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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
· Quelques citations ... toutes liées au Champagne !
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· Vintage ... " Pin Up Girls " !
· David Hamilton ... talentueux et marginal !
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· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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« Le bruit comme le silence sont des langages. Le silence peut exprimer l’arrêt de tout mouvement, l’absence de vie, mais il est aussi le langage de la perfection. Quant au bruit, il est l’expression de la vie, mais cette vie est souvent désordonnée et elle a besoin d’être maîtrisée, élaborée. Les enfants, par exemple, sont bruyants parce qu’ils débordent d’énergie et de vitalité. Au contraire, les personnes âgées sont silencieuses. Cela est dû en partie au fait que leurs forces ont diminué, le bruit les fatigue ; mais c’est souvent aussi parce qu’elles sont devenues plus sages, elles se sont approfondies, et c’est leur esprit qui les pousse à entrer maintenant dans le silence. Pour réviser leur vie, réfléchir, tirer des leçons, elles ont besoin de ce silence pour faire tout un travail de détachement, de simplification, de synthèse. La recherche du silence est un processus intérieur qui conduit les êtres vers la lumière et la véritable compréhension des choses. » |
Omraam Mikhaël Aïvanhov |
154 953 euros : L’addition salée d’un bar en plein Grand Prix de Monaco !
Alors que se déroulait le Grand Prix de Monaco, qui avait lieu du 26 au 28 mai, l’addition a été salée pour ce client du célèbre club Nikki Beach situé au Fairmont Hôtel. Le (probablement) richissime fêtard a déboursé la somme colossale de… 154 953 euros.
Le ticket de caisse a été publié il y a quelques jours sur Twitter. Comme on peut le voir sur la photo, c’est surtout une (grosse) bouteille, un double nabuchodonosor de 30 litres (équivalent de 40 bouteilles de champagne), qui lui a coûté une vraie fortune : 130 000 euros rien que pour une bouteille Midas Armand de Brignac. La bouteille Chivas Regal Royal Salute 62 était elle à 12 350 euros, ce qui semble une bagatelle.
Sur l’addition, on peut aussi voir les prix des consommations plus familières au commun des mortels : 12 euros le Coca-Cola et 33 euros un plateau de fruits. Le client, qui a souhaité rester anonyme, a également déboursé 1 050 euros pour l’acquisition de 14 casquettes à 75 euros l’unité… Un autre monde !
L’étonnante façade alsacienne du McDo Saint-Lazare ...
Le 119 rue Saint-Lazare est assurément l’un des bâtiments les plus insolites de Paris ! Une cigogne perchée sur la cheminée, une façade tout en pans de bois et briques, des tuiles alsaciennes sur un toit en pignon, tout nous rappelle l’architecture alsacienne. Tout, sauf un petit détail : l’édifice est occupé depuis une vingtaine d’années par le géant américain McDonald’s. Un lieu inattendu pour un établissement de ce genre, d’autant plus qu’une bonne partie du bâtiment – la façade, la toiture et les trois salles du rez-de-chaussée – est inscrite aux monuments historiques depuis 1997.
Une brasserie alsacienne typique de la fin du XIXème siècle :Construit à partir de 1892, puis entièrement remanié deux ans plus tard, l’édifice avait pour destination première d’accueillir une brasserie alsacienne. Ce type d’établissement est alors très à la mode et l’on en trouve dans tous les quartiers de la capitale. En effet, après la guerre franco-allemande de 1870 et la perte de l’Alsace-Lorraine, de nombreux alsaciens ont quitté leur région natale pour s’installer à Paris. Beaucoup d’entre eux ont ouvert des brasseries, afin de se retrouver, mais aussi pour partager leurs spécialités locales avec les Parisiens. C’est par exemple le cas de l’emblématique Brasserie Lipp, voisine du Café de Flore et des Deux Magots, ouverte en 1880 par un exilé alsacien.
Aussi, la France rumine encore sa défaite contre son voisin allemand. Tout moyen de revendiquer ce petit bout de territoire est bon à prendre. On ne s’étonnera donc pas de trouver sur la façade un blason qui ressemble à s’y méprendre à celui de la ville de Strasbourg. Sur la façade, on aperçoit également un personnage moins alsacien que flamand, mais tout aussi révélateur de l’histoire du lieu : Gambrinus, le « roi de la Bière »… Comme le nom de l’ancienne brasserie située là à partir de 1894. Inscrite aux monuments historiques, donc légalement protégée de toute modification, cette petite bâtisse n’a pas changé d’un pouce depuis 120 ans et continuera vraisemblablement d’attirer l’œil un petit bout de temps !
