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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !
· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Passants renversés à Manhattan. « Un acte terroriste » qui a fait au moins « huit morts » et douze blessés graves ...
Un véhicule s’est engagé sur une piste cyclable et a renversé plusieurs passants dans le quartier de Manhattan, à New York, aux États-Unis, vers 15 h heure locale, 20 h heure de Paris, ce mardi. Huit personnes sont décédées, au moins douze sont grièvement blessées selon le premier bilan communiqué par les autorités lors d’un point presse. L’auteur présumé des faits a été arrêté après avoir été touché par balle par la police. Les autorités ont qualifié les faits d'« acte terroriste ».
Un homme au volant d’un pick-up a foncé sur des piétons et des cyclistes sur une voie qui leur était réservée, ce mardi dans le quartier de Manhattan, à New-York. Huit personnes sont décédées, au moins douze sont grièvement blessées selon le premier bilan communiqué par les autorités lors d’un point presse, en présence du maire de la ville Bill de Blasio.
« Si l’Église a institué ce qu’on appelle « les derniers sacrements » ou « l’extrême onction », c’est que le moment où l’être humain va quitter la terre pour l’autre monde est d’une importance capitale. Il s’agit donc de préparer l’âme au grand voyage qu’elle va entreprendre. Le prêtre essaie de ramener le mourant vers les questions essentielles : il lui explique qu’il est temps de faire un retour sur sa vie, de prendre conscience de ses erreurs, de s’en repentir, et de retrouver au fond de lui-même le lien qui l’unit au Créateur. Certains penseront que c’est un peu tard. Oui, sans doute, c’est un peu tard, mais ce n’est pas trop tard. Car ceux qui quittent leur corps physique sans avoir la moindre notion d’une vie après la mort, de la Justice divine, souffrent beaucoup par la suite : ils errent dans les régions obscures de l’au-delà sans rien comprendre à ce qui leur arrive. Il est très grave d’entretenir les humains dans la conviction erronée qu’il n’y a rien après la mort. Sous prétexte de les libérer de croyances absurdes, on prépare pour eux dans l’autre monde des épreuves encore plus terribles que celles qu’ils ont eu à affronter sur la terre. » |
Omraam Mikhaël Aïvanhov |
Petite histoire du chrysanthème :
Le chrysanthème fut introduit en France en 1789 par Pierre Blancard (1741-1826), botaniste français et explorateur qui l’a ramené de Chine, pays d’origine de la plante.
Au Japon, la plante était associée au culte de l’empereur, et le chrysanthème symbolise le don de soi poussé jusqu’à la mort pour défendre le culte impérial.
En France, le chrysanthème s’est véritablement imposé dans les cimetières après l’hécatombe de la Première Guerre mondiale qui a rempli les cimetières de nos soldats tombés pour la patrie.
Le chrysanthème fut adopté parce qu’il fleurit en automne, tout comme le gui et le houx s’affichent à Noël et à la Saint Sylvestre : "le symbole épouse la nature et se soumet à ses lois" comme l’a écrit Jean-Marie Pelt.
Avec l'apogée du chrysanthème, outre les cimetières, ce sont également les espaces verts et parcs publics qui se parent du dernier grand fleurissement de la saison, au cœur de l’automne.
Que mangeaient les Parisiens au Moyen-Âge ?
Vous êtes-vous déjà demandé ce que mangeaient nos ancêtres, ces Parisiens qui ont foulé les rues pavés de l’île de la Cité à l’époque de la construction de Notre-Dame-de Paris et de la Sainte-Chapelle ? De la blanquette de veau, un navarin d’agneau ou bien des bouchées à la reine ? Rien de tout ça ! On vous dit tout sur l’alimentation de nos ancêtres médiévaux.
Il n’y a ni pommes de terre ni riz ni pâtes. La pomme de terre n’arrive en Europe qu’au XVIème siècle, à peu près en même temps que les pâtes qui commencent doucement à s’implanter en France, après le mariage de Catherine de Médicis avec Henri II. Si le riz est mentionné dans des écrits dès 1393, il s’agit encore d’un produit d’importation que l’on trouve en faible quantité et qui est réservé aux grands seigneurs. La démocratisation de ce produit venu d’Asie ne surviendra qu’au XXème siècle.
