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bonjour ma chère amie yvonne,
je suis enchantée de venir prendre un p'tit café chez toi, nous parlerons de ch
Par MARITE, le 10.06.2021
dors bien petit bonhomme ... ton ange veille ! à 22:17 par yvonne92110
. .. et j'espère qu'un c
Par Anonyme, le 07.06.2021
21/05/2013... le monde entier vous admire, alors que personne ne vous comprend".... ils savaient parler... à
Par Anonyme, le 06.06.2021
06.06.2021. ..j'ai des goûts de luxe et mes amis sont en or.... c'est parce que ton blog est un trésor...
Par Anonyme, le 06.06.2021
13/05/2012 ... que ta bonne humeur peut égayer la vie des autres ...que tu peux, en tout temps, dire un mot
Par Anonyme, le 06.06.2021
· Poème très émouvant ... sur la maladie d' Alzheimer !
· Un court poème de Monique Müller ... La colère !
· Humour ... Breton !
· DALI ... peintre surréaliste, sculpteur, scénariste !
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· Vintage ... " Pin Up Girls " !
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· Histoire vraie ... particulièrement touchante !
Date de création : 28.09.2009
Dernière mise à jour :
29.05.2021
37578 articles
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Le Tricot - Leçon de vie |
LA VIE C'EST COMME UN TRICOT.
Dieu te donne la laine et les aiguilles et Il te dit:
"Tricotes de ton mieux, une maille à la fois ! "
Une maille, c'est une journée sur l'aiguille du temps.
Tu montes 30 ou 31 mailles.
Après douze rangs de tricot, tu as 363 mailles.
Quelques-unes sont tricotées à l'endroit, d'autres à l'envers.
Il y a aussi des mailles échappées, mais tu peux les reprendre ...
Tu as peut-être déjà plus de 1500 mailles et 500 rangs de tricotés !
Mais Dieu seul sait, quelle sera la longueur de ta vie !
La laine que le Seigneur te donne pour tricoter ta vie, est de toutes les couleurs :
- Rose comme tes joies,
- Noire comme tes peines,
- Grise comme tes doutes,
- Verte comme tes espérances,
- Rouge comme tes amours et tes amitiés,
- Bleue comme tes désirs,
- Blanche comme ton don total au Dieu que tu aimes !
Père, donnes-moi le courage de terminer mon "tricot" afin qu'un jour, devant mes frères et soeurs, je te l'offre avec toute ma joie.
DORIS LUSSIER
Superbe philosophie !!! |
Un maître de l'Orient a vu un scorpion en train de se noyer.
Lorsqu'il décida de le tirer de l'eau,
le scorpion le piqua.
Par l'effet de la douleur,
le maître lâcha l'animal qui, de nouveau, tomba à l'eau
encore en train de se noyer.
Le maître tenta de le tirer nouvellement et l'animal le piqua encore.
Quelqu'un qui était en train d'observer
se rapprocha du maître et lui dit :
Excusez-moi, mais vous êtes têtu !
Ne comprenez vous pas qu'à chaque fois,
que vous tenterez de le tirer de l'eau il va vous piquer?
Le maître répondit :
La nature du scorpion est de piquer,
et cela ne va pas changer la mienne qui est d'aider.
Alors, à l'aide d'une feuille,
le maître tira le scorpion de l'eau, sauva sa vie et continua.
Ne change pas ta nature si quelqu'un te fait mal.
Prends seulement des précautions.
Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent.
Quand la vie te présente mille raisons de pleurer,
montres-lui que tu as mille raisons de sourire...
Le Charpentier ...
Il était une fois un charpentier qui décida de prendre sa retraite.
Son patron lui dit : "rends moi un dernier service, bâtis-moi une dernière maison en bois".
Il dit oui, mais croyant déjà pouvoir se reposer, il n'y mît pas son coeur.
Il employa des matériaux de second ordre et souvent, faisait son travail à moitié, en bâclant, en bouchant ici et là, à tort et à travers.
Quand il eut finit de la bâtir, le patron réunit les autres ouvriers l'appela et lui remis la clé en lui disant :
"Cette maison que tu as bâti c'est ton cadeau de retraite ! C'est mon cadeau que je t'offre pour tes bons et loyaux services".
Le charpentier était très gêné, très mal à l'aise.
