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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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« Quand des personnes se rencontrent, souvent elles se serrent la main, et de même quand elles se quittent ; ou bien elles s’envoient un salut de loin. C’est donc qu’elles savent instinctivement que la main est capable d’émettre des courants, et aussi d’en recevoir. C’est pourquoi il faut veiller particulièrement à ce que l’on transmet par la main. Si on doit se saluer, c’est pour se faire du bien, se donner mutuellement quelque chose de bon. Sinon, c’est inutile. Pour celui qui a la conscience éveillée, un salut est un geste formidablement significatif et opérant par lequel il peut encourager, consoler, vivifier les créatures. Les échanges les plus puissants, les plus bénéfiques ne sont pas nécessairement ceux que l’on fait en se rapprochant physiquement. On peut mettre beaucoup d’amour et de lumière dans un geste de la main et le regard qui l’accompagne. Alors, que votre âme participe à votre salut et que votre esprit aussi y participe ! Il faut qu’un salut soit une vraie communion, qu’il soit puissant, harmonieux, vivant. » |
Omraam Mikhaël Aïvanhov |
Résumé du film :
Trois dangereux détenus s’évadent. Le shérif local Deegan lance à leurs trousses le chasseur de primes Lewis Gates.
Celui-ci retrouve la trace des fuyards, mais identifie une authentique flèche indienne qui l’incite à rebrousser chemin. Intimement persuadé que les évadés ont été tués, il retourne rendre compte de ses doutes au shérif et demande à l’anthropologue Lillian Sloan d’authentifier la mystérieuse flèche.
Intrigués, l’aventurier et la scientifique en arrivent à la même conclusion : un groupe de Cheyennes pourrait bien avoir échappé au massacre de leur tribu et s’être réfugié depuis plusieurs générations dans une zone inexplorée.Lewis et Lillian décident de partir ensemble à la recherche des évadés avec l’espoir secret de retrouver ce camp indien isolé du reste du monde.
De la pointe de son pinceau
Elle nuance la vie des gens
Elle ajoute des couleurs apaisantes
Elle dilue les souffrances
De sa palette de couleur
Elle colore le ciel de chacun
De paillettes de sourires
De parcelles de bonheur
Sa toile est la trame de fond
D’une histoire apaisée
Par les soins apportés
Au chef-d'oeuvre en dormance
La main doucement tressaille
D'un mouvement gracile
La touche magique
Qui viendra compléter le soin nécessaire
A l'achèvement du geste à poser
L'oeil hagard, l'émoi en effusion
Elle déambule sur son tableau
Telle une abeille à la recherche du miel
Qui se transformera en nectar bienfaiteur
Elle ravive les teintes
Elle colore les coeurs
Elle donne vie à l'impossible
Elle donne l'espoir à l'achèvement
Disponible à sa création
Elle compose avec le présent
Dialogue avec l'intimité des êtres
Et réconforte l'âme
Elle met la touche finale
Et l'ouvrage prend son envol
A sa vie propre
Son chemin à parcourir
Mais l'espace d'un moment
Sa présence aura été essentielle
Son don de soi primordial
Sa gentillesse un baume
La dentelle délicate
Qui a conduit, guidé, dirigé
Le patient observateur
Vers un mieux-être
Un apaisement de l'esprit
Par son émanation du coeur
Son inspiration créatrice
L'aquarelliste
Ni sifflets ni huées : François Hollande a arpenté samedi les allées du Salon de l'agriculture dans un climat apaisé, même s'il n'a pu échapper aux interpellations d'éleveurs en plein malaise.
Installée jusqu'au 2 mars à la Porte de Versailles, la "plus grande ferme du monde" présente cette année plus de 4.000 animaux. Elle avait reçu l'an passé près de 700.000 visiteurs.
Son inauguration s'annonçait risquée pour le chef de l'Etat, entre le "ras-le-bol" de la profession, une cote de popularité au plus bas et les mouvements d'humeur des "bonnets rouges" ou de la Manif pour tous, susceptibles de vouloir se faire entendre.
