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Merci ma douce Cathi ... pour ce joli poème !

Publié à 17:15 par yvonne92110 Tags : muguet porte bonheur merci CATHI pour ce joli poème
Merci ma douce Cathi    ...  pour ce joli poème !

 

     
Dans Poème de Edmond Rostand ... Hymne au soleil ! par Cath le 01.05.2014

                                                                                                                                                                                                                                                      Adoration au soleil en ce jour morose !
Voici du bonheur et mille choses
Avec ces quelques mots pour renvoyer les maux !
C'est un joli nom
Lily of the valley ...

Pour un brin de muguet,

Fleur préférée du premier mai !

Depuis qu'un certain jour,

Un roi décida à sa cour

De l'offrir en gage

De bonheur et de partage...

Ces clochettes parfumées

Embaument cette journée,

Qui célèbre véritablement

L'arrivée du printemps !

Qu'il devienne par magie

Dans tous les coeurs,

Fleurs et bonheurs

Pour vous tous...

Frères ou amis...!!
   (CATHI)                                                                                                                                                                                                                                                                                 (Cathi)                                                                       

Le marchand de bonheur ... Compagnons de la chanson !

Publié à 21:08 par yvonne92110 Tags : muguet porte bonheur le marchand de bonheur

Merci mon amie Shyliane ... pour ce joli partage !

Publié à 22:01 par yvonne92110 Tags : muguet porte bonheur shylianepassion5 centerblog net

Cliquez sur la mandoline pour entendre la musique  ...

Merci mes amis Soutien-Breton ... pour ces jolis cadeaux !

Publié à 23:59 par yvonne92110 Tags : muguet porte bonheur soutienbreton centerblog net

La pensée du jour ... vendredi 2 mai 2014 !

Publié à 09:37 par yvonne92110 Tags : la pensée du jour à méditer
La pensée du jour    ...   vendredi  2 mai 2014  !
 
« Ce n’est généralement pas les gens de bien qui soulignent le plus la malhonnêteté, l’injustice, la méchanceté chez les autres et se montrent les plus méfiants. Au contraire, ce sont souvent ceux qui ont ces défauts qui ne cessent de les repérer partout. Pourquoi ? Parce qu’une nature vicieuse a toujours tendance à porter ses regards sur ce qui est mauvais et vicieux comme elle. Ceux qui possèdent de grandes qualités morales ne s’intéressent pas tellement aux défauts de leur entourage, quelquefois même ils n’y font pas attention, et s’ils les remarquent en passant, ils ne s’y attardent pas, car ils ont tendance à voir les autres à travers les qualités qu’ils possèdent, eux.
Chaque être humain ne peut voir qu’à travers ses propres yeux, et c’est lui qui façonne ses yeux par ses pensées et ses sentiments. Si vous rencontrez des gens qui ne vous parlent que des lacunes, du mauvais comportement des autres, sachez que, d’une façon ou d’une autre, c’est d’abord sur eux-mêmes qu’ils vous font des révélations. S’ils possédaient la noblesse, la bonté, l’honnêteté, ils découvriraient aussi ces bonnes qualités chez les autres, et c’est de ces qualités qu’ils vous parleraient d’abord. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Quelques brins de muguet ... pour vous !

Publié à 11:38 par yvonne92110 Tags : muguet porte bonheur quelques brins pour vous tous

Une arche de Noé dans les étoiles ... dans 100 ans !

Publié à 11:51 par yvonne92110 Tags : recherche et technologie arche de noé dans les étoiles
Une arche de Noé dans les étoiles  ...  dans 100 ans !
Ils veulent envoyer une arche de Noé dans les étoiles … dans 100 ans  !
 

En 2100, un vaisseau spatial avec à son bord des milliers de personnes pourrait décoller à destination d’un autre système solaire. Science-fiction ? Des scientifiques travaillent sérieusement à ce projet de longue haleine. 

 

Si dans les siècles à venir la Terre se meurt, certains préparent déjà la suite. Il ne s’agit pas de la Nasa et de ses programmes ambitieux, ni même de Mars One et de son projet de colonisation de Mars d’ici dix ans : on parle bien là d’un grand vaisseau destiné à naviguer bien au-delà de notre système solaire.

                                                                                                                                                                                                                                            Et ce ne sont pas des écrivains de science-fiction qui sont dans le coup, mais bien des chercheurs de diverses nationalités, avec le soutien d’universités comme celle de Greenwich (Grande-Bretagne).

