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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !
· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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Aujourd'hui je m'habille en habit d'Arlequin
Aujourd'hui je veux vivre le sourire à la main
Je veux être un soleil, la lampe d'Aladin
Je veux sentir vos coeurs battre dans ma poitrine
J'ai besoin de chanter tout l'amour qui m'anime
Comme les doigts d'un sculpteur donner la vie à l'argile
Une folie amoureuse du Ciel et de la Terre
Et qui parle d'amour au milieu de la guerre
Une folle qui veut croire au bonheur sur la Terre
Qui dessine des coeurs et qui sait dire je t'aime
Une folle...
Aujourd'hui petit frère je suis une magicienne
Celle qui trace les lignes de bonheur dans les mains
Je serai l'enchanteuse celle qui a mille coeurs
Une folie amoureuse du Ciel et de la Terre
Et qui parle d'amour au milieu de la guerre
Une folle qui veut croire au bonheur sur la Terre
Qui dessine des coeurs et qui sait dire je t'aime
Une folle...
Toi qui sais dire je t'aime sans rougir ni mentir
Toi qui sais que la Terre peut être un paradis
Prends ma main et demain nous serons des millions
Des fous amoureux du Ciel et de la Terre
Et qui parlent d'amour au milieu de la guerre
Des fous qui veulent croire au bonheur sur la Terre
Qui tairont les canons qui tairont les prisons
Des fous
ginette reno folle
Un couple ne peut pas avoir d'enfants, la femme est à l'église en pleurs.
Le curé lui demande ce qu'il y a.
"Monsieur le curé ça fait six ans que nous voulons un enfant et rien à faire"
Le curé lui dit : “Il y a un car qui va a Lourdes on ne sait jamais, vas-y ! "
Au retour de Lourdes, miracle la femme se trouve enceinte.
Deux ans plus tard de nouveau à l'église en pleurs.
"Mais qu'as tu encore ??? "
"Nous voulons un deuxième enfant rien à faire."
"Il y a de nouveau un car pour Lourdes lui dit le curé, vas-y ça a marché la première fois."
"Bien sûr dit la femme ! Mais est-ce qu'il y aura le même chauffeur ???”
Truffes sous haute surveillance !
L’ouverture des marchés de Carpentras et de Richerenches (Vaucluse) a marqué le week-end dernier le début de la récolte de la truffe noire, qui se négociera entre 300 et 1 000 euros le kilo jusqu’en mars. Une saison à risques pour les producteurs confrontés aux vols, un fléau qui nécessite l’appui de la gendarmerie. On nous vole tout, les plants, les truffes et les chiens.
La Truffe ! est le nom donné à la fructification comestible d'un champignon qui se présente sous une forme plus ou moins globuleuse. Le champignon peut produire plusieurs truffes. Certaines truffes sont particulièrement appréciées des gourmets depuis l'Antiquité, et la plupart des espèces de truffes sont très recherchées.
La Truffe noire ou Truffe du Périgord : se trouve uniquement dans les sols calcaires à une profondeur de 1 à 15 cm au pied d'arbres dits « truffiers » (chênes, noisetiers, tilleuls, charmes...). Elle se développe au printemps et grossit à partir de mi-août pour arriver à maturité plusieurs mois plus tard. Elle est alors ramassée à l'aide en général d'un chien truffier, d'un cochon ou de mouches.
La truffe est issue d'un mycélium qui vit en association avec les racines de chênes ou de noisetiers. Lorsqu'elle est mûre, la truffe libère des spores qui se mettent à germer et produisent les premiers filaments qui pénètrent dans les radicelles de l'arbre.
Il s'agit d'une véritable symbiose entre le champignon et l'arbre : celui-ci profite pour son développement de la présence du champignon qui fabrique divers produits comme des sucres, des vitamines et des hormones.
La durée de vie des truffes est comprise entre 200 et 290 jours, ce qui assure 3 mois environ de récolte, de la mi-décembre à la mi-mars.
