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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Naissance | 17 février 1781 Quimper Bretagne (France) (l'hôpital porte son nom) * |
---|---|
Décès | 13 août 1826 (à 45 ans) à Ploaré, Finistère (France) |
Nationalité | Française |
Champs | Médecine |
Institutions | Hôpital Necker Hôpital de la Charité Collège de France |
Diplôme | drf4s |
Renommé pour | Auscultation, stéthoscope |
René Laennec, le Breton qui a révolutionné la médecine ...
Né le 17 février 1781, il a mis au point l'ancêtre du stéthoscope, inventé l'auscultation et décrit les symptômes de la péritonite et de la cirrhose.
L'un des plus grands et des plus célèbres hôpitaux parisiens porte son nom ainsi que quantité d'établissements et de rues sur l'ensemble du territoire. En dépit de cette notoriété à portée de main, rares sont les Français qui savent ce qu'ils doivent à René-Théophile-Hyacinthe Laennec. Quelle injustice, car ce Breton né le 17 février 1781 à Quimper et mort le 13 août 1826 (à 45 ans donc), à Douarnenez dans son manoir de Ploaré, est à la base de la médecine moderne. En moins de deux ans, Laënnec fait faire à la médecine un bond prodigieux. Et comme souvent ce grand pas pour l'humanité débute par une scène banale presque sans intérêt ...
Un après-midi d'automne, le médecin croise sous les guichets du Louvre des enfants qui jouent parmi des décombres. L'un d'eux gratte l'extrémité d'une longue poutre avec la pointe d'une épingle. À l'autre bout, l'oreille collée à la poutre, les enfants recueillent les sons, se bousculent pour entendre, et rient de la découverte. Bon sang, mais c'est bien sûr ! Parvenu au chevet d'une jeune cardiaque, il demande une feuille de papier à lettres, la roule en cylindre, appuie une extrémité contre la poitrine de la patiente et l'autre contre sa propre oreille. Et voici que le double bruit du cœur et de la respiration lui parvient avec netteté. L'auscultation est inventée.
Laennec fonde ainsi une nouvelle pratique qui permet d'analyser les bruits corporels internes et de les relier à des lésions anatomiques, ce qui se révélera particulièrement utile pour le diagnostic des maladies respiratoires, dont la phtisie ou tuberculose.
Ainsi, selon la légende, le génial médecin construit le 17 février 1816 le stéthoscope, d'abord un simple rouleau de papier ficelé qu'il appelait « pectoriloque » et qui permettait d'éloigner l'oreille du médecin de son patient pour des raisons de pudeur, stéthoscope qu'il ne tarde pas à perfectionner en un cylindre démontable et en buis et dont l'usage est attesté en mars 1817 sur les feuilles des malades à l'hôpital Necker où il exerçait.
Mais la contribution de René-Théophile-Hyacinthe Laennec à la médecine ne s'arrête pas là !
Ce fils et petit-fils d'avocats est également celui qui a décrit la péritonite et de la cirrhose. Bien que la cirrhose fût une maladie déjà connue, c'est Laënnec qui lui donna son nom, en utilisant le mot grec (kirrhos, « fauve »), qui fait référence aux nodules jaunes caractéristiques de la maladie. Il est aussi à l'origine du terme mélanome et a décrit les métastases pulmonaires du mélanome. Comme beaucoup de praticiens du XIXe siècle, Laennec finit par contracter au contact de ses patients les maladies qu'il devait soigner.
Son neveu, Mériadec Laennec l'ausculte avec le stéthoscope inventé par son oncle et décèle sur lui les symptômes fatidiques de la tuberculose. Le docteur se retire alors en son manoir de Kerlouarnec en Ploaré, proche de Douarnenez, où il s'éteint, le 13 août 1826 à l'âge de 45 ans. Dans son testament, il lègue à son neveu ce stéthoscope qu'il considérait comme « le plus grand héritage de sa vie ».