Il se dit :
si j'avais su que c'était pour moi je l'aurais bâti différemment !
C'est ça la vie, nous bâtissons nos vies, un jour à la fois utilisant souvent les moins bonnes choses, puis soudain nous réalisons que nous devons vivre avec ce que nous avons bâti.
On se dit : ah ! j'aurais dû faire autrement.
Mais on ne peut pas revenir en arrière.
Vous êtes le charpentier, chaque jour vous plantez un clou, une planche ou vous érigez un mur.
Construisez vous-même votre projet.
Vos attitudes et le choix que vous faites aujourd'hui bâtissent la maison dans laquelle vous vivrez demain.
A tous les ami(e)s des chiens et des animaux ... Quel bel exemple d’Amour inconditionnel, vraiment magnifique !!!
Lily est un Grand Danois, devenue aveugle suite à une maladie bizarre qui à nécessité l’ablation des deux yeux. Depuis 5 ans, Maddison, un autre Grand Danois, est devenu sa vue. Ils sont inséparables !Qui leur a donné cette faculté d'Amour, de Confiance ....???"Les gens oublieront ce que tu as dit, ils oublieront ce que tu as fait ... mais ils n’oublieront jamais comment tu leur as fait ressentir".Splendeur et beauté du règne animal ... Belle leçon de vie !
le Génie menteur ou les sept miroirs de l'âme ! Il y avait une fois un jeune prince qui trouvait les gens autour de lui méchants et égoïstes. Il en parla un jour à son précepteur qui était un homme sage et avisé et qui confia une bague au prince. - "Cette bague est magique. Si tu la tournes trois fois sur elle-même, un génie t’apparaîtra.
Toi seul le verra. Chaque fois que tu seras insatisfait des gens, appelle-le. Il te conseillera. Mais fais attention : ce génie ne dit la vérité que si on ne le croit pas. Il cherchera sans cesse à te tromper."
Un jour, le prince entra dans une violente colère contre un dignitaire de la cour qui avait agi contre ses intérêts. Il fit tourner trois fois la bague.
Aussitôt, le génie apparut: - "Donne-moi ton avis sur les agissements de cet homme, dit le prince." -
"S’il a fait quelque chose contre toi, il est indigne de te servir. Tu dois l’écarter ou le soumettre." À ce moment, le prince se souvint des paroles étranges de son précepteur.
"Je doute que tu me dises la vérité", dit le prince. - "Tu as raison", dit le génie, "je cherchais à te tromper. Tu peux bien sûr asservir cet homme, mais tu peux aussi profiter de ce désaccord pour apprendre à négocier, à traiter avec lui et trouver des solutions qui vous satisfassent tous deux."
Parcourant un jour la ville avec quelques compagnons, le prince vit une immense foule entourer un prédicateur populaire. Il écouta un instant le prêche de cet homme et fut profondément choqué par des paroles qui contrastaient violemment avec ses propres convictions.
Il appela le génie. - "Que dois-je faire ?" - "Fais-le taire ou rends-le inoffensif", dit le génie. "Cet homme défend des idées subversives. Il est dangereux pour toi et pour tes sujets."
Cela me paraît juste, pensa le prince. Mais il mit néanmoins en doute ce que le génie avait dit. -"
Tu as raison", dit le génie, "je mentais. Tu peux neutraliser cet homme. Mais tu peux aussi examiner ses croyances, remettre en cause tes propres certitudes et t’enrichir de vos différences."
Pour l’anniversaire du prince, le roi fit donner un grand bal où furent conviés rois, reines, princes et princesses. Le prince s’éprit d’une belle princesse qu’il ne quitta plus des yeux et qu’il invita maintes fois à danser sans jamais oser lui déclarer sa flamme.
Un autre prince invita à son tour la princesse. Notre prince sentit monter en lui une jalousie profonde.
Il appela alors son génie. - "Que dois-je faire, selon toi ? " - "C’est une crapule", répondit le génie. "Il veut te la prendre. Provoque-le en duel et tue-le. " Sachant que son génie le trompait toujours, le prince ne le crut pas. - "
Tu as raison", dit le génie, "je cherchais à te tromper. Ce n’est pas cet homme que tu ne supportes pas, ce sont les démons de tes propres peurs qui se sont éveillés quand tu as vu ce prince danser avec la princesse. Tu as peur d’être délaissé, abandonné, rejeté. Tu as peur de ne pas être à la hauteur. Ce qui se réveille en toi dans ces moments pénibles te révèle quelque chose sur toi-même.