La truffe de Bourgogne : se récolte plutôt entre mi-septembre et mi-janvier. D'abord veinée de blanc, elle s'assombrit. Quelques semaines sont nécessaires pour développer son goût, sa texture, son aspect et son odeur légèrement soufrée, particulière d'une truffe à l'autre et d'une espèce à l'autre.
Les espèces européennes de truffes dites gastronomiques :
En Italie, dans la région de Langhe et aussi en Croatie et en Istrie la truffe blanche d'Alba est de très loin l'espèce la plus chère et la plus recherchée.
La truffe noire du Périgord ou truffe de Provence, la reine des truffes, au parfum et à la saveur recherchés que l'on trouve dans le Vaucluse, dans le sud de la Drôme, dans le Lot et dans le sud-est de la France (Gard, Bouches-du-Rhône, Alpes-de-Haute-Provence et Var) (Cette zone fournit 83 % de la production française) mais aussi au Maroc, en Espagne, Italie, Croatie et Slovénie.
Truffe noire d'été, à l'odeur fine et légère de sous-bois et au goût léger de champignon forestier. Période de maturité : de début mai à fin septembre.
La truffe de Lorraine, odeur agréable de réglisse, d'amande et au goût ame, son parfum puissant en fait une truffe particulièrement recherchée. Le département de la Meuse présente deux caractéristiques avantageuses : il est à la limite du climat continental et son sol calcaire, argileux, des forêts riches en chênes, charmes, noisetiers, une altitude moyenne de 250 m.
Le climat froid et précoce de la Meuse est favorable aux truffes qui mûrissent tôt en automne.
Le vol et le chapardage de truffes sévèrement controlés :
Il y a des gens qui en ont fait quasiment leur métier, pour d’autres c’est du chapardage.
Les vives tensions exacerbées suscitées par des vols à répétition du champignon noir font que les trufficulteurs acceptent de rompre avec la discrétion qui les caractérise et de collaborer avec la gendarmerie pour l’élaboration d’un plan d’actions et de prévention.
Hélicoptère et contrôles routiers :
Un dispositif de surveillance prévoit des patrouilles de gendarmes aux abords des truffières, parfois avec l’appui d’un hélicoptère équipé d’une caméra thermique, et des contrôles routiers ciblés.
Les forces de l’ordre seront également présentes, en tenue ou en civil, lors des marchés de Carpentras et Richerenches, où se négocient entre 60 et 85 % de la production nationale.
Acheteurs et revendeurs y sont sensibilisés aux risques de soustraction de marchandise ou d’argent à l’issue des marchés, les transactions étant réalisées exclusivement en numéraire.
De son côté, le syndicat des trufficulteurs encourage l’équipement des parcelles en matériel de détection et a réintroduit le garde messier, chargé dans la tradition paysanne de surveiller champs et récoltes. Assermenté, non armé, le garde messier effectue des rondes en lien constant avec la gendarmerie.
Le Vaucluse en compte actuellement neuf, mais le président du syndicat espère en installer une trentaine.
La truffe chinoise :
Leur origine géographique : plus particulièrement dans les contreforts de l'Himalaya. Parfois frauduleusement colorées par des escrocs, elles sont vendues comme de véritables truffes gastronomiques.
Le coût d'importation des truffes chinoises était d'environ 19 € en 2002.
Le commerce de la truffe chinoise n'est pas illicite, la fraude consistant à la vendre sous une dénomination plus prisée. Sa consommation ne présente pas de danger et les charcutiers-traiteurs l'utilisent souvent comme décoration, mais elle a moins de goût et a tendance à capter les odeurs voisines.
La truffe chinoise a un aspect de peau et de forme un peu différente, elle est un petit peu plus régulière, et surtout le veinage est caractéristique. Son diamètre peut atteindre sept centimètres.
Conte des Frères GRIMM ...
Blanche-Rose et Rose-Rouge !