« Le merveilleux est un besoin de l’âme humaine, et ce que l’on appelle l’irréel est en vérité tout à fait réel, plus réel que ce qu’on a l’habitude de considérer comme la réalité. Combien de personnes, si elles sont sincères, doivent reconnaître que les contes de fées les plongent, pour un moment au moins, dans une sorte de ravissement ! Pourquoi ? Parce que tout y est non seulement vivant, mais animé et doué de parole : les rochers, les fleurs, les arbres, les animaux… Et les forces de la nature y agissent souvent avec sagesse, et même parfois avec amour. Mais surtout, au-delà de leur naïveté apparente, ces contes décrivent des réalités de notre vie intérieure. Lorsque, dans certaines circonstances très particulières, le subtil, l’irréel, le féerique fait irruption dans notre vie, nous nous sentons comme un arbre qui, arraché jadis à sa terre pour être transplanté dans un milieu hostile, retrouverait soudain sa forêt natale où il peut à nouveau s’enraciner et revivre. » |
Omraam Mikhaël Aïvanhov |
Les balades le long des côtes bretonnes sont généralement sources d’émerveillement. Très diversifiées et ciselées par la nature, ces roches millénaires sont le symbole de toute la région. La ville corsaire de Saint-Malo recèle d’ailleurs un trait de côte sauvage qui est très apprécié par les touristes. C’est le long de cette côte rocheuse, à Rothéneuf, que l’abbé Fouré a sculpté des roches pour leur donner des formes humaines étonnantes.
C’est à cinq kilomètres du centre historique de Saint-Malo, sur la côte rocheuse en direction de Cancale, que se trouvent les œuvres sculptées de Rothéneuf. Ces formes humaines étranges ont été réalisées entre la fin du 19e et le début du 20e siècle par l’abbé Fouré. Relevant de l’art brut, ces sculptures monumentales sont parmi les plus connues de Bretagne.
Ces rochers sculptés constituent un univers étonnant peuplé de figures grimaçantes. Elles évoquent à la fois des gargouilles médiévales et des êtres fantasmagoriques. Ces figures vont du bas-relief aux visages totalement dégagés. A l’origine, certaines étaient soulignées au goudron. Pour mieux appréhender ces œuvres étonnantes, il faut s’intéresser au créateur, l’abbé Fouré.
Il se retire alors à Rothéneuf, une commune proche de Saint-Malo à cette époque, pour exercer un poste de prêtre ordinaire. C’est à partir de ce moment-là qu’il va s’atteler à son œuvre artistique. Il crée une œuvre monumentale directement taillée sur les rochers de la côte.
Riches de 300 figures, ces fresques sculptées en plein air sont à la merci de l’érosion marine. Pendant treize à quatorze ans, l’abbé Fouré cisèle ces rochers granitiques en forme de figures humaines étranges qui surplombent la mer. Ce prêtre pratiquement sourd va se consacrer uniquement à ses créations à l’aide d’un marteau et d’un burin. Les versions divergent sur l’inspiration de ce prêtre taciturne. Une version locale affirme qu’il se serait inspiré d’une famille de pirates sanguinaires du 16e siècle, les Rothéneuf. On y voit des figures humaines affrontant des monstres marins ou des créatures de l’enfer.
Une autre version, sans doute plus réaliste, voit dans ces rochers sculptés des figures de l’époque du prêtre. On retrouve une saynète de la guerre du Transvaal avec le président Krügeret ses troupes. En catholique militant et bon patriote, l’abbé Fouré a été marqué par la période coloniale. Certaines sculptures feraient l’apologie de l’évangélisation des peuplades soumises. Les habitants de Rothéneuf peuvent reconnaître l’un des personnages célèbres de la commune, Jacques Cartier(source d’inspiration majeure).
Enfin, l’abbé sculpte des saints bretons légendaires, comme Saint Budoc (deux fois). Hélas en 1907, l’abbé Fouré est frappé par une attaque cérébrale qui le rend muet et le paralyse. Il abandonne alors son travail de sculpteur et vit en fauteuil roulant jusqu’à sa mort trois ans plus tard.
Le résultat est donc un jardin de pierres immense s’étendant sur une superficie de 500 mètres carrés, face à la mer. L’histoire de cet abbé vivant en ermite est quelque peu tombée dans l’oubli mais son œuvre demeure. Les visiteurs sont nombreux chaque année à venir voir les rochers sculptés.
Encore aujourd’hui, c’est une curiosité très appréciée modifiée par l’érosion (les embruns et les ruissellements). Chacun peut se laisser envahir par cette œuvre hors du commun en appréciant la vue.