On consomme jusqu’à 1 kg de pain par jour. Le pain, la plupart du temps confectionné à partir de farine de seigle, est l’aliment-roi dans toutes les maisons. On consomme des quantités faramineuses de ce pain qui n’est pas encore une baguette (elle n’arrivera qu’au XIXème siècle), mais une grosse miche ronde, compacte et non salée. Contrairement aux campagnes où l’on fait son pain soi-même, à Paris, ce sont des boulangers – souvent appelés talemeliers – qui le préparent.
Le peuple mange peu de viande. Au Moyen-Âge, la nourriture est un marqueur social très fort et les différentes couches sociales ne mangent pas du tout la même chose. Les nobles se réservent les gros gibiers et les gros volatiles, tandis que le peuple se contente de petits oiseaux (pigeons, merles, etc.) et de lapins de garenne. La viande la plus consommée reste néanmoins le porc. Aussi, on mange peu les « animaux producteurs » (agneau, mouton, vache ou poule) et encore moins du bœuf, animal de trait par excellence. Dans tous les cas, les viandes sont traitées par salaison, séchage ou fumage . Le poisson est particulièrement consommé par les Parisiens. Si, dans les campagnes françaises, le poisson n’est pas forcément démocratisé, à Paris, il s’agit d’un aliment très consommé, notamment lors des jours maigres imposés par l’Église. La présence de la Seine et du chemin de la Marée permet en effet aux habitants de se fournir facilement en poisson, venu du nord de laFrance. Le hareng, fumé ou salé, est le poisson de prédilection du peuple.
On apprécie les saveurs amères. Au Moyen-Âge, on accompagne souvent les préparations culinaires par des sauces que l’on cuisine séparément et que l’on mange avec la viande ou le poisson. Ces sauces sont très éloignées de celles que l’on connait aujourd’hui. Elles ne sont pas préparées avec de la crème, de la farine ou du beurre, mais avec du vinaigre ou du verjus, un jus acide extrait des raisins verts. Cela donne à la cuisine médiévale une saveur très amère, voire acide.
Des paysans entrain de réaliser du « verjus », enluminé vers 1450. Paris, BnF, ms. Latin 9333, fol. 88
Tomates, courges, poivrons ou potirons ne sont pas encore arrivés jusqu’à Paris. Au début de la Renaissance, une grande partie des légumes qui sont à la base de notre alimentation ne sont pas encore implantés en France. La plupart viennent d’Amérique du Sud et n’arriveront dans les assiettes des Européens qu’au XVIème siècle. À cette époque, ce sont les fèves et les pois qui constituent la base de l’alimentation en terme de légumes, car ils sont très nourrissants et accessibles au plus grand nombre.
On compense le manque de variété des aliments par les aromates et les épices. Les Français du Moyen-Âge sont des grands consommateurs d’aromates. Les sauces, mais aussi les plats, sont presque toujours relevés par des herbes fines et des épices (clou de girofle, laurier, ciboulette, romarin, etc.). Ces petits suppléments végétaux sont également incorporés aux préparations culinaires pour leurs vertus médicinales.
Plus les légumes poussent près du sol, plus ils sont considérés comme souillés. À cause de cette idée largement répandue, les nobles ne touchent presque jamais aux navets ou aux carottes, des racines qui poussent dans le sol. Le peuple, par contre, n’a guère le choix et en mange beaucoup, car ce sont des produits peu chers et facilement cultivables.
Des cuisiniers ambulants fournissent les voyageurs et ceux qui n’ont pas de cuisine. Nombreux sont les Parisiens à ne pas avoir de lieu pour faire la cuisine. Aussi, dans les rues de Paris, on trouve de nombreux petits traiteurs ou marchands ambulants qui proposent des plats préparés, similaires à ceux que peuvent cuisiner les Parisiens chez eux. Les pâtés de viande, tripes de porc, tourtes, potages et ragoûts sont les mets que l’on retrouve le plus souvent.