Thèmes

36 morts à méditer actualités amitié amour amitié tendresse animaux artiste peintre artistes divers automne belle journée belles femmes belles images

Images
Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· POEMES et POETES (587)
· CITATIONS ET PROVERBES (779)
· NOEL ET JOUR DE L'AN (1150)
· HUMOUR (1093)
· LA PENSEE du JOUR (2490)
· ARTISTES DIVERS (457)
· ANIMAUX DOMESTIQUES ET AUTRES (789)
· BRETAGNE (405)
· ENFANTS (1166)
· PEOPLE (547)

Rechercher
Derniers commentaires Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "yvonne92110" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Articles les plus lus

· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !

· Un poème de Maurice Carême ... L' Artiste !
· Un joli fond d'écran "ZEN" ... si vous aimez KDO !
· humour ... le Nez !
· citation : la valeur de l' Amitié
· Histoire de la Petite Souris ... à raconter aux Enfants !
· Sans dessus dessous ... texte de Raymond Devos !
· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
· Le Pape François ... les photos qui font la différence !
· Histoire vraie ... particulièrement touchante !

Voir plus 

Statistiques

Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour : 29.05.2021
37578 articles


Restons toujours ZEN !

 cool     Notez que les commentaires malveillants, insultants ou racistes, ne seront  pas validés  ...    cool     Merci de laisser  éventuellement une trace de votre passage sur mon  "Livre d'Or"  !!!  Vous pouvez également cliquer sur "j'aime",  si vous  avez apprécié  la visite ...

 

Belle journée à vous mes ami(e)s ...

Publié à 10:05 par yvonne92110 Tags : belle journée bon mardi belle journée mes amis

Cinéma en deuil ... Bud Spencer est décédé !

Publié à 10:57 par yvonne92110 Tags : cinéma et tv mort de bud spencer à 86 ans
Cinéma en deuil   ...   Bud Spencer est décédé  !

Cinéma: l'acteur italien de western spaghetti Bud Spencer, connu pour ses duos au cinéma avec Terence Hill, est décédé à Rome à l'âge de 86 ans ...

L'acteur italien de western spaghetti Bud Spencer, connu pour ses duos au cinéma avec Terence Hill, est décédé lundi à Rome à l'âge de 86 ans, a annoncé sa famille.

"Nous avons la grande tristesse de vous annoncer que Bud s'est envolé pour son dernier voyage", a écrit lundi soir sur son compte Twitter la famille Pedersoli, le vrai nom de l'acteur né à Naples le 31 octobre 1929.

Bud Spenser, Carlo Pedersoli pour l'état civil, est décédé dans un hôpital romain, selon le quotidien La Repubblica

Avec l'acteur Terence Hill, de son vrai nom Mario Girotti, il avait tourné seize films, des western spaghetti dans lesquels leur duo comique faisait mouche.

A l'annonce de son décès, de nombreux hommages lui ont été rendus en Italie sur les réseaux sociaux, en premier lieu par Premier ministre Matteo Renzi, qui a twitté: "Ciao Bud Spencer, nous t'avons tous tellement aimé".

Le ministre italien de la Culture Dario Franceschini a salué quant à lui "un grand interprète de notre cinéma, qui au cours de sa longue carrière a réussi à divertir des générations entières et à conquérir son public avec un grand professionnalisme".

"RIP Bud Spencer... Mon coeur est avec ta famille", a écrit l'acteur néo-zélandais Russell Crowe sur twitter.

Né dans le quartier napolitain de Santa Lucia, Carlo Pedersoli, dont le père est homme d'affaires originaire de Brescia, est issue d'une famille aisée.

En 1940, alors que Carlo a 11 ans, les Pedersoli déménagent à Rome où Carlo devient un excellent nageur et un brillant étudiant.

Après la seconde guerre mondiale, la famille déménage à nouveau mais cette fois-ci à Rio de Janeiro où le jeune homme abandonne ses études et exerce divers petits boulots: bibliothécaire, ouvrier etc... De retour à Rome, il reprend études et cours de piscine et ne tarde pas à se faire remarquer par ses qualités athlétiques.

A tel point qu'il débute à Cinecittà, les mythiques studios romains, dans des péplums ("Quo Vadis").

