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" Si la vie vous jette à terre, levez les yeux  .....  Il y a toujours des étoiles au-dessus de vous ! "

Les quatre bougies brûlaient lentement ...
L'ambiance était tellement silencieuse
qu'on pouvait entendre leur conversation.

La première dit :
'' Je suis la Paix ! "
Cependant personne
n'arrive à me maintenir allumée.
Je crois que je vais m'éteindre.''
Sa flamme diminua rapidement,
et elle s'éteignit complètement.

La deuxième dit :
'' Je suis la Foi ! "
Dorénavant je ne suis plus indispensable,
cela n'a pas de sens
que je reste allumée plus longtemps.''
Quand elle eut fini de parler,
une brise souffla sur elle et l'éteignit.

Triste, la troisième bougie se manifesta à son tour :
'' Je suis l'Amour ! "
Je n'ai pas de force pour rester allumée.
Les personnes me laissent de côté et
ne comprennent pas mon importance.
Elles oublient même d'aimer ceux
qui sont proches d'eux.''
Et, sans plus attendre, elle s'éteignit.

Soudain ... un enfant entre
et voit les trois bougies éteintes.
'' Pourquoi êtes-vous éteintes ?
Vous deviez être allumées jusqu'à la fin''
En disant cela, l'enfant commença à pleurer.

Alors, la quatrième bougie parla :
'' N'aies pas peur, tant que j'ai ma flamme
nous pourrons allumer les autres bougies,
" Je suis l'Espérance ! "
Avec des yeux brillants,
l'enfant prit la bougie de l'Espérance ...
et alluma les autres.

Que l'Espérance ne s'éteigne jamais
en nos coeurs et que chacun de nous
puisse être l'outil nécessaire pour maintenir :
" l'Espérance, la Foi, la Paix et l'Amour " !

 (Source : AFP)

Un policier de Manhattan a été photographié alors qu’il offrait son pull à un sans-abri. Le geste de ce bienfaiteur a été rapporté par le New York Daily News et le New York Post.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   "Je lui ai donné mon pull parce qu’il faisait très froid", a expliqué l’officier Carlos Ramos. "J’ai vu qu’il était dans le besoin et c’est mon job de l’aider", s’est justifié le policier new-yorkais de 29 ans.Ramos était chargé d’assurer la sécurité autour du siège des Nations Unies à Manhattan, vendredi matin, lorsqu’il est tombé sur Robert William, un sans-abri assis pieds-nus à même le trottoir, vêtu d’un simple t-shirt à longues manches."C’était une journée glaciale. Je l’ai senti parce que même emmitouflé, j’avais froid", se rappelle Carlos Ramos. Il a proposé au sans-abri de le conduire dans un refuge ou à l’hôpital mais il a refusé. "Je lui ai dit ‘J’ai un sweat épais, prenez-le’" Mais Robert William a une nouvelle fois refusé. "J’étais inquiet pour lui et lui ne voulait surtout pas que j’aie froid à mon tour", raconte Ramos.

Le pauvre homme a finalement accepté la proposition du policier qui a oté son pull pour lui offrir. Ainsi réchauffé, Robert William a utilisé la chemise sur laquelle reposaient ses pieds pour se faire des chaussettes et pouvoir enfiler ses chaussures. L’homme s’est retrouvé dans la rue suite à une dispute avec son colocotaire, selon la presse new-yorkaise.

Carlos Ramos a déjà aidé d’autres sans-abris, "spécialement quand il fait froid", précise-t-il: "une tasse de café ou de thé, tout ce qui peut sembler approprié". C’est l’envie d’aider les autres qui l’a poussé à faire ce métier.

L’an dernier à la même époque, un autre policier new-yorkais, Lawrence Deprimo, était devenu un héros après avoir acheté une paire de chaussures à un sans-abri.

(Source : 7s7/Daily News)© photo news.

SOCIAL - L'association s'attend à une hausse des bénéficiaires alors que les aides publiques ont été réduites ...

Les Restos du Coeur, qui lancent ce lundi leur 29ème campagne hivernale, s'attendent à nouveau à une hausse du nombre des bénéficiaires et veulent trouver de nouvelles sources d'approvisionnement, réclamant la défiscalisation des dons agricoles.