                                                                                                                                                                                              Le nom de code ? Projet Perséphone, du nom de la déesse qui après avoir passé l’hiver aux Enfers, rapporte le printemps avec elle à la surface …

                                                                                                                                                                                          Le projet se fonde bel et bien sur des principes de développement durable. Le vaisseau autosuffisant,  décrit par The Australian, intégrerait des matières organiques comme des algues, du terreau artificiel, et utiliserait l’énergie solaire pour produire tant ses aliments que des biocarburants.

                                                                                                                                                                                                                       Le tout pourrait transporter quelques milliers de personnes pour un voyage de plusieurs générations vers une autre étoile. Laquelle ? Ils ne se prononcent pas encore, les progrès de la détection des exoplanètes étant tels que d’ici à ce que le vaisseau soit prêt, on aura probablement identifié la meilleure cible possible pour cette expédition.

                                                                                                                                                                                                                                                                               Un voyage d’un millier d’années :

                                                                                                                                                                                                                        Rachel Armstrong, chercheuse et enseignante en architecture à l’université de Cambridge et leader du projet Perséphone, avait présenté le projet en détail lors du Starship Congress d’août 2013.

                                                                                                                                                                              Le navire amiral idéal selon la scientifique ? Voici comment Rachel Armstrong le décrit :

                                                                                                                                                                                                                                                                                  Un engin spatial lent et humide. Son intérieur, détrempé, serait vivant – dans le sens très physique du terme. S’il doit survivre à un voyage interstellaire sur des durées qui pourraient dépasser un millier d’années, alors le vaisseau devra aussi trouver des ressources sur des sites extraterrestres."

                                                                                                                                                                                                                       L’engin devra aussi être capable d’une évolution dynamique plutôt que d’être maintenu dans un état statique. La robustesse et la flexibilité seront ses atouts majeurs, mais aussi sa capacité à s’adapter et à évoluer, comme un écosystème.

                                                                                                                                                                                                                               Pas question pour cette équipe de miser sur des technologies encore très théoriques de voyages à des vitesses plus rapides que celles de la lumière. Le groupe Icarus Interstellar, qui est à l’origine du projet, est en effet une fondation qui souhaite développer les technologies de voyage interstellaire à partir de ce que nous avons déjà. Son idée phare, lancer une sonde interstellaire robotisée d’ici 2100, se basait déjà sur un système de moteurs alimentés par la fusion nucléaire.

                                                                                                                                                                                                                                                               Le développement durable au coeur du projet :

                                                                                                                                                                                                                         Le Projet Perséphone, lui, se concentre sur l’habitabilité du vaisseau-monde. Le groupe de scientifiques travaillent sur la création d’un "réseau physique d’échanges chimiques pour asseoir l’habitabilité d’un espace non terrestre, et d’établir ce qu’un mode de vie durable peut impliquer."

                                                                                                                                                                                                                          Ce qui aurait, aussi, des implications pour notre bonne vieille Terre : "Le vaisseau-monde ne vise pas seulement à se préoccuper d’un scénario pour un futur lointain, mais fournit aussi un lieu de discussion pour discuter des problèmes de viabilité de nos villes, notamment en prenant en compte les ressources contraintes de nos environnements urbains."

                                                                                                                                                                                                                                                             Perséphone pourrait donc "sauver le monde", à la fois en envoyant des générations de colons à la conquête d’autres systèmes solaires, mais aussi en aidant à repenser notre monde d’ici-bas sur des principes de développement durable…

                                                                                                                                                                                                                                                          (Source : Le Nouvel Observateur)

Quand les animaux font de l’art ...

Publié à 12:08 par yvonne92110 Tags : animaux quand les animaux font de l art
Quand les animaux font de l’art  ...
Quand les animaux font de l’art  ...
 
 

L’art animal est une réalité tangible qui se chiffre en milliards de dollars. Des toiles produites par des animaux se vendent de par le monde. Dressage ou talent spontané ? Les animaux sont-ils capables de faire de l’art ?

 

Si pour certains la crédibilité des performances artistiques de nos amis les animaux est questionnable, elle est, pour les galeristes, les acheteurs et les experts en création animale, une réalité tangible. « La création animale est un domaine extrêmement lucratif. En 2010, on a estimé que les ventes d’œuvres d’art exécutées par des animaux atteignaient 100 milliards de dollars US annuellement à travers le monde », avance le Magazine Animal en novembre 2011.