" A l’occasion de la réunion du grand conseil du royaume, un jeune noble téméraire critiqua à plusieurs reprises le prince et lui reprocha sa façon de gérer certaines affaires du royaume.
Le prince resta cloué sur place face à de telles attaques et ne sut que répondre. L’autre continua de plus belle et à nouveau le prince se tut, la rage au cœur.
Il fit venir le génie et l’interrogea. - "Ôte-lui ses titres de noblesse et dépouille-le de ses terres", répondit le génie. "Cet homme cherche à te rabaisser devant les conseillers royaux." - "Tu as raison", dit le prince.
Mais il se ravisa et se souvint que le génie mentait. - "Dis-moi la vérité" continua le prince. - "Je vais te la dire", rétorqua le génie, "même si cela ne te plaît pas. Ce ne sont pas les attaques de cet homme qui t’ont déplu, mais l’impuissance dans laquelle tu t’es retrouvé et ton incapacité à te défendre."
Un jour, dans une auberge, le prince vit un homme se mettre dans une colère terrible et briser tables et chaises. Il voulut punir cet homme.
Mais il demanda d’abord conseil au génie. - "Punis-le", dit le génie. "Cet homme est violent et dangereux." - "Tu me trompes encore", dit le prince. -
"C’est vrai. Cet homme a mal agi. Mais si tu ne supportes pas sa colère, c’est avant tout parce que tu es toi-même colérique et que tu n’aimes pas te mettre dans cet état. Cet homme est ton miroir."
Une autre fois, le prince vit un marchand qui voulait fouetter un jeune garçon qui lui avait volé un fruit. Le prince avait vu filer le vrai voleur. Il arracha le fouet des mains du marchand et était sur le point de le battre lorsqu’il se ravisa. - "Que m’arrive-t-il", dit-il au génie. "Pourquoi cette scène m’a-t-elle mis dans cet état ?"
- "Cet homme mérite le fouet pour ce qu’il a fait", répondit le génie. - "Me dis-tu la vérité ?" - "
Non", dit le génie. "Tu as réagi si fortement parce que l’injustice subie par ce garçon t’a rappelé une injustice semblable subie autrefois. Cela a réveillé en toi une vieille blessure."
Alors le prince réfléchit à tout ce que le génie lui avait dit. - "Si j’ai bien compris", dit-il au génie, "personne ne peut m’énerver, me blesser ou me déstabiliser. - "
Tu as bien compris", dit le génie. "Ce ne sont pas les paroles ou les actes des autres qui te dérangent ou que tu n’aimes pas, mais les vieux démons qui se réveillent en toi à cette occasion : tes peurs, tes souffrances, tes failles, tes frustrations.
Si tu jettes une mèche allumée dans une jarre d’huile, celle-ci s’enflammera. Mais si la jarre est vide ou qu’elle contient de l’eau, la mèche s’éteindra d’elle-même.
Ton agacement face aux autres est comme un feu qui s’allume en toi et qui peut te brûler, te consumer, te détruire. Mais il peut aussi t’illuminer, te forger, te façonner et faire de l’autre un allié sur le chemin de ta transformation.
Toute rencontre difficile devient alors une confrontation avec toi-même, une épreuve, une initiation." -
"J’ai besoin de savoir encore une chose", dit le prince. "Qui es-tu ?" -
"Je suis, moi aussi, ton reflet dans le miroir."
(Charles Brulhart)
Peut-être que oui, peut-être que non !
Il était une fois un modeste paysan.
Il était veuf et n’avait qu’un fils.
Un jour , son cheval disparut.
Tous ses voisins le plaignirent, en disant qu’une bien triste chose était arrivée.
« Peut-être que oui , peut-être que non »répondit-il.
Trois jours plus tard,
son cheval revint accompagné de trois chevaux sauvages.
Les voisins l’envièrent et lui affirmèrent : « Quelle chance tu as ! »
À quoi il répondit:
« Peut-être que oui , peut-être que non »
Son fils tenta de monter l’un des chevaux sauvages,
tomba et se cassa une jambe.