Après les jeux Olympiques de Rome en 1960, et un septième titre de champion d'Italie - il est le premier Italien à descendre sous la minute dans un 100 m nage libre - , il abandonne définitivement la natation et retourne en Amérique du Sud.

Retour à Rome ensuite, où il épouse la fille d'un producteur de cinéma, a des enfants  et ce n'est que sur le tard, en 1967 - il a alors déjà 38 ans - qu'il tourne son premier western, "Dieu pardonne, moi pas", de Giuseppe Colizzi, avec déjà Mario Girotti.

Il décide alors, en compagnie de son acolyte, de changer de nom et de s'appeler Bud Spencer, en hommage à la bière du même nom et à l'acteur Spencer Tracy.

Avec "On l'appelle Trinita" (1970), le duo obtient un net succès public qui ne se démentira plus, Bud Spencer jouant le géant au cœur d'or, le cow-boy aventurier défenseur de la veuve et de l'orphelin, qui frappe dur mais toujours avec le sourire.

Il avait tourné pour la dernière fois dans "En chantant derrière les paravents" d'Ermanno Olmi, en 2004.

Il a joué dans une quarantaine de films au total.

Aux élections régionales de 2006, il s'était présenté dans le Latium, la région de Rome, sous l'étiquette du parti de Silvio Berlusconi.

Depuis, il n'avait fait que de rares apparitions publiques, se consacrant à la rédaction de ses Mémoires.                                                        L'acteur Bud Spencer est décédé                                                                                                                                                                                                                                                                                                              (R.I.P.)

Grenoble ... Fresque de street-art controversée !

Publié à 11:16 par yvonne92110 Tags : actualités grenoble fresque controversée street art
Grenoble  ...  Fresque de street-art  controversée !

Grenoble: le maire Éric Piolle (EELV) invoque la liberté d'expression après la polémique suscitée par une œuvre d'art urbain jugée "anti-police" ...

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          Le Le maire de Grenoble, Éric Piolle (EELV), a invoqué lundi la liberté d'expression, après la polémique suscitée par une œuvre d'art urbain jugée "anti-police" et réalisée dans le cadre d'un festival subventionné par la municipalité.

"On comprend bien sûr l'émoi de la police. Mais comprendre cet émoi ne veut pas dire s'asseoir sur les textes fondateurs de la République", a souligné M. Piolle.

"La liberté d'expression fait partie des bases fondamentales de la République. C'est ce que nous défendons tous et ce que la police a défendu après les attentats contre Charlie Hebdo", a-t-il ajouté, en refusant de commenter l'œuvre en elle-même.

Due à l'artiste Goin (http://www.goinart.net/), cette fresque représente une femme à terre, tenant un drapeau bleu-blanc-rouge effiloché, frappée par deux policiers en tenue anti-émeute, dont l'un tient un bouclier sur lequel est écrit "49-3".

Elle a suscité de nombreuses condamnations de parlementaires de droite comme de gauche, qui en ont demandé le retrait. "Plein soutien aux policiers qui protègent chaque jour les Grenoblois", a même réagi le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve dans un tweet, en estimant que ces derniers attendaient du maire "qu'il leur dise ses regrets".

"Il faut que le ministre de l'Intérieur fasse la liste des œuvres autorisées ou non", a commenté M. Piolle, en disant regretter que les élus réclament un "droit de censure, 18 mois après Charlie".

L'œuvre, réalisée dans le cadre du "Grenoble Street Art Fest", qui a rassemblée 45 artistes pendant trois semaines, doit de toute façon être détruite "la semaine prochaine" dans le cadre de travaux de réaménagement de la gare prévus de longue date, selon Éric Piolle.

Une vingtaine de fresques de ce type ont été peintes dans le cadre de ce festival subventionné à hauteur de 25.000 euros par la mairie. 

"Ce n'est pas une commande publique de la mairie", a cependant précisé le maire, en parlant d'un "festival indépendant" sur lequel "nous ne voulons pas avoir de droit de regard".  

