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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
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· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
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· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
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· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Depuis le mois de janvier, 85 femmes ont été tuées par leur mari ou leur compagnon ...
En 2018, 121 femmes ont été tuées par leur conjoint. Depuis le début de cette année 2019, ce ne sont pas moins de 85 femmes qui ont été tuées par leur compagnon, une situation alarmante.
En effet, en 2018, 149 personnes sont décédées sous les coups de leur partenaire, et parmi ces victimes, on dénombre 121 femmes. Ainsi, une femme décédait sous les coups de son partenaire tous les trois jours. C’est un peu moins que les années précédentes. Le ministère de l’Intérieur avait relevé 151 décès en 2017 et 157 en 2016.
Face à ces chiffres, le Collectif des proches et familles de victimes de féminicides avait lancé un appel aux pouvoirs publics: « Nous demandons solennellement au président de la République d’être le premier homme politique français à mettre fin à ce massacre […] nombre d’entre elles ont porté plainte plusieurs fois sans jamais être entendues, certains de leurs enfants sont encore sous les griffes des ex-conjoints violents… »
Aujourd’hui, depuis janvier 2019, c’est une femme tous les deux jours qui est victime d’un féminicide. Pas moins de 85 femmes ont été tuées depuis ce début d’année. Le gouvernement a donc décidé d’organiser un débat sur les violences conjugales afin de trouver des solutions, dès septembre prochain.
« Les solutions existent pour éviter ces drames : prise et traitement systématique des plaintes, octroi de l’aide juridictionnelle dès la plainte, hébergement d’urgence, ordonnance de protection, bracelets électroniques etc… », avait ainsi proposé le Collectif des proches et familles de victimes.
Un jour, une femme aperçoit un mendiant, assis sur un trottoir, dans la rue ...
Le serveur a fait un signe affirmatif de la tête, le policier qui observait la scène a été stupéfié, et le pauvre homme très ému, laissa couler une larme de ses yeux.
Quand le serveur, a reculé, l'homme a demandé :
- Merci Madame, mais je ne comprends pas ce geste de bonté.
Elle lui prit les mains et lui dit :
- Tu ne te rappelles pas de moi, Jean ?
- Votre visage me dit quelque chose, a-t-il répondu timidement, mais je ne me souviens plus d'où.
Elle, les larmes aux yeux, lui dit :
"Combien de personnes se croient capables de suivre un Maître spirituel, alors qu’elles sont encore trop habitées par des pensées, des sentiments, des désirs qui les empêchent de recevoir sa parole et de la mettre en pratique ! Il n’y a pas de place en elles pour un tel enseignement. Et souvent il vaudrait mieux qu’elles s’en tiennent un peu éloignées, car en voulant marcher sur un chemin qui n’est pas fait pour elles, elles se trouveront prises un jour dans de graves contradictions. Elles ne comprendront pas pourquoi rien ne se passe conformément à ce qu’elles attendaient, et non seulement elles souffriront, mais elles feront souffrir les autres et gêneront même le travail de celui auprès duquel elles disent vouloir s’instruire.
Contrairement à ce qu’on peut croire, un Maître spirituel ne tient pas à être entouré d’une foule de gens. Il sait que son enseignement n’est pas pour tous. Il souhaite seulement qu’au niveau où ils se trouvent, tous ceux qui l’approchent reçoivent au moins quelques vérités qui les aideront à progresser."
Rendez-vous incontournable des expressions contemporaines des pays celtiques, le Festival Interceltique de Lorient propose chaque année des concerts, des animations culturelles, artistiques, des conférences, des expositions, de cornemuses, un marché interceltique, un jardin des arts et des luthiers ….
11 000m² et 2 435 tonnes d’or : ce sont les chiffres impressionnants de “La Souterraine“, la salle secrète qui abrite les réserves d’or de la France. Située en dessous de la Banque de France, cette salle ultra sécurisée cache en son sein la quatrième réserve d’or au monde !
