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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Messe du dimanche des Rameaux en l'église catholique Saint Joseph de Secunderabad, ville jumelle d'Hyderabad, dans le sud de l'Inde.
Ⓒ NOAH SEELAM, AFP
Coronavirus : Célébrer les Rameaux, sans rameaux ...
Dimanche 5 avril, les chrétiens célèbrent le dimanche des Rameaux, qui commémore l’arrivée triomphale de Jésus à Jérusalem.
Cette année, confinement oblige, il n’y aura pas de célébrations publiques des rameaux. « Il n’y aura aucune bénédiction des rameaux »
Coronavirus en France: bien trop tôt pour relâcher la garde malgré quelques lueurs d'espoir ...
(source AFP : publié le lundi 06 avril 2020 à 10h49)
Le rythme des décès et des hospitalisations en réanimation semble certes ralentir en France, mais il est bien trop tôt pour crier victoire face à l'épidémie responsable de plus de 8.000 morts dans le pays qui va entrer mardi dans sa quatrième semaine de confinement.
"Le #COVID19 ne prend pas de vacances". Le message du ministère de la Santé sur Twitter est clair en ce début de congés scolaires pour la zone C (Ile-de-France et Occitanie): il faut continuer à respecter le confinement malgré des chiffres qui peuvent sembler encourageants.
Ainsi, les hôpitaux ont enregistré le nombre le plus faible de décès dans les hôpitaux (357) sur une seule journée depuis le 29 mars, portant le total à 8.078 y compris les morts en Ehpad et autres établissements médico-sociaux.
Près de 7.000 patients se trouvent encore en réanimation. Là aussi, les autorités ont constaté un mieux avec un ralentissement des admissions dans ces services.
Mais "il ne faut se faire d'illusions, il ne faut pas crier victoire", a insisté lundi sur BFMTV Philippe Juvin, chef des urgences à l'hôpital Georges Pompidou, également président de la fédération LR des Hauts-de-Seine.
"Nous étions dans une situation quasi hors de contrôle il y a quelques jours et aujourd'hui on est dans une situation qui ne semble pas être hors de contrôle mais qui est extrêmement tendue", a-t-il poursuivi, soulignant que son établissement continuait d'ouvrir des lits de réanimation.
"La notion de pic vous pouvez d'emblée l'enlever de votre vocabulaire. Un pic ça monte vite et ça descend vite. Là, ça monte vite et ça descendra (...) lentement", a insisté de son côté sur France Inter le directeur général de l'AP-HP Martin Hirsch.
"Le terme de plateau est probablement meilleur", a-t-il noté. Et "un plateau, en montagne, ça peut-être un plateau entre deux montagnes, et l'objectif, c'est qu'il n'y ait pas la deuxième montagne qui arrive ou qui arrive trop vite".
- Attestation numérique -
Alors malgré de "petits signaux de ralentissement" et "quels que soient le résultat dans quelques jours, il faut maintenir l'effort collectif de confinement, des gestes barrière", a plaidé sur BFMTV le patron de l'Inserm Gilles Bloch.
Malgré le week-end de beau temps qui laissait craindre plus de sorties des Français confinés, le ministre de l'Intérieur les a félicités lundi.
"Les Français font partie dans le monde entier, de ceux qui respectent le mieux le confinement", a assuré Christophe Castaner sur Franceinfo.
Plus de 160.000 policiers et gendarmes avaient été mobilisés. Et près de 1,4 million de contrôles ont été effectués sur les trois derniers jours. Au total, depuis le début, il y a eu "près 480.000 contraventions dressées, sur 8,2 millions de contrôles", a précisé le ministre.
La période de confinement, prolongée déjà une fois, est prévue pour s'achever le 15 avril. Mais une extension semble probable.
Depuis ce lundi, une attestation de déplacement numérique est disponible pour justifier les sorties autorisées, offrant une alternative à la version papier en vigueur depuis le début du confinement. Si les Français ont globalement bien respecté les règles du confinement ce week-end, le temps radieux de dimanche a néanmoins poussé quelques audacieux à s'aventurer hors de leurs foyers. "Le déconfinement n'est pas à l'ordre du jour", a martelé dimanche Laurent Nunez, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur. "Je rappelle la règle (...) on sort lorsque c'est strictement nécessaire".
- Submergés de malades -
"Je ne comprends même pas qu'on parle du déconfinement, ça continue d'arriver constamment", déplore Nathalie (prénom modifié), infirmière au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), racontant des services submergés de malades.
Une quarantaine de patients atteints du Covid-19 ont été transférés dimanche vers des régions "moins en tension", la Bretagne notamment, via des trains médicalisés.
Au total, selon la DGS, plus de 610 patients dans un état critique ont été évacués depuis le 18 mars, du Grand Est et d'Ile-de-France. Une pétition baptisée "#NePerdonsPlusDeTemps", lancée par l'ex-ministre de la Santé Philippe Douste-Blazy et demandant d'assouplir les possibilités de prescription de la chloroquine --traitement dont l'usage contre le coronavirus provoque de vifs débats-- a dépassé les 200.000 signatures. Dans le Figaro, lundi, trois anciens responsables de l'Institut national du cancer, de la Haute autorité de santé et de l'Agence du médicament plaident aussi pour une "proposition de soins élargie" avec de la prescription, sous surveillance, de l'hydroxychloroquine y compris chez des malades "non inclus dans un essai clinique".
