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La fête de Pourim ... Chez nos Ami(e)s Juif(ve)s !

Publié à 11:54 par yvonne92110 Tags : évènements ponctuels la fete juive de Pourim
La fête de Pourim  ... Chez nos Ami(e)s Juif(ve)s !
En 2012
: jeûne d'Esther le mercredi 7 mars, fête de Pourim le jeudi 8mars.                ( Lecture du Livre d’Esther dans une synagogue de Jérusalem lors de la fête de Pourim, le 8 mars 2012. )  

La fête de Pourim (????? les hasards), le 14 Adar, est la célébration du miracle qui a sauvé les juifs en Perse, vers l'an 480 avant l'ère courante. C'est aussi le symbole de la prise de conscience par le peuple juif que c'est toujours Dieu qui dirige l'Histoire même s'Il semble dissimulé, et que les Israélites ne peuvent percevoir Sa présence qu'en suivant Sa Torah.
L'histoire de Pourim est racontée dans le Livre d'Esther (Méguila) -                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    Histoire de Pourim ...

Peu de temps après la permission donnée aux juifs par Cyrus  de retourner à Jérusalem, il restait une forte population juive en Perse, dont Suse était la capitale.
Le roi Assuérus (485 à 465 avant l'ère courante), petit-fils de Cyrus, après avoir répudié son épouse Vashti, choisit pour nouvelle reine la belle Esther. Mais Esther n'avait pas révélé au roi qu'elle était juive, sur les conseils de son oncle Mordékhaï.

Ce même Mordékhaï, dans ce temps-là, avait sauvé la vie du roi en ayant déjoué le complot de ses gardes contre le souverain. Le fait fut inscrit dans les annales du royaume.

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Haman l'amalécite, un homme orgueilleux et cruel, était le conseiller du roi ; et il haïssait Mordékhaï, car ce dernier avait refusé de se prosterner devant lui, les Juifs ne se prosternant que devant Dieu. Il en conçut une haine pour le peuple juif entier, et complota pour le détruire en un discours malheureusement trop connu ; et le roi lui confia le soin de faire ce que bon lui semblerait. Haman, muni du sceau du roi, envoya dans toutes les provinces l'ordre de massacrer les Juifs le 13 Adar, date qu'il avait tirée au hasard.

Mordékhaï persuada Esther de parler au roi au nom du peuple juif. Pour s'apprêter à risquer sa vie en allant voir le roi sans avoir été convoquée, Esther passa trois jours en prière et en jeûne et avait demandé à tous les Juifs d'en faire autant. Le roi la reçut avec bienveillance, elle demanda à parler lors d'un festin qu'il organiserait le lendemain.

Ne pouvant dormir, le roi se fit lire les annales du royaume, où on lui rappela comment Mordékhaï avait déjoué la conspiration contre lui, et qu'il n'avait été fait aucune récompense à cet homme. Au matin, il demanda à son conseiller Haman quel traitement il se devait de réserver à un homme qu'il souhaitait honorer. Haman donna son avis en croyant que le roi pensait à lui : une parade en ville sur le cheval du roi. Assuérus lui ordonna alors de faire ce qu'il avait dit pour Mordékhaï.

Le soir, lors du festin, le roi demanda à Esther quelle était sa requête, qu'il promettait de lui accorder d'avance. Esther lui demanda la survie ainsi que celle de son peuple, que Haman avait condamnées. C'est ainsi qu'Assuérus publia un nouvel édit pour annuler celui de Haman, qui fut pendu sur la potence qu'il avait lui-même dressée pour Mordékhaï.

Le peuple juif, sauvé, passa du deuil à la réjouissance ; on célébra des fêtes. C'est ainsi que fut instaurée, le 14 Adar, la fête de Pourim.

 

Pourim dans le judaïsme ...

La fête de Pourim a une signification fondamentale dans le judaïsme.

Contrairement à Hhanouka où la religion et la pratique juives étaient en danger, Pourim raconte la menace physique sur le peuple juif. Nombreux furent les exemples dans l'histoire, où les Juifs furent pourchassés non pas en raison de leur croyance, mais uniquement par haine gratuite.
Le miracle de Pourim stigmatise l'espoir que les Juifs gardent toujours dans ces épreuves.

Il est un fait particulièrement marquant au sujet du Livre d'Esther : il s'agit du seul texte de la littérature juive sacrée dans lequel pas une fois il n'est fait mention de Dieu. Plus exactement, Dieu n'est pas cité explicitement, mais par de nombreuses allusions subtiles dans le récit. C'est que, si Pessahh est l'histoire de la libération du peuple juif par de grands miracles surnaturels, Pourim est la délivrance invisible, l'action cachée de Dieu à l'intérieur des lois de la nature. Par leur seule prière, les juifs du temps d'Esther furent sauvés ; aujourd'hui seul le croyant qui place toute sa confiance en Dieu, peut reconnaître la vraie grandeur du miracle.