A partir de cette date, les 2.070 centres d'accueil vont ouvrir leurs portes quotidiennement ou au moins deux fois par semaine, jusqu'à fin mars, pour offrir des paniers repas à ceux qui se sont préalablement inscrits.

Après 960.000 personnes aidées et 130 millions de repas servis lors de l'hiver 2012-2013, l'association créée par Coluche en 1985 a la «quasi-certitude» que le seuil symbolique du million de bénéficiaires sera atteint.

La situation socio-économique ne laisse que peu d'espoir d'une amélioration, explique à l'AFP son président, Olivier Berthe, rappelant que 57% des bénéficiaires sont demandeurs d'emploi. «Ils viennent un an, un an et demi après avoir perdu leur emploi, quand les allocations chômage sont en baisse.»

Les aides publiques réduites :

«La reprise économique n'étant pas là, cette tendance, on va la vivre encore pendant deux à trois ans», analyse le président des Restos. Selon lui, «les 66.000 bénévoles sont tous les jours face à des hommes, des femmes et des enfants en extrême difficulté».

Pour faire face, la recherche de financement est une priorité, d'autant que les aides publiques, notamment européennes, ont été réduites dans le budget 2014-2020 de l'UE.

Le programme européen d’aide alimentaire, dont bénéficiaient 18 millions d'Européens, sera supprimé dès l'an prochain. Cette aide s'inscrira désormais dans le Fonds européen d'aide alimentaire, abondé de 3,5 milliards d'euros, bien en deçà des besoins, selon les Restos qui en bénéficient avec les Banques alimentaires, le Secours populaire et la Croix-Rouge.

«A fin novembre, nous n'avons toujours pas officiellement l'annonce du budget européen qu'on nous donnera en 2014. Mais on nous annonce officieusement autour de 70 millions d'euros (pour les quatre associations), en baisse de 10% par rapport aux aides antérieures», souligne Olivier Berthe.

Dons toujours en hausse :

Les subventions publiques représentent 30% du budget des Restos, le reste venant de la générosité du public (dons et legs, ventes des CD et DVD des Enfoirés).

Pour le moment, les dons des particuliers «sont toujours en hausse», mais «un jour ce ne sera plus le cas», prévient le président des Restos.

Alors l'association veut développer les dons en nature. «Il est urgent de voter une loi qui permette de mettre en place une incitation fiscale à la filière agricole, d'élargir à ce secteur la loi Coluche» qui accorde aux particuliers une réduction d'impôt quand ils font un don, insiste Olivier Berthe.

La lutte contre le gaspillage :

Autre cheval de bataille: lutter contre le gaspillage, en intensifiant les collectes et récupération de produits proches de la date de péremption auprès des grandes surfaces, entreprises agro-alimentaires et marchés. Déjà le quart des produits distribués proviennent de cette source.

«Cela ne se fait jamais au détriment des règles de sécurité et d'hygiène», assure Olivier Berthe. Les Restos avaient été très exigeants en matière de sécurité sanitaire lors de l'affaire Spanghero, quand des plats cuisinés contenant de la viande de cheval et faussement étiquetés viande de boeuf leur avaient été proposés. Au final, les Restos n'en ont récupéré qu'une petite quantité.

Dès lundi, les bénéficiaires vont retrouver dans tous les centres la célèbre photo noir et blanc de Coluche, appuyé sur les coudes, bras croisés, léger sourire aux lèvres. Durant l'été, un conflit avec l'auteur du cliché, Gaston Bergeret, avait contraint les centres à retirer la photographie.

Depuis, un accord a été trouvé et l'emblème des Restos a été réinstallé partout. Coluche peut continuer  à veiller sur ses protégés.                                           

(source : AFP)

Le café en attente :

"Café en attente, expresso solidaire" !

Kerlune lance à Brest les cafés en attente. Quasi unique en France, cette nouvelle adresse sur le parvis de la rue de la Porte à Recouvrance, encourage la générosité.