McDonald Saint-Lazare – 119 rue Saint-Lazare, 75008
Métro : Gare Saint-Lazare (lignes 3, 12, 13 et 14)
La rivière disparue de Paris ... La Bièvre !
« Sous le pont Mirabeau, coule la Seine », écrivait Guillaume Apollinaire à propos du célèbre fleuve parisien. Mais le mythique cours d’eau n’a pas toujours été le seul naturel à Paris ! Victor Hugo, en a même fait un poème : "La Bièvre".
La Bièvre suit son cours naturel en dehors de Paris mais a disparu de la capitale au début du XX ème siècle. Pourtant, cette rivière de 36 km aussi utile que bienfaisante pour les Parisiens prenait sa source dans les Yvelines et se jetait dans la Seine, au niveau de la gare d’Austerlitz. Elle entrait dans Paris au niveau de la Poterne des Peupliers pour traverser les actuels 13 ème et 5èmearrondissements.
La Bievre, porte d’Italie, à la sortie de Paris (XIIIème arr.), 1913. Photographie d’Eugène Atget (1857-1927). Paris, musée Carnavalet. © Eugène Atget / Musée Carnavalet / Roger-Viollet
L’usage de ce cours d’eau commence au 11ème siècle lorsque plusieurs moulins à eau sont construits à ses abords. Puis, au 14ème siècle, ce sont les tanneurs et teinturiers qui s’installent sur ses berges.
Eugène Atget (1857-1927). Rue de Bièvre. Paris (Vème arr.). 1900. Paris, musée Carnavalet. © Eugène Atget / Musée Carnavalet / Roger-Viollet.
En 1336, un décret oblige toutes ces activités (ouvriers et travailleurs), à s’installer hors de la ville. Ils se retrouvent dans le 13ème arrondissement situé à l’époque hors de Paris, au-delà de l’enceinte Philippe-Auguste. Grâce à ces métiers, le quartier connaît une urbanisation rapide : en plus des moulins et autres, la Bièvre accueille mégissiers, cordonniers, blanchisseurs, tisserands ou la manufacture des Gobelins, encore visible aujourd’hui.
« Tanneries au bord de la Bièvre, vers 1865″. Paris (XIIIème arr.). 1865-1868. Photographie de Charles Marville (1813-1879). Paris, musée Carnavalet. © Charles Marville / Musée Carnavalet / Roger-Viollet
Malheureusement, cette urbanisation excessive aura raison de la rivière puisque cette source d’eau potable devint un bourbier pollué et sale dans une période accablée par les épidémies. Ce sont les travaux d’assainissement et d’urbanisation du baron Haussmann au milieu du 19ème siècle qui achèveront définitivement le cours de la Bièvre à Paris. Elle fut alors bétonnée et enterrée.
Au delà d’aider au développement des moulins et autres manufactures, la Bièvre servait à rafraîchir les Parisiens avec des sorbets, en été. Faute de savoir fabriquer la glace, on conservait celle de l’hiver dans des puits creusés dans le sol : les glacières. Elles étaient profondes de 5 à 12 mètres et en forme de cône renversé. La petite rivière traversait donc le 13ème arrondissement en se déversant dans les prairies inondables pour geler. Cette glace était alors cassée puis enfouie dans les fameuses glacières en couches alternées avec de la paille.
L’été venu, on la récupérait strate par strate pendant la nuit pour la vendre par bloc à des bourgeois, restaurateurs ou commerçants (poissonniers, crémiers) et évidemment aux glaciers qui la transformaient en sorbets !
La Bièvre (de la rue du Pont-aux-Biches). Paris (Vème arr.), vers 1865. Photographie de Charles Marville (1813-1879). Bibliothèque administrative de la Ville de Paris. © Charles Marville / BHdV / Roger-Viollet
Bords de la Bièvre (au bas de la rue des Gobelins). Paris (XIIIème arr.), 1865-1868. Photographie de Charles Marville (1813-1879). Paris, musée Carnavalet. © Charles Marville / Musée Carnavalet / Roger-Viollet