L’or de la nation :
Dans la Souterraine de la Banque de France, l’or se présente sous deux aspects : la barre d’or de 12.5kg, qui représente environ 250000 euros, ou alors le lingot, format plus léger où 1kg représente 25000 euros. Au total, c’est près de 54 milliards d’euros (chiffres de 2012) qui sont stockés dans la Souterraine, depuis la vente des 500 tonnes d’or pour l’achat de devises en yen et en dollar.
Un trésor ultra-sécurisé :Construite en 1924 par 1 200 ouvriers et ce en 3 ans, la Souterraine est une véritable forteresse hautement sécurisée. Seulement 5 employés de la Banque de France ont un accès permanent à la salle. Elle se trouve au huitième sous-sol, soit 28m sous terre. Avant de parvenir à la salle, il faut traverser plusieurs couloirs et une antichambre, tous sécurisés par des portes blindés. La salle se reconnaît par son carrelage en damier particulier et ses 720 colonnes.
L’accès à la salle est hautement sécurisé grâce à une porte blindée de 8 tonnes et un bloc de ciment de 17 tonnes, en plus une tourelle pivotante de 130 tonnes : une barrière somme toute infranchissable. Une fois dans la salle, toutes les portes s’ouvrent avec des clés différentes, et ces dernières renferment l’or, lui aussi enfermé dans des boîtes et armoires métalliques.
Pour plus d’informations, vous pouvez aussi visionner cette vidéo extraite d’un reportage de LCI sur la Souterraine :
Personne n’a jamais essayé de pénétrer cette salle hautement sécurisée, ce qui en fait l’endroit le plus secret et le mieux gardé de la capitale.
Alfons Mucha est l’artiste emblématique de l’art nouveau en France. Si ce mouvement artistique n’est pas forcément le plus connu du grand public, les foisonnantes œuvres dont est à l’origine le peintre, grapheur et photographe Mucha méritent qu’on s’y attarde. Les œuvres de l’artiste morave proposent en effet une effusion de couleurs et de symboles qui interpellent et nous transportent !
Qui est Mucha ?Avant de rentrer dans le détail des œuvres de Mucha, une rapide biographie s’impose. Alfons Mucha (1860-1939) naquit en Moravie, dans le sud de la république Tchèque actuelle. Il fait preuve très jeune d’une appétence prononcée pour l’art, ce qui le conduit à s’installer, en 1887, à Paris, pôle d’attraction artistique majeur à l’époque. A Paris, il travaille surtout en tant que dessinateur d’affiches publicitaires, tout en poursuivant son travail de graphiste en amateur. Son talent devient reconnu et ses œuvres graphistes rencontrent un très vif succès à la toute fin du XIXème siècle. Ses œuvres audacieuses et colorées sont en effet dans l’ère du temps !
Mucha est le fer de lance du mouvement Art Nouveau, né à la fin du XIXème siècle en Belgique. Celui-ci se caractérise par une appréciation des courbes rappelant les courbes féminines, un goût pour les végétaux et autres motifs fleuris particulièrement raffinés. Il s’est surtout matérialisé dans les arts décoratifs et l’architecture.
Dans quelle mesure les œuvres de Mucha, qui ont donné lieu il y a peu à une exposition au musée du Luxembourg, s’imprègnent-elles de ce mouvement artistique ?
La femme idéalisée :Dans la plupart des œuvres de Mucha, la femme occupe une place centrale. Intégrée à une forme d’arabesque, l’idéal féminin selon Mucha incarne une beauté nouvelle, en harmonie avec la Nature, et dépossédé de tous les attributs de la modernité. Les corps sensuels, libérés et d’une blancheur immaculée des femmes slaves sont ici la source d’inspiration première de Mucha. Ces femmes sont également riches de bijoux clinquants, à tel point que le modèle semble parfois se fondre dans le décor et l’ornementation.
Les modèles de Mucha sont également, presque tous, pourvus d’une auréole, au-dessus de leur tête. Cette référence mystique aux auréoles des anges et des saints n’a pas seulement une vocation esthétique. Fasciné par l’esthétique de l’Eglise catholique, Mucha est également franc-maçon : un double engagement spirituel, à l’apparence contradictoire, mais qui signifie surtout une volonté de trouver une vérité universelle et une forme de transcendance.
