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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
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Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
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Lorsque Ichimi le chaton a été rejetée par sa mère, ponzu le golden retriever et son propriétaire Jessiepon. lIchimi a pris très bien accepter son tuteur ponzu – les deux jouent ensemble tout le temps, et ponzu nettoie même et dort avec Ichimi. A en juger par les photos sur le compte Instagram de Jessiepon, Ichimi se renforce de jour en jour.
Ichimi a fourni ponzu un répit bien nécessaire de son chagrin après Wasabi, un chaton qui ponzu et Jessiepon sauvé d’une attaque de vol, est décédé en Août. Maintenant, ponzu a un nouveau chaton à entretenir.
Croyez-le ou non, mais des amitiés inter-espèces animales , en particulier avec les relations paternelles comme dans ce cas, ne sont pas très rare du tout. Un poste que nous avons publié récemment au sujet de belles amitiés animaux nous montre que les animaux de toutes les formes de couleurs et de tailles peuvent bien s’entendre – une leçon que nous ferions bien d’apprendre aussi !
LE PAON LE ROI DES OISEAUX !
Le paon, grand oiseau domestique de nos basses-cours, galliforme cousin des faisans et des pintades, est originaire d'Asie, plus particulièrement d'Inde et du Sri-Lanka, où il est réputé se défendre des fauves et tuer les serpents. Le mâle arbore une aigrette en couronne et un plumage pourvu d'ocelles, particulièrement châtoyant et spectaculaire lorsqu'il fait "la roue" lors de la parade nuptiale.
Il fut introduit il y a très longtemps en Europe dans un but alimentaire - avant la dinde, puis à des fins ornementales paysagères. Sa roue l'apparente à un symbole solaire et d'immortalité, comme en témoignent des fibules zoomorphes stylisant déjà sa silhouette, ou son association à la Résurrection du Christ.
Ses taches en formes d'yeux ne manquèrent pas d'inspirer Ovide. Il nous raconte comment Junon ravît Io, l'une des amantes de Jupiter, métamorphosée en génisse et la confia au géant Argus dont les cent yeux assuraient une vigilance constante. Argus, charmé par Mercure, l'envoyé de Jupiter, y laissa sa vie mais Junon lui rendit hommage en attachant ses yeux à la queue du paon, son animal préféré ("La fille de Saturne les recueille et les place sur les plumes de son oiseau, dont elle couvre la queue d'une constellation de pierreries"). Le paon devint l'attribut indissociable de Héra - Junon, puis, dans ce sillage, l'oiseau de toutes les reines.
Oiseau des reines certes, mais aussi roi des oiseaux, tel que nous le décrit Buffon dans son Histoire Naturelle "Si l'empire appartenait à la beauté et non à force, le paon serait, sans contredit, le roi des oiseaux". Nombreux furent les artistes à se délecter de sa seule beauté tandis que d'autres le représentèrent en compagnie d'autres animaux exotiques. Des ornemanistes l'utilisèrent comme un élément raffiné du décor ou l'emblême de la préciosité d'un objet. D'autres peintres y virent encore un sujet de nature-morte domestique ou ornementale.
Entre sublime et fatale beauté, le paon demeure attaché à la figure féminine. Sa somptuosité ne l'en fit pas moins passer pour un symbole de vanité, propice à la caricature. La Fontaine le fait se plaindre de la laideur de son chant à Junon : "Junon répondit en colère : Oiseau jaloux, et qui devrais te taire, Est-ce à toi d'envier la voix du Rossignol, Toi que l'on voit porter à l'entour de ton col Un arc-en-ciel nué de cent sortes de soies" ou fait se parer le ridicule geai de ses plumes.
Les animaux et nous : un nouvel avenir ? Qui sont vraiment les animaux à nos yeux ? Si une pétition fait le tour du web pour changer leur statut dans le Code civil, de nombreuses questions restent en suspens … Pourquoi ne les respectons-nous pas autant que les êtres humains ? Nos amis les bêtes sont des êtres bien vivants et sensibles, alors ….. Quel avenir leur réserve-t-on ?
