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HOMMAGE

Le 11 mars 1978 disparaissait Claude François ...

Publié à 16:54 par yvonne92110 Tags : hommage le 11 mars 1978 disparaissait cloclo
Le 11 mars 1978 disparaissait Claude François  ...

Claude François

Claude François ♥

 

Métier : Chanteur
Naissance : Le 1 Février 1939
décès : Le 11 Mars 1978
Pays : France

Biographie de Claude François :

Né le 1er février 1939 à Ismaïlia en Egypte, Claude François est le fils d'Aimé François, contrôleur du trafic sur le Canal de Suez et de Lucia François, dite Chouffa, Italienne d'origine calabraise.
Le petit Claude grandit à Port Taoufik avec sa soeur Josette jusqu'en 1956, date à laquelle Nasser nationalise le canal et renvoie chez eux Français et Britanniques. La famille François s'installe à Monaco, puis à Nice.
                                                                                                                                                                                                                                    Adolescent, Claude François apprend à jouer de plusieurs instruments. En 1957, il se trouve une place de batteur dans le quartet de jazz de Louis Frozio à Monte Carlo. En novembre 1960, il épouse la danseuse anglaise, Janet Woolcoot, et décide quelques mois plus tard de monter à Paris.
                                                                                                                                                                                            En 1962, quelques semaines après la mort de son père, il connaît son premier succès avec Belles, belles, belles, adaptation d'un titre des Everly Brothers. Son ascension est alors fulgurante.
                                                                                                                                                                                            Aidé des Clodettes (crées en 1966), Claude François bouscule les préceptes de la variété à la papa et déclenche des scènes d'hystérie inédites en France. En 1967, il co-écrit Comme d'habitude avec Jacques Revaux en s'inspirant de sa séparation d'avec France Gall. Cette chanson va faire le tour du monde et devenir un standard universel. La même année, il fonde sa propre maison de disques, Flèche. En 1972, il s'improvise patron de presse en publiant Podium, un magazine pour ados, qui très vite écrase la concurrence dans les kiosques.
                                                                                                                                                                                           En 1975, Claude François échappe de peu à la mort lors d'un attentat commis par l'IRA dans un hôtel de Londres. En 1977, conscient que la vague disco risque de l'engloutir, il fait appel à Etienne Roda-Gil pour "muscler" les paroles de ses chansons. Encore une fois, il frappe fort avec Magnolias forever et Alexandrie Alexandra, deux tubes que l'on joue encore aujourd'hui dans les boîtes.
                                                                                                                                                                                Le 11 mars 1978, Claude François meurt électrocuté en voulant changer une ampoule alors qu'il prenait un bain. Les circonstances de cette mort absurde vont alimenter une série de rumeurs graveleuses que de nombreuses enquêtes et reportages vont pourtant démentir. Personnage adulé des Français, Claude François était considéré comme exécrable par son entourage professionnel. Maniaque et colérique, il gérait ses affaires de bout en bout et veillait à tout contrôler. Il laisse deux enfants, Claude junior et Marc. 
     

 

Dix ans déjà ... C. Nougaro toujours dans les coeurs !

Publié à 14:54 par yvonne92110 Tags : hommage dix ans déjà nougaro toujours ds les coeurs
Dix ans déjà  ...  C. Nougaro toujours dans les coeurs  !

CLAUDE NOUGARO POUR TOUJOURS DANS LE COEUR DES TOULOUSAINS et DE SES NOMBREUX FANS ...

                                                                                                                                                                                                                                "La musicalité du mot"
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  Tous soulignent "la musicalité du mot chez Nougaro". Éric Alias, chanteur professionnel moins connu que les précédents mais qui s'est voué à interpréter Nougaro, ajoute : "Il jouait de la musique avec les mots ; si vous ne mettez pas l'histoire dans le rythme où il l'a posée, vous la paumez."


                                                                                                                                                                                                                                                                                       Alias a fait salle comble en banlieue toulousaine le 9 février pour un concert hommage de deux heures intitulé "Nougaro, dix ans déjà". Parmi les spectateurs heureux, Isabelle Bouissou, 46 ans, arrivée il y a 18 ans à Toulouse, s'attendrissait : "J'ai connu Nougaro avant d'habiter ici, avec son accent il a toujours représenté Toulouse." Et son compagnon, Sébastien Michel, 48 ans, de renchérir : "Il me fait penser au rugby, il est Toulouse."