L'organisateur du festival, Jérôme Catz, a indiqué à l'AFP que l'artiste Goin avait titré l'œuvre "L'État matraquant la liberté" pour "montrer qu'il n'avait rien contre les policiers en tant qu'individus".Cette fresque, conçue il y a six mois, "est une allégorie de l'État", a-t-il souligné.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       Dans un tweet, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a affiché son «plein soutien aux policiers qui protègent chaque jour les Grenoblois» et a estimé que ces derniers attendaient du maire «qu'il leur dise ses regrets».

Petit clin d'oeil aux "Fans" ... de l' Euro 2016 !

Publié à 12:16 par yvonne92110 Tags : sports et exploits euro 2016 petit clin d oeil

Colline en feu ... Comté d'Erskine en Californie !

Publié à 12:42 par yvonne92110 Tags : l image du jour colline en feu californie comté erskine
Colline en feu   ...  Comté d'Erskine en Californie !

 

 

La lune se lève sur la colline en feu, au bord du lac Isabella dans le comté d'Erskine (Californie). Ce gigantesque incendie a détruit plus de 100 bâtiments et fait deux morts. L'incendie a démarré jeudi 23 juin 2016 et s'est propagé très  rapidement.                                                                                                                                                                                (Crédit ( crédit photo : Michael Cuffe)

Belle plage de Méditerranée ... Eze !

Publié à 12:55 par yvonne92110 Tags : lieux à découvrir eze belle plage près de nice
Belle plage de Méditerranée   ...  Eze !

Perché au sommet d’une montagne et face à la mer, Eze - (non loin de Nice) - est sans doute l’un des villages qui offre l’une des plus belles vues de France.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Bien loin du luxe et des paillettes de Cannes, Monaco ou Saint-Tropez, le village possède un charme typiquement provençal. Malgré une faible population d’à peine plus de 2.000 âmes, l’endroit regorge de nombreuse parfumeries et de galeries d’art.

Visite de Quimper ... Coeur de la Cornouaille !

Publié à 13:13 par yvonne92110 Tags : bretagne visite de quimper coeur de la cornouaille
Visite de Quimper    ...   Coeur de la Cornouaille  !

Des quais ombragés de l'Odet au mont Frugy, des venelles médiévales au quartier de Locmaria, il faudra vous plonger dans le vieux Quimper pour apprécier les richesses d'une ville où l'art, l'histoire et la culture tissent l'âme profonde de la Cornouaille.


                                                                                                                                                                                                                                                                                                        La cathédrale Saint-Corentin, joyau de la ville, avec la statue équestre du Roi Gradlon qui se dresse entre les flêches.

                                                                                                                                                                                                                                                              Quimper tient son nom du mot breton kemper, qui signifie « confluence ».
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          C’est au carrefour de l’Odet et du Steir que la ville s’éleva, fondée selon la légende par Gradlon, roi de Cornouaille au VIème siècle.
 
Le Roi Gradlon offrit sur ce site un refuge à l’ermite Corentin.
 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                 Oublié le parking qui meurtrissait la ravissante place Terre-au-Duc. La toponymie des voies alentour nous raconte le temps où cette partie de la ville était propriété du duc de Bretagne :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                               Rue de la Herse, venelles du Pain-Cuit, du Moulin-au-Duc. Le Steir, qui coule juste derrière ces maisons, marquait la frontière avec la ville épiscopale.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                        Un peu d'histoire :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Aux origines de Quimper, les mythes se confondent avec les  récits historiques de l'époque. Daté de 1235, la vie de Saint Corentin attribue la fondation de la ville au roi Gradlon, fuyant Ys l'engloutie.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            La vérité est qu'en cet endroit existait déjà une agglomération très ancienne : Civitas Aquilonia (La Cité des Aigles) que les conquérants romains avaient fondée là où l'estuaire était assez étroit pour être facilement traversé, tandis que le mont Frugy (volcan endormi), permettait de contrôler les alentours.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Depuis la gare, on rejoint le centre-ville. Une minimuraille se dresse.  il s’agit d’une partie des remparts de 1 500 mètres datant du XIIIème siècle.

                                                                                                                                                                                                                                 Une fois la porte franchie, on se trouve dans les jardins de l’Évêché et l’ancien palais des évêques de Cornouaille (XVIème _  XIXèmesiècles) qui abrite le Musée départemental breton.