Nos amis les bêtes ne sont pas cantonnés à des contrées sauvages et reculées. La moitié de la population française vit avec des animaux, auxquels il faut ajouter ceux qui sont en élevage. « Nous entretenons, avec ces autres formes de vie, des relations beaucoup plus étroites que la plupart des gens veulent bien l’admettre, nous dit le biologiste Rupert Sheldrake (…) Mais cette réalité est mal représentée dans les discours officiels. Il y a presque comme un tabou de parler de nos animaux ». Que ce soit pour le plaisir de leur compagnie, pour les utiliser ou les consommer, de manière directe ou indirecte, ces millions d’animaux font partie de notre quotidien. Quelle considération sommes-nous alors prêts à avoir pour cette « masse animale » qui vit parmi nous ?
Changer de regard :Deux singes sont placés dans deux cages différentes, côte à côte. L’un d’entre eux a la possibilité de tirer sur une chaîne pour avoir de la nourriture. Seulement, lorsqu’il fait cela, une décharge électrique est envoyée à son compagnon. Que va faire le singe, se demandent les psychiatres qui ont monté toute l’opération ? A mille lieues de ce qui avait été présagé, « ces singes se laissaient volontairement affamer pour éviter d’infliger une souffrance à l’autre », raconte Frans de Waal, primatologue, dans son livre L’âge de l’empathie. Cette histoire ébranle l’image de l’animal insensible, égoïste et animé d’instincts pulsionnels qu’il ne contrôlerait pas. Cet archétype implanté dans l’imaginaire populaire par une science maintenant poussiéreuse a sérieusement besoin d’être revu. « Une chienne est devenue célèbre pour avoir sauvé à Buenos Aires un bébé abandonné, en le plaçant à côté de ses chiots. On a vu une tigresse du Bengale, dans un zoo, nourrir des porcelets », poursuit Frans de Waal. Les animaux semblent tout à fait capables d’empathie, de tempérance, et de générosité.
Et des a priori sur les animaux, nous en avons plein. Autre exemple, notre vision de leur système hiérarchique. Comme nous l’explique la philosophe Vinciane Despret dans son ouvrage Que diraient les animaux si on leur posait les bonnes questions ? , nous faisons des arrêts sur image pour décider de ce qui est vrai, là où les animaux changent constamment. Tels les coureurs qui font une course de relais, les animaux vivant en meute se passent régulièrement le bâton. Un coup l’un est le premier à avoir accès à la nourriture, un coup l’autre décide des déplacements du groupe, mais tout change régulièrement et les responsabilités varient entre mâles et femelles. « Une hiérarchie qui fluctue tous les trois jours mérite-t-elle encore le nom de hiérarchie ? », demande Vinciane Despret. Ce que cette spécialiste de la question animale met alors en évidence, c’est cette fâcheuse tendance qu’ont les humains à faire de l’anthropomorphisme : interpréter la nature depuis leur propre conditionnement culturel. Or les organisations pyramidales avec un individu alpha aux commandes, ne semblent en fait pas exister dans le monde animal.
Qu’en est-il alors de la compétition, soit disant moteur de toute évolution moderne ? Frans de Waal et son équipe décident d’offrir une nouvelle structure de jeu aux chimpanzés du Centre de primates de Yerkes, et enferment ces derniers dans des cages le temps de la construction. Tout excités à l’idée de voir les chimpanzés découvrir leur nouveau joujou, les paris vont bon train parmi le personnel du centre. Lequel des primates atteindra le haut de la structure en premier ? Le gros mâle qui aime bien faire le dur ? La femelle maligne qui comprend tout avant les autres ? Le vieux singe qui sait s’économiser pour plus d’efficacité ? « Leurs premières réactions nous ont pris de court. Les premières minutes qui suivirent leur libération se passèrent en mondanités. Certains chimpanzés se sautèrent au cou, s’étreignant et s’embrassant a qui mieux mieux », s’étonne Frans de Waal. Ayant été enfermés pendant plus d’un mois, la première joie des chimpanzés était surtout de se retrouver, pas de se jeter sur la nouvelle structure en mode compétitif pour asseoir un quelconque territoire.
Le monde moderne et les animaux :Nous pouvons fermer les yeux autant que nous le voulons, la réalité contemporaine de notre rapport aux animaux n’est pas honorable. Elevage intensif, expérimentation scientifique et déconsidération, font aussi partie du paysage, aux côtés de notre rapport affectif envers nos animaux de compagnie. Comment l’être l’humain justifie-t-il de faire subir à l’animal de telles situations de maltraitance ? C’est à se demander quelle est la réelle « bonne cause » pour laquelle des milliers d’animaux sont sacrifiés toutes les semaines au nom de la recherche. N’est-il pas sérieusement temps de modérer nos expérimentations animales ? Pensons-nous que les animaux sont des choses, à notre service ?