La figure dans le granit breton Si le site n’est pas inscrit au titre des monuments historiques, il n’en reste pas moins un lieu singulier qui fascine par ses nombreux détails et son côté brut et mystérieux. Récemment, des chercheurs révèlent de nouvelles sources d’information permettant de ranimer la mémoire de l’abbé Fouré et de mieux le connaître.
Eagles of Death Metal : «Prenons un instant pour nous souvenir»
«Je vous aime enfoirés, vous n'avez pas idée à quel point», a lancé le leader du groupe Jesse Hughes à la foule après quelques morceaux.
(Photo AFP)
Peu après 21h00, les rockers californiens ont été accueillis sur la scène de L'Olympia, salle de spectacle parisienne emblématique du quartier de l'Opéra, par une immense ovation du public qui comptait de nombreux rescapés de l'attentat, dont certains étaient venus avec des béquilles.
«On va passer un bon moment ce soir, personne ne pourra nous arrêter», a lancé Jesse Hughes, le leader du groupe, qui portait ses habituelles lunettes aux verres roses, le T-shirt noir du groupe et des bretelles rouges.
L'entrée du groupe s'est faite sur l'air de Il est cinq heures, Paris s'éveille, chanson célèbre (1968) de Jacques Dutronc, clin d'oeil à l'identité particulière de la capitale française, célébrée en signe de résistance après les attentats.
Au milieu du premier titre, I Only Want You le groupe s'est arrêté de jouer. «Prenons un instant pour nous souvenir, puis on recommencera à jouer», a dit Josh Homme derrière sa batterie. Moins d'une minute après, la chanson a repris.
«Je vous aime enfoirés, vous n'avez pas idée à quel point», a quant à lui lancé Jesse Hughes à la foule après quelques morceaux.
«Je suis Devenu Parisien» :
«Vous et moi sommes coincés à présent : je suis devenu parisien. J'avais besoin de vous et vous ne m'avez pas laissé tomber», dira-t-il un peu plus tard.
Celui qu'on a vu pleurer à plusieurs reprises en évoquant la tragédie du Bataclan a assuré le spectacle tout au long de la soirée, levant son verre à la santé de la salle ou encore brisant une guitare sur le sol en rocker pur et dur.
Il a dédié le titre «Secret plans» à Nick Alexander, 36 ans, responsable commercial du groupe, tué au Bataclan.
Revenu sur scène avec une guitare électrique bleu-blanc-rouge, Jesse Hughes a fini ce concert de près de deux heures torse nu, dans une longue étreinte avec son ami Josh Homme, qui ne participait pas au concert du 13 novembre.
«J'ai vraiment réussi à prendre du plaisir», a dit à l'AFP en quittant le concert sourire aux lèvres, avec ses béquilles, Emmanuel Wechta, 42 ans. «Je n'étais pas venu pour une thérapie mais pour m'amuser et c'est ce que j'ai fait», a-t-il ajouté.
Pour un autre survivant, Alexis, 26 ans, «le concert a été difficile les trois quarts du temps». «Il a fallu attendre les rappels pour que je m'amuse».
Une équipe d'une trentaine de personnes avec des psychologues était présente pendant tout le concert à L'Olympia pour venir en aide aux survivants et à leurs proches.
Un périmètre de sécurité d'une ampleur exceptionnelle avait été mis en place aux abords de la salle de concert.
«Eagles of Death Metal : continuer à vivre, continuer à jouer : un hommage aux victimes, un chant pour la liberté», a posté le premier ministre, Manuel Valls sur son compte twitter avant le début du concert.
Le groupe avait repris ce week-end à Stockholm puis à Oslo, la tournée internationale qu'il avait suspendue au lendemain de l'attentat dans lequel ont été tuées 90 personnes pendant son concert au Bataclan.
Les Californiens ont retiré Kiss the Devil, le titre qu'ils jouaient au moment de l'attaque, de la liste de leurs morceaux depuis qu'ils ont repris les concerts.
Rebaptisée le «Nos Amis Tour», en français dans le texte, la tournée mondiale des EODM les emmènera dans les prochains mois à travers l'Europe, l'Amérique du sud, l'Amérique du nord et l'Australie. Elle compte deux autres dates en France, à Nîmes le 2 mars et à Lille le 7 mars.
Le groupe a clamé son intention d'être le premier à rejouer au Bataclan quand la salle pourra rouvrir. Une réouverture que les patrons de la salle espèrent pour fin 2016, après rénovation.