Mucha glisse d’ailleurs dans ses œuvres une grande diversité de symboles mystiques, parfois à l’origine orientale (l’étoile à six branches, la lune et le soleil, la roue) mais aussi maçonniques (feuilles de laurier, triangle, monde égyptien…)
L’identité slave de Mucha traverse ses œuvres. S’il n’existe pas encore de nation tchecolsovaque à la fin du XIXème siècle (Mucha est citoyen du vaste Empire austro-Hongrois lorsqu’il arrive en France), la langue, le folklore et l’histoire du peuple slave irrigue les populations de l’est de l’empire austro-hongrois – les Moraves, tout comme les Croates, les Serbes, les Slovènes sont issus des grandes migrations slaves, à l’époque médiévale. Le Morave Mucha exprime et affirme ainsi cet héritage slave, mêlé d’influences byzantines, avec force dans ses œuvres, à travers notamment la représentations de ses modèles féminins habillés en vêtements traditionnels.
L’usage très fréquent du doré et du rouge peut également évoquer les icônes orthodoxes, des couleurs que l’on retrouve avec envie dans les églises russes, ukrainiennes et roumaines notamment. Preuve enfin de la ferveur patriotique de Mucha, celui-ci travaillera au dessin des timbres et des billets de banque de la nouvelle nation tchécoslovaque, lors de la proclamation de son indépendance en 1918.
Il y a plus de 300 ans, Paris inventa un système de police performant et très bien organisé. Malgré de faibles moyens humains et économiques mobilisés, les premiers succès de cette police furent manifestes et inspirèrent l’Europe entière ! Entre lutte contre le crime et compromissions avec les milieux interlopes, retraçons l’histoire méconnue de la police parisienne sous l’Ancien régime…
A l’origine de la police, un assassinat retentissant…C’est à Louis XIV que l’on doit l’invention d’une véritable police parisienne. Dans les années 1660, en effet, Paris est décrite comme une ville à l’insécurité chronique. La capitale est d’ailleurs encore fortement associée à l’épisode de la Fronde (période de guerre civile entre 1648 et 1653) : son image de « capitale du crime » est désastreuse. Surtout, en 1665, un haut responsable de justice, Tardieu, est lâchement assassiné par des truands, dans son hôtel de la Cité. C’est le crime de trop pour Louis XIV qui décida, à partir de cette date, de bouleverser radicalement le fonctionnement de la police à Paris, pour mettre fin au règne des criminels, voleurs et autres malfrats qui sèment la terreur en plein Paris.
En 1667, est mise sur pied une administration policière renouvelée, chapeautée par un personnage très puissant : le lieutenant général de police (à la fois ancêtre de la fonction de préfet et du ministre de l’intérieur). Celui-ci est nommé par le roi, parmi la fine fleur des administrateurs, et devient l’interlocuteur privilégié de Louis XIV : il doit surveiller et informer le roi sur Paris, de façon quasi-quotidienne. Gabriel Nicolas, seigneur de La Reynie devient le premier lieutenant général de police et entreprend de professionnaliser et d’organiser le travail de police dans la capitale. Ses compétences sont élargies et prennent en compte tout ce qui concerne de près ou de loin la vie quotidienne à Paris (les mœurs, la réglementation du commerce et bien sur la délinquance…)
A la tête de la police parisienne, le lieutenant général a d’abord la mission de conjurer les risques, ce qui explique l’importance donnée au renseignement pour prévenir les émotions populaires, les émeutes… D’autre part, on confie au lieutenant général de police des lettres de cachet, un outil judiciaire d’exception qui lui donne le pouvoir effectif d’arrêter tout individu dont il estime qu’il représente une menace pour l’ordre public à Paris (personne d’autre à Paris n’a ce pouvoir).