En dessinant un univers mécanique, dans lequel tout serait inerte et déterminé, Galilée au 17ème siècle, Descartes et Newton au 18ème siècle, ont promu un mode de pensée radical, fondateur de notre culture. « Ce que le matérialisme dit c’est que d’une manière imprécise, à un moment de l’évolution, la conscience humaine se serait allumée subitement, commente Rupert Sheldrake avec une pointe d’ironie (…) Tout le reste de l’univers serait totalement inconscient et mécanique ». Cette philosophie matérialiste, qui décrit la nature, et donc l’animal, comme totalement dénués de conscience et obéissant à des automatismes, a ouvert la voie à toutes sortes d’exploitations abusives par l’homme de son environnement. Car à partir du moment où l’animal est une machine qui n’a pas de conscience, tout est justifié.
Mais nous n’avons pas toujours eu ce rapport à l’animal. Vinciane Despret nous raconte comment, jusqu’au 18ème siècle, nombre d’animaux soupçonnés d’avoir commis des crimes, avaient des droits et étaient traînés en justice, avec procédures en bonne et due forme. « Ces procès témoignaient d’une sagesse que nous réapprenons, ça et là, à cultiver : la mort de l’animal peut ne pas aller de soi. La justice devait intervenir » raconte-t-elle. Et c’est ce qu’il s’est passé en 1713, à Piedade no Maranhao au Brésil, non pas avec des animaux domestiques, mais avec des termites accusées de la destruction d’une partie d’un monastère. Surprenant. « L’avocat qui leur fut attribué plaida de manière ingénieuse, poursuit Vinciane Despret (…) Le juge décida, au regard des faits et des arguments, d’obliger les moines à offrir un tas de bois aux termites ; ces dernières reçurent quand à elles l’ordre de quitter le monastère et de limiter leur louable industrie à ce tas de bois ». Si cet exemple paraît incroyable, il montre combien nous avons su par le passé considérer les formes de vie qui nous entourent comme étant conscientes et détentrices de droits, tout comme nous.
Une réhabilitation difficile :Aujourd’hui, c’est tout juste si les animaux ne doivent pas nous prouver qu’ils sont conscients. Nous ne cessons d’être étonnés de toutes ces nouvelles recherches scientifiques qui démontrent l’étendue de leur intelligence. Capables de fabriquer des objets, de faire des maths, de tenir des conversations structurées, de se reconnaître dans des miroirs, d’avoir de l’humour et de rire, de faire preuve d’empathie ou même d’un sens inné de l’éthique, de faire des œuvres d’art ou d’honorer leur morts – comme on le voit chez les éléphants… les animaux sont des êtres conscients, ça ne devrait plus être discutable. « Et ce qui est sûr c’est que nous ne connaissons pas encore l’étendue de la conscience animale. Tous les tests scientifiques sont basés sur notre façon à nous de concevoir les choses. Ils sont faussés parce que basés sur notre idée de ce qui fait la conscience ou l’intelligence », nous dit Laïla del Monte, formatrice en communication animale et dotée de la capacité à entrer en contact télépathique avec les animaux. Et c’est ce que soutient aussi Tom Regan, un philosophe, dans son livre Les droits des animaux. « Loin d’être sans pensée, comme l’affirmait Descartes, les animaux que nous mangeons, chassons ou livrons aux expériences scientifiques sont conscients du monde. Leur esprit est empreint de croyances et de désirs, de souvenirs et d’attentes. Ce sont, à ce titre, des êtres dotés d’une valeur morale propre ».
Alors petit à petit, certains pays changent leurs lois pour améliorer la condition animale. Depuis mai 2013, les cétacés sont par exemple considérés comme des Personnes non-humaines en Inde. Le ministre indien de l’environnement a même déclaré que leur mise en captivité et leur exploitation pouvait être assimilés à la séquestration de personnes et à l’esclavage. Et que ce passe-t-il chez nous ? La France, pays des droits de l’homme, pays des droits des animaux ? Malheureusement, non. « En France le code civil, pilier du droit français, ne prévoit que 2 régimes juridiques : celui des « personnes », et celui des « biens » incluant les animaux. Au regard de ce texte, il n’y a donc aucune différence entre une table et un animal », explique l’association 30 millions d’amis. C’est impensable, légalement un animal est un objet. 30 millions d’amis vient alors de lancer une pétition pour qu’un 3ème statut, « conforme à leur nature d’êtres vivants et sensibles » soit créé. Visiblement, il reste du pain sur la planche pour les nombreuses institutions qui se démènent de part le monde pour essayer de changer nos consciences et nos comportements. Avons-nous, par exemple, besoin de manger de la viande à tous les repas ?