Sur l’agréable parvis de la rue de la Porte, devant le pont de Recouvrance, Amira Deverchère a ouvert Kerlune, un agréable petit café, idéal pour la pause déjeuner. On y déguste thé, jus, soupe ou tarte salée et bien sûr café. Rien d’exceptionnel jusque-là. Si ce n’est d’étranges tickets, scotchés sur la caisse enregistreuse. Tarif : 1,50 euro. Produit : café. Tous ont été réglés par des clients anonymes pour des personnes en difficultés financières.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 En Europe, on appelle cela des cafés suspendus. En France, on parle de cafés en attente. « Le principe, c’est qu’en venant consommer un café, on a la possibilité d’en offrir un deuxième à un anonyme. J’édite ainsi deux tickets et l’un, solidaire, reste en attente sur ma caisse pour une personne démunie », explique Amira Deverchère.

Un instant de sociabilité :

Dans ces temps de crise, la notion de partage a plus que jamais du sens. D’autant plus qu’il ne s’agit pas ici d’offrir des denrées de première nécessité mais plus un instant de vie sociale. « Le temps de prendre le café, ils deviennent comme tout le monde. C’est cela l’important », insiste Amira ... 
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   Bien sûr, Kerlune est ouvert à tous. Qu’ils offrent le café à un inconnu ou non. « Il n’est pas question de forcer les gens. C’est le client qui choisit de faire le geste ou pas, parce qu’il veut ou parce qu’il peut. »
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       Le concept, venu de Naples, au sud de l’Italie, est nouveau en France. Seuls huit établissements l’ont adopté. Mais dans d’autres pays d’Europe, et notamment à l’Est, il est très répandu.
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                   « J’espère que l’idée va faire son chemin et qu’on verra bientôt des frites ou des crêpes en attente et que tout cela deviendra très banal. »
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                          Il faudra certainement beaucoup de temps. En tout cas, Amira dit à ceux qui s’inquiètent d’attirer chez eux des personnes mal intentionnées : « il y aura toujours des profiteurs, mais on ne fera jamais rien si on s’arrête à cela. » 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                            Née en Italie, cette façon de donner au suivant connaît beaucoup de popularité en Europe. 

Des clients vont dans des cafés, en achètent deux, mais n’en emportent qu’un seul. L’autre, le «café en attente», est offert gratuitement à un client dans le besoin. La soupe et les sandwichs entrent aussi parfois dans la liste des offrandes. 

Les endroits qui offrent ce service sont identifiés, ce qui permet aux sans-le-sou de les repérer facilement. Une fois sur place, une ardoise indique le nombre de cafés en attente.

Suffit d’en demander un, sans craindre d’être jugé.

Bonne nouvelle, le «caffè sospeso» a fait son petit bonhomme de chemin un peu partout dans le monde.

On dit que 18 pays ont déjà rejoint les rangs !

*~*~* Ne baisses pas les bras.*~*~*

Si tu verses des larmes
Si tu lances un cri d'alarme
Si tu es trop fatigué(e)
Appelles-moi, je serai là pour toi
Si tu as besoin d'une oreille pour t'écouter
Si tu as besoin de douceur pour t'apaiser
Je serai là pour te consoler
Si la vie te déçoit
Si un grand mur se dresse devant toi
Si tu as peur de foncer
Je serai là pour t'aider
Si le soleil s'éteint dans ton âme
Si tu crois que la vie perd de son charme
Si les idées noires te désarment
Je serai là pour te tendre la main
Si tu es devant trop de détours
Si tu ne trouves plus le chemin du retour
Je serai là pour te guider
Si tu crois être seul(e) et que je t'oublie,
Si tu penses que la distance nous sépare
N'aies pas peur, je serai là pour toi
Quand tu auras vaincu la maladie
Que ton sourire resplendira
Je serai là pour partager ta joie
Quand le bonheur frappera à ta porte
Je serai là pour te serrer dans mes bras
Parce que l'amitié c'est sacré
Je ne te laisserai pas tomber
Bats-toi, tu es courageux(se)
Ta vie ne fait que commencer
Tu as subi d'autres chagrins
Maintenant crois en ton destin !

Auteur anonyme