                                                                                                                                                                                                                                        Les vidéos de dressage à la peinture d’éléphants thaïlandais ou les rumeurs de trucages photos de chats en train de peindre laissent présager que les animaux ne seraient pas capables de créer seuls. Les experts de l’art nous vendent-ils des mérites inexistants ? Peut-être pas.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                        Certains animaux peignent sans contraintes. Ils prennent de la peinture et l’étalent sur des toiles. Ils restent concentrés le temps de leur performance. Ils répètent l’opération un grand nombre de fois. Si d’un point de vue esthétique leur production peut être questionnée, elle reste le résultat de leur désir … de peindre.

                                                                                                                                                                                                                  Un singe entre dans l’histoire de l’art :

                                                                                                                                                                                                            En 1956, Desmond Morris, un zoologiste et peintre surréaliste anglais, offre un crayon et du papier à son chimpanzé. « Quelque chose d’étrange se dessinait au bout de son crayon. C’était le premier trait de Congo. Il l’a poursuivi un peu, puis s’est arrêté. Allait-il recommencer ? Oui. Il a recommencé, encore et encore », raconte le zoologiste. Son singe de deux ans aime dessiner et peindre. Il fait même preuve d’un certain sens de la composition. Lorsque Desmond Morris peint avec lui, Congo s’empresse de rééquilibrer la composition générale. Ce chimpanzé a le sens de la symétrie. Rapidement ses sessions de peinture deviennent régulières. Et si son maître essaie de lui retirer une toile avant qu’il n’ait fini, Congo se met à pousser des cris et à se débattre. « Alors que quand j’essayais de le persuader de continuer à peindre après qu’il ait considéré qu’une peinture était achevée, il refusait de manière catégorique ». Congo est maître de sa production. Il peindra plus de 400 toiles, qui attirent rapidement la curiosité du monde de l’art.

                                                                                                                                                                                                                        Son travail suscite un tel intérêt qu’en 1957, l’Institut d’Art Contemporain de Londres monte une large exposition de ses toiles, jugées d’un style « expressionniste abstrait », s’il vous plaît. Le débat fait rage parmi les critiques. Est-ce de l’art ? Quoi qu’il en soit, une peinture de Congo trône dans le studio de Picasso. Miro et Dali comptent parmi ses collectionneurs. Congo décède en 1964 mais l’histoire ne s’arrête pas là. En 2005, trois de ses peintures sont présentées chez Bonhams, aux enchères. Elles sont vendues pour un total de 26 000 dollars, vingt fois le prix estimé au départ. A leurs cotés des œuvres de Renoir et Warhol sont retirées de la vente par manque d’offres . En 2010, la dernière toile réalisée par Congo se vend pour la somme de 10 000 dollars . « Les gens semblent penser que ces peintures sont une forme véritable de créativité », commente l’un des portes paroles de Bonhams. Pour Desmond Morris, il n’y a pas de doute, l’œuvre de Congo « est véritablement de l’art dans son sens le plus pur ».

                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Un cheval expose à la biennale de Venise :

                                                                                                                                                                                                                                          Surnommé « Cholla cactus » à cause de son tempérament sauvage, ce mustang né en 1985 dans le Nevada ne se laisse pas dresser si facilement. Si bien qu’au bout de 5 ans, ses anciens propriétaires le vendent à Renee Chambers, une ancienne danseuse. Tranquillement, elle l’amadoue et gagne sa confiance. Un jour où Renée Chambers repeint son enclos, Cholla manifeste de l’intérêt pour cette activité qui semble lui plaire. Il se saisit d’un pinceau avec la bouche et se met tant bien que mal à peindre aussi. Amusée, la propriétaire propose des pinceaux, des aquarelles et une toile posée sur un chevalet à Cholla. A son grand étonnement, au lieu d’envoyer valser le matériel ou de mordiller le pinceau, il se met à peindre. Choisissant lui-même ses couleurs, il fait bouger le pinceau avec la langue ou en déplaçant la tête. « Il va sans dire que ce cheval n’a pas été dressé pour peindre », précise son galeriste italien.

                                                                                                                                                                                                                              Cholla est-il un artiste ? Ce qui est sûr c’est que ses toiles d’un style épuré et graphique attirent rapidement l’intérêt des connaisseurs. Exposé de San Francisco à New York, le cheval reçoit en 2008 les « mentions d’honneur » au concours Artelaguna en Italie. Le président du jury souligne « la nature provocative du geste ». A peine un an plus tard, ses œuvres sont présentées à la Giudecca 795 Art Gallery lors de la Biennale de Venise, l’une des plus grandes manifestations mondiales d’art contemporain. Le succès est tel que la galerie décide de prolonger l’exposition de 4 mois et Renee Chambers de reverser une partie des ventes à des associations de défense des mustangs au Nevada. Cholla est mort en 2013.