Un savoir animal :Capables de percevoir les choses d’une manière remarquable, et dotés d’une faculté tout aussi incroyable de se souvenir d’informations hautement détaillées, les animaux seraient détenteurs d’un savoir que nous avons soit perdu, soit que nous n’avons peut-être même pas du tout. « Dans mes communications avec les animaux, je constate régulièrement qu’ils ont accès à des informations époustouflantes. On n’a pas idée de combien ils peuvent sentir. Une fois où j’ai communiqué avec un chien, j’ai senti des odeurs que je ne connaissais pas du tout. Et je sais que je n’ai senti qu’une infime partie de ce qui était possible, parce que je suis limitée par mes capacités humaines. Il y a tout un domaine de la sensibilité animale auquel on n’a pas accès et qui est très, très vaste. Ils peuvent alors nous communiquer des informations très pertinentes », explique Laïla Del Monte.
Renversement de vapeur, les animaux pourraient carrément avoir des choses à nous apprendre. Seraient-ils même capables de nous accompagner dans des passages difficiles ? Le cas du fameux chat Oscar qui, dans un hôpital américain, venait comme par hasard sur le lit des mourants, est souvent cité en exemple. Dominique Gutierrez, équithérapeute, nous parle de cette aptitude thérapeutique chez les chevaux : « de Pégase à Chiron en passant par la licorne ou Epona, tous ces archétypes équins sont des « passeurs d’âmes », ils accompagnent à la métamorphose. Le cheval, si toutes ses fonctions vitales sont satisfaites, est un thérapeute d’une grande finesse. Il peut rester longtemps dans cet accueil inconditionnel en étant très attentif au besoin de chaque personne avec qui je facilite la rencontre. Et les résultats thérapeutiques sont visibles ». C’est ce que souligne aussi Laïla Del Monte : « Les animaux ne nous jugent pas, ils ont une patience innée et nous acceptent. Nous avons beaucoup à apprendre d’eux. La plus importante d’entre toutes, c’est l’amour inconditionnel. C’est ça qui nous touche si profondément ».
Des animaux amis, des animaux thérapeutes, des animaux dotés d’un savoir insoupçonné auprès de qui nous pourrions peut-être acquérir des informations précieuses – comme semblent le penser toutes les traditions chamaniques, qui entrent en contact avec des esprits du monde animal pour leur demander conseil… Notre relation à l’animal prend des dimensions que l’Occident a encore parfois du mal à accepter.« Notre imagination est bien pauvre ou bien égocentrique lorsque nous pensons que, si des extraterrestres venaient sur terre, c’est avec nous qu’ils entreraient en contact, raconte Vinciane Despret. Quand je lis ce que les éleveurs racontent de leurs vaches, je me plais à penser que c’est avec elles que les extraterrestres pourraient entreprendre les premières relations. Pour leur rapport au temps et à la méditation, pour leurs cornes – ces antennes qui les lient au cosmos -, pour ce qu’elles savent et ce qu’elles transmettent, pour leur sens de l’ordre et des préséances, pour la confiance qu’elles sont capables de manifester, pour leur curiosité, pour leur sens des valeurs et des responsabilités; ou encore, pour ce qu’un éleveur nous dit d’elles et qui nous surprend : elles vont plus loin que nous dans la réflexion ».
(Source : INREES)
Signez la pétition de 30 millions d’amis : soutenue par Christophe André, Boris Cyrulnik, Matthieu Ricard, Frédéric Lenoir, Pierre Rabhi, Edgar Morin et beaucoup d’autres…
Communiquer avec les animaux, Laila del Monte
Editions Véga (Janvier 2008 ; 248 pages)
L’âge de l’empathie, Frans De Waal
Editions Les liens qui libèrent (Février 2010 ; 350 pages)
Que diraient les animaux si
on leur posait les bonnes questions ?, Vinciane Despret
Éditions
Lâchées pour la paix en Ukraine, deux colombes se font attaquer par un corbeau et un goéland : (ci-dessus : Une colombe lâchée pendant la prière de l’Angelus place Saint-Pierre au Vatican, en train de se faire attaquer par un corbeau et une mouette, le 26 janvier 2014. (GREGORIO BORGIA / AP / SIPA)
Aux côtés du pape François, deux enfants avaient lâché les deux oiseaux, au Vatican, dimanche matin.