Le Lieutenant général de police peut compter sur un personnel étoffé, constitué de 48 commissaires (propriétaires de leurs charges) du châtelet, répartis dans différents quartiers parisiens. Chaque commissaire est assisté d’un inspecteur de police. Ces commissaires et inspecteurs reçoivent les plaintes directement chez eux et font parfois figures de confident pour certains habitants du quartier, que les commissaires connaissent en général personnellement, et à qui ils leur proposent une oreille attentive : le commissaire est enraciné dans son quartier et manifeste une autorité presque paternelle sur ses justiciables. Ces hommes ont également des spécialités et des responsabilités dans des domaines particuliers à l’échelle de tout Paris : il y a par exemple un commissaire de Police qui s’occupe de la surveillance des spectacles, un autre des maisons closes ou encore un autre en charge des enquêtes dites « extraordinaires » (qui ont trait notamment à des affaires politiques). De manière quotidienne, ils doivent faire remonter vers le lieutenant général de police des compte-rendus de leur journée.
Concernant les effectifs sur le terrain, la police parisienne possède un peu moins d’un milliers d’hommes en armes, chargés de la répression des bagarres, de la circulation… Ces hommes du guet font des rondes dans Paris mais peinent parfois à faire face aux émeutiers, comme ce fut le cas lors des révoltes frumentaires (liées à l’augmentation des prix des denrées alimentaires) en 1709, 1740, 1775, ou encore lors des rumeurs d’enlèvements d’enfants, dans les années 1750 : on voit à certains moment des rues qui deviennent incontrôlables. Contrairement aux idées reçues, bien avant la Révolution française, l’émeute populaire constituait déjà une grande crainte pour les autorités. En cas de coup dur, Paris devait parfois faire appel à l’armée, constituée de professionnels, rodés aux affrontements et mieux équipés.
Pour anticiper les révoltes, la police parisienne avait également recours à des « mouches », c’est-à-dire des espions, recrutés dans les milieux interlopes parisiens (parmi les prostituées ou les voleurs notamment). Un budget spécifique était même consacré à la rétribution de ces « mouches » !
Dès la fin du XVIIème siècle, les premiers effets liées à la création de la police se firent ressentir : les chiffres du crime baissèrent sensiblement, et les Parisiens se sentirent de plus en plus en sécurité. C’est notamment sous l’action du Lieutenant général de police, de Sartine, qu’un premier système d’éclairage publique fut mis en place à Paris. Toutefois, la police parisienne est parfois associée à la brutalité et à l’arbitraire. Ces conflits avec la police sont en effet palpables lors des arrestations de mendiants, par les archers des hôpitaux généraux (qui coopèrent avec la police parisienne). Des arrestations qui soulèvent très souvent de fortes émotions et produisent des échauffourées dans les quartiers parisiens – les habitants prenant souvent fait et cause pour leurs mendiants.
Signe néanmoins de la réussite de ce modèle policier, la France conserva, en partie, ce type de fonctionnement institutionnel pyramidal, avec notamment la figure du commissaire, toujours présente de nos jours. A partir de Napoléon Ier, la fonction de préfet de police fait son apparition, tandis que l’équipement et les attributions judiciaires évoluèrent peu à peu au cours des XIXème et XXème siècles.
Pour approfondir l’histoire de la police à Paris, n’hésitez pas à vous rendre au musée de la Préfecture de police de Paris !
Infos pratiques :
Musée de la Préfecture de Police
4, rue de la Montagne Sainte-Geneviève, Paris 5ème, 3e étage
Métro : Maubert-Mutualité (ligne 10)
Horaires d’ouverture : lundi à vendredi de 9h30 à 17h00
Tarifs : L’accès au musée est gratuit.
Svetlana Ovinova, artiste designer. En 2000, elle a obtenu un diplôme de l'Académie des arts de Saint-Pétersbourg. Depuis 1996 participe aux travaux des expositions: Peinture moderne, graphismes pour intérieurs. Le domaine d’activité comprend la décoration intérieure: cafés, discothèques, magasins, appartements privés. elle vit et travaille à Saint-Pétersbourg.