Une veuve vivait dans une maison coquette avec ses deux filles qu’elle avait prénommées Blanche-Rose et Rose-Rouge parce qu’elles ressemblaient aux boutons des deux rosiers sauvages, l’un blanc, l’autre rouge, qui croissaient en son jardin. Blanche-Rose et Rose-Rouge étaient des enfants bonnes, sages, travailleuses et vaillantes ; elles s’aimaient de tout leur cœur. Quand Blanche-Rose murmurait : " Nous nous aimerons ", Rose-Rouge répondait : " Toute notre vie " et leur mère ajoutait : " Ce que l’une aura, elle le partagera avec l’autre ". Ensemble, elles allaient au petit bois cueillir des fraises ; les animaux de la forêt les connaissaient bien. Le lièvre venait en boule rouler à leurs pieds et grignoter la carotte qu’elles lui avaient apportées. Les cerfs les égayaient de leurs bondissements majestueux et les oiseaux, au faîte des arbres, pépiaient et chantaient à gorge déployée. Quand elles s’attardaient dans la forêt et que la nuit les surprenait, elles couchaient l’une contre l’autre sur la mousse odorante, et s’endormaient jusqu’au matin. Leur mère ne se faisait pas de souci car elle savait qu’elles ne risquaient rien. Blanche-Rose et Rose-Rouge aimaient tant leur maison qu’elles la soignaient à longueur de journée. A la saison d’été, Rose-Rouge faisait le ménage et déposait tous les matins, avant que sa mère ne se réveillât, un bouquet de roses blanches et de roses rouges. A la saison d’hiver, c’était Blanche-Rose qui entretenait l’âtre où brillait la marmite de cuivre pendue à la crémaillère. Or, un soir d’hiver : - Blanche-Rose, va mettre le verrou, dit la maman. Puis elles s’assit près de la cheminée, mit ses lunettes et commença un conte. Les fillettes écoutaient en filant. A leurs pieds, un mouton, la tête entre les pattes, se chauffait, et les colombes sur leur perchoir roucoulaient encore un peu avant de mettre la tête sous l’aile Tout à coup, on frappa à la porte. - Va vite ouvrir, Rose-Rouge, dit la mère ; un homme, peut-être, veut s’abriter. Rose-Rouge tira le verrou, et un gros ours brun passa la tête dans l’entrebâillement de la porte. Rose-Rouge affolée, se jeta derrière le fauteuil de sa mère et Blanche-Rose se cacha derrière le lit. Le mouton était paralysé de terreur, et les colombes voletaient de tous les côtés.> - Que craignez-vous ? Je ne veux de mal à personne, j’ai surtout si froid ... - Viens, mon pauvre ours, dit la mère. Viens te coucher près du feu. Blanche-Rose et Rose-Rouge, sortez de vos cachettes, petites peureuses. Les deux fillettes, tranquillisées, s’approchèrent. Le moutons et les colombes aussi ... - Chères enfants, retirez-moi cette neige de ma fourrure. Avec une brosse, elles lissèrent le pelage épais du gros ours brun qui s’étendit devant l’âtre en grognant de plaisir. Ayant perdu toute peur et toute timidité, elles s’amusèrent à l’envi avec leur nouvel ami.
Il était lourd et pataud.
Elles lui tiraient les poils, enfonçaient leurs petites mains dans la fourrure chaude comme un nid, ou bien, avec une baguette, le taquinaient.
De temps en temps, lorsqu’elles allaient un peu trop fort et partaient d’un grand éclat de rire, il grognait : - Blanche-Rose, Rose-Rouge, ne tuez pas votre fiancé.
L’heure du coucher sonna à la vieille horloge ; les deux enfants s’en allèrent au lit sagement. La man dit à l’ours : - Reste là si tu veux, près du feu.
Il fait trop froid dehors !
. A l’aurore, il s’en retourna dans les bois d’où il était venu.
Les jours qui suivirent, ponctuellement, l’ours revint au logis.
Les fillettes ne fermaient plus la porte avant qu’il ne fût revenu se coucher devant l’âtre où il jouait avec elles des heures durant. Quand le printemps reverdit toutes les plantes, tous les arbres, l’ours dit adieu à ses amies pour aller vivre tout l’été dans la forêt. - Mais pourquoi donc ? s’étonna Blanche-Rose. - Pour empêcher que les méchants nains ne volent mon trésor.
L'hiver la terre est gelée, les nains ne peuvent sortir des profondeurs de leurs grottes.