Les colombes, des oiseaux de mauvais augure pour l’Ukraine ? Deux spécimens blancs, symbole de la paix, ont été lâchés par deux enfants dimanche 26 janvier place Saint-Pierre (Vatican). Ils étaient à côté du pape François, qui voulait, par ce geste, joindre l’acte à la parole. Le souverain pontife a en effet appelé dimanche à la fin des violences en Ukraine et à un dialogue entre gouvernement et opposants qui manifestent depuis deux mois.
Or, mauvaise surprise, une fois lâchées de la plus grande fenêtre du palais du Vatican, les colombes ont été attaquées par un corbeau et un goéland, rapporte l’agence américaine Associated Press (AP), relayée par le site CBS (article en anglais). Une des colombes a perdu plusieurs plumes, mais a réussi à échapper au goéland.
Malheureusement, le corbeau s’en est aussitôt pris à la deuxième colombe. AP a ensuite perdu la trace des deux oiseaux. En parallèle, lors de son discours, le pape François a déclaré, devant la foule réunie place Saint-Pierre pour la prière de l’Angelus : "Je souhaite un dialogue constructif entre les institutions et la société civile et que, sans usage de la force, l’esprit de la paix et la recherche du bien commun prévalent dans les cœurs de tous." "Dans mes prières je suis proche de l’Ukraine, en particulier de ceux qui ont perdu la vie et de leur famille", a poursuivi le souverain pontife.
(Source : France TV)
C’est dans le besoin que le paresseux reconnait ses amis ! L’aï, paresseux des forêts d’Amérique latine, ne descend de son arbre qu’une fois par semaine, pour faire ses besoins, une activité à risque pour l’animal mais bénéfique pour ses amis, les papillons et les algues qui jonchent sa fourrure et contribuent à le nourrir. Cet étonnant phénomène de symbiose, digne d’un coup de billard à trois bandes, a été découvert par des chercheurs américains qui ont observé, capturé et analysé sous toutes les coutures ces petits mammifères arboricoles.
Environ une fois par semaine, l’aï quitte le sommet des arbres – où il passe l’essentiel de sa vie à manger et dormir – pour déféquer. Il creuse un petit trou, y dépose sa crotte puis retourne vite se mettre à l’abri en hauteur. Non seulement l’opération le rend particulièrement vulnérable aux prédateurs, mais elle lui coûte "environ 8% de l’énergie qu’il ingurgite en une journée".
Pourquoi se fatiguer et ne pas simplement faire ses besoins en altitude? C’est que le paresseux y gagne au bout compte, selon une étude publiée mardi dans la revue Proceedings of the Royal Society B. Le cycle commence avec les papillons qui vivent sur le pelage de l’animal. Pour les femelles papillons sur le point de pondre, la crotte d’aï est la pouponnière rêvée puisque les larves la consomment une fois écloses. Parvenus à l’âge adulte, les femelles papillons n’ont qu’à voleter dans l’arbre au pied duquel elles ont vu le jour pour trouver l’aï et renouveler le cycle.
L’aï n’en retire rien directement mais les chercheurs ont découvert que plus il attirait de papillons, plus la concentration de son pelage en azote augmentait. C’est là que les algues entrent en jeu. Grâce à la structure unique des poils de l’aï, dont les fentes recueillent une grande quantité d’eau de pluie, les algues peuvent s’y installer et sont ensuite nourries par l’azote qui leur sert d’engrais.
Lorsqu’il lèche sa fourrure pour se nettoyer, le paresseux ingère à son tour ces algues – "particulièrement riches en glucides et en lipides digestes" – qui viennent compléter son régime alimentaire de feuilles, très peu nourrissantes. "Cette source alimentaire jusqu’à présent inconnue pourrait expliquer pourquoi les aïs sont si difficiles à nourrir correctement en captivité", notent les auteurs de l’étude. "Outre cet apport nutritif, il est aussi possible que ces cultures d’algues augmentent les chances de survie du paresseux en le camouflant des prédateurs aériens" au milieu de la végétation.