C'est même le sens de nom de la fête. Pourim, la fête des "hasards", exprime l'idée que précisément, rien n'est laissé au hasard par Dieu. Ce qui semble être, à première vue, une conséquence de l'histoire, un enchaînement d'événements fortuits, n'est en fait que le moyen choisi par Dieu pour déployer Son Œuvre de Bien.

En effet, le déroulement de l'Histoire ne se limite pas à la mise en place des pièces du puzzle juste au bon moment en faisant apparaître au roi Assuérus le vrai visage de Haman et la grandeur d'âme de Mordékhaï. En remontant plus loin dans le temps, on prend toute la mesure de l'action permanente de Dieu dans le monde. Haman est un descendant du roi Agag, lui-même issu de Amaleq, le méchant qui avait attaqué lâchement et sans raison les Israélites dans le désert, par l'arrière, à leur sortie de l'esclavage d'Egypte, alors qu'ils étaient faibles et fatigués. Amaleq représente l'incarnation de la méchanceté gratuite, qui est le principe diamétralement opposé à la nature même de Dieu. Des générations plus tard, lorsque le Shaoul, roi d'Israël, vengea son peuple et combattit Amaleq, alors gouverné par Agag, il eut pitié de ce dernier et ne le tua pas. Tandis que Agag eut pour descendance Haman, qui voulut lui aussi perpétrer à son tour le crime d'Amaleq, les générations de la famille de Shaoul comptèrent Mordékhaï et Esther.
Ce qui ressemble à un hasard est bel et bien l'œuvre de Dieu.

La fête de Pourim aujourd'hui ...

Le 13 Adar est un jour de jeûne et de repentir, en souvenir du jeûne d'Esther, qui avait elle-même jeuné trois jours et avait demandé au peuple d'observer une journée de privation. S'il s'agit d'un samedi, le jeûne est avancé au jeudi pour ne pas gêner la célébration de Shabbat (noter que, du fait des dehhyiot, le 13 Adar ne peut jamais tomber un vendredi). Le jeûne est diurne uniquement ; il s'adresse à tous, mais comme d'habitude les personnes faibles ou malades en sont dispensées. Le 14 Adar est une journée de réjouissances.

Quatre particularités s'appliquent au jour de Pourim, 14 Adar, toutes issues du Livre d'Esther :

  • On écoute la lecture publique de la méguila (rouleau) d'Esther à la synagogue, deux fois : la veille au soir, et le matin du 14 ;
  • on envoie des cadeaux comestibles aux amis et aux pauvres, en symbole de solidarité dans l'épreuve ;
  • en souvenir du demi-shéquel que l'on donnait pour le Temple, l'usage est de donner une contribution pour les œvres d'Israël ;
  • on fait un banquet, dans l'après-midi, à l'image du festin d'Esther.

La coutume est également de se déguiser, car la vraie nature des personnages s'est révélée et leurs masques sont tombés.                                                      

Cette semaine, les juifs du monde entier célèbrent la fête de Pourim. La tradition veut que l’on se déguise à cette occasion et il est aussi recommandé de boire plus que de raison. A Jérusalem, la fête à débuté ce jeudi soir 8 mars.

Bref Historique ... retour sur la journée de la Femme !

Publié à 12:15 par yvonne92110 Tags : évènements ponctuels historique fete de la femme
Bref Historique  ...  retour sur la journée de la Femme !

BREF HISTORIQUE




«- 1910 : C'est à Copenhague, lors de la Conférence internationale des femmes socialistes, que l'idée d'une « Journée internationale des femmes » est décidée, sur une proposition de Clara Zetkin, représentante du Parti socialiste d'Allemagne.

 - mars 1911 : Un million de femmes manifestent en Europe.

- 8 mars 1913 : Des femmes russes organisent des rassemblements clandestins.


 - 8 mars 1914 : Les femmes réclament le droit de vote en Allemagne.

- 8 mars 1915 : À Oslo, des femmes défendent leurs droits et réclament la paix.

 - 8 mars 1917 : Début de la « Révolution de février » en Russie. À Saint-Pétersbourg, des ouvrières manifestent pour réclamer du pain et le retour de leurs maris partis au front.

- 8 mars 1921 : Lénine décrète le 8 mars Journée des femmes.

- 1924 : La journée est célébrée en Chine.

- 1946 : La journée est célébrée dans les pays de l'Est.

 - 8 mars 1947 : Léon Blum salue la place importante des femmes dans la Résistance.

 - 1971 : La journée est célébrée au Québec.

- 8 mars 1977 : Les Nations unies officialisent la Journée internationale de la femme.

- 8 mars 1982 : Statut officiel de la Journée en France.»

Cloclo ... 34 ans déjà et toujours dans les coeurs !

Publié à 12:38 par yvonne92110 Tags : people cloclo 34 ans déjà et toujours dans les coeurs
Cloclo ...  34 ans déjà et toujours dans les coeurs !

Demain cela fera 34 ans qu'il nous a quittés, tragiquement ... et pourtant il est toujours présent dans nos coeurs et suscite l'admiration de toutes les générations, encore aujourd'hui ! Il suffit de voir les sosies, imitateurs et jeunes - voire très jeunes -  qui dansent ses chorégraphies (j'ai vu très récemment - dans une émisson télé -  des petites filles de 10 ans, fans accomplies !)  ... Le saviez - vous ? -  Claude François détestait les " sosies "et pourtant aujourd'hui encore ils sont légion à vouloir l'imiter ... quant à l'égaler, c'est une toute autre chose !!!     Il reste le seul et unique CLOCLO  à ce jour !!!!!  - Son grand succès  : " Comme d'habitude " a été repris par de grands chanteurs, dont le Crooner Américain - Franck Sinatra - sous le titre bien connu : " My Way "  ..... 

Nom de naissance : Claude Antoine Marie François          
Date de naissance : 1 février 1939                                     
Date de décès : 11 mars 1978                                            
Profession : Chanteur - Producteur                                    (il aurait eu 73 ans ce premier février 2012 !) .......              

Claude François, sa biographie ... Souvenons-nous !

Publié à 13:49 par yvonne92110 Tags : people claude francois sa biographie souvenons nous
Claude François, sa biographie  ...  Souvenons-nous  !
CLAUDE FRANÇOIS : SA BIOGRAPHIE

L'Idole  !

Claude François naît le 1er février 1939 à Ismaïla en Egypte. Son premier grand succès "Belles Belles Belles", adaptation en français d'une chanson des Everly Brothers, a lieu en 1962. Lancé par l'émission "Salut les Copains", Claude François démarre alors une véritable carrière de chanteur. Poursuivant sa carrière avec frénésie, Claude François enchaîne les succès. Le 11 mars 1978, le chanteur entre dans la légende.

LA cie de Claude François commence sur les bords du lac Timsah en Egypte, tout près du Canal Suez. Claude François naît le 1er février 1939 à Ismaïlia, une petite ville perdue. Son père, Adolphe, a quitté, la France pour s’installer et travailler à Ismaïlia.

À 15 ans, Claude obtient son brevet. À la rentrée, il entre au lycée français du Caire. Il habite alors chez à deux pas des studios de Radio-Le-Caire. Grâce à une amie travaillant dans cette station, il découvre tous les nouveaux disques venus d’Europe et d’Amérique. Claude est sous le charme. Cette passion pour la musique, le conduit aussi à monter un petit orchestre avec des amis de lycée.

Claude quitte l'Egypte en 1956 pour Paris puis pour le sud. Pour faire vivre sa famille, Claude accepte un poste d’employé de banque qu’il abandonne assez vite pour devenir batteur dans un orchestre de Radio Monte-Carlo en 1959. Claude vit alors sa passion pour la musique. Il s’inscrit alors à l’Académie Nationale de Musique. Il est remarqué par le célèbre chef d’orchestre, Louis Frosio, qui l’engage comme chanteur au Casino de Monte-Carlo. Claude découvre alors la chaleur de la scène.

Après quelques essais, Claude François s'installe à Paris au début des années 60. Jean-Jacques Tilché permet à Claude d’enregistrer son premier disque : Nabout Twist, sous le pseudonyme de Kôkô. À la rentrée 1962, de retour à Paris, il signe un contrat avec les disques Fontana. Le triomphe ne tarde pas à arriver grâce à l’adaptation d’un tube américain : Girl, Girl, Girl. Cette chanson devient en français : Belles, belles, belles. En octobre 193, il sort un nouveau 45 tours sur lequel se trouve l’un de ses plus grands succès : Si j’avais un marteau qui restera plusieurs semaines n° 1.

Entouré d’une nouvelle équipe, Claude devient indépendant et commence une nouvelle carrière d’homme d’affaires. Il enregistre en septembre 1967 sous son propre label : Comme d’habitude. Après sa sortie en France, ce titre va devenir un tube. Avec l’adaptation américaine de Franck Sinatra, la chanson fera le tour du monde en devenant My way quelques mois plus tard. 1967, c’est aussi l’année d’une tournée en France et en Italie où Claude est très populaire. Il enchaîne alors plus de 6 ans de succès !