                                                                                                                                                                                                                                                                                               Avec l'incontournable "Ô Toulouse", Nougaro fait toujours frissonner d'émotion les habitants de la ville rose. "C'est affectif, il nous parle de nous, il nous glorifie", s'émeut Magyd Cherfi, tandis qu'Art Mengo assure : "Je ne connais pas un artiste qui ait fait une chanson aussi belle sur sa ville : personne ne va écrire sur Toulouse après lui". hebergeur d'image

 

 

 

Quatre personnalités ... entrent au Panthéon !

Publié à 21:23 par yvonne92110 Tags : hommage 4 nouvelles personnalités au panthéon
Quatre personnalités  ...  entrent au Panthéon  !

François Hollande a annoncé ce vendredi le transfert au Panthéon des cendres de deux hommes et deux femmes illustres, héros de la Résistance.

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Le chef de l'Etat va "panthéoniser" quatre grandes figures de la Seconde guerre mondiale : Germaine Tillion, ethnologue et résistante, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, ancienne présidente de ATD quart Monde, nièce du général de Gaulle qui fut déportée, le journaliste résistant Pierre Brossolette et Jean Zay, homme politique assassiné en juin 1944 par des miliciens, auquel François Hollande avait rendu hommage le jour de son investiture à la présidence. 

                                                                                                                                                                                                                                  "Il s'agit d'honorer la Résistance" en faisant prévaloir "l'égalité entre les hommes et les femmes dans le combat clandestin d'hier comme dans la reconnaissance de la Nation aujourd'hui", a expliqué cette source.

                                                                                                                                                                                            L'hommage intervient 70 ans jour pour jour après l'exécution par les Nazis de 22 membres du Groupe Manouchian au Mont-Valérien, le 21 février 1944. Le député PS Jean-Marc Germain a d'ailleurs regretté jeudi que leurs cendres ne soient pas également transférées au Panthéon à cette occasion.

                                                                                                                                                                                                              Interrogée par l'AFP sur la quadruple "panthéonisation" décidée par François Hollande, l'historienne Annette Wieviorka, spécialiste de cette période, juge "plutôt bon" le choix de ces quatre grandes personnalités, qui "dépassent largement le cadre de la Seconde guerre mondiale par leur engagement éthique et leur itinéraire et incarnent des valeurs universelles".

                                                                                                                                                                                                   En particulier "Jean Zay, qui a tout inventé et a été un très grand ministre auteur d'un nombre incalculable de réformes, et Geneviève de Gaulle, une sainte", estime-t-elle.

                                                                                                                                                                                             Temple républicain sur le fronton duquel figure la devise: "Aux grands Hommes la patrie reconnaissante", le Panthéon n'accueillait jusqu'ici que deux femmes sur 71 personnalités, la physicienne Marie Curie et Sophie Berthelot. Cette dernière n'y figure toutefois qu'en qualité d'épouse du chimiste Marcellin Berthelot.

                                                                                                                                                                            Dans un rapport remis en octobre à l'Elysée, le Centre des monuments nationaux (CMN) recommandait de panthéoniser des "femmes du XXe siècle" s'étant illustrées par leur "courage", leur "ténacité" et leur "engagement républicain".

                                                                                                                                                                                       Décédée en 2008 à 100 ans, l'ethnologue Germaine Tillion fut une résistante de la première heure. Elle participe en juin 1940 à la création du réseau de résistance du Musée de l'Homme. Dénoncée, elle est arrêtée en 1942 puis déportée à Ravensbrück. Rescapée, elle sera parmi les premiers à témoigner de l'enfer du système concentrationnaire.

                                                                                                                                                                                              Fille du frère aîné du général, Geneviève de Gaulle-Anthonioz est étudiante lorsqu'elle rejoint la Résistance. Rescapée de Ravensbrück, elle prendra la tête du mouvement ATD-Quart Monde en 1964. Elle est décédée en 2002.

                                                                                                                                                                                  Ministre de l'Education du Front Populaire, Jean Zay, tué en 1944 par la milice de Vichy, a laissé une profonde empreinte sur le système éducatif et culturel français. On lui doit la scolarité obligatoire jusqu'à 14 ans ou encore l'interdiction du port d'insignes politiques et religieux à l'école.

                                                                                                                                                                                                    Arrêté en 1944 avant de se suicider pour ne pas livrer de secrets à la Gestapo sous la torture, le journaliste et militant socialiste Pierre Brossolette fut l'un des principaux acteurs de la Résistance intérieure, sous les ordres du colonel Passy, chef des services de renseignement de la France Libre. Il rejoindra au Panthéon quatre autres Compagnons de la libération : Jean Moulin, René Cassin, Félix Eboué et André Malraux.

                                                                                                                                                                                                                                         François Hollande a annoncé leur entrée sous la Coupole au Mont-Valérien, haut lieu de mémoire de la Résistance et de la France combattante. Quelques 1.007 hommes, résistants et otages, - le code de la Wehrmacht interdisant de fusiller les femmes - furent suppliciés dans la clairière du fort du Mont-Valérien, à l'ouest de Paris, entre le 1er janvier 1941 et le 15 juin 1944.

                                                                                                                                                                                          Parmi eux figurent Honoré d'Estienne d'Orves, Gabriel Péri, sept membres du réseau du Musée de l'Homme, tout premier mouvement de résistance en France, et les 22 hommes de diverses nationalités du Groupe Manouchian, l'un des mouvements armés les plus actifs de la Résistance.

                                                                                                                                                                                Le site du Mont-Valérien est visité chaque année par 20.000 personnes qui peuvent voir les graffiti de résistants sur les murs de la chapelle où les condamnés à mort étaient enfermés avant leur exécution.

La beauté d'une femme ... réside dans ses yeux !

Publié à 14:34 par yvonne92110 Tags : hommage la beauté d une femme réside ds ses yeux
La beauté d'une femme   ...  réside dans ses yeux  !

Un petit garçon demande à sa mère :
- Pourquoi pleures-tu ?
- Parce que je suis une femme, lui répond-elle.
- Je ne comprends pas, dit-il.
Sa mère l’étreint et lui dit :
- Et jamais tu ne réussiras.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          Plus tard le petit garçon demanda à son père
- Pourquoi maman pleure-t-elle ? Je ne comprends pas !
- Toutes les femmes pleurent sans raison, fut tout ce que son père put lui dire.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                Devenu adulte, il demanda à Dieu :
- Seigneur, pourquoi les femmes pleurent-elles aussi facilement ?

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Et Dieu répondit : – Quand j’ai fait la femme, elle devait être spéciale :

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               - J’ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde et assez douces pour être confortables.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  - Je lui ai donné la force de donner la vie et celle d’accepter le rejet qui vient souvent des enfants. La force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne. La force de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       - Je lui ai donné la sensibilité pour aimer ses enfants d’un amour inconditionnel, même quand ces derniers l’ont blessée durement.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         - Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts et de demeurer à ses côtés sans faiblir.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             - Et finalement je lui ai donné des larmes à verser quand elle en ressent le besoin.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                             - Tu vois mon fils, la beauté d’une femme n’est pas dans les vêtements qu’elle porte,
ni dans son visage ou dans la façon de se coiffer les cheveux.

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       - La beauté d’une femme réside dans ses yeux. C’est la porte d’entrée de son coeur, la place où l’amour réside et c’est souvent par ses larmes que tu vois passer son coeur.

Décès : Légende de la chanson française Anny Gould !

Publié à 18:09 par yvonne92110 Tags : Hommage décès de Anny Gould légende chanson fse
Décès : Légende de la chanson française Anny Gould !

La chanteuse Anny Gould, reine des jukebox en 1958 avec son adaptation d'Only you, est morte jeudi à Vierzon l'âge de 93 ans, a-t-on appris auprès de sa famille.       

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          Cette élégante blonde à la voix chaude, née en 1920 à Roubaix, était une vedette de la radio dans les années 50, grâce à un répertoire essentiellement constitué de reprises (Sous le ciel de Paris, Belleville-Ménilmontant, Sa jeunesse...) et d'adaptations de succès étrangers.

Loin de vous !

En 1958, elle avait notamment connu le succès avec Loin de vous, adaptation française d'Only You des Platters.

Au début des années 2000, elle avait été relancée par Pascal Sevran, qui l'avait invitée à chanter dans son émission de télévision.

Elle chantait encore sur scène en 2010, où elle avait donné un concert au Trianon à Paris pour ses 90 ans.  

En mémoire de tous ceux qui nous ont quittés ...

Publié à 11:54 par yvonne92110 Tags : hommage en mémoire tous ceux qui nous ont quittés

Cinquantième anniversaire ... mort de J.F.K. !

Publié à 14:03 par yvonne92110 Tags : hommage mort de jf kennedy 50ème anniversaire
Cinquantième anniversaire  ...  mort de J.F.K.  !



L'exposition "JFK 1963-2013" ouvre ses portes au public vendredi à Paris, pour commémorer le 50e anniversaire de sa mort.



Nous sommes le 22 novembre 1963. John Fitzgerald Kennedy, 46 ans, est abattu d’une balle dans la tête dans sa voiture à Dallas, sous les yeux effarés de son épouse Jackie. L’Amérique est en deuil. Dans le monde entier, c’est la consternation.




225 photos qui retracent l’épopée Kennedy, des séquences de films ou des objets, dont une réplique de la robe de mariée de Jackie Kennedy, sont présentés à partir du 18 octobre à la Galerie Joseph, à Paris.





Quinze ans après l’exposition "Kennedy, le rêve américain" présentée à l’Unesco en 1998, cette nouvelle exposition est le résultat du travail réalisé par Frédéric Lecomte-Dieu, commissaire de l’exposition, écrivain spécialisé dans l'histoire des États-Unis et l'un des biographes de la famille Kennedy. Retrouvez son témoignage aujourd’hui dans Au cœur de l’Histoire. Franck Ferrand a consacré une émission complète au "clan Kennedy".

 









Jean Cocteau ... déjà 50 ans qu'il est mort le poète !

Publié à 13:16 par yvonne92110 Tags : hommage jean cocteau déjà 50 ans mort du poète
Jean Cocteau   ...  déjà 50 ans qu'il est mort le poète !

Biographie de Jean Cocteau (1889-1963)

1889 Jean Cocteau est né à Maisons-Laffitte, le 5 juillet 1889. Il est issu d'une famille de la grande bourgeoisie parisienne. Il est le fils de Georges Cocteau, Avocat devenu rentier et d'Eugénie Lecomte. Il a une soeur et un frère : Marthe (12 ans) et Paul (8 ans).
1898 Il est  âgé de neuf ans lorsque son père se suicide dans son lit d'une balle dans la tête. « Le tragique restera l'une des préoccupations majeures du poète, une exorcisation jamais comblée. » Sa mère élèvera seule ce garçon complexe qui refuse de grandir, trouvant dans les états maladifs un moyen de se faire choyer. Cocteau passe son enfance au grès des réceptions musicales que donne son grand-père, un être d'une grande culture artistique. Le grand-père de Jean Cocteau n'a de cesse d'initier le petit nonchalant de la famille à la musique. Cette initiation musicale  influencera beaucoup sa perception créatrice tout au long de sa vie.
1904 Il est renvoyé pour indiscipline du Lycée Condorcet. Il ne gardera qu 'un souvenir marquant de ce lycée : celui de la révélation de la beauté masculine en la personne de son camarade, Dargelos,  le "premier symbole des forces sauvages qui nous habitent". Dargelos a inspiré l'un des personnages du "Livre Blanc" et des "Enfants Terribles".
1908 En 1908, Cocteau, alors âgé de 19 ans, fait la connaissance du célèbre tragédien Edouard de Max. Ce dernier, fasciné par l'écriture de Jean Cocteau , décide d'organiser une Matinée poétique au Théâtre Fémina, sur les Champs-Elysées, en l'honneur de Cocteau. On y fait la lecture de ses poèmes et Edouard de Max n'hésite pas à la présenter comme un jeune prodige.
1909 Jean Cocteau fait la connaissance de Marcel Proust et de la Comtesse de Noailles. Il se promènera dans les rues de Paris, affichant un style très provoquant. Il publie un premier recueil poétique, La Lampe d'Aladin.
1912 Il rencontre Serge de Diaghilev, mécène et directeur de troupe Russe. Cette rencontre a une influence  déterminante : « Le premier son de cloche, qui ne se terminera qu'avec ma mort, me fut sonné par Diaghilev, une nuit, place de la Concorde. Nous rentrions de souper après le spectacle. Nijinsky boudait, à son habitude. Il marchait devant nous. Diaghilev s'amusait de mes ridicules. Comme je l'interrogeais sur sa réserve (j'étais habitué aux éloges), il s'arrêta, ajusta son monocle et me dit : « Etonnes-moi » ». Cette discussion sert de révélateur :  Cocteau  décide alors  d'arrêter son existence superficielle :  « Cette phrase me sauva d'une carrière de brio. Je devinais vite qu'on n'étonne pas un Diaghilev. De cette minute, je décidais de mourir et de revivre. Le travail fut long et atroce. Cette rupture, je la dois comme tant d'autres à cet ogre ». Cocteau fait la connaissance de Stravinsky Représentation de "Le Dieu bleu".
1913 la création par Diaghilev du Sacre du Printemps de Stravinski est pour lui une véritable révélation, qui influencera son ouvre. Mais "Le Sacre du Printemps" est mal reçu du grand public. Cocteau est très affecté par l'échec de son ami
1914 Cocteau est ambulancier en Champagne, puis en Flandre.
1915 Cocteau rencontre Satie, Picasso, Braque, Derain, Modigliani.
1916 Cocteau participe aux manifestation artistiques et poétiques avec Max Jacob, Reverdy, Apollinaire, Cendrars.
1917 Première du ballet réaliste "Parade" avec Diaghilev d'après une chorégraphie de Léonide Massine, sur une musique d'Erik Satie et dans des décors de Picasso.
1919 Cocteau publie les poèmes du Cap de Bonne espérance , L'Ode à Picasso, Le Coq et l'Arlequin, Le Potomak. Il rencontre Raymond Radiguet.
1920  Cocteau crée Le Bouf sur le Toit, un spectacle burlesque sur une musique de Milhaud. Les décors sont signés Raoul Dufy. Il fonde avec Raymond Radiguet la revue Le Coq.
1921 Création du Gendarme incompris en collaboration avec Radiguet Création  de Les Mariés de la tour Eiffel, dont la première est troublée par les dadaïstes
1922 Cocteau publie "Vocabulaire" .Il présente Antigone «  contraction » de la pièce de Sophocle . La musique est signée Honegger, et les costumes , Chanel.
1923 Cocteau publie Thomas l'imposteur , Le Grand Ecart, Plain-Chant .Mort subite de Radiguet le 20 décembre qui affecte terriblement Cocteau. Il déclare l'année suivante à l'abbé Mugnier : « je n'écrirai plus ». Désespéré Cocteau commence à s'adonner à l'opium. Malgré de nombreuses cures de désintoxication, il consommera de la drogue jusqu'à la fin de sa vie.
1925 Cocteau publie l'Ange Heurtebise et les autoportraits du Mystère de Jean L'oiseleur.
1926 Première d'Orphée le 15 juin.
1927 Représentation du Pauvre Matelot et d'Odipus Rex.
1928 Cocteau fait publier sans nom d'auteur ni d'éditeur, Le Livre blanc.
1929 Publication des  Enfants terribles.
1930 La Voix humaine est jouée à la Comédie française. Cocteau réalise son premier film : Le sang d'un poète. Cocteau est hospitalisé pendant 40 jours en raison d'une typhoïde.
1932 La Machine Infernale est mise en scène par Louis Jouvet. 
1934 Cocteau publie Mythologie.
1935 Cocteau part comme journaliste pour Paris Soir réaliser la fiction de Jules Verne : « Le Tour du Monde en 80 jours ». Il effectue ce voyage avec Marcel Khill, son secrétaire particulier.
1937 Il rencontre Jean Marais. Représentation "d'Odipe Roi" avec Jean Marais, puis "des Chevaliers de la Table Ronde" .Cocteau est élu à l'Académie Mallarmé.
1939 Cocteau est condamné à une forte amende pour usage de stupéfiants.
1940 Première des Monstres Sacrés : en première partie , Le Bel Indifférent avec Edith Piaf. 
1941 Les représentations de La Machine à écrire et des Parents Terribles sont interdites.
1942 Cocteau témoigne en faveur de Jean Genet en cour d'Assises. 
1943 Mort de sa mère en janvier. Triomphe d'Antigone à l'Opéra de Paris sur une musique d'Arthur Honneger
Tournage de l'Eternel retour. Ce film connaîtra un immense succès.
1945 Tournage de La Belle et la Bête.
1947 Cocteau achète la Maison de Bailli à Milly La Forêt.
1949 Jean-Pierre Melville réalise Les Parents terribles.
1950 Orphée.
1952 Publication du chiffre sept (essai) , du journal d'un Inconnu ( autobiographique) et Bacchus (Théâtre).
1953 Cocteau est président du Jury du Festival de Cannes.
1954 Cocteau est victime d'un infarctus du Myocarde.
1955 Jean Cocteau fut élu à l'Académie française le 3 mars 1955 au fauteuil de Jérôme Tharaud, par 17 voix contre 11 à Jérôme Carcopino. Se présentait également un inconnu, le vicomte de Venel, qui rédigeait en vers de mirliton ses lettres de candidatures, renouvelées plus de trente fois. Reçu le 20 octobre 1955 par André Maurois, Cocteau décrivait la Coupole comme « quelque grotte sous-marine, une lumière quasi surnaturelle d'aquarium et sur des gradins en demi-cercle, quarante sirènes à queues vertes et à voix mélodieuses ».
1959 Il écrit , à la suite d'une nouvelle crise cardiaque, Requiem, testament poétique.
1960 Tournage du Testament d'Orphée monté grâce à l'aide financière de François Truffaut. 
1961 Mort de son frère Paul.
1963 Cocteau meurt le 11 octobre 1963, peu après la mort de sa grande amie Edith Piaf.

