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USA ... Château de glace dans l’Utah !

Publié à 14:57 par yvonne92110 Tags : l image du jour chateau de glace dans l utah usa
USA   ...   Château de glace dans l’Utah !

L’image du jour : Château de glace dans l’Utah, USA                Crédit photo : Dustin Le Fevre

Aimer la main ouverte ... d'après Ruth Sanford !

Publié à 15:06 par yvonne92110 Tags : réflexion aimer la main ouverte d après ruth sanford
Aimer la main ouverte   ...   d'après Ruth Sanford  !

Aimer la main ouverte !

 

 "Une personne compatissante, voyant un papillon lutter pour se libérer de son cocon, et voulant l'aider, écarta avec beaucoup de douceur les filaments pour dégager une ouverture. Le papillon libéré sortit du cocon et battit des ailes, mais ne put s'envoler. Ce qu'ignorait cette personne compatissante, c'est que c'est seulement au travers du combat pour la naissance que les ailes peuvent devenir suffisamment fortes pour l'envol. Sa vie raccourcie, il la passa à terre. Jamais il ne connut la liberté, jamais il ne vécut réellement."
 
Apprendre à aimer la main ouverte est une toute autre démarche. C'est un apprentissage qui a cheminé progressivement en moi, façonné dans les feux de la souffrance et les eaux de la patience. 
J'apprends que je dois laisser libre quelqu'un que j'aime, parce que si je m'agrippe, si je m'attache, si j'essaie de contrôler, je perds ce que je tente de garder.
 
Si j'essaie de changer quelqu'un que j'aime, parce que je sens que je sais comment cette personne devrait être, je lui vole un droit précieux, le droit d'être responsable de sa propre vie, de ses propres choix, de sa propre façon de vivre.
 
Chaque fois que j'impose mon désir ou ma volonté, ou que j'essaie d'exercer un pouvoir sur une autre personne, je la dépossède de la pleine réalisation de sa croissance et de sa maturation. Je la brime et la contrecarre par mon acte de possession, même si mes intentions sont les meilleures.

http://www.larousse.fr/encyclopedie/data/images/1310085-Mue_imaginale_dun_monarque.jpg
 
Je peux brimer et blesser en agissant avec la plus grande bonté, pour protéger quelqu'un. Et une protection et une sollicitude excessives peuvent signifier à une autre personne plus éloquemment que des mots:
 
"Tu es incapable de t'occuper de toi-même, je dois m'occuper de toi parce que tu m'appartiens. Je suis responsable de toi."
 
Au fur et à mesure de mon apprentissage et de ma pratique, je peux dire à quelqu'un que j'aime :
  
Je t'aime, je t'estime, je te respecte et j'ai confiance en toi. Tu as en toi ou tu peux développer la force de devenir tout ce qu'il t'es possible de devenir, à condition que je ne me mette pas en travers de ton chemin. Je t'aime, tant que je peux te laisser la liberté de marcher à côté de moi dans la joie et dans la tristesse. Je partagerai tes larmes mais ne te demanderai pas de ne pas pleurer. Je répondrai si tu as besoin de moi, je prendrai soin de toi, je te réconforterai, mais je ne te soutiendrai pas quand tu pourras marcher tout seul. Je serai prête à être à tes côtés dans la peine et solitude, mais je ne les éloignerai pas de toi. Je m'efforcerai d'écouter ce que tue veux dire, avec tes paroles à toi, mais je ne serai pas toujours d'accord avec toi.
 

  
 
Parfois, je serai en colère, et quand je le serai, j'essaierai de te le dire franchement, de façon à ne pas avoir besoin d'être irrité de nos différences, ni de me brouiller avec toi. Je ne peux pas toujours être avec toi ou écouter ce que tu dis, parce qu'il y a des moments où je dois m'écouter moi-même, prendre soin de moi. Quand cela arrivera, je serai aussi sincère avec toi que je pourrai l'être."
  
J'apprends à dire cela à ceux que j'aime et sont importants pour moi - que ce soit avec des mots ou par ma façon d'être avec les autres et avec moi-même.
 
Voilà ce que j'appelle aimer la main ouverte.
Je ne peux pas toujours m'empêcher de mettre mes mains dans le cocon ... mais j'y arrive mieux, beaucoup mieux, depuis que je me respecte aussi.
 

(RUTH SANFORD)

Blagounettes en images ... no comment !

Publié à 15:29 par yvonne92110 Tags : humour humour en images no comment

Merci mon amie Lisa ... pour ce joli cadeau surprise !

Publié à 15:43 par yvonne92110 Tags : cadeaux recus merci lisa tablapizza centerblog net

A consommer sans modération ... des yeux !

Publié à 15:54 par yvonne92110 Tags : images droles ou insolites fruits sans modération
A consommer sans modération   ...  des yeux !

Sculpture sur fruits et légumes

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Pays de Brocéliande ... la Dame Blanche de trécesson !

Publié à 16:06 par yvonne92110 Tags : légendes de bretagne légende dame blanche trécesson
Pays de Brocéliande ... la Dame Blanche de trécesson !

LA DAME BLANCHE du CHATEAU de TRECESSON                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             Légendes au pays de Brocéliande !                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Cela se passait aux environs de 1750, par une nuit d'automne, un braconnier était embusqué dans le parc du château et y guettait sa proie, quand il crut entendre un bruit lointain.  Craignand'être découvert,  il  cacha précipitamment son fusil et grimpa sur un arbre. A peine y était-il établi qu'il aperçut, à l'extrémité de la grande allée du parc, une voiture attelée de chevaux noirs et suivie de plusieurs domestiques qui portaient des torches allumées.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            L'équipage s'avançait lentement et presque sans bruit, aucune voix n'interrompait le silence de la nuit, qui n'était troublé que par le pas mesuré des chevaux et par le froissement des roues sur les branchages et les feuilles desséchées. Cet étrange cortège s'arrêta à quelques pas du braconnier, qui vit bientôt, à la lueur des torches, plusieurs hommes munis de bêches et de pioches, s'avancer de son côté et se mettre à creuser une fosse précisément au pied de l'arbre sur lequel il se trouvait. Au même instant deux gentilshommes, dont le rang élevé s'annonçait par l'élégance et la recherche de leur costume, sortirent de la voiture et firent descendre avec violence une jeune femme richement parée.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Elle portait une robe de soie blanche, sa tête était couronnée de fleurs, un bouquet ornait son sein, tout indiquait une jeune fiancée qu'on va conduire à l'autel, mais sa chevelure était en désordre et ses yeux pleins de larmes, ses joues pâles, ses gestes suppliants annonçaient assez qu'elle était en proie à l'épouvante. Traînée plutôt que soutenue par ses conducteurs, quelquefois elle se débarrassait de leurs bras, se précipitait à leurs pieds, embrassait leurs genoux,les appelait ses frères et ses amis, et les suppliait en sanglotant de ne pas lui arracher la vie. Ce fut en vain, ses persécuteurs demeurèrent froids et inflexibles devant ses supplications désespérées, et loin de paraître ému, l'un deux la repoussa brutalement.


Mes frères, mes amis, oh ! je vous en supplie, ne me faites pas de mal. - Vos frères ! non Madame, nous ne le sommes plus, vous avez cessé d'appartenir à la famille que vous déshonorez.          - Au nom du ciel ! ne me tuez pas. Faut-il donc mourir si jeune ! Au moment d'atteindre au bonheur ! Ah ! que la mort est affreuse.  - Il faut pourtant vous y résigner, Madame, les pleurs sont inutiles, votre heure est venue, vous allez mourir.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           La fosse était creusée, les cavaliers firent signe à leurs gens, qui s'emparèrent de la jeune dame. L'infortunée se débattit longtemps dans les bras de ses bourreaux, mais malgré ses efforts désespérés, malgré ses supplications et ses larmes, elle fut jetée dans la fosse qu'on recouvrit précipitamment de terre pour étouffer ses derniers gémissements, puis les deux seigneurs remontèrent dans la voiture, l'équipage s'éloigna au grand trot des chevaux, et quelque moment après, le parc de Trécesson avait repris son obscurité, son calme et son silence.
 
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Pendant cette scène affreuse, le braconnier, le coeur serré par l'effroi, avait à peine pu respirer. Lorsque la voiture eut disparu, lorsqu'il eut cessé d'entendre le pas rapide et cadencé des chevaux qui l'entraînaient, il se décida à descendre de son arbre, mais, plein de trouble et d'épouvante, il ne songea pas à écarter la terre qui étouffait la malheureuse femme qu'on venait d'assassiner sous ses yeux. ll courut en toute hâte chez lui, où il raconta, tout éperdu, à sa femme, le crime dont il avait été le témoin. Celle-ci fit de vifs reproches à son mari et l'accusa de lâcheté. L'entraînant ensuite, elle voulut aller dans le parc pour ouvrir la fosse, mais une réflexion terrible lui vint  : si elle et son mari allaient être surpris auprès d'un cadavre à peine froid, ne leur imputerait-on pas le crime affreux qui venait d'être commis  ? Cette crainte l'arrêta, elle jugea qu'il n'y avait rien de mieux à faire que de se rendre auprès de M. de Trécesson et de lui raconter ce qui s'était passé. Le braconnier et sa femme, introduits chez leur seigneur, purent à peine, tant ils éprouvaient de crainte, lui faire le récit du crime qui venait d'être commis sur ses terres. Aussitôt que M. de Trécesson eut compris de quoi il s'agissait, il se hâta de faire appeler tous les gens de sa maison et de leur donner l'ordre le plus pressant de se rendre au lieu indiqué, où lui-même les suivit bientôt. Cependant ces démarches, ces préparatifs avaient emporté le temps. Le jour était prêt à paraître lorsqu'on pu commencer à enlever la terre qui recouvrait la fosse. Tous les regards, dirigés sur le même point, annonçaient l'anxiété des acteurs de cette scène, l'espérance et la crainte, l'attendrissement et l'horreur se succédaient. Enfin, lorsque le visage de la jeune dame parut à découvert, celle-ci ouvrit doucement les yeux, poussa un long soupir et ses yeux se refermèrent pour toujours.  
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           M. M. de Trécesson fut profondément affligé de cet événement. ll lui fit rendre les honneurs funèbres avec une pompe digne du rang qu'elle paraissait avoir occupé dans le monde. Par la suite, il fit de nombreuses démarches pour découvrir les assassins, mais toutes ces recherches furent inutiles, on ne put savoir ni le nom de cette jeune dame qui avait disparu d'une si étrange manière, ni la cause du sort cruel qu'on lui avait fait subir, et cet évènement extraordinaire et toujours resté enveloppé, d'impénétrables ténèbres. Cependant, le souvenir s'en est transmis jusqu'à nous par des signes certains, M. de Trécesson avait solennellement déposé dans la chapelle du château la robe nuptiale, le bouquet et la couronne de fleurs de la jeune et malheureuse fiancée qui restèrent sur l'autel, exposés à tous les regards, jusqu'à l'époque de la Révolution.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               Voilà pourquoi, depuis deux siècles au moins, on voit régulièrement apparaître aux abords du château de Trécesson, une Dame Blanche !!!

Eau de Parfum de Christian Dior ... Hypnotic Poison !

Publié à 16:32 par yvonne92110 Tags : parfums de luxe hypnotic poison christian dior
Eau de Parfum de Christian Dior   ...   Hypnotic Poison  !

"Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir. Valse mélancolique et langoureux vertige"  :  Ce sont les vers de Charles Baudelaire, (extrait des Fleurs du mal). Ils définissent bien la nouvelle eau de parfum Hypnotic Poison de Christian Dior. Elle se promet ensorcelante et addictive.   Prix pour 50 ml : 94 euros.

Juste pour le plaisir ... de vous faire plaisir !

Publié à 16:35 par yvonne92110 Tags : images animées juste pour le plaisir de faire plaisir
Juste pour le plaisir    ...    de vous faire plaisir  !

" Un papillon  ...  est un billet d'amour, plié en deux " !

Le train des Pignes déraille: 2 morts, 8 blessés !

Publié à 22:56 par yvonne92110 Tags : actualités le train des pignes déraille 2 morts 8 blessés
Le train des Pignes déraille: 2 morts, 8 blessés !

Le train des Pignes déraille : deux morts, dont une Russe Deux femmes ont été tuées samedi - une touriste russe de 49 ans et une octogénaire de la région - dans le spectaculaire déraillement du célèbre train des Pignes, provoqué par la chute d'un rocher de plusieurs tonnes, près d'Annot (Alpes-de-Haute-Provence).augmenter la taille du texte diminuer la taille du texte

Huit personnes ont été par ailleurs blessées, dont une gravement :

"Un énorme rocher s'est détaché de la montagne et il est venu percuter le train, derrière la cabine du conducteur. A la suite de l'impact, la partie avant du train a plongé dans le ravin", a expliqué le sous-préfet de Castellane, Charbel Aboud, lors d'une conférence de presse.