L'anneé 1974 va marquer un tournant dans la carrière du chanteur. Il décide en effet, d’arrêter les tournées épuisantes auxquelles il se livrait depuis ses débuts. En juillet, il sort un nouveau 45 tours : Le Mal aimé. Pendant tout l’été 74, Cloclo reprend finalement les chemins de France pour retrouver la scène. 

Toujours à l’affût de nouvelles tendances, il décide d’enregistrer un disque à la mode disco, qui commence à déferler sur l’Europe. Le premier extrait de cet album : Magnolias for ever, remporte, dès sa sortie en novembre 1977, un succès énorme et va rester en tête des hits pendant plusieurs semaines. Cloclo est alors invité dans toutes les grandes émissions de télé.

Le 11 mars 1978, Claude François, qui allait rejoindre un plateau d'enregistrement, meurt électrocuté dans sa salle de bains alors qui tente de remettre droite une applique murale. L’événement est national et reste aujourd’hui encore d’après de nombreux sondages, l’un des plus marquants des années 70.                                                                                                      De Claude François, on gardera à jamais l’image d’un artiste intransigeant, aux costumes de paillettes étincelants et aux chorégraphies millimétrées.

Chef de file du yé-yé, il fut l’interprète des plus grands succès des années 60 et 70: Magnolias For Ever, Belles belles belles, Alexandrie Alexandra, Le lundi au soleil, Comme d’habitude, Le téléphone pleure, ou encore le Mal aimé.

Celui qui fut l’égal d’une Dalida soulevait des foules immenses. Pour lui, des milliers de femmes en pleurs mimaient en France l’hystérie collective que soulevaient les Beatles outre-Manche. En pleine gloire, il disparaît tragiquement mais reste, près de vingt-cinq ans après sa mort, plus vivant que jamais.

Un enfant du soleil  ...

Parce que son père est contrôleur du trafic sur le canal de Suez, Claude naît en Égypte, à Ismaïlia, près du lac Timsah, le 1er février 1939. Lui et sa grande soeur Josette suivront leurs parents, Aimé et Lucie, d’origine franco-italienne, au gré des mutations paternelles.

Jeune homme, il vit une enfance rêvée, jusqu’à la nationalisation du canal en 1956, par le président Nasser. Expulsés, les François rejoignent la France et s’installent sur la côte d’Azur, tout d’abord à Marseille, puis à Monaco et à Nice.

Ce changement rapide de situation pèse sur Aimé et altère sa santé. Claude, âgé de dix-sept ans, prend les rênes de la famille et se voit dans l’obligation de trouver très vite un emploi. Mais cela ne l’empêche pas de développer une passion pour la musique et la danse: piano, violon et batterie lui permettent de s’évader d’une vie devenue difficile.

Premier cachet  ...

C’est ainsi que le jeune Claude débute à dix-huit ans aux percussions dans l’orchestre d’Aimé Borelli puis dans celui de Louis Frazio et plus tard, d’Olivier Despax. Malgré les remontrances de son père, Claude s’investit totalement dans cette voie artistique.

Son charisme et sa beauté de jeune éphèbe le font connaître dans les milieux branchés de la nuit. C’est d’ailleurs dans une boîte de nuit qu’il rencontre une danseuse anglaise, Janet Woolcoot, qui deviendra sa femme en 1960. Il y rencontre également Sacha Distel et Brigitte Bardot qui lui conseillent, de concert, de « monter » à Paris.

Sans un sou, Claude quitte le soleil méditerranéen pour la grisaille parisienne en 1961, et découvre une capitale chamboulée par le rock et les yé-yés.

La vague des yé-yés  ...

Profitant de la vague de succès de la génération Salut les copains, Claude enregistre un premier 45 tours Nabout Twist, sous le pseudo de Koko, aux éditions Fontana. Ce twist arabe n’a aucun succès, à une époque friande de reprises de grands standards américains.

Claude ne se laisse pas déstabiliser par cet échec, et, tout en abandonnant son nom de scène au profit de son vrai nom, sort un second 45 tours qui explose au hit-parade: Belles belles belles est le premier d’une longue série de tubes.

Cette reprise des Everly Brothers sort quelques semaines après la mort de son père. Très affecté par ce décès (les deux hommes étaient brouillés depuis peu), le chanteur se lance avec encore plus d’acharnement dans le travail. Il scelle ainsi une réputation sulfureuse de bourreau du travail, intransigeant et inébranlable.

Une prestation scénique incomparable  ...