Accueilli chaleureusement à 07H00 par un éleveur de Bergerac (Dordogne), qui lui a présenté une Blonde d'Aquitaine, il a ensuite déambulé parmi les stands entouré d'un important dispositif de sécurité, dans un climat serein sans effusion ni hostilité, goûtant tour à tour boeuf, brochette d'agneau, charcuteries ou fromage.
A l'exception d'un "Hollande casse-toi !" hurlé par une femme rapidement évacuée par le service d'ordre, aucun incident n'a perturbé la visite, qui s'est achevée en début d'après-midi.
"Tout le monde s'attendait à ce que ce soit le concours des sifflets, des huées, des difficultés et les journalistes sont tous surpris (...) C'est un dialogue qui s'est installé", a raillé le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll, à la fin de la visite présidentielle.
Pour François Hollande, il s'agissait d'une "visite de travail", dont l'objet était de "prendre en compte les problèmes, de les régler" mais aussi d'évoquer un secteur d'excellence fortement exportateur et son "avenir" auprès des jeunes.
"Il y a une question du lait, qui doit être rémunéré à son prix, il y a les questions de simplification, et j'ai lancé, pour l'ensemble des filières agricoles le pacte de responsabilité", a-t-il énuméré.
Si le président n'a rien annoncé sur le fond, l'ambiance de sa visite semble démontrer que la négociation conflictuelle sur la Politique agricole commune (PAC), dont les résultats avaient tant déplu aux céréaliers, appartient désormais au passé
"Je suis dans un état d'esprit positif", a confirmé à l'AFP Xavier Beulin, le président de la FNSEA, principal syndicat agricole. "Le climat est serein", a renchéri François Thabuis, président des Jeunes agriculteurs (JA).
De fait, la FNSEA avait évacué les sujets qui fâchent lors des Etats généraux de l'agriculture tenus vendredi pour interpeller les pouvoirs publics sur ses difficultés avec une revendication centrale: la simplification.
"Vous avez soulevé beaucoup d'espoirs, mais on a l'impression qu'ils ne sont pas récompensés", a reproché à François Hollande Jean-Pierre Fleury, patron de la Fédération nationale bovine (FNB), évoquant la prime aux vaches allaitantes, point d'achoppement des négociations de la PAC.
"Ce président, il fait plus de choses pour les profs que pour les agriculteurs", a regretté Antoine Jaffré, 14 ans, un fils d'éleveur parvenu à passer en force avec son taureau Rouge des Prés pour approcher le chef de l'Etat.
Un éleveur des Pays de la Loire s'est lui agacé auprès du chef de l'Etat sur le lait: "Quand le prix du lait baisse en Allemagne, il baisse ici et quand il remonte en Allemagne il ne remonte pas en France". "Stéphane, faut négocier, faut négocier", a répondu le président en se retournant vers Stéphane Le Foll.
"Sur le prix du lait, Stéphane il a déjà négocié, il n'attend pas", "je ne reste pas assis dans mon bureau", a plaisanté le ministre de l'Agriculture parlant de lui à la troisième personne.
François Hollande a finalement quitté le salon après une visite de sept heures. Il en avait passé dix l'an dernier, et une douzaine en 2012, en pleine campagne présidentielle.
"On arrête avec le concours, faut dépasser ça", a demandé Stéphane Le Foll, brocardant les vélléités des journalistes de jauger la durée du passage du chef de l'Etat à l'aune des marathons dont Jacques Chirac, le plus "fidèle" au Salon de tous ses prédécesseurs, était le spécialiste.
Le pape François a créé samedi dans la basilique Saint-Pierre ses 19 premiers cardinaux, avec l'appui moral de son prédécesseur Benoît XVI, venu pour la première fois assister à une cérémonie publique depuis sa démission il y a un an.