Costumes, faïences, mobilier, mais aussi arts populaire et ancien y sont exposés.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       La rue Laennec honore le médecin quimpérois inventeur du stéthoscope : René Laennec (1781-1826). (l'hôpital de la ville porte son nom).                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          Au  bout de la rue, dans l’axe de la perspective, on remarque un hôtel particulier :

C’est celui de René Madec (1738-1784), autre enfant de Quimper au destin fabuleux. À 9 ans, il embarque pour la première fois, puis part pour l’Inde.

À 20 ans, il se fait mercenaire au service du Grand Moghol, devient lieutenant général de l’Empire moghol, nabab et roi du Dekkan !

Las de lutter contre les Anglais et immense fortune faite, il rentre en France en 1779.

Anobli par Louis XVI, l’aventurier meurt banalement des suites d’une chute de cheval, en 1784.

                                                                                                                                                                                                                                                                 La très vaste place Saint-Corentin est entièrement piétonnière. Un vrai luxe. D’un côté, la cathédrale Saint-Corentin, de l’autre, la mairie et le musée des Beaux-Arts.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    Sans oublier les immenses terrasses des deux cafés avec vue sur la cathédrale où s’arrêter pour scruter les détails du granit sculpté du sanctuaire, et pour lever les yeux vers les hauteurs de ses flèches de 36 mètres réalisées au XIXe siècle.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                             La rue Kéréon (autrement dit, des cordonniers) est l’artère du centre-ville. Maisons à colombages, à encorbellements (la demeure de gauche date de 1552).

La pensée du jour ... mercredi 29 juin 2016 !

Publié à 11:22 par yvonne92110 Tags : la pensée du jour à méditer
La pensée du jour   ...  mercredi 29 juin 2016 !
« Les hommes et les femmes qui s’aiment éprouvent le besoin de se rencontrer, de se rapprocher, de vivre ensemble, et c’est naturel. Mais si une véritable dimension intérieure manque à leur relation, on peut déjà prédire la fin de leur amour.
Quand vous vous sentez habité par la présence subtile d’un être, vous constatez que vous n’avez pas nécessairement besoin de sa présence physique pour vous sentir avec lui. Si vous ressentez fortement le besoin de sa présence physique, c’est que vous êtes en train de sortir de votre monde intérieur, et là, vous risquez d’aller au-devant de grandes souffrances. Car qui dit que les circonstances ne vous priveront pas un jour ou l’autre de cet être que vous aimez ?… Lorsque vous êtes habité par une présence intérieure, les circonstances extérieures ont moins de prise sur vous. C’est un critère : si, en pensant à ceux que vous aimez, vous ressentez autant de joie qu’en les voyant, vous êtes libre, et cette joie ne vous quitte plus. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Bon mercredi les p'tits bouts ... Tendres Bisous !

Publié à 11:33 par yvonne92110 Tags : enfants bon mercredi les ptits bouts tendres bisous

Turquie: 36 morts dans un triple attentat-suicide !

Publié à 11:47 par yvonne92110 Tags : actualités turquie triple attentat suicide 36 morts
Turquie: 36 morts dans un triple attentat-suicide !

 

Turquie : 36 personnes tuées et 147 blessées dans un triple attentat-suicide à l'aéroport international Atatürk à Istanbul ...

                                                           Turquie: 36 morts dans un triple attentat-suicide !                                                                                                                   

                         

"Selon les dernières informations, 36 personnes ont perdu la vie", a annoncé dans la nuit le Premier ministre Binali Yildirim, le visage grave, devant la presse sur les lieux de l'attaque, ajoutant que "les indices pointent Daech" (acronyme arabe de l'EI). 

Mercredi, une dizaine d'heures après l'attentat, aucune précision n'avait été fournie sur le nombre ni les nationalités d'éventuels étrangers parmi les victimes ni sur la nationalité des assaillants.

Des photos et vidéos choc diffusées sur les réseaux sociaux ont montré une énorme boule de feu à l'entrée du terminal et des membres de la sécurité en train de faire évacuer des passagers qui hurlaient dans des couloirs, pris de panique.

Sur l'une des vidéos saisissantes, l'un des kamikazes apparaît au sol, blessé par un tir de policier, se tordant avant de déclencher sa ceinture d'explosifs. 