Les premiers titres de Claude François sont ingénieusement des reprises américaines, très dansantes et à la base rythmique très simple. Dis-lui, Marche tout droit, ou Si j’avais un marteau (reprise du succès de Trini Lopez), fonctionnent parfaitement, mais c’est sur scène qu’il séduit le public.

Ce jeune homme blond à l’apparence asexuée est un danseur hors-pair, au look bon chic bon genre. La gente féminine succombe rapidement à son charme et participe à ses premiers succès. Cloclo s’approprie alors un public très jeune qui lui restera fidèle toute sa vie. En échange, il sacrifie sa vie à sa carrière.

Nombreux sont les jeunes chanteurs qui ont tenté leur chance au début des années 60. Rares sont ceux qui sont encore présents aujourd’hui ou qui ont marqué leur époque. Pour y parvenir, Claude travaille nuit et jour, précipitant la faillite de son couple. J’y pense et puis j’oublie rappelle cet épisode douloureux de sa vie privée.

Propriétaire désormais de sa somptueuse demeure de Dannemois, dans l’Essonne, Cloclo devient un véritable phénomène. 1964 est l’année de son premier Olympia, salle mythique dans laquelle il retourne dès 1965 pour enregistrer la célèbre émission Musicorama.

Désormais, il s’accompagne sur scène des fameuses Clodettes, jeunes femmes superbes qui mettent en valeur, par leur tenue légère et leur chorégraphie parfaite, le personnage central du chanteur. Le spectacle de Claude François est un véritable feu d’artifice scénique dont la gaieté n’a d’égal que la rythmique envoûtante des chansons.

Le sommet de la gloire ...

L’entêtement avec lequel Claude mène chacune de ses entreprises, fait de lui, en cette année 1968, un homme comblé. Isabelle, sa nouvelle compagne, donne naissance à Claude Junior au mois de juillet (Marc, son second fils, suivra l’année d’après).

Séparé de sa maison de disques, il crée la maison Flèche et devient ainsi son propre producteur. Enfin, chacun de ses disques se vend par centaines de milliers et Cloclo devient, avec l’aide des radios et des télévisions, la vedette la plus médiatique de ces années 60.

Un titre, particulièrement, sera à l’origine de cette gloire. Comme d’habitude, créé en 1968, devient avec les années l’une des chansons les plus mondialement interprétées (Elvis Presley, Paul Anka, Frank Sinatra ou encore les The Sex Pistols, la chanteront en anglais, et feront de My Way un air aussi célèbre que l’Imagine de John Lennon).

Chef d’entreprise, Claude ne se contente pas de mener les disques Flèche avec une main de maître, il produit aussi de jeunes artistes tels que Alain Chamfort ou Patrick Juvet et commercialise un parfum. Il rachète également le magazine Podium, qui, à l’instar du célèbre Salut les copains, diffuse dans la presse écrite, les succès de la chanson auprès de la jeunesse.

Rien ne l’arrête, ni le surmenage qui le guette, (il est victime d’une syncope sur scène à Marseille), ni un terrible accident de voiture dont il est victime en 1970.

L’homme à tout faire ...

Entre les tournées interminables dans le monde entier, son métier de producteur, sa vie privée et la promotion de ses nouveaux disques (Chanson populaire, Ca s’en va et ça revient, …), Claude François trouve le temps de racheter une agence de mannequins et un magazine érotique Absolu.

Son goût immodéré pour les femmes assoit sa réputation de coureur de jupons. Exigeant, voire odieux avec ses collaborateurs, frivole, orgueilleux, acharné dans le travail, de nombreux traits de caractère ternissent sensiblement l’image du chanteur, si bien qu’il est parfois victime de sa réputation, comme lorsqu’un fan l’agresse lors d’un concert en 1973.

Star immense, sa vie publique lui coûte très cher: d’un redressement fiscal à une tentative de meurtre, en passant par l’incendie de sa maison ou l’explosion d’un cocktail Molotov dans ses bureaux, Claude François vit sur le fil du rasoir.

C’est encore un accident qui lui coûte la vie le 11 mars 1978. Alors qu’il triomphe sur les ondes avec Alexandrie Alexandra, il s’électrocute dans la baignoire de son domicile parisien.

La mort précipite l’entrée de Cloclo dans la légende de la chanson, faisant de sa propriété de Dannemois un Graceland à la française, véritable lieu de pèlerinage. Des dizaines de milliers de personnes assistent à ses obsèques en l’Eglise d’Auteuil à Paris.

Véritable chef d’entreprise, marquant de son déterminisme et de sa rage de vaincre le monde de la chanson, Claude François a dirigé pendant presque vingt ans un empire culturel et musical. Avec Podium et les disques Flèche, l’interprète Cloclo savait également se muer en impitoyable homme d’affaires.

Belles belles belles, Le téléphone pleure, C’est de l’eau c’est du vent, Comme d’habitude, Je viens dîner ce soir, Je vais à Rio, ou encore Toi et moi contre le monde entier, font encore danser des millions de fans à travers le monde.

Celui que la mort, tout comme Dalida quelques années plus tard, en 1987, a porté au firmament de la chanson populaire, reste associé à jamais à un art très visuel, pour lequel danse, chant, strass et paillettes se mêlent merveilleusement.

Claude François, pour ses Fans ... le téléphone pleure !

Publié à 14:04 par yvonne92110 Tags : people claude francois pour ses fans le téléphone pleure
Claude François, pour ses Fans  ...  le téléphone pleure !

Claude François, surnommé Cloclo, (1939-1978), auteur-compositeur-interprète français.

Né le 1er février 1939 près du lac Timsah, à Ismaïlia en Égypte, il est mort accidentellement le 11 mars 1978 à l'âge de 39 ans à Paris, électrocuté dans sa salle de bains en manipulant une applique murale défectueuse.


Famille :

  • Son père, Aimé, Français originaire d’Égypte, est contrôleur du trafic sur le canal de Suez, lors de sa naissance le 1er février 1939, à Ismaïlia en Égypte.

Il porte les prénoms Claude, Antoine, Marie. Il était de tradition chez les François d'appeler les garçons par un prénom commençant par un A, mais Chouffa, sa mère avec son caractère trempé d'italienne a su imposé le prénom de "Claude", Antoine fut donc attribué en deuxième prénom et Marie étant le prénom de la Vierge pour protéger l'enfant.

  • Sa mère, Lucia alias Chouffa, originaire de Calabre en Italie, s'occupe du foyer familial.
  • Frère : aucun.
  • Sœur : une seule (Josette François)
  • Claude François a aussi deux enfants, Claude Junior alias Coco, et Marc. 


Biographie :
  • Sa famille est expulsée d'Égypte (avec de nombreux Français et Britanniques) lors de la nationalisation du canal de Suez ; il arrive avec ses parents à Marseille en 1956. La famille s'installe à Monaco puis à Nice.
  • Il apprend le piano, le violon et la batterie.
  • Il trouve une place de batteur dans un orchestre de quartet de jazz à Monte-Carlo, place que son père refusera tout d'abord car celui-ci souhaitait que son fils soit comptable (réf: Clo-Clo, le film de sa vie)
  • C'est à l'hiver 1960 qu'il arrive à Paris sur les conseils de Brigitte Bardot et de Sacha Distel avec Janet Woolcoot, qu'il a épousée le 5 novembre 1960 à Monaco.
  • Mars 1961 : son père décède d'une maladie des poumons, se laissant mourir, persuadé que la France l'a abandonné.
  • 1962 : premier succès avec Belles belles belles.
  • 1963 : Claude François demande à Michel Bourdais, dessinateur à Salut les copains, de réaliser son portrait. Il qualifiera de « merveilleux » ce dessin hyperéaliste qui est devenu par la suite, très célèbre.
  • 1964 : Claude François à l'Olympia
  • 1966 : apparition des Clodettes, ses danseuses.
  • 1967 : il compose avec Jacques Revaux et écrit avec Gilles Thibaut le titre Comme d'habitude, à la suite de sa rupture avec la chanteuse France Gall, qui sera adapté en anglais par Paul Anka (My Way) et repris notamment par Frank Sinatra Elvis Presley et Sid Vicious (mais avec des modifications du texte).
  • 13 mars 1967 : Claude François et Janet Woolcoot divorcent. Elle l'avait quitté au printemps 1962 pour Gilbert Bécaud qu'elle avait rencontré à l'Olympia.
  • 1967 : il fonde sa maison de disques Flèche. Il rencontre Isabelle Forêt qui donne naissance à Claude Junior le 8 juillet 1968 et Marc le 15 novembre 1969. Sa chanson "Parce que je t'aime mon enfant" est adaptée en anglais et reprise par Elvis Presley, "My boy".14 mars 
    1970 : malaise pendant un concert à Marseille salle Vallier,
  • 17 mai : accident de voiture sur l'autoroute du sud près d'Orange, un pneu éclate, Claude saura faire par la suite la "publicité" de cette marque de pneu à chaque interview qui suivirent.
  • 1972 : Il fonde son journal Podium qui devient rapidement la plus grosse publication pour les jeunes.
  • Séparation d'avec la mère de ses enfants. Il rencontrera Sofia, une suédoise avec laquelle il restera quatre ans.
  • 1973 : un fan l'agresse lors d'un concert.
  • 1975 : il est une victime collatérale d'un attentat de l'IRA dans son hôtel Hilton de Londres. Il doit la vie à une passante qui prendra la déflagration de plein fouet.
  • 1977 : il découvre que les droits qui lui ont été versés pour les adaptations de My Way, qui est devenu un succès mondial, n'ont pas été calculés correctement. Son dossier lui permet cependant d'obtenir gain de cause vers la fin de l'année[1]. Le 26 juin, il se fait tirer dessus alors qu'il est au volant de sa voiture, en chemin vers son moulin de Dannemois. Il échappe miraculeusement à la mort alors que la course poursuite avec ses agresseurs a duré pendant une dizaine de kilomètres.
  • Son dernier titre sera Alexandrie Alexandra (composé à l'automne 1977). Claude François meurt le 11 mars 1978, par électrocution dans la salle de bains, boulevard Exelmans à Paris, alors qu'il tentait de redresser une applique en cuivre qui était de travers sur le mur au dessus de la baignoire. Il devait, l'après-midi même (il était déjà en retard) participer à l'émission Rendez-vous de Michel Drucker. Un flash spécial à la radio et à la télévision annonce, à 16 heures, son décès.
  • 15 mars 1978 : son nouveau 45 tours Alexandrie, Alexandra arrive chez les disquaires, jour de ses obsèques qui eurent lieu en l'église d'Auteuil, à Paris.
  • Il est enterré au cimetière de Dannemois (Essonne) où sa tombe est l'objet de nombreuses visites. Il était propriétaire du moulin du village, aujourd'hui transformé en musée.
  • Le 11 mars 2000, une place Claude-François est inaugurée à Paris, boulevard Exelmans dans le 16e arrondissement, au pied de son ancien domicile parisien.
  • En 2004, une statue est inaugurée au Musée Grévin et en 2005, une rue d'Ismaïlia est également baptisée en son honneur.