L'alerte a été donnée peu après 11h00 par le conducteur qui a contacté par radio le chef de gare d'Annot. Le train, parti à 08h50 de Nice, roulait à vitesse réduite, limitée à 30 km/h sur cette portion. Il était composé de deux voitures.

"C'est un accident tragique, dont les circonstances sont liées à une terrible fatalité: il y a eu concomitance entre le passage du train et l'éboulement de cet énorme rocher, d'une vingtaine de tonnes", a souligné le procureur de la République à Digne-les-Bains, Stéphane Kellenberger.

Le ministre des Transports Frédéric Cuvillier s'est rendu à l'hôpital Saint-Roch de Nice, où les huit blessés ont été transportés. Une neuvième personne, très légèrement blessée, n'a pas été hospitalisée.

Cet accident était "imprévisible, la voie avait fait l'objet d'une inspection le 14 janvier, il n'y a donc pas eu de défaut de vigilance", a déclaré le ministre, aux côtés du président du conseil régional Michel Vauzelle.

Le maire (UMP) de Nice Christian Estrosi, le président (UMP) du Conseil général des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, et Bernadette Chirac, présente à Nice pour le 25e anniversaire de l'opération Pièces jaunes, se sont également rendus au chevet des blessés, âgés de 24 à 73 ans et originaires des Alpes-Maritimes, à l'exception du mari de la touriste russe.

La seconde victime, originaire d'un village voisin d'Annot, était âgée de 82 ans.

Contacté par l'AFP, Daniil Boltaks, consul au consulat général de Russie à Marseille, a exprimé ses "condoléances les plus sincères à toutes les victimes", "remerciant infiniment les secours pour leur professionnalisme et leur efficacité".

"Rocher tombé du ciel" :

 Les 24 passagers ressortis indemnes de l'accident ont pu rentrer chez eux après avoir été entendus par une cellule de soutien psychologique.

"J'étais tranquillement en train de me reposer à l'arrière du train. J'ai pas compris, j'ai été projetée sur la gauche et j'ai vu la première partie du train qui descendait dans le talus", a raconté à l'AFP Floriane Bonnet.

"C'est comme si le rocher était tombé du ciel, comme un tremblement de terre", a confié un voyageur de 47 ans, Jean-Jacques Messaoud, qui a vu une victime avec la "carotide ouverte".

Le plan "nombreuses victimes" (Novi, appelé auparavant plan rouge) a été déclenché. Au total, une centaine de sapeurs-pompiers, de nombreux véhicules et deux hélicoptères ont été dépêchés sur les lieux, une zone enneigée difficile d'accès.

Les investigations, confiées à la gendarmerie et au bureau enquête accidents, devront faire la lumière sur les circonstances du drame.

Il n'y a jamais eu d'éboulement sur cette partie de la ligne, "qui était sécurisée par des grillages de protection", emportés, comme le train, par le rocher, selon le sous-préfet.

Le train des Pignes, plus que centenaire, est exploité directement par la régie régionale des transports de Provence-Alpes-Côte d'Azur. Il avait été géré ces dernières années par la société Transdev, filiale de Veolia, via une délégation de service public.

"Cette ligne a été modernisée, rénovée, le matériel est récent et je ne suis pas inquiet pour son avenir", a relevé Jean-Yves Petit, vice-président de la Région chargé des transports, précisant que le trafic ne pourra reprendre dans l'immédiat qu'en zone urbaine.

Un parcours vertigineux

L'accident est survenu au-dessus de la route nationale 202, à mi-chemin du parcours du train qui relie Nice à Digne en plus de trois heures, à raison de quatre liaisons par jour.

Transportant moins de 500.000 voyageurs par an, il est l'un des plus originaux de France avec ses 151 km empruntant 25 tunnels, une trentaine de ponts et viaducs à flanc de montagne, sur un parcours sinueux et vertigineux à souhait, très prisé des touristes.

L'appellation "Train des Pignes" remonterait à l'ouverture de la ligne, le 3 juillet 1911, lorsque le chef de dépôt de Nice fit allumer le foyer de la machine à vapeur avec des pommes de pin ("pigna" en provençal).

Bonne soirée mes ami(e)s ... suivie d'une douce nuit !

Publié à 23:33 par yvonne92110 Tags : bonne soirée mes amis suivie d une douce nuit