(Source : AFP)
Pour apprendre à leurs petits à descendre les escaliers, les chiens et les chats ont des méthodes totalement opposées. Pas facile lorsque l’on est un jeune chiot ou encore un petit chaton, d’apprendre à descendre les escaliers tout seul comme un grand. Heureusement ces derniers peuvent souvent compter sur l’aide de leurs géniteurs pour leur donner des leçons. Si chez les chiens cet apprentissage se fait ainsi en douceur, chez les chats en revanche la méthode est vous allez le voir … bien plus expéditive !
On le sait, entre les chats et les chiens les différences sont parfois très grandes. De natures et de sensibilités différentes, ces animaux s’y prennent souvent de manière contraire pour réaliser une même chose. Des spécificités qui se ressentent aussi parfois dans les méthodes d’apprentissage que ceux-ci inculquent à leur progéniture, comme par exemple cette difficile leçon de la descente des escaliers.
Chiens, chats : deux méthodes contraires pour arriver au même résultat :
Même lorsque l’on est tendrement materné par sa maman, pas facile pour autant d’être tous les jours un petit chiot. Surtout lorsque l’on doit faire le dur apprentissage de la vie comme celui de descendre un dangereux escalier. Heureusement pour l’aider, le petit chien peut compter sur la présence bienveillante de sa maman, toujours prompte à l’aider du mieux qu’elle peut. Dans cette vidéo qui nous révèle les méthodes d’apprentissage enseignées par les chiens et les chats pour descendre les escaliers, cette maman chien extrêmement dévouée semble très préoccupée à vouloir bien faire pour permettre à son petit de descendre correctement les marches. Bien qu’apeuré le petit chien prend toutefois ici confiance en lui en voyant sa mère l’attendre quelques marches plus bas en l’encourageant à venir vers elle.
Un coup de patte et le voilà en bas !
En somme, tout le contraire de ce chat qui possède quant à lui une méthode beaucoup plus radicale pour inciter son chaton à apprendre sa leçon. C’est en effet une toute autre méthode que ce dernier a employé pour aider son petit à vaincre sa peur du vide. Voyant que le chaton hésitait à descendre les marches, ce félin adulte a décidé de lui donner un bon coup de patte dans le dos afin de le pousser en bas en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Voilà une méthode qui à défaut d’être douce, est au moins d’une grande efficacité.
(Source : Yahoo)
Dix ans après, le chat Olive de retour chez ses maîtres.
Le chat «Olive» est un vieux matou de quinze ans qui a une mémoire d’éléphant. (Image: DR)
Ses maîtres avaient fini par l’oublier … jusqu’à ce qu’«Olive» réapparaisse ce lundi, à la stupéfaction générale. Depuis il est devenu une star.
«Olive», le vieux chat blanc, se frottait le dos contre le pavé de la cour lorsque son ancien maître rentrait en voiture. «Il avait les poils emmêlés comme de la laine de mouton», raconte Patrick Le Roux au journal Ouest-France. Puis il est venu quémander une caresse en effleurant les jambes de ce Breton, stupéfait.
«Il était sale mais en bonne santé et mon mari l’a reconnu tout de suite», enchaîne Magalie Le Roux. «Il est entré par le sous-sol comme il en avait l’habitude et s’est installé à l’endroit qu’il occupait dix ans auparavant», poursuit, émue, l’ancienne maîtresse du vagabond.
Et les Le Roux de raconter comment leur matou a disparu, dix ans auparavant. En été 2003, ils étaient partis en vacances, ayant comme d’habitude pris soin d’organiser le passage d’un proche pour nourrir «Olive», qui restait dehors à Plérin, en Bretagne. A leur retour, il avait disparu.
Peu après, on les informa que leur chat rôdait autour de leur ancien domicile, à 3 km de là. «Nous y sommes allés et avons appelé notre chat, qui a surgi d’un talus. Mais comme il ne semblait pas vouloir revenir avec nous, c’est le cœur lourd que nous avons décidé de laisser vivre sur place.»
«Nous voulons qu’il se sente libre» :
Depuis son retour, lundi, «Olive» a découché une nuit puis est revenu, comme si de rien n’était. «Nous le laissons sortir. Nous voulons qu’il se sente libre et pas emprisonné», a confié Mme Le Roux.
(Source : Ouest France)