Les voisins dirent : « Quelle malchance ! »
« Peut-être que oui , peut-être que non »
répondit une nouvelle fois le paysan.
Trois jours plus tard, les soldats vinrent chercher
tous les jeunes hommes valides pour les enrôler dans l’armée,
et le fils du paysan ne fut pas enrôlé.
La morale de cette histoire.
Nous ne savons pas ce que la vie nous réserve.
Nous ne voyons qu’un tout petit bout de notre réalité.
Sagesse de LAO-TSEU
Le train de la vie !
La vie est comme un voyage dans un train :
on monte et on descend, il y a des accidents,
à certains arrêts, il y a des surprises,
et à d'autres, il y a une profonde tristesse.
Quand on naît et qu'on monte dans le train,
nous rencontrons des personnes et nous croyons
qu'elles resteront avec nous pendant tout le voyage :
ce sont nos parents !
Malheureusement la vérité est toute autre.
Eux ils descendent dans une gare
et ils nous laissent sans leur amour et leur affection,
sans leur amitié et leur compagnie.
En tous cas, il y a d'autres personnes qui montent dans le train
et qui seront pour nous très importantes
Ce sont nos frères et nos soeurs,
nos amis et toutes les personnes merveilleuses que nous aimons.
Certaines considèrent le voyage comme un petite promenade.
D'autres ne trouvent que de la tristesse pendant leur voyage.
Il y a d'autres personnes toujours présentes
et toujours prêtes à aider ceux qui en ont besoin.
Certains quand ils descendent laissent une nostalgie pour toujours
D'autres montent et descendent tout de suite
et nous avons tout juste le temps de les croiser
Nous sommes surpris que certains passagers
que nous aimons, s'assoient dans un autre wagon
et que pendant ce temps nous laissent voyager seul.
Naturellement, personne peut nous empêcher
de les chercher partout dans le train.
Parfois malheureusement nous ne pouvons pas
nous asseoir à côté d'eux car la place est déjà prise.
Ce n'est pas grave, le voyage est comme ça :
plein de défis de rêves, d'espoirs, d'adieux, mais sans retour.
Essayons de faire le voyage de la meilleure façon possible.
Essayons de comprendre nos voisins de voyage
et cherchons le meilleur en chacun d'entre eux.
Rappelons nous qu'à chaque moment du voyage
un de nos compagnons peut vaciller
et peut avoir besoin de notre compréhension.
Nous aussi pouvons vaciller et il y aura toujours
quelqu'un pour nous comprendre.
Le grand mystère du voyage est que nous ne savons pas
quand on descendra du train pour toujours,
Nous ne savons pas non plus
quand nos compagnons de voyage feront la même chose.
Même pas celui qui est assis juste à côté de nous.
Moi je pense que je serai triste de quitter le train. j'en suis sûr !
La séparation avec tous les amis que j'ai rencontrés dans le train
sera douloureuse, laisser mes proches seuls sera très triste.
Mais je suis sûr qu'un jour ou l'autre j'arriverai à la gare centrale
et je les reverrai tous arriver avec un bagage
qu'ils n'avaient pas quand il sont montés dans le train.
Par contre je serai heureux d'avoir contribué
à augmenter et enrichir leur bagage
Nous, tous mes amis, faisons tout le possible
pour faire un bon voyage et essayons de laisser
un bon souvenir de nous au moment
où nous descendrons du train.
A ceux qui font partie de mon train, je souhaite un
BON VOYAGE !!! (http://toimichel.centerblog.net)
Une très belle histoire du Père Guy Gilbert sur le PARDON :
« C’est une histoire vraie : Jean, 20 ans, avait fait une saloperie immonde à ses parents. Vous savez … la saloperie dont une famille ne se remet pas, en général.
Alors son père lui dit : “Jean, fous le camp ! Ne remets plus jamais les pieds à la maison !“
Jean est parti, la mort dans l’âme.
Et puis, quelques semaines plus tard, il se dit : “J’ai été la pire des ordures ! Je vais demander pardon à mon vieux … Oh oui ! Je vais lui dire : pardon.”
Alors, il écrit à son père : “ Papa, je te demande pardon. J’ai été le pire des pourris et des salauds. Mais je t’en prie, papa, peux-tu me pardonner ?