Discographie de Claude François :

La discographie de Claude François comporte un peu plus de 400 titres, (près de 500 chansons avec les versions en public). Il en a commercialisé près de 400, ce qui démontre une volonté de travail hors du commun. La liste du lien ci-dessus concerne environ 380 titres différents commercialisés et un relevé exhaustif des essais et répétition. La discographie étrangère de Claude François comporte des titres en anglais, en italien, en espagnol et même en japonais. Il sortit 278 titres en France et en Français (car les chiffres donnés au-dessus comprennent les versions étrangères).

Il est le sixième plus gros vendeurs de disques en FRANCE derrière Johnny Hallyday, Michel Sardou, Jean Jacques Goldman, Celine Dion et Sheila.

On peut déduire de cette discographie certains éléments :

Ses paroliers :

Son attachement à sa première parolière Vline Buggy, et plus tard aux paroliers Gilles Thibaut, Eddy Marnay, Jean-Michel Rivat, Michèle Vendôme, Yves Dessca (qui deviendra producteur de Gloria Gaynor), Jacques Plante, Pierre Delanoë et Didier Barbelivien.

En 1977, il marque sa volonté de donner un sens plus pointu à ses chansons en faisant appel à Étienne Roda-Gil.

Ses compositeurs :

Il ne compose et écrit personnellement que très peu de chansons, mais elles sont un indice de ses préoccupations personnelles. Dans la première partie de sa carrière, comme tous les chanteurs français yéyés de l'époque, il va surtout faire des reprises qu'il adapte au public français, les titres anglais originaux n'étant pas distribués ou tout simplement directement cédés à l'exportation pour adaptation.

Si Claude François s'inspire souvent de la Motown, particulièrement du compositeur Lamont Dozier, associé aux frères paroliers-producteurs Brian & Eddie Holland, il fait également appel aux compositeurs français. Ainsi, il fait appel à Patrick Juvet, Alice Dona, Alain Le Govic (plus connu sous le nom d'Alain Chamfort) et Jacques Revaux qui composera Comme d'habitude. Mais c'est surtout Jean-Pierre Bourtayre qui, s'inspirant des sources de la Motown, lui composera ses plus grands succès.

Sa minutie lui fait modifier toutes les partitions et paroles qui lui sont présentées comme pour Comme d'habitude qui s'inspire de sa rupture avec France Gall. Il est l'auteur du titre "Belles belles belles", que Vline Buggy à l'origine avait intitulée "Rien rien rien".

en 2007, on estimait déjà que70 millions d'albums furent vendus...