. Au printemps, le soleil réchauffe et dégèle le sol. Ils vont sortir, venir me piller, et ce qu’ils dérobent, on ne le retrouve jamais. Blanche-Rose et Rose-Rouge se résignèrent à leur chagrin. En passant dans l’ouverture de la porte, l’ours accrocha au loquet un morceau de son pelage.
. Blanche-Rose crut voir briller sous la peau l’éclat de l’or, mais l’ours s’enfuit ... Quelques semaines après, tandis que les fillettes allaient ramasser du petit bois dans la forêt, elles rencontrèrent, sur un arbre abattu, un nain tout ridé dont la longue barbe blanche était prise dans une fente.
Il sautait de droite et de gauche sans pouvoir se tirer de ce mauvais pas.
- Pourquoi me regarder de la sorte ? vous feriez mieux de m’aider, lança-t-il aux fillettes.
- Que fais-tu là ? répliqua Rose-Rouge.
- Sotte que tu es ! Curieuse ! En coupant du bois en très petits morceaux, j’ai coincé ma belle barbe. Me voilà bien pris ! Je ne peux plus m’en aller ! Cela vous fait rire, visages de cire ! Fi donc ! Comme vous êtes vilaines ! - Je cours chercher de l’aide, s’exclama Rose-Rouge.
- Tête de linotte ! grogna le nain.
N’êtes-vous pas assez grandes pour me tirer de là ? - Prenez patience, dit Blanche-Rose en fouillant dans ses poches. Elle exhiba une paire de ciseaux et se mit à couper le bout de la barbe.
. A peine libéré, le nain prit le sac caché entre les racines de l’arbre et ronchonna : - Qu’elles sont stupides ! Avoir coupé ma si belle barbe ! Il jeta le sac sur ses épaules et s’en alla sans un mot de remerciement.
A quelque temps de là, les deux fillettes voulurent pêcher des poissons. Elles allaient s’installer près du ruisseau, quand, sur la rive, elles aperçurent, qui sautait dans tous les sens, une sorte de grosse sauterelle.
. En s’approchant, elles reconnurent le nain. Rose-Rouge, étonnée le questionna : - Veux-tu sauter dans le ruisseau ? - Sotte, je ne suis pas si bête.
Mais voyez ce poisson de malheur ... Le nain en pêchant avait pris sa barbe dans la ligne ; un poisson énorme pris l’hameçon allait entraîner la faible créature qui n’avait pas la force suffisante pour se tirer d’affaire.
. Il se cramponnait à toutes les tiges, à tous les brins d’osier, mais il ne pouvait plus lutter.
. Barbe et fil étaient si entremêlés que la seule solution était de couper un peu plus la belle barbe blanche. Libéré, le nain s’écria : - Mes pauvres filles, vous êtes toujours aussi sottes et laides ;me voilà dans un bel état ! Puis, ramassant un sac de perles fines dissimulé dans les roseaux, il disparut derrière une pierre.
Quelques jours passèrent ...
. La maman eut besoin de fil, d’aiguilles, de dentelles et de rubans ; elle envoya ses filles à la ville, chez la mercière.
. Le chemin qu’elles devaient prendre passait par une clairière semée de rochers.
. Comme elles l’atteignaient, les fillettes virent dans le ciel un grand oiseau qui tournoyait lentement, dans un long vol plané.
Soudain, il s’abattit sur le sol. Elles entendirent un cri de douleur. S’étant approchées, elles reconnurent avec effroi leur vieille rencontre, le nain, qu’un aigle avait saisir dans ses serres et allait emporter.
. Courageusement, les deux enfants se saisirent d’un bâton et se précipitèrent à son secours.
. Elles se battirent tant et tant pour arracher le petit homme aux serres de l’oiseau qu’à la fin, elles vainquirent.
Tout juste remis de sa peur, le nain glapit : - Vous avez déchiré mon bel habit. Vous êtes toujours aussi sottes et maladroites, et toujours aussi laides, tout juste bonnes pour aller au diable !Chargeant alors sur son dos un sac de pierres précieuses qui se trouvait derrière un gros rocher, il se faufila dans une crevasse ouverte dans le sol.