“Je ne te mets pas mon adresse sur l’enveloppe, non … Mais simplement, si tu me pardonnes, je t’en prie, mets un foulard blanc sur le pommier qui est devant la maison. Tu sais, la longue allée de pommiers qui conduit à la maison. Sur le dernier pommier, papa, mets un foulard blanc si tu me pardonnes.”
“Alors je saurai, oui je saurai que je peux revenir à la maison.”
Comme il était mort de peur, il se dit : “Je pense que jamais papa ne mettra pas ce foulard blanc. Alors, il appelle son ami, son frère, Marc et dit : “Je t’en supplie, Marc, viens avec moi. Voilà ce qu’on va faire : je vais conduire jusqu’à 500 mètres de la maison et je te passerai le volant. Je fermerai les yeux. Lentement, tu descendras l’allée bordée de pommiers.
Tu t’arrêteras. Si tu vois le foulard blanc sur le dernier pommier devant la maison, alors je bondirai. Sinon, je garderai les yeux fermés et tu repartiras. Je ne reviendrai plus jamais à la maison.”
Ainsi dit, ainsi fait. À 500 mètres de la maison, Jean passe le volant à Marc et ferme les yeux. Lentement, Marc descend l’allée des pommiers. Puis il s’arrête.
Et Jean, toujours les yeux fermés, dit : “Marc, mon ami, mon frère, je t’en supplie, est-ce que mon père a mis un foulard blanc dans le pommier devant la maison ?“
Marc lui répond: “Non, il n’y a pas un foulard blanc sur le pommier devant la maison … mais il y en a des centaines sur tous les pommiers qui “conduisent à la maison !!! ”
Puissiez-vous, Frères et Soeurs, vous qui avez entendu cette belle histoire du foulard blanc, emporter dans votre coeur des milliers de foulards blancs.
Ils seront autant de miracles que vous sèmerez partout, en demandant pardon à ceux que vous avez offensés ou en vous pardonnant vous-mêmes.
Alors vous serez des « êtres de miséricorde »
Dieu existe !!!
C'est l'une des plus sympathiques explications du pourquoi Dieu permet la douleur et la souffrance que J'ai pu lire ...
Un homme est allé à un salon de coiffure se faire couper les cheveux et la barbe.
Comme le barbier commença à travailler, ils ont commencé à avoir une bonne conversation.
Ils ont parlé de tant de choses et de sujets divers.
Quand ils ont finalement abordé le sujet de Dieu, le coiffeur a dit :
«Je ne crois pas que Dieu existe.»
«Pourquoi dites-vous cela ?" demanda le client.
«Eh bien, il vous suffit de sortir dans la rue pour réaliser que Dieu n'existe pas.
Dites-moi, si Dieu existe, y aurait-il tant de gens malades ? Y aurait-il des enfants abandonnés ?
Si Dieu existait, il n'y aurait ni souffrance ni douleur.
Je ne peux pas imaginer un Dieu d'amour qui permettrait toutes de ces choses. "
Le client a pensé pendant un moment, mais n'a pas répondu parce qu'il ne voulait pas commencer une dispute.
Le coiffeur a fini son travail et le client a quitté le magasin.
Juste après avoir quitté le coiffeur, il vit un homme dans la rue avec les cheveux sales et une barbe inculte. Il avait l'air sale et mal entretenu. Le client se retourna et entra dans la boutique de barbier à nouveau et il dit au coiffeur :
"Vous savez quoi? Les barbiers n'existent pas."
«Comment pouvez-vous dire cela?» demanda le barbier surpris.
« Je suis ici, et je suis un barbier. Et vous n’êtes pas le seul à qui j’ai coupé les cheveux et la barbe ! »
«Non!» s'écria le client. « Les coiffeurs n'existent pas, parce que s'ils existaient, il n'y aurait pas de gens avec de longs cheveux sales et la barbe inculte, comme cet homme à l'extérieur. »
«Ah, mais les barbiers EXISTENT ! Voilà ce qui arrive quand les gens ne viennent pas à moi. »
« Exactement ! a affirmé le client.»
"C'est exactement mon point de vue ! Dieu aussi existe ! Voilà ce qui arrive quand les gens ne vont pas à Lui et ne demandent pas son secours. C'est pourquoi il y a tant de douleur et de souffrance dans le monde !". - ( trouvé sur le Net) -