                                                                                                                                                                                                                                                    Première « dog » performeuse :

                                                                                                                                                                                                                            Pour ses 30 ans, Archer Hastie reçoit un cadeau spécial. Tillamook Cheddar, « Tillie » pour les intimes, est une chienne Jack-Russel. Tillie a 6 mois lorsque son heureux propriétaire la voit en train de gratter la page de son bloc-notes de manière insistante. Il décide d’insérer dans son carnet une feuille de carbone pour rendre visibles les traces de griffes que sa chienne persiste à faire. Il est surpris par la qualité de l’image qu’il découvre. Archer Hastie met alors à disposition de sa chienne un morceau de papier enduit fixé sur un panneau de mousse ainsi que des peintures non toxiques. Tillie est ravie. Se plaçant sur le panneau, elle raie le support avec ses griffes, le lèche afin de mélanger les couleurs. Le tout est accompagné de grognements et d’aboiements de satisfaction. Sa technique est décrite comme étant « vigoureuse et frénétique ».

                                                                                                                                                                                                                                               A 9 mois, Tillie fait sa première exposition à Brooklyn. Ses toiles seront montrées dans plusieurs pays dont la Belgique et le Japon. En 2002, elle apparaît sur la chaine de télévision CNN. En 2005, The Art Newspaper la décrit comme « l’animal artiste la plus accomplie ». Tillie bénéficie aussi d’une vie de famille, et l’un des petits auxquels elle a donné naissance en juillet 2005 sera gardé auprès d’elle. Ce jeune Jack-Russel ne manifeste aucune envie de créer comme sa mère. Tillie poursuit sa carrière en se produisant maintenant en direct. Depuis 2007, elle crée ses tableaux sur scène, accompagnée d’un groupe de jazz expérimental. Les aboiements de la chienne participant à la musique. Une biographie intitulée « Portrait of the dog as young artist », en référence à Bob Dylan, vient de lui être dédiée.

                                                                                                                                                                                                                            De plus en plus d’animaux artistes seraient repérés de part le monde. Certains sont clairement dressés. Tous ne le sont pas. Un autre chimpanzé se serait mis à peindre au zoo de Niteroi au Brésil. Voyant Jimmy s’ennuyer dans sa cage, son soigneur aurait eu l’idée de lui apporter de quoi peindre. La démonstration quotidienne de Jimmy est devenu l’attraction de toute la ville. De nombreux chats ont peint sur des portes de frigos, de placards, ou sur des feuilles accrochées au mur – lorsque leurs propriétaires sont suffisamment attentifs pour détecter leurs envies artistiques. Il est difficile d’évaluer si ces animaux font de l’art. Il n’en reste pas moins qu’ils produisent des peintures de manière relativement spontanée et désintéressée, qui se retrouvent sur le marché de l’art.

                                                                                                                                                                                                                                              (Source : INREES)

Chine ... Un conducteur de camion sans mains !

Publié à 12:23 par yvonne92110 Tags : histoires vraies conducteur de camions sans mains
Chine  ...  Un conducteur de camion sans mains !
  Dans la province chinoise de Húnán, un conducteur de camion qui ne possède pas de mains se fait arrêter au volant de son camion par des policiers. L’homme supplie la police de le laisser repartir, il explique qu’il peut conduire en toute sécurité et qu’il a trop besoin de son travail pour gagner sa vie.                 
 
                                                                                                                                                                                                                                                                                    

Parmi les conducteurs roulant dans l'illégalité, ce jeune Chinois manchot remporte sans conteste la palme de l'originalité.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Alors qu'un camion s'arrête, lors d'un contrôle routier, apparaît à la fenêtre, un conducteur sans... mains. Malgré les suppliques du contrevenant, les forces de l'ordre chinoises, de la province du Hùnàn, interceptent le camionneur.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   La palme de l'originalité  : 

                                                                                                                                                                                                                                         Parmi les conducteurs roulant dans l'illégalité, ce jeune Chinois manchot remporte sans conteste la palme de l'originalité. Un contrôle routier que les policiers chinois ne sont pas près d'oublier.

Juste pour le plaisir ... de partager avec vous !

Publié à 13:13 par yvonne92110 Tags : belles images juste le plaisir de partager avec vous