Le célèbre poète français, dessinateur et dramaturge, avait acheté une maison à la fin des années 40 en compagnie de l'acteur de cinéma Jean Marais. Une demeure située à Milly-la-Forêt dans l'Essonne tout près du Loiret. C'est dans cette maison d'ailleurs que Jean Cocteau s'éteindra en octobre 1963, il y a tout juste cinquante ans.

En 1959, Jean Cocteau, sollicité par les élus de la ville de Milly-la-Forêt (91), décore l’intérieur de la chapelleSaint-Blaise-des-Simples sur le thème des simples et de la résurrection. Le poète académicien y repose aujourd’hui et sur sa tombe figure l’inscription célèbre « Je reste avec vous ». La chapelle est inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques depuis 1982 © France 3 Centre
En 1959, Jean Cocteau, sollicité par les élus de la ville de Milly-la-Forêt (91), décore l’intérieur de la chapelle  Saint-Blaise-des-Simples, sur le thème des simples et de la résurrection. Le poète académicien y repose aujourd’hui et sur sa tombe figure l’inscription célèbre « Je reste avec vous ». La chapelle est inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques depuis 1982. 

Edith Piaf 50 ans déjà ... sa vie en quelques images !

Publié à 09:57 par yvonne92110 Tags : hommage edith piaf 50 ans déjà sa vie qqes images
Edith Piaf 50 ans déjà  ...  sa vie en quelques images !

Petit bout de femme d'1m47, midinette en robe noire, diva terrorisée par la solitude, Edith Piaf a passé sa - courte - vie à chanter l'amour et à le vivre. Monument de la chanson et "rock star" avant l'heure, elle est morte à 48 ans d'une hémorragie interne dans le sud de la France, le 10 octobre 1963, usée par les addictions, de lourdes interventions chirurgicales et une polyarthrite rhumatoïde.

Edith Piaf : son enfance

Edith Giovanna Gassion naît en 1915 près de Belleville. Confiée à sa grand-mère, elle vit dans la misère et perd momentanément la vue à l'âge de 7 ans. Son père artiste ne viendra la récupérer qu'au début des années 1920.

Edith Piaf : avec Marcel Cerdan, son grand amour

"Je t'aime déraisonnablement, anormalement, follement et je n'y puis rien"... "Je t'aimerais n'importe comment, même assassin", lance-t-elle à Marcel Cerdan ... Edith Piaf vit la grande histoire d'amour de sa vie avec le boxeur français, de Sidi Bel Abbès (Marcel Cerdan) qui devient champion du monde des poids moyens. Au début de l'année suivante, elle fait avec lui l'acquisition de sa première maison, un hôtel particulier à Boulogne-Billancourt et y compose avec Simone Berteau, l'Hymne à l'amour. Le 28 octobre 1949, Cerdan meurt dans un accident d'avion sur le vol Paris-New York, aux Açores, alors qu'il venait la rejoindre. Elle installe dans son hôtel particulier les trois enfants de Marcel Cerdan et leur mère, Marinette.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           La mort d'Edith Piaf est annoncée officiellement le 11 octobre 1963 à Paris, le même jour que celle de son ami Jean Cocteau avec lequel elle entretenait une correspondance suivie.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         Apprenant  la nouvelle de la mort de son âme soeur, l'auteur a déclaré  : "C'est le bateau qui achève de couler. C'est ma dernière journée sur cette terre (-)  Je n'ai jamais connu d'Être moins économe de son âme. Elle ne la dépensait pas, elle la prodiguait, elle en jetait l'or par les fenêtres", avant de succomber lui-même.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Edith Piaf a toujours été très croyante. Elle conservera toute sa vie une dévotion particulière à la Sainte Thérèse qui l'a guérie de sa kératite.  

Edith Piaf, l'icône
Avec Georges Moustaki, à Deauville

Edith Piaf connaît une romance avec Georges Moustaki, qu'elle lance dans la chanson et avec qui elle a un grave accident de voiture en 1958, ce qui fait empirer son mauvais état de santé et sa dépendance à la morphine. Elle enregistre la chanson Milord , dont il est l'auteur, l'un de ses plus grands succès. 

Edith Piaf, sur la balançoire

En 1957, lors de leur première rencontre, Hugues Vassal, était photographe stagiaire à France Dimanche, où il couvrait principalement les faits divers. Faute de reporter disponible, la rédaction lui demanda d'aller photographier Piaf à Dijon où elle se produisait. Leur rencontre peu banale va sceller à jamais leur amitié. "Rends-moi service  !", me dit-elle. "Tu vas aller voir mon guitariste, le moustachu là-bas (son ami de l'époque) et tu lui diras qu'il me lâche le mollet  ! Et, ensuite tu inviteras le grand brun (son futur amant Félix Marten) à dîner avec nous", raconte Hugues Vassal.(Ici avec Théo Sarapo) 

Edith Piaf avec Yves Montand

Plus encore qu'amante, Piaf était Pygmalion. Montand, Moustaki ou Sarapo  ... elle façonne, métamorphose ses hommes. "Avouez que j'ai de la chance d'avoir tant d'amants. Quelle femme ne m'envierait pas ? Ils sont tous jeunes, beaux, séduisants et, après qu'ils m'ont connue, on leur trouve même du talent", lance-t-elle un jour, malicieuse. 

Edith Piaf : dernière photo

Edith Piaf, place Casier a côté de Grasse (sa dernière photo). Elle a 47 ans et en paraît beaucoup plus.                                                           

Edith Piaf : sa vie en rose

C'est en 1945 qu'elle écrit l'un de ses chefs d'oeuvre, La vie en rose, son titre le plus célèbre à ce jour. Il a été traduit en une douzaine de langues dont le japonais et l'anglais.  

Edith Piaf, triomphante

En 1956, Edith Piaf triomphe au Carnegie Hall de New York. C'est sa consécration sur la scène internationale. 

Edith Piaf, la fin

La Môme s'est éteinte le 10 octobre 1963 à Grasse. Son décès n'est annoncé que le 11 octobre le temps de rapatrier son corps à Paris car "La Parisienne ne pouvait mourir ailleurs qu'à Paris.   L'Eglise lui refuse des obsèques religieuses, parce qu'elle était divorcée ... Elle repose depuis  au cimetière du Père Lachaise ... Un demi siècle plus tard, Edith Piaf reste une référence pour la jeune génération artistique.  

Edith Piaf ... HYMNE à l' AMOUR !

Publié à 12:56 par yvonne92110 Tags : hommage edith piaf hymne à l amour marcel cerdan
Edith Piaf  ...  HYMNE à l' AMOUR  !

Edith Piaf - Hymne à l'amour 
Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer,
Et la terre peut bien s'écrouler,
Peu m'importe si tu m'aimes,
Je me fous du monde entier.

Tant qu' l'amour innondera mes matins,
Tant qu'mon corps frémira sous tes mains,
Peu m'importent les problèmes,
Mon amour, puisque tu m'aimes.

J'irais jusqu'au bout du monde,
Je me ferais teindre en blonde,
Si tu me le demandais.
J'irais décrocher la lune,
J'irais voler la fortune,
Si tu me le demandais.
Je renierais ma patrie,
Je renierais mes amis,
Si tu me le demandais.
On peut bien rire de moi,
Je ferais n'importe quoi,
Si tu me le demandais.

Si un jour, la vie t'arrache à moi,
Si tu meurs, que tu sois loin de moi,
Peu m'importe si tu m'aimes,
Car moi je mourrais aussi.

Nous aurons pour nous l'éternité,
Dans le bleu de toute l'immensité,
Dans le ciel, plus de problème,
Mon amour, crois-tu qu'on s'aime?
Dieu réunit ceux qui s'aiment.