dans les composants de notre corps, mais dans la manière dont ils s’organisent. De nombreux philosophes et scientifiques expliquent que c’est dans l’agencement spécifique des parties qui nous composent, et dans la manière qu’elles ont de produire un flux d’information, que la caractéristique de toute chose apparaît. Nous serions alors composés d’échantillons du monde, agencés de manière humaine. « En biologie, les nouvelles découvertes nous montrent que la cohérence d’ensemble émerge de l’interaction entre les parties, mais n’existe pas dans les parties elles-mêmes », nous explique le philosophe des sciences Erwin Laszlo dans ses cours à la Giordano Bruno Globalshift University. Une qualité autre que celle contenue dans les éléments émerge, se manifeste. Certains l’appellent information, d’autres conscience, car il semble quand même bien y avoir une intelligence à l’œuvre. Au cours de son évolution, la vie aurait donc tendance à se complexifier. Elle produirait constamment de nouvelles formules, avec les mêmes éléments de base, permettant l’apparition de capacités et états de conscience novateurs. « Comme l’explique le biologiste Ludwig Van Bertalanffy, l’évolution crée à chaque étape une nouvelle stabilité dynamique d’une complexité supérieure. Une nouvelle conscience émerge, qui unifie les informations échangées entre les composants », poursuit Erwin Laszlo. Nous sommes une sorte de table périodique des éléments organisée en une splendide mosaïque en 3 – et peut-être plus – dimensions qui donne la vie à la conscience humaine.
Un micro-écosystème en dialogue constant avec le monde :Composé des mêmes éléments que le monde, notre corps s’inscrit dans une continuité de matière et d’information avec la biosphère – le monde vivant sur cette planète. Ce sont le même air, la même eau, les mêmes nutriments, les mêmes particules de lumière, qui sont à l’intérieur et à l’extérieur de nous et des autres êtres vivants. Ca circule constamment, majoritairement à notre insu. Nous sommes alors faits d’une danse de poussière d’étoiles car les atomes qui font notre corps sont vieux comme le monde et ils continuent de circuler. « La vie est un continuum qui n’a jamais été rompu depuis qu’elle est apparue et l’homme est totalement imbriqué dans ce système », souligne Dorion Sagan. Les bactéries avec lesquelles nous vivons en symbiose sont des témoins privilégiés de cet enchevêtrement. Elles participent à des transferts de gènes dont nous ne soupçonnons même pas la rapidité et l’ampleur. « En tant qu’individus, nous sommes déjà remplis de toutes sortes d’intelligences qu’on commence à découvrir. Sans parler du fait que n’importe quel être, n’importe quel brin d’herbe à côté de moi, est également une sorte de cathédrale cellulaire, un organisme sensible qui perçoit. Tout l’édifice de la vie sur terre grouille d’une intelligence énorme et biologique, et on en fait partie », raconte Jeremy Narby.
Un véritable tapis de vie, s’étendant d’à peu près 10 km en deçà de la croûte terrestre à 15 km au dessus, tissé des relations de tous les éléments qui le composent, serait alors traversé par des flots constants d’informations de différentes natures. Et nous sommes des perles entrelacées dans cette étoffe. « Nous sommes un système vivant ouvert, qui échange continuellement de la matière, de l’énergie et de l’information avec l’environnement. Le monde n’est pas en dehors de nous et nous ne sommes pas en dehors du monde », explique Erwin Laszlo. Ce que cela dit est que nous serions traversés de courants d’informations autres que purement humaines. « Notre sentiment d’unité n’est qu’une fraction de la multitude d’états théoriquement disponibles pour nous, et auxquels nous accédons en états modifiés de conscience. Donc il semblerait que ce dont nous faisons l’expérience, lorsque nous pensons être dans notre conscience individuelle, serait plus comme un raccourci. Cela ne veut pas dire que nous ne sommes pas, d’une certaine manière, des individus. Mais je ne pense pas que nous soyons des individus comme nous pensons que nous le sommes », conclut Dorion Sagan. Notre conscience humaine, précieuse, nécessaire à notre cohérence, ne serait qu’un bout d’une vaste conscience à laquelle nous aurions aussi potentiellement accès via notre matière et nos sens. Avons-nous oublié d’écouter aussi le monde en nous ?