Quelques titres "phares" :

  • 1962 : Le nabout twist (sa toute première chanson qui sera peu connue en France) mais dont il dut changer les paroles car certains passages étaient en arabe. On était alors en pleine guerre d'Algérie.
  • 1962 : Belles, Belles, Belles (c'est sa première chanson à succès : il devient une vedette)
  • 1962 : Marche tout droit
  • 1963 : Si j'avais un marteau
  • 1964 : Donna, donna
  • 1964 : J'y pense et puis j'oublie
  • 1965-1966 : Même si tu revenais, Sur le banc 21
  • 1967 : Comme d'habitude (c'est la troisième chanson la plus interprétée dans le monde)
  • 1968 : Eloïse
  • 1969 : Un monde de musique
  • 1969 : Tout éclate, tout explose 
  • 1971 : C'est la même chanson, Je te demande pardon
  • 1971 : Il fait beau, il fait bon, Stop au nom de l'amour
  • 1972 : Y'a le printemps qui chante , En attendant
  • 1972 : Le lundi au soleil, Belinda, Celui qui reste
  • 1973 : Je viens dîner ce soir
  • 1973 : Sha la la
  • 1973 : Chanson populaire
  • 1974 : Le mal aimé, La musique américaine
  • 1974 : Le téléphone pleure (c'est son plus grand succès)
  • 1975 : Toi et moi contre le monde entier, Le chanteur malheureux
  • 1975 : Pourquoi pleurer, Une chanson française
  • 1976 : Cette année-là,17 ans, Sale bonhomme,Le vagabond, Danse ma vie
  • 1977 : Je vais à Rio, Les anges, les roses et la pluie, Toi et le soleil
  • 1977 : Magnolias for ever, Alexandrie Alexandra, My way, So near and yet so far, The vagabond

    etc.....................


Le Pape Jean Paul II ... Serait bientôt Canonisé !

Publié à 14:17 par yvonne92110 Tags : religion le pape Jean Paul II serait bientot canonisé
Le Pape Jean Paul II  ... Serait bientôt Canonisé  !
Un miracle attribué à Jean Paul II pourrait accélérer sa canonisation ... Un miracle attribué à Jean Paul II, survenu depuis sa béatification le 1er mai dernier, pourrait permettre de le faire saint rapidement, assure jeudi le magazine italien Panorama, affirmant s'appuyer sur une documentation parvenue au Vatican.
Interrogé, le porte-parole du Vatican, Federico Lombardi, s'est refusé à tout commentaire et à toute confirmation, soulignant que seule la signature d'un décret par la Congrégation pour la cause des saints peut faire foi en la matière.

Selon Panorama, une guérison miraculeuse est survenue quelques semaines seulement après la béatification triomphale du pape polonais sur la place Saint-Pierre.

Ce miracle présumé, sur lequel Panorama ne divulgue aucun détail, a été signalé au postulateur (défenseur) de la cause de canonisation de Karol Wojtyla, le prélat Slowomir Oder, et a été choisi avec soin parmi quatre signalements de guérison, selon l'hebdomadaire.

D'après lui, le dossier est déjà à l'étude des experts de la Congrégation pour la cause des saints, et devrait, une fois l'instruction terminée, passer devant ses commissions médicale et théologique.

Trois critères sont essentiels pour reconnaître un miracle: la guérison doit avoir été instantanée, être durable et ne pas être explicable scientifiquement.

S'il n'y avait pas d'obstacles, la canonisation pourrait même intervenir dans l'espace d'un an, estime le magazine.

Le processus de béatification (étape ultime avant la canonisation) de Karol Wojtyla avait été mené de façon accélérée, seulement six ans après sa mort.

Beaucoup de fidèles catholiques voudraient que ce pape très médiatique et populaire soit proclamé saint au plus vite.

 

Je vous propose une ballade ... à Paris !

Publié à 15:16 par yvonne92110 Tags : paris et ses monuments la tour eiffel
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Commençons par l'incontournable  ... TOUR  EIFFEL  !

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Publié à 15:20 par yvonne92110 Tags : paris et ses monuments arc de triomphe de l etoile
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Et puis maintenant ... l' Avenue des Champs Elysées et l' ARC de TRIOMPHE de l' Etoile  ! 

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Publié à 15:25 par yvonne92110 Tags : paris et ses monuments le restaurant maxim s
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Tiens !  voici le fameux restaurant "MAXIM'S", près de la place de la Concorde : Nous y entrerons peut-être un autre jour  ! (vu la conjoncture - mdr) ...

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Publié à 15:31 par yvonne92110 Tags : paris et ses monuments le moulin rouge
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Un haut lieu touristique, prisé par les noctambules et ... les touristes : LE MOULIN ROUGE, entre Pigalle et le pied de la Butte (Montmartre)  ...