Dans le monde entier des scientifiques et des industriels s'activent pour tenter de trouver un remède contre la maladie qui a fait plus de 68.000 morts dans le monde (bilan dimanche soir effectué par l'AFP).
Un essai clinique doit notamment commencer mardi en France. Il s'agit de transfuser du plasma sanguin de personnes guéries du Covid-19 --contenant des anticorps contre le virus-- vers des malades en phase aiguë.
Beaucoup est également attendu de l'essai européen "Discovery" qui teste quatre traitements, dont l'hydroxycholoroquine. "On va le plus vite possible", a souligné lundi le patron de l'Inserm, estimant que dans un scénario idéal où un traitement serait "extrêmement efficace", on pourrait "le voir à l'horizon de quelques petites semaines".
Coronavirus : le confinement encore resserré après plus de 10.000 morts ...
Les Français sont plus que jamais appelés à respecter le confinement avec l'entrée en vigueur mercredi de nouvelles restrictions, alors que le bilan humain de l'épidémie de coronavirus continue d'augmenter, dépassant les 10.000 morts dans le pays.
Autorités et soignants craignent un relâchement avec le retour des beaux jours en pleines vacances de Pâques (en zone C pour le moment, Île-de-France et Occitanie), comme l'ont montré de nombreuses images de promeneurs dans différentes parties du pays.
Par conséquent, le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a autorisé les préfets, en lien avec les maires, à durcir les mesures en cas de relâchement du confinement général, instauré jusqu'au 15 avril.
Les choses n'ont pas traîné dans la capitale et dans quatre autres départements franciliens, où toute activité sportive individuelle est interdite à compter de mercredi, de 10h00 à 19h00, face au nombre inhabituel de "joggeurs" multipliant les sorties.
- "Pas encore au pic" -
Mardi, la France a enregistré un nouveau très lourd bilan quotidien dans les hôpitaux, avec 597 décès supplémentaires en 24 heures, soit un total de 7.091 depuis début mars. S'y ajoutent 3.237 morts recensés dans les Ehpad et établissements médico-sociaux, soit un total de 10.328 morts.
Au total, 7.131 patients nécessitent des soins lourds en réanimation. Ce nombre continue de progresser, "un indicateur que l'épidémie continue sa progression", a relevé le directeur général de la Santé, Jérôme Salomon.
Toutefois, avec les sorties, l'augmentation nette du nombre de patients en réanimation - indicateur très suivi par les professionnels car mesurant la pression sur le système de santé - est de moins en moins forte, avec un solde de +59 mardi (contre +94 lundi et +140 dimanche).
"Nous ne sommes pas encore au pic", a répété le N°2 du ministère de la Santé. "Nous ne sommes qu'à la phase ascendante même si elle ralentit un peu, donc aborder le déconfinement aujourd'hui n'a aucun sens".
"Le pire n'est pas derrière nous, pas du tout, on est au contraire dans une phase extrêmement périlleuse où il ne faudrait pas qu'on se trompe et qu'on commence à déconfiner et à faire n'importe quoi", a mis en garde de son côté sur CNews le Pr Philippe Juvin, chef des urgences de l'hôpital parisien Georges-Pompidou.
"L'heure du confinement va durer", a martelé pour sa part le Premier ministre, Edouard Philippe, lors de la séance des questions au gouvernement mardi. "C'est tout à fait difficile à supporter pour beaucoup de Français, j'en ai parfaitement conscience, mais c'est indispensable si nous ne voulons pas nous retrouver dans une situation qui serait pire encore que celle que nous connaissons aujourd'hui".
Pour sa part, le secrétaire d'Etat aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, a conseillé aux Français "d'attendre" avant de réserver des voyages pour les vacances d'été, la situation liée à l'épidémie étant "encore trop incertaine".
- Dépistage dans les Ehpad -
La pression sur les hôpitaux et les établissements d'hébergement pour personnes âgés dépendantes (Ehpad) reste pour l'heure très forte.
Le ministre de la Santé, Olivier Véran, a annoncé le lancement d'une vaste opération de dépistage dans ces maisons de retraites médicalisées, dont certaines ont été décimées par la maladie. Et "une mobilisation de grande ampleur de réservistes" sera effective dès mercredi au profit de 50 Ehpad de la région parisienne, selon le directeur général de la Santé. Par ailleurs, la France poursuit ses efforts pour s'approvisionner en masques, désormais convoités par l'ensemble de la planète, et ses "commandes sûres" atteignent désormais 1,6 milliard d'unités, M. Véran.
Un port généralisé du masque reste une "question ouverte" mais le gouvernement maintient pour l'heure sa recommandation d'en réserver l'usage aux soignants et personnes infectées, a-t-il également dit.
L'épidémie, qui a fait plus de 75.000 morts dans le monde, n'en finit plus de noircir les perspectives économiques.
Le recours au chômage partiel a été demandé pour 5,8 millions de salariés en France, soit un sur quatre dans le secteur privé. C'est un record, et cela pourrait coûter 19,6 milliards d'euros en trois mois. "A peu près la moitié de l'économie est à l'arrêt", a fait remarquer la ministre du Travail, Muriel Pénicaud.