. Les fillettes, habituées à cette ingratitude, ne s’émurent pas outre mesure, et continuèrent leur chemin jusqu'à la ville.
Le soir, en revenant, elles prirent le même sentier qu’au matin ; elles surprirent le nain en contemplation devant les pierres précieuses qu’il avait vidées de son sac et qui éclataient de mille feux aux lueurs du couchant.
Émerveillées, elles s’arrêtèrent : -Vous ne savez que bailler aux corneilles, décidément ! jeta le nain, tout rouge.
Partez d’ici ! Et, tandis qu’il criait sa colère, un grand ours brun sortit pesamment des buissons.
Le nain, fou de terreur, fit un saut en arrière en hurlant : - Monsieur l’ours, laissez-moi la vie ; je vous donne toutes ces pierres précieuses.
Je suis tout petit, si chétif. Voyez ces deux fillettes, grasses comme des oies. Elles feront bien mieux votre affaire.
D’un seul coup de patte, sans autre forme de procès, l’ours supprima le méchant nain pour toujours.
. Les deux sœurs affolées allaient s’enfuir quand l’ours murmura : - Blanche-Rose, Rose-Rouge, je suis votre ami.
. Au son de cette voix connue et aimée, les fillettes se retournèrent
. Quel étrange spectacle ! La peau de l’ours tombait lentement et, sur le pelage qui faisait un tapis, se dressait un bel homme tout d’or vêtu.
-Je suis fils de roi, expliqua-t-il.
Ce maudit nain m’a jeté un sort en volant mes trésors. J’étais condamné à courir les bois sous la forme d’un ours sauvage jusqu'à ce que sa mort me délivrât.
. Il a reçu le châtiment qu’il méritait ... Blanche-Rose épousa le prince et Rose-Rouge, le frère du prince.
Ils partagèrent l’immense trésor que le nain avait amassé et vécurent ainsi dans l’opulence.
Leur maman devenue vieille, fut invitée à venir vivre au milieu de ses enfants et petits-enfants.
On transplanta dans le jardin du palais royal les deux rosiers qui avaient vu grandir les fillettes et ils donnèrent des roses plus belles d’année en année.
Larry Hagman, le célèbre et ignoble «JR» de Dallas, est mort ...
L'acteur Larry Hagman est décédé à 81 ans d'un cancer !
Il restera pour les fans de «Dallas» l'éternel «JR», l'homme d'affaires machiavélique de la série américaine. L'acteur Larry Hagman est décédé ce vendredi à l'âge de 81 ans dans la ville qui l'a rendu célèbre.
Entouré de ses proches, la star est décédée des suites d'un cancer. Mais «cela a été une mort paisible, comme il l'a souhaité», assure sa famille. L'homme au chapeau de cow-boy laisse deux enfants et cinq petites-filles.
Les sourcils broussailleux, les yeux turquoise d’un serpent venimeux, un sourire carnassier à dévorer le Texas : quand le charismatique Larry Hagman entrait dans une pièce, c’était toujours le terrible JR, John Ross Ewing, que l’on voyait instantanément. De 1978 à 1991, la série «Dallas» fit les beaux soirs de la télévision américaine avant d'être également diffusée dans le monde entier dans les années 1980. Un tel succès que,Depuis quelques années, Larry Hagman était apparu en invité de luxe de la série chirurgicale « Nip/Tuck » et de la septième saison de « Desperate Housewives ». Il suffisait alors qu'il se promène coiffé de l’un de ses inimitables chapeaux de cow-boy pour entendre s’exclamer sur son passage : « Oh mon Dieu, c’est JR !!! ». Un rôle qui lui colle à la peau même si l'homme a su se diversifier en étant également producteur et réalisateur. Il avait par ailleurs joué dans de nombreux films à destination du cinéma et de la télévision.
En France, c'est le comédien Dominique Paturel qui lui prêtait sa voix : « J’ai doublé 350 épisodes et JR est devenu un familier », confiait-il "au parisien" en septembre, interviewé sur la nouvelle version de «Dallas». D'ailleurs ce nouveau rôle, «je suis rentré dedans comme dans de l’eau chaude!» s’amusait-il. «Seule difficulté : Larry Hagman a encore plus l’accent texan et bouffe beaucoup de mots !» admettait sa célèbre voix française qui prenait toujours autant de plaisir à doubler JR.
Larry Hagman est décédé vendredi en fin d'après midi dans un hôpital de Dallas (Texas), à la suite de complications d'un cancer de la gorge.
En 1992, les médecins avaient découvert qu'il souffrait d'une cirrhose du foie, qui s'est ensuite transformée en tumeur cancéreuse. Trois ans plus tard, une greffe lui a sauvé la vie.
Mais Hagman était aussi connu pour son train de vie de fêtard. Il a mis un terme a ses consommations d'alcool et de tabac avant de devenir un des porte-drapeau de la lutte contre le tabagisme aux Etats-Unis.
"A sa mort, il était entouré de ses proches. Il s'est éteint paisiblement, comme il l'a souhaité", selon sa famille.
Larry Hagman était l'un des principaux héros de la série télévisée "Dallas", dont les innombrables épisodes content l'histoire d'une richissime famille du Texas qui a fait fortune dans le pétrole.
L'acteur y interprétait le rôle de John Ross (JR) Ewing, un homme d'affaires milliardaire, machiavélique et sans scrupules. Avec son éternel chapeau Stetson vissé sur la tête et son sourire sacarstique trahissant son appétit des manigances, "JR" était le moteur de la série et de ses treize saisons.
"Dallas" qui fit les beaux soirs de la télévision américaine de 1978 à 1991, a été diffusée sur les chaînes du monde entier dès les années 1980.
Larry Hagman s'était fait connaître en au millieu des années 60 dans la série comique "Jeannie de mes rêves" ("I Dream of Jeannie"). Il y incarnait un gentil astronaute harcelé par une belle blonde (Barbara Eden).
S'il vivait et travaillait dans le sud de la Californie (ouest des Etats-Unis), le nom de Hagman s'est associé à celui de l'Etat du Texas, théâtre des événements de "Dallas".
Hagman a présenté en 1985 "Lone Star", une série documentaire sur l'histoire du Texas diffusée sur la chaîne de télévision PBS.
Hagman a également fait une carrière au cinéma, interprétant le gouverneur corrompu Picker dans le film politique de Mike Nichols "Primary colors" avec notamment John Travolta et Emma Thompson.
En 2012, vingt ans après la fin de "Dallas", "l'ignoble" JR était de retour sur la chaîne câblée TNT dans une suite (7 millions de téléspectateurs) avec la crème de la distribution originale, son épouse trompée et bafouée Sue Ellen (Linda Grey, 71 ans) et le gentil Bobby (Patrick Duffy, 63 ans), accompagnés désormais de leurs enfants.
Larry Hagman naît le 21 septembre 1931 à Fort Worth (Texas). Ses parents divorcent en 1936 et il est envoyé vivre avec sa grand-mère à Los Angeles.
A l'âge de 12 ans, il retrouve à New York sa mère comédienne qui s'est remariée et mène une belle carrière à Broadway.
Après une année au Bard College dans la ville d'Anandale-on-Hudson (Etat de New-York, est), Hagman décide à son tour d'embrasser la carrière de comédien.
Il monte sur scène pour la première fois avec le Margo Jones Theatre-in-the-Round à Dallas, avant d'apparaître dans "La mégère apprivoisée" de Shakespeare montée par le New York City Center.
Puis Larry Hagman part au Royaume-Uni avec la troupe de sa mère pour la pièce à succès "South Pacific", où il reste cinq ans.
Son interprétation de J.R. Ewing, lui a vallu d'être nommé aux Emmy Awards dans la catégorie meilleur acteur de série télévisée, en 1980 et 1981. Il a aussi été nommé quatre fois aux Golden Globes entre 1981 et 1985.
Larry Hagman était marié à la décoratrice d'intérieur suédoise Maj Axelsson. Il laisse deux enfants et cinq petites filles.
(R.I.P.)