Le pontife émérite de 86 ans, était au premier rang, habillé tout de blanc, calotte blanche sur la tête, parmi les cardinaux, vêtus de rouge. Il a été salué avec chaleur à son entrée par François, et de nouveau à la fin de la cérémonie, les deux hommes se serrant la main longuement.
Le secrétaire d'Etat Pietro Parolin a remercié Benoît XVI pour sa présence, lors de cette cérémonie très solennelle conduite en latin.
Jorge Mario Bergoglio François a succédé le 13 mars 2013 à Joseph Ratzinger qui avait démissionné le 28 février. C'est la première fois que l'ancien pape allemand, qui vit retiré au Vatican et a promis de ne pas s'immiscer dans les affaires de son successeur, participe à une grande cérémonie publique dans la basilique.
Vraisemblablement, le pape François le lui a demandé pour manifester la pleine communion au sein de l'Eglise.
Dix-huit des dix-neuf nouveaux cardinaux étaient présents, car le très âgé Loris Francesco Capovilla, 98 ans, ancien secrétaire du pape Jean XXIII, n'a pas réussi à venir de Bergame (nord de l'Italie).
Chaque nouveau cardinal s'est approché et agenouillé pour se voir poser sur la tête la barrette (coiffe rouge à quatre bords). Le pape leur a passé l'anneau cardinalice à un doigt, et remis son titre dans un parchemin enroulé, chacun recevant symboliquement la charge d'une des centaines d'églises romaines. Il les a ensuite embrassés avec plus ou moins de chaleur. Il a notamment manifesté beaucoup d'attention pour Lorenzo Baldisseri, le secrétaire général du synode des évêques.
De Ouagadougou, d'Abidjan, des Cayes en Haïti, de Cotabato aux Philippines, de Managua, de Castries (Sainte-Lucie) aux Antilles, de Pérouse (centre de l'Italie), plusieurs des nouveaux cardinaux étaient venus de villes des "périphéries", formule qu'aime utiliser François.
Le choix du pape argentin reflète l'accent qu'il met sur les pasteurs plutôt que les administrateurs.
Il avait écrit dès janvier aux heureux choisis que leur sélection n'était "ni une promotion, ni un honneur, ni une décoration", mais "un service". Il leur avait demandé d'éviter "toute fête étrangère à l'esprit évangélique d?austérité, de sobriété et de pauvreté".
Seize nouveaux électeurs (moins de 80 ans, en cas de Conclave) entrent au Sacré collège, et trois autres sont émérites sans droit de vote. Le Sacré collège compte 218 cardinaux dont 122 électeurs. La moitié de ceux-ci (61) sont encore européens. 17 sont d'Amérique du Nord et 17 d'Amérique centrale et du sud (Antilles comprises), 13 sont Africains et 13 Asiatiques, un est d'Océanie.
François a demandé aux cardinaux nouveaux et anciens de "vivre en communion" avec lui et entre eux, et d'être armés de "compassion".
S'adressant à ces hommes vêtus de pourpre - la couleur du martyr -, il les a exhortés au "courage, pour annoncer l'Évangile en toute occasion, opportune ou inopportune, et pour rendre témoignage à la vérité" et être "des hommes de paix".
"Nous voulons exprimer notre proximité spirituelle à tous les chrétiens qui souffrent de discriminations (....) L'Église a besoin de notre prière pour eux, afin qu'ils soient forts dans la foi et qu'ils sachent réagir au mal par le bien", a-t-il dit, appelant à éviter la tentation du conflit intercommunautaire dans une allusion implicite à la Centrafrique ou au Soudan du Sud.
Comme au lendemain de son élection, François a insisté sur la nécessité pour l'Eglise d'être en mouvement: "Dans les Évangiles: Jésus marche beaucoup, il instruit les siens au long du chemin. Jésus n'est pas venu pour enseigner une philosophie, une idéologie? mais une route à parcourir avec lui. Et la route s'apprend en la faisant, en marchant. Mais ce n'est pas facile, ce n'est pas confortable, parce que la route que Jésus choisit est celle de la Croix".