Selon les autorités, des explosions ont d'abord eu lieu à l'entrée du terminal des vols internationaux vers 22H00 (19H00 GMT). Trois assaillants ont mitraillé des passagers ainsi que des policiers en faction, une fusillade a éclaté puis les kamikazes se sont fait sauter.

"Trois kamikazes ont mené une attaque", a indiqué Vasip Sahin, le gouverneur d'Istanbul, aux journalistes. 

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a rapidement exhorté la communauté internationale à une "lutte commune" contre le terrorisme.

"Cette attaque, qui s'est déroulée pendant le mois du ramadan, montre que le terrorisme frappe sans considération de foi ni de valeurs", a dit le chef de l'Etat.

Le mode opératoire rappelle les attentats jihadistes ayant ensanglanté Paris en novembre (130 morts) et à Bruxelles (32 morts dans le métro et à l'aéroport) en mars.

L'aéroport de Bruxelles a tweeté ses condoléances: "Nos pensées aux victimes de l'attaque de @istanbulairport".
                                                                                                                                                                                                                                                                     - Enorme boule de feu -

Le président français François Hollande a "condamné fermement" un "acte abominable" tout en appelant lui aussi à un renforcement de la coopération internationale en matière de lutte antiterrorisme.

A Washington, un porte-parole de la Maison Blanche a condamné ces attaques "abominables" tout en promettant le soutien des Etats-Unis à Ankara. Le sécrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a "condamné l'attaque terroriste" et a lui aussi réclamé une coopération internationale accrue.

Un grand mouvement de panique s'est emparé du terminal des vols internationaux lorsque deux violentes explosions suivies de coups de feu ont d'abord été entendues.

Un photographe de l'AFP a vu des corps recouverts de draps à l'aéroport, jonché de bagages abandonnés. Des centaines de policiers et pompiers étaient sur place. 

"J'attendais mon vol pour Tokyo et soudain plein de gens se sont enfuis et je les ai suivis. J'ai entendu des coups de feu et c'était la panique", a expliqué à l'AFP une Japonaise, Yumi Koyi. 

Oftah Mohammed Abdullah, une Somalienne, raconte à l'AFP avoir vu l'un des assaillants: "Il avait une écharpe rose, une veste courte et avait caché un fusil (dessous). Il l'a sorti et a commencé à tirer sur les gens. Il marchait comme un prophète".

Les télévisions montraient en boucle des scènes de pagaille devant un grand hôpital proche de l'aéroport, Bakirkoy, submergé par des proches cherchant à avoir des nouvelles de voyageurs et où s'est rendu dans la nuit M. Yildirim, sous haute escorte. 

Le Premier ministre est arrivé d'Ankara à l'aéroport d'Atatürk quelques heures seulement après le triple attentat.

Tous les vols ont été suspendus au départ d'Atatürk, le plus grand aéroport de Turquie et le 11e dans le monde, avec ses 60 millions de passagers en 2015. 

Puis le trafic aérien a pu reprendre à partir de 03H00 (00H00 GMT) mercredi, selon M. Yildirim.

Sur les réseaux sociaux, les internautes ont dénoncé la proximité présumée du régime islamo-conservateur du président Erdogan avec l'EI en Syrie voisine, une thèse toujours démentie par les dirigeants au pouvoir en Turquie.

"Les assassins que vous avez entraînés (Syrie) et tolérés commettent des massacres", a écrit notamment Fehim Tastekin sur Twitter.

Istanbul et Ankara ont été secouées depuis l'an dernier par une série d'attentats qui ont fait près de 200 morts, des centaines de blessés et créé un climat de forte insécurité. 

Istanbul avait déja été visée en janvier (12 touristes allemands tués, attaque imputée à l'EI), en mars (4 touristes tués - trois Israéliens et un Iranien - attribuée aussi à l'EI) et début juin (11 morts dont six policiers, attentat revendiqué par les combattants kurdes). 
                                                                                                                                                                                                        Les attentats en Turquie ont visé des lieux touristiques emblématiques, provoquant une chute immédiate du tourisme, ou les forces de sécurité turques.

Ils ont été attribués soit à l'EI - qui n'en a jamais revendiqué aucun - ou aux rebelles kurdes, notamment aux